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  • Installer un jacuzzi chez soi : les éléments à tenir à l’œil

    Avec les prix des jacuzzis qui se sont démocratisés, nombreux sont les Belges qui passent le cap de l’achat, que cela soit pour le jardin ou pour l’extérieur de la maison. Voici les éléments à prendre en compte avant de craquer.

    jacuzzi
    De nos jours, installer un jacuzzi dans son jardin ou dans une pièce de la maison n’a plus rien d’inconcevable. Les prix des “spas” se sont en effet démocratisés tout comme leur conception qui les rend particulièrement faciles à installer.

    Quel modèle ?

    Les jacuzzis de dernière génération sont généralement conçus pour être installés tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Pour autant, leur emplacement final ne doit pas être choisi à la légère étant donné qu’une série de contraintes liées à leur installation sont à prendre en compte mais aussi parce qu’un jacuzzi doit pouvoir être utilisé facilement et quand on le souhaite. En la matière, les modèles gonflables demeurent un must étant donné qu’ils peuvent facilement être déplacés voire démontés. Et dans tous les cas, on veillera à la présence d’une prise électrique à proximité.

    Dans quelle pièce ?

    Si l’on opte pour un placement à l’intérieur, on pourra profiter de son spa toute l’année, quel que soit le temps. Vous serez aussi préservé du regard de vos voisins. Enfin, la température au sein de votre logement étant relativement stable, vous consommerez moins d’électricité pour chauffer l’eau du bain à bulles qu’à l’extérieur. Selon la configuration de votre maison, vous pourrez installer votre jacuzzi dans une cave, une véranda, voire au garage, à condition que ces pièces soient correctement aérées. En effet, du fait de la vapeur générée, il est impératif que la pièce qui accueille le jacuzzi soit équipée comme une salle de bain, c’est-à-dire avec une ventilation efficace pour évacuer l’humidité, avec idéalement une ouverture sur l’extérieur en plus de la ventilation et avec des matériaux au sol et aux murs qui ne sont pas sensibles à l’humidité et aux éclaboussures. Enfin, le sol doit être antidérapant et étanche et la résistance à la charge du sol est à vérifier avant l’installation, surtout dans un appartement !

    Et dehors ?

    À l’extérieur, à défaut d’une piscine, disposer d’un spa dans son jardin est gage de beaux moments de détente. Si vous le placez sous un abri, vous pourrez même l’utiliser sous la pluie ! Choisissez une zone qui vous garantit d’être à l’abri des regards. Évitez également les emplacements en plein soleil car ce dernier va contribuer à détériorer plus rapidement les matériaux qui composent le bain, et ce même si celui-ci est pourvu d’un revêtement protecteur.

    De plus, avec la chaleur et la lumière, l’eau de votre spa prendra vite une couleur peu ragoûtante, algues et autres bactéries ayant plus facilement tendance à se développer en plein soleil. Enfin, bien que le bruit émis par le moteur soit de plus en plus faible, veillez tout de même à ce qu’il ne puisse pas gêner vos voisins les plus proches.

  • Que faire de la borne de recharge de votre employeur à la fin de votre contrat de travail ?

    Votre employeur vous fournit une voiture électrique ainsi qu’une borne de recharge à votre domicile. Quid de celle-ci lorsque votre contrat de travail prendra fin ? Pouvez-vous la conserver ?

    charging station
    Evnex

    Borne de recharge louée…

    Si votre employeur met une borne de recharge à votre domicile, sachez qu’il peut le faire par le biais d’un leasing. Avec cette dernière formule, votre employeur paie les redevances à la société de leasing. Si votre contrat de travail prend fin (que ce soit pour cause de pension, démission ou licenciement), vous pouvez soit reprendre le bail, soit la racheter. Dans ce dernier cas, vous pouvez conserver la station de recharge. Si vous ne souhaitez pas payer, l’entreprise enlèvera probablement la borne et réglera le problème avec votre employeur.

