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  • 5 conseils pour que les nouvelles constructions restent abordables

    Les Belges ont une brique dans le ventre. Mais avec la hausse des prix des matériaux, cette brique est peut-être un peu trop lourde pour l’estomac de certaines personnes…

    house building
    Josh Olalde

    Comment dès lors maintenir la construction dans des budgets raisonnables ? On vous donne 5 conseils !

    1. Économisez sur votre terrain à bâtir

    L’achat d’un terrain à bâtir pèse lourd sur votre budget : le prix des terrains ne cesse d’augmenter et ce, dans tout le pays. Certaines provinces sont cependant moins chères que d’autres, à l’instar du Hainaut par rapport au Brabant Wallon. Si vous avez une zone en tête, il est peut-être bon d’investiguer un peu au-delà, voire de traverser la frontière entre provinces. N’oubliez pas non plus que l’orientation et la nature du terrain peuvent également avoir un impact sur le coût de la construction.

    2. Démolir un bien

    En profitant du régime de démolition et de reconstruction, qui réduit la TVA de 21 % à 6 %, vous pouvez économiser pas mal d’argent. Mais il faut se dépêcher, car la mesure a été prolongée en fin d’année dernière jusqu’au 31 décembre 2023… De plus, si vous n’avez pas encore introduit votre demande, cette réduction de TVA ne s’appliquera qu’à une partie du montant total, à moins que vous ne puissiez prouver qu’une plus grande partie du coût a été effectivement dépensée en 2023 et qu’il ne s’agit pas d’une facture anticipée pour des travaux qui auront lieu plus tard. En fonction de votre situation, l’avantage final pourrait donc être limité…

    3. Demandez-vous ce dont vous avez vraiment besoin

    Plus vous construisez grand, plus les coûts de construction et d’énergie sont élevés. Discutez avec votre architecte et voyez ce que vous attendez de votre maison dans votre situation actuelle et à venir. Examinez les solutions intelligentes qui rendent les espaces multifonctionnels ou adaptables au fil des ans. Demandez-vous également quel type de matériaux vous souhaitez utiliser pour les finitions : des matériaux basiques mais durables sont moins chers et plus intemporels que les dernières tendances.

    Par ailleurs, il n’est peut-être pas nécessaire de tout finir tout de suite dans votre maison. Un mur bien maçonné sans enduit, par exemple, peut aussi avoir son charme dans certains cas. En ce qui concerne la construction proprement dite, vous pouvez opter pour une conception plus simple afin de réduire les coûts, ou réfléchir à d’autres styles de construction. Votre architecte joue ici un rôle essentiel.

    4. Retroussez vos manches

    Vous êtes bricoleur ? Dans ce cas, vérifiez auprès de l’entrepreneur si vous pouvez vous retrousser les manches vous-même. Tous les entrepreneurs n’accepteront pas que vous fassiez certains travaux vous-même, mais d’autres seront peut-être disposés à vous confier les travaux les moins techniques. Dans ce cas, mettez-vous d’accord sur ce que vous ferez et comment vous les ferez, afin d’éviter de commettre des erreurs qui devront éventuellement être corrigées par un professionnel.

    Vous pouvez également vous charger vous-même de certains travaux plus techniques, par exemple avec l’aide d’entreprises spécialisées qui vous assisteront dans l’installation. Pour les travaux que vous confiez à un professionnel, vous devez vous assurer que tout est bien écrit : ce qui sera livré, la qualité des matériaux et la manière dont les éventuelles augmentations de prix seront ou non répercutées.

    5. Optez pour un projet clé en main

    Vous n’êtes pas bricoleur ? Dans ce cas, une formule clé en main peut vous convenir. Cela peut sembler contradictoire après le conseil précédent, mais les entreprises de construction clés en main peuvent offrir une option avantageuse sur le plan budgétaire. Elles ont les plans des maisons qu’elles proposent et disposent en interne de professionnels capables de prendre en charge pratiquement tous les aspects de la construction.

    En outre, elles achètent les matériaux de construction en gros, ce qui leur permet souvent d’obtenir un meilleur prix que si vous achetiez les mêmes matériaux en tant que particulier. De plus, en construisant de cette manière, vous êtes également assuré d’un bon suivi et des garanties.

  • Pouvez-vous augmenter le loyer si vous installez des panneaux solaires ?