    …ou payée ?

    Il est également possible que votre employeur ait payé lui-même la borne de recharge.  Dans ce cas, elle lui appartient.  Si votre contrat de travail prend fin, votre employeur peut vous la réclamer.  Ici aussi, si vous le souhaitez, vous pouvez toujours essayer de trouver un arrangement avec votre employeur pour lui racheter la borne afin qu’elle reste en place. Généralement, cela se fait pour un coût assez limité. En effet, la récupération de la borne (démontage, réinstallation…) entraîne des frais pour votre employeur ! Il est également possible que la politique « flotte » de de votre entreprise prévoie un montant de rachat.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Grillage souple : avantages et inconvénients

    Que cela soit pour clôturer votre jardin sans pour autant briser la vue, pour se protéger de toute intrusion ou encore pour délimiter l’étendue d’une propriété, le grillage a la cote. Voici les avantages et inconvénients du grillage souple.

    flexible fencing
    C’est la question incontournable que l’on se pose lorsqu’on envisage de clôturer un terrain : faut-il opter pour un grillage souple ou pour son pendant rigide ? Nous faisons le point sur la première proposition, généralement moins onéreuse et plus facile à manipuler.

    Les avantages du grillage souple

    Dans le commerce et auprès des détaillants spécialisés, deux alternatives sont proposées en matière de grillage : les versions souples et les rigides. Si l’une et l’autre sont avant tout utilisées pour délimiter un terrain ou une propriété, on peut aussi leur ajouter bien d’autres usages : ils protègent des intrusions (qu’elles soient humaines ou animales), ils empêchent les animaux de sortir d’un enclos, ils peuvent occulter la vue s’ils sont placés derrière une haie et, enfin, ils peuvent également servir de support à des plantes grimpantes.

    Encore faut-il choisir entre ces deux alternatives… Une fois le métrage défini pour clôturer votre terrain et que vous avez opté pour un type de piquets et d’éventuelles quincailleries, il faut porter son choix sur l’option souple ou, au contraire, pour un grillage fixe. Pensez tout d’abord au transport. En effet, le grillage rigide est proposé en panneaux tandis que le souple l’est en rouleaux. Des panneaux qui peuvent vite se montrer lourds et encombrants. En revanche, les rouleaux de grillage souple seront plus faciles à manœuvrer mais aussi à découper.

    Intéressez-vous aussi au maillage de votre grillage. En effet, plus le maillage sera fin, plus le grillage sera solide et rigide. La manière dont les mailles sont fabriquées a également son importance : un grillage soudé est généralement gage d’une bonne qualité car les carrés sont imbriqués les uns dans les autres. En revanche, moins solides, les mailles à torsion présentent des fils noués une ou deux fois, en forme de losanges.

    La solidité du grillage dépend aussi du matériau employé. En acier nu, le grillage sera solide mais vulnérable aux intempéries ou à la corrosion. Mieux vaut donc opter pour une version galvanisée ou plastifiée. Dans ce dernier cas, une couche de PVC le préservera de la pluie, et offre en outre un nuancier de couleurs quasiment infini.

    Enfin, en ce qui concerne le budget, sachez aussi que plus le grillage est rigide, plus il sera onéreux. En effet, comptez une cinquantaine d’euros par mètre linéaire pour un panneau mais seulement quelques euros par mètre pour un rouleau de grillage souple. Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix en tenant compte de ces différents éléments.

  • Quelle porte de garage choisir ? Voici nos recommandations !

    Avant de jeter votre dévolu sur une nouvelle porte de garage, il convient de se pencher sur une série de détails qui ont leur importance.

    On n’y pense rarement mais une porte de garage doit assurer différentes missions. En effet, elle se doit de maintenir une sécurité optimale, elle doit garantir une bonne isolation thermique et, enfin, être facile à manœuvrer. Une fois ces éléments pris en compte, il faut ensuite choisir sa porte en fonction de ses besoins et de la configuration du garage à équiper.

    Quel type de porte ?

    C’est la situation de votre garage qui va déterminer quelle porte choisir. En effet, si la place n’est pas suffisante pour accueillir un modèle qui se glisse au plafond ou le long des pans de mur, il est conseillé de choisir une porte de garage à enroulement. Celle-ci s’enroule alors dans un coffre situé au plafond et permet un gain de place considérable dans le garage. Un modèle qui est parfaitement adapté aux petits garages et à ceux donnant directement sur la rue.

    Autre cas de figure : les murs sont d’ores et déjà occupés mais le plafond de la pièce est dégagé. Vous pouvez alors opter pour une porte basculante dont le panneau vient se loger parallèlement au plafond. Si ce dernier est trop bas, il convient de plutôt choisir une porte sectionnelle latérale. Dans ce cas, les vantaux glissent le long du mur pour s’ouvrir. En revanche, vu son fonctionnement, ce type de porte nécessite de condamner le mur sur lequel elle glisse.

    Enfin, pour un look plus traditionnel ou si votre garage est une pièce destinée à être bien encombrée, vous pouvez choisir une double porte battante. Les deux vantaux s’ouvrent vers l’extérieur et pivotent sur des charnières scellées dans la maçonnerie. Elle fonctionne donc à la manière d’un portail. Comme il n’y a aucun débordement vers l’intérieur, toute la surface intérieure du garage est utilisable.

    Outre la configuration du garage, les habitudes et les besoins sont des éléments qui sont également déterminants au moment d’arrêter votre choix. En effet, dans le cas d’un garage qui est utilisé comme pièce à vivre, il faudra veiller à bien l’isoler thermiquement mais aussi à la sécuriser convenablement.

    Enfin, pour un confort d’utilisation au quotidien lorsque le garage sert à héberger votre véhicule, une porte de garage électrique motorisée peut se révéler très intéressante.

  • Les propriétaires d’un appartement doivent-ils souscrire à une assurance en plus de la police globale ?

    Si vous êtes propriétaire d’un appartement, il se peut que l’immeuble soit couvert par une police d’assurance globale. Outre cette dernière, devez-vous souscrire à une assurance personnelle ou la police globale est-elle suffisante ?

    Anthony Esau

    Un immeuble d’habitation est généralement assuré contre les incendies et autres risques par le biais de ce que l’on appelle une police d’assurance globale. Cette assurance couvre les différentes propriétés de l’immeuble ainsi que les parties communes.  La police globale est probablement souscrite par le syndic ou l’association des copropriétaires.

    Une assurance supplémentaire ?

    En cas de sinistre dans votre appartement, vous pouvez faire appel à cette police globale. Cette assurance couvre également votre responsabilité en tant que copropriétaire pour les dommages causés à des tiers. En règle générale, il n’est donc pas nécessaire de souscrire à une assurance incendie supplémentaire pour votre appartement.

    Il en va autrement si votre appartement est plus luxueux que les autres.  Dans ce cas, votre appartement peut dépasser la valeur moyenne des autres appartements de l’immeuble et vous risquez d’être sous-assuré en cas de sinistre.  Dans ce cas, vérifiez dans la police globale si vous avez besoin d’une assurance supplémentaire ou si ce contrat prévoit une couverture suffisante pour ces éléments également.

    Contenu

    Le contenu de votre maison n’est généralement pas assuré par la police d’assurance globale.  Il est donc préférable de souscrire votre propre assurance.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Économies d’énergie : à quelle température faut-il régler son frigo ?

    Le frigo est un accessoire essentiel dans la cuisine. C’est aussi un des plus gourmands en énergie ! 

    Fridge
    Dev Benjamin

    Pour un fonctionnement optimal du frigo et donc une bonne conservation des aliments qui y sont entreposés, la température de cet électroménager incontournable doit être optimisée avec les réglages adéquats.