    Vous envisagez d’installer des panneaux solaires sur le bien que vous louez. Dans ce cas, pouvez-vous augmenter le loyer ? Quelles sont les règles dans les trois régions ?

    solar pannel
    Saria Nepriakhina

    Avant toute chose, nous vous conseillons de vous entendre avec votre locataire et de mettre sur papier l’accord que vous avez conclu. Ce dernier doit signer pour approbation. Si le bien locatif est situé à Bruxelles ou en Flandre (contrats conclus à partir du 1er janvier 2019), c’est possible sans autre forme de procès. En région bruxelloise, vous devez en convenir avec votre locataire au moins un mois avant le début des travaux. En outre, à Bruxelles, cela n’est possible que pour les baux de neuf ans ou plus et seulement une fois tous les trois ans.

    Si le bien loué est situé en Wallonie, le loyer ne peut être adapté que de commun accord après une période de trois ans.  Il en va de même pour les biens situés en Flandre si le bail date d’avant le 1er janvier 2019.

    Pas d’accord : que faire ?

    Si vous n’avez pas conclu d’accord avec votre locataire au préalable et qu’il n’accepte finalement pas d’augmenter le loyer après le placement, vous pouvez, sous certaines conditions, saisir le tribunal pour demander la révision du loyer. Sachez que cela peut se faire si la valeur locative normale due aux travaux est supérieure de 10 % au loyer convenu.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Un bien en usufruit vaut peut-être plus que vous ne le pensez !

    Suite à un décès, le conjoint survivant reçoit parfois l’usufruit d’un bien immobilier, tandis que d’autres héritiers obtiennent la nue-propriété. Lorsque le bien est vendu ou que l’usufruit est converti, la question de la valeur de cet usufruit se pose. Notre avocat vous dit tout !

    La conversion de l’usufruit nécessite une évaluation précise de sa valeur. Si l’usufruitier et le nu-propriétaire ne parviennent pas à s’entendre sur cette évaluation, ils peuvent se référer aux tableaux publiés annuellement au Moniteur belge.

    Ces tableaux présentent des pourcentages en fonction de l’âge. Plus l’usufruitier est jeune, plus il est susceptible de bénéficier longtemps de l’usufruit, et plus sa valeur est élevée. De plus, une distinction est faite en fonction du sexe de l’usufruitier.

    Quels changements ?

    Le dernier tableau a été publié dans le Moniteur belge du 11 juillet dernier. Dans ce tableau, les pourcentages représentant la valeur de l’usufruit, augmentent considérablement. Cette hausse est principalement due à l’augmentation des taux d’intérêt. En effet, la détermination de la valeur de l’usufruit prend en compte l’espérance de vie croissante et l’évolution des taux d’intérêt disponibles sur le marché.

    Un exemple concret

    Si la valeur de l’usufruit d’une femme de 45 ans était de 34,84 %, elle est désormais passée à 43,78 %. La valeur de l’usufruit d’un homme de 55 ans est passée de 25,76 % à 32,94 %. Cette augmentation est significative et représente une excellente nouvelle pour les usufruitiers.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

     

  • Le vendeur ne vous rend pas la maison « complète » ? Voici ce que vous pouvez faire !

    Vous êtes sur le point d’acheter une maison? Assurez-vous que tout ce qui est ‘immobilier’ reste en place! Voici comment éviter les surprises post-achat.

    Supposons que vous achetiez une maison avec une cuisine équipée ou avec un jardin contenant des plantes exotiques. Que faire si le vendeur embarque les plantes ou le frigo, voire le four encastré ? Quels sont vos droits dans ce cas ?

    Articles inamovibles inclus

    Les éléments du bien devenus immeubles (tels que les armoires ou appareils encastrées, les spots, les plantes du jardin, etc.) sont en principe inclus dans le prix de vente. Si le vendeur les embarque avec lui, en tant qu’acheteur, ne restez pas inactif. En effet, le vendeur manque à son obligation de livraison ! Vous pouvez alors exiger qu’il vous rende les biens qu’il vous a pris, exiger une indemnisation de sa part, voire même demander la dissolution du contrat de vente avec indemnisation.