    Quelle est la température idéale d’un réfrigérateur ?

    La majorité des experts s’accordent sur un point : dans un frigo, la température idéale doit avoisiner les +4°C. Il est donc recommandé d’opter pour une température allant de +1°C à +5°C maximum, avec la température la plus froide en partie haute pour les modèles à froid statique.

    La température idéale des modèles à froid brassé ou à froid ventilé (c’est à dire la majorité des frigos de nouvelle génération) se situe en revanche entre 0° et +4°C. Cette fourchette de température garantira la bonne conservation des aliments d’une part, mais permettra aussi d’éviter le développement de bactéries d’autre part, notamment sur les aliments sensibles comme la viande, le poisson ou encore les laitages.

    Si les thermostats intégrés aux frigos permettent un réglage aisé du froid, en tournant un bouton voire en sélectionnant la température sur la porte de l’électroménager, rares sont ceux qui délivrent une information précise sur la température qui règne à l’intérieur du réfrigérateur. C’est pour cette raison qu’il faut se munir d’un thermomètre spécial frigo que l’on placera à l’intérieur de l’appareil, dans un verre d’eau afin de pouvoir contrôler sa température. Notez que de l’eau qui coule dans le réfrigérateur ou encore de la glace qui se forme sont autant d’indications que la température n’est pas correctement paramétrée !

    Comment règle-t-on la température d’un frigo ?

    Certains réfrigérateurs sont équipés d’un thermostat souvent réglé sur 5°C. Veillez à ce que la température varie entre 0 et 4°C et ne dépasse jamais les 7°C. Lorsque le frigo est réglable avec un bouton (par exemple de 1 à 6 ou de 1 à 10), tournez-le d’environ 60 % : réglez à 3 sur une échelle de 5 et à 6 sur une échelle de 10. Vous pouvez également opter pour un thermomètre dédié que vous placerez dans votre réfrigérateur. Patientez une heure avant de vérifier la température affichée et de régler à nouveau, si besoin, la température de votre frigo.

  • 5 astuces pour limiter la propagation de la poussière dans la maison

    La poussière est le cauchemar de toute personne appréciant un intérieur propre et bien rangé. À tel point que pour certains, la chasser peut virer à l’obsession, tant celle-ci a tendance à être perpétuellement de retour.

    dust
    Quoi de plus frustrant que de s’apercevoir que la commode qu’on a dépoussiérée hier est d’ores et déjà maculée de fines particules de poussière ? Bonne nouvelle : il existe une série d’astuces pour limiter la multiplication de celles-ci dans nos intérieurs. Des gestes doublés de bons réflexes, souvent simples à adopter, qui vous éviteront de devoir passer le chiffon quotidiennement.

    1.   Installez deux paillassons

    Dans la majorité des cas, la poussière provient de l’extérieur de la maison. Il faut donc tout faire pour ne pas “l’importer” dans nos quatre murs. Une tâche qui est loin d’être évidente puisque pollens et saletés ont tendance à se fixer sous nos semelles et sur nos vêtements, et finissent par se loger un peu partout dans la maison. Pour limiter l’entrée des saletés extérieures, utilisez deux paillassons. Pourquoi ? Car le premier, placé à l’extérieur devant la porte d’entrée, absorbera un maximum de crasse, tandis que le second, qui sera pourvu de poils longs pour retenir les saletés plus fines, sera disposé à l’intérieur. Optez pour des paillassons lavables, et nettoyez-les régulièrement !

    2.   Aspirez 2 à 3 fois par semaine

    Avant l’invention de l’aspirateur, au sein des foyers bourgeois, les domestiques sortaient tentures, couvertures et tapis au grand air, puis les battaient avec véhémence. Beaucoup d’efforts pour peu d’effets. Car la poussière, après avoir formé un gros nuage qui faisait éternuer les travailleuses, revenait gentiment se loger dans le tissu… Heureusement, bien de l’eau a coulé sous les ponts et on dispose aujourd’hui d’appareils très efficaces. Pour limiter les poussières prisonnières de vos moquettes et tapis, aspirez les régulièrement et videz les sacs ou réservoirs de l’aspirateur à l’extérieur.

    3.   Nettoyez régulièrement vos carrelages

    après avoir nettoyé le carrelage avec de l’eau savonneuse, il est conseillé de lui donner un dernier coup de serpillière humidifiée avec de l’eau glycérinée. Il suffit d’ajouter quelques gouttes de glycérine dans l’eau de rinçage. Cela rendra le carrelage moins adhérent. Il n’est pas nécessaire d’en mettre beaucoup, car le carrelage risquerait de devenir glissant. Vous pouvez en faire de même avec les vitres, celles-ci attireront alors beaucoup moins la poussière.

    4.   Les bibelots ? Oui mais pas trop !

    En effet, ceux-ci ont tendance à attirer la poussière, mieux vaut donc éviter de les accumuler. De plus, ils font perdre beaucoup de temps durant le ménage, car il faut les frotter un par un. Optez donc pour une décoration plus sobre en évitant d’accumuler des petits objets. Et si vous collectionnez ces derniers, placez-les alors dans une vitrine bien fermée !

    5.   Enfin, pour les meubles en bois, vous pouvez appliquer un traitement anti-poussière qui rendra ceux-ci moins adhérents.

    Pour ce faire, il suffit de mélanger de l’essence de térébenthine à de l’huile végétale et à du vinaigre à quantités égales. Utilisez ensuite ce mélange pour nettoyer le meuble. Il sera à la fois protégé, nourri et moins collant. Grâce à ce traitement, la poussière s’accumulera moins facilement.

  • 5 plantes qui supportent la canicule

    Avec les épisodes de canicule qui se multiplient ces dernières années, nombreux sont les jardiniers en herbe qui sont contraints de revoir la composition de leurs parterres et massifs floraux. Voici de quoi vous inspirer pour un jardin paré à affronter la sécheresse !

    1. La sauge de Russie

     

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    Aussi appelée lavande d’Afghanistan, la sauge de Russie est une plante super résistante qui ne craint absolument rien : sécheresse, parasites, maladie cryptogamique ou encore excès de soleil, elle résiste à tout ! À la belle saison, elle vous offrira un joli tapis de fleurs bleutées.

    2. Le sumac de Virginie

     

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    Originaire d’Amérique du Nord, le sumac de Virginie apprécie les sols secs et calcaires et exige peu voire pas d’arrosage. En été, ses fleurs vertes finissent par laisser place à des fruits disposés en grappes pourpres qui restent sur l’arbre jusqu’à l’hiver, ornant sa silhouette majestueuse et tortueuse.

    3. Le romarin

     

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    Plante aromatique par excellence, le romarin pousse à l’état sauvage dans les garrigues et tout autour de la Méditerranée. Son feuillage persistant, aux petites feuilles vert sombre, s’habille durant tout le printemps de petites fleurs bleu mauve qui ne sont pas sans rappeler la lavande. Il se plante en sol calcaire et raffole du soleil. Le seul entretien consiste en une taille légère après la floraison pour qu’il ne se dégarnisse pas.

    4. L’aeonium

     

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    Appartenant à la famille des crassulacées, l’aeonium présente des rosettes au bout d’une tige qui peut être courte comme longue. On l’appelle communément “le chou en arbre”. Comme l’été est sa période de repos, il ne souffre pas de la sécheresse dans les régions arides où il pousse facilement. Il trouvera parfaitement sa place dans une rocaille, un massif ou encore en bac.