    Vous devez le prouver

    Si vous affirmez que le vendeur est parti avec certains biens immobiliers, vous devez le prouver. Conservez donc l’annonce du bien et les photos du bien réalisées pendant la visite. Autre bon conseil : établissez (ou faites établir) un état des lieux du bien avec le vendeur. Juste avant la rédaction de l’acte de vente, vous pouvez prendre rendez-vous avec le vendeur pour relever les compteurs et vérifier à nouveau l’état du bien. S’il s’avère que des éléments ont disparu, l’acheteur peut immédiatement soulever le problème auprès du notaire.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Comment installer des câbles électriques sans saignées ? 5 conseils pratiques

    Vous souhaitez ajouter ou déplacer des câbles électriques sans endommager vos murs ? Pas de panique ! Voici 5 astuces pour le faire proprement et simplement.

    electric wire home

    1. Faites un plan de votre pièce :

    Commencez par dessiner un plan simple de votre pièce, en indiquant où se trouvent les prises, les interrupteurs et les appareils que vous souhaitez connecter. Cela vous permettra d’identifier le chemin le plus court et le plus discret pour vos câbles.

    2. Goulottes et moulures :

    • Avantages : Ces conduits, faciles à installer, camouflent efficacement les câbles tout en les rendant accessibles pour d’éventuelles modifications. Ils offrent un rendu esthétique et peuvent être peints pour se fondre dans le décor.
    • Inconvénients : Ils peuvent être un peu encombrants, surtout dans les petits espaces, et ne conviennent pas toujours à tous les styles de décoration.

    3. Plinthes avec passages de câbles :

    • Avantages : Elles sont discrètes et s’intègrent parfaitement au design de la pièce. Elles permettent de cacher les fils tout en les gardant accessibles.
    • Inconvénients : Leur installation peut nécessiter de remplacer vos plinthes actuelles, ce qui peut être plus coûteux et laborieux.

    4. Solutions sans fil :

    • Avantages : Pas de câbles à faire passer, ce qui simplifie grandement l’installation. C’est idéal pour les pièces où le passage de câbles est compliqué ou pour les appareils mobiles.
    • Inconvénients : La qualité du signal peut parfois être moins stable. De plus, ces solutions peuvent être plus coûteuses à l’achat.

    5. Rubans adhésifs spéciaux :

    • Avantages : Ils sont rapides et faciles à utiliser. Ils n’endommagent pas les surfaces et sont discrets, surtout si vous choisissez une couleur proche de celle de votre mur ou sol.
    • Inconvénients : Ils peuvent ne pas convenir à tous les types de câbles, surtout les plus lourds ou épais. Avec le temps, l’adhésif peut se dégrader, nécessitant un remplacement.
  • Panneaux photovoltaïques : le point par région

    Vous désirez installer des panneaux photovoltaïques chez vous? Dans cet article, on fait le point sur les aides et les… taxes par région.

    solar panel
    Bill Mead

    En Belgique, quelle que soit la région dans laquelle vous habitez, il existe des primes ou, à défaut, des incitants visant à favoriser l’installation de panneaux photovoltaïques. De quoi soutenir le citoyen dans son investissement.

    En Wallonie

    En Wallonie, si vous vous mettez en quête d’une aide financière à l’installation de panneaux solaires, sachez que celle-ci n’existe plus ! Cela fait suite au fiasco de la gestion du dossier photovoltaïques par le gouvernement régional en 2011 et 2012. Une situation qui a débouché sur l’entrée en vigueur du tarif prosumer. Ce dernier n’est pas une taxe mais bel et bien un tarif appliqué pour l’utilisation des réseaux de transport et de distribution de l’électricité. Auparavant, le coût de ces réseaux était supporté uniquement par les consommateurs sans panneaux et les prosumers qui consommaient plus d’électricité qu’ils n’en produisaient. Mais, avec ce nouveau tarif, les prosumers participent eux aussi aux frais du réseau lorsqu’ils consomment de l’électricité à un moment différent de celui où leur installation en produira. De quoi, selon les autorités locales, permettre de diminuer le coût du kWh pour la majorité des consommateurs. Pour le reste, rien ne change : le compteur continue à tourner à l’envers (via le principe de compensation sur la fourniture d’énergie).