    5. Le pourpier de mer

    Le pourpier de mer est une plante hyper résistante, qu’elle soit confrontée à la sécheresse, aux embruns ou encore au froid. Il s’agit d’un petit arbuste buissonnant à croissance rapide, dont le feuillage généralement persistant gris vert est comestible. La floraison, très discrète, apparaît au cours de l’été. Si on le trouve communément en Afrique du Nord, il s’adapte parfaitement au climat qui règne dans nos contrées.

  • Votre femme de ménage peut-elle nettoyer les communs de votre immeuble ?

    La question se pose dans bon nombre de copropriétés : la femme de ménage de l’un des occupants de l’immeuble peut-elle se charger de nettoyer les espaces communs ?

    cleaning lady
    Une aide-ménagère peut être amenée à effectuer de nombreuses tâches différentes. En effet, outre le ménage, elle peut aussi préparer des repas, faire des courses ou encore faire du repassage. Plus précisément concernant le nettoyage, il s’agit bel et bien de l’entretien quotidien d’une habitation et donc de passer l’aspirateur, prendre les poussières ou encore nettoyer les vitres (à condition que celles-ci soient accessibles par l’intermédiaire d’un escabeau à trois marches, pas plus !).

    En revanche, on ne peut pas employer une aide-ménagère pour un nettoyage après transformations, pour déplacer des meubles, pour nettoyer un plafond, pour faire de la peinture ou encore pour récurer votre réseau d’égouttage.

    Quid des espaces communs dans une copropriété ?

    Le nettoyage d’espaces communs, comme une cage d’escalier dans un immeuble à appartements, mais aussi d’espaces professionnels, tels qu’un cabinet médical, une salle d’attente, des bureaux ou encore un atelier n’est pas autorisé par le système des titres-services. Vous ne pouvez pas non plus faire nettoyer votre véhicule par une aide-ménagère. Dans un cas comme dans l’autre, des entreprises spécialisées existent à cet effet !

    Et pour une résidence secondaire ?

    Et si l’on possède une résidence secondaire, peut-on utiliser des titres-services afin d’en assurer l’entretien ? Dans ce cas, oui, les titres-services peuvent être utilisés pour l’entretien de votre résidence secondaire, à condition de remplir les conditions suivantes : être domicilié en Belgique, occuper une résidence secondaire en Belgique et occuper celle-ci à titre strictement personnel.

  • Avant d’acheter un appartement, n’oubliez pas de vérifier ceci !

    Lorsque vous achetez un appartement, il arrive que l’assemblée générale des copropriétaires ait déjà décidé de faire réaliser certains travaux.  En tant qu’acheteur, devez-vous contribuer à ces travaux ? Comment savoir ce qui est prévu ?

    buy apartment
    En principe, en tant qu’acheteur d’un appartement, vous devez participer au financement des travaux que l’assemblée générale a déjà décidés avant que vous ne deveniez propriétaire, mais qui ne seront exécutés (ou payés) qu’après la signature de l’acte d’achat.  Il en va de même pour les travaux urgents dont le paiement n’a été demandé par le syndic qu’après la signature de l’acte d’achat.

    Des suppléments non prévus ?

    Parfois, en tant qu’acheteur, vous devez payer les charges extraordinaires et les appels de fonds décidés par l’assemblée générale des copropriétaires, si ceux-ci ont eu lieu entre la conclusion du compromis de vente et la signature de l’acte notarié. Une condition toutefois : il faut que vous, en tant que nouveau propriétaire, disposiez d’une procuration pour participer à l’assemblée générale. Vous devrez alors payer ces frais même si leur règlement intervient avant la signature de l’acte notarié.

    Comment savoir ?

    Si vous êtes intéressé par l’achat d’un appartement, demandez les procès-verbaux des assemblées générales ordinaires et extraordinaires des trois dernières années. Vous y verrez quels sont les travaux prévus.  En outre, le notaire qui s’occupe de votre acte d’achat devra demander des informations à ce sujet au syndicat et vous les fournir.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)