    Il existe par contre une prime au compteur double flux. Cette prime, d’une valeur de 157 € HTVA, permet de financer l’installation d’un compteur double flux. Attribuée jusqu’au 31 décembre 2023, elle est accordée par les gestionnaires de réseau de distribution. Pour rappel, le compteur intelligent double flux est un mécanisme qui mesure la quantité d’énergie produite et utilisée. Une fois installé, il vous permet de bénéficier d’un tarif prosumer proportionnel, ce qui rend les panneaux solaires plus rentables sur le long terme. Le site de la CWAPE vous permet de rechercher votre gestionnaire de réseau de distribution à partir de votre code postal.

    Notez enfin que le gouvernement wallon veut augmenter la capacité photovoltaïque qu’il est possible d’installer. Début 2023, la capacité actuelle devrait doubler, soit de 10 à 20 kW. En gros, il devrait donc être possible d’installer un maximum de 50 panneaux solaires de 400 watts, contre 25 actuellement.

    En Flandre

    Depuis janvier 2021, une nouvelle prime panneaux solaires de maximum 1.500 € est proposée aux propriétaires d’un logement situé en Flandre. Cette prime ne s’applique cependant qu’aux habitations raccordées au réseau de distribution d’énergie de Fluvius depuis au moins le 1er janvier 2014. Cette aide ne convient donc pas aux nouvelles constructions. Le montant de cette nouvelle prime s’élève à un maximum de 1.500 € par foyer. Toutefois, la valeur octroyée ne peut pas aller au-delà de 40 % du tarif total d’achat des panneaux photovoltaïques. La seule exception est si vous bénéficiez déjà d’un tarif social. Dans ce cas, la prime peut être majorée de 20 %. La somme exacte est déterminée par la taille de votre installation. Ainsi, pour une installation allant jusqu’à 4 kWc (kilowatts crête), la prime est à hauteur de 300 €/kWc. Pour les installations de 4 à 6 kWc, le montant de la prime est de 150 €/kWc installé. Au-delà, cette prime ne peut plus être accordée.

    En outre, dans certaines communes et villes, il existe également des subventions locales pour ceux qui souhaitent acheter des panneaux solaires. Les montants de ces subventions varient d’une commune à l’autre. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre autorité locale pour obtenir plus d’informations.

    Enfin, en raison de la suppression du compteur inversé et du tarif prosumer en Flandre, le gouvernement local a décidé de mettre en place un système de compensation. En fonction de la puissance de vos panneaux solaires, la prime prévoit une rémunération fixe par kWc.

    En Région bruxelloise

    En Région bruxelloise, afin d’inciter la population à avoir recours à l’énergie solaire, des certificats verts ont été mis en place. Ceux-ci sont octroyés à des producteurs d’électricité professionnels ou particuliers et peuvent ensuite être vendus à un régulateur des marchés de l’énergie comme Brugel. C’est grâce à ce système que des entreprises comme Brusol sont à même d’offrir des panneaux solaires gratuitement aux particuliers.

    Depuis le 1er janvier 2021, une nouvelle réforme est entrée en vigueur concernant les certificats verts. Une somme d’environ 650 € est attribuée aux propriétaires de nouvelles installations photovoltaïques par an pendant une durée de dix ans. Ceci ne concerne néanmoins que les nouvelles installations. Pour les plus anciennes, la somme octroyée se situe aux alentours de 950 € par an pendant dix ans.

    Outre les certificats verts, il existe également d’autres aides pour encourager les Bruxellois à passer aux panneaux photovoltaïques. Il y a notamment le Prêt vert bruxellois qui finance jusqu’à 2 % de vos travaux d’amélioration énergétique. Une aide qui peut aller jusqu’à un montant de 25.000 € ! Enfin, certaines communes octroient également des primes pour l’installation de panneaux solaires mais ces primes.

    Enfin, depuis le 1er novembre 2021, à Bruxelles il n’est plus possible de déduire de sa facture d’énergie le surplus d’électricité produit et réinjecté dans le réseau. Malgré cela, le nouveau tarif en vigueur représente une valorisation de l’injection photovoltaïque puisqu’il permet aux propriétaires de panneaux de revendre le surplus d’énergie produit par l’installation solaire à leur fournisseur d’énergie. Il n’y a par contre aucune garantie quant au prix offert, celui-ci fluctuant selon le prix du marché. Le mieux est donc de consommer l’électricité au moment où celle-ci est produite.

    Pour plus d’info, complétez le formulaire ci-dessous et nous vous contacterons !

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  • Euro-Finances : votre passerelle vers la réalisation de vos rêves !

    Donnez vie à vos projets ! Découvrez comment Euro-Finances peut transformer vos rêves en réalité grâce au prêt perso.

    Pour Euro-Finances, tous vos rêves sont précieux. Que vous envisagiez d’acheter votre première maison, de remplacer votre chaudière ou d’ajouter une annexe, ils ont pour mission de vous accompagner dans la réalisation de tous les projets qui vous tiennent à cœur.

    Un crédit sur mesure

    Chaque projet étant unique, Euro-Finances propose des solutions de crédit personnalisées pour répondre à vos besoins spécifiques. Il peut bien sûr s’agir d’immobilier (que ce soit un prêt hypothécaire, un prêt travaux ou encore un prêt éco/énergie), mais aussi de vacances de rêve, d’un mariage ou encore d’un nouveau véhicule.

    Emprunter en toute confiance

    Quel que soit le projet que vous ayez en tête, Euro-Finances prône la transparence et l’éthique pour votre financement, avec un guidage à travers chaque étape du processus de prêt pour vous assurer une expérience sans stress et en toute confiance.

    Prêt à réaliser vos rêves ?

    Remplissez le formulaire et nous reviendrons vous vous !

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    Attention, emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent.

  • Pellets : vos vieux pellets sont encore utilisables ? Comment bien les conserver ?

    Les pellets, une source d’énergie renouvelable prisée, nécessitent une attention particulière pour leur conservation. Découvrez comment les stocker et vérifier leur qualité.

    Pellets

    Très populaires car jugés aussi économiques qu’écologiques par rapport aux autres méthodes de chauffage, les chaudières et poêles à pellets ont donc le vent en poupe.

    Conseils pour stocker vos pellets

    Les pellets, fabriqués à partir de résidus de scieries ou de bois durable, sont sensibles aux variations de température et d’humidité. Pour les conserver :

    • Stockez-les dans un endroit frais, sec et bien aéré.
    • Gardez-les dans leurs sacs d’origine.
    • Placez les sacs sur des palettes de bois ou du carton sec.

    Durabilité des pellets

    Bonne nouvelle ! Les pellets n’ont pas de date limite d’utilisation. Si conservés dans des conditions optimales, ils peuvent être utilisés plusieurs années après leur achat. Toutefois, pour éviter tout risque, il est recommandé d’utiliser les pellets de l’année en cours. Assurez-vous également que leur taux d’humidité à l’achat soit autour de 6%.

    Comment vérifier la qualité de vos pellets ?

    Lors de l’ouverture d’un sac, les pellets doivent être secs. Si collants, leur taux d’humidité est trop élevé, ce qui peut encrasser votre poêle. Ils doivent être cassants au toucher. Si trop secs, ils brûleront rapidement.

  • Construisez votre maison clé-sur-porte pour 260.000€ TVAC avec TEAM construct

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  • Voici comment convoquer en urgence une assemblée générale des copropriétaires

    Il peut arriver qu’une décision urgente doive être prise par l’assemblée générale des copropriétaires d’un immeuble. Comment procéder et qui peut envoyer les convocations ?

    apartment building
    Denise Jans

    Légalement parlant, l’assemblée générale des copropriétaires doit se réunir au moins une fois par an. Toutefois, il peut arriver que des décisions urgentes doivent être prises dans l’intervalle et qu’une réunion supplémentaire soit nécessaire.

    Le syndic peut parfaitement organiser une assemblée générale extraordinaire dans l’intervalle, notamment si une décision urgente doit être prise et qu’elle ne peut attendre la prochaine assemblée générale.  Le syndic devra alors, comme pour une assemblée générale ordinaire, notifier l’ordre du jour de la réunion aux copropriétaires.

    Les copropriétaires

    Avec quelques autres copropriétaires, vous pouvez également demander au syndic d’organiser l’assemblée. La loi stipule en effet que lorsqu’un ou plusieurs copropriétaires (détenant au moins 20 % des parts des parties communes) en font la demande, le syndic doit convoquer une assemblée générale extraordinaire. Si celui-ci ne donne pas suite à votre demande, vous pouvez convoquer vous-même l’assemblée générale.

    Le juge de paix

    Si le syndic fait obstruction ou ne donne pas suite à votre demande, vous pouvez également, avec les autres copropriétaires, demander au juge d’ordonner la convocation d’une assemblée générale.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)