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  • Quel parquet choisir ? Massif, semi-massif, stratifié… ?

    Chaleureux et intemporel, le parquet reste une valeur sûre pour habiller le sol de nos maisons, apportant une touche d’élégance et de confort inégalée. Mais quel parquet choisir : un massif, un semi-massif ou un stratifié ? Faisons le point sur les avantages et les inconvénients !

    wooden floor
    Liqs

    Le parquet a toujours la cote dans nos maisons ou appartements, surtout pour les espaces de nuit comme les chambres et les dressings, où son aspect chaleureux est particulièrement apprécié. Mais bien sûr, aujourd’hui, le terme parquet ne s’applique plus toujours exclusivement à un seul type de revêtement de sol intégralement en bois. Les technologies ont évolué, offrant une variété d’options adaptées à différents usages et contraintes. Mais quel parquet choisir, dès lors ?

    1. Le parquet massif

    Pour le distinguer des autres catégories apparues entre-temps, le « vrai » parquet de nos aïeux se nomme dorénavant parquet massif. Comme son nom l’indique, il s’agit donc d’un revêtement composé intégralement de la même essence de bois sur toute son épaisseur, généralement autour des 2 à 2,5 cm. C’est le parquet le plus naturel et le plus noble, souvent réalisé en chêne, hêtre ou autres essences haut de gamme.

    Ce revêtement présente plusieurs avantages :

    • Offrir le plus beau « cachet » et une authenticité inégalée.
    • Être résistant dans le temps, pouvant durer plusieurs générations.
    • Pouvoir être poncé à plusieurs reprises en rénovation, permettant de lui redonner son éclat d’origine.
    • Aspect chaleureux et unique, chaque lame ayant ses propres veines et nœuds.
    • Traitements différents possibles pour un coup de jeune (vitrifié, ciré, blanchi, etc.), offrant une grande flexibilité esthétique.
    • Pose sur lambourdes possible, idéale pour rattraper des niveaux ou intégrer une isolation phonique.

    Mais aussi quelques inconvénients :

    • Prix parfois dissuasif pour les grandes surfaces, le coût des essences nobles étant élevé.
    • Pose qui peut être plus complexe, nécessitant souvent l’intervention d’un professionnel.
    • Sensibilité à l’humidité, pouvant entraîner des déformations si le bois n’est pas correctement traité ou si l’environnement n’est pas adapté.

    2. Le parquet semi-massif

    Comme son nom l’indique, le parquet semi-massif comporte une couche massive en surface. Mais, contrairement au parquet massif, il n’est pas composé intégralement de ce bois noble. On retrouve sous sa belle surface une ou plusieurs couches moins onéreuses, généralement en contreplaqué ou en bois aggloméré.

    Ce revêtement présente plusieurs avantages :

    • Conserver une apparence naturelle grâce à sa couche supérieure en bois noble.
    • Être plus économique à l’achat qu’un parquet massif, tout en offrant une bonne durabilité.
    • Pouvoir être poncé en cas de besoin, même si le nombre de ponçages est limité.
    • Aspect chaleureux conservé, idéal pour créer une ambiance cosy.
    • Pose flottante possible, facilitant l’installation et réduisant les coûts de main-d’œuvre.

    Mais aussi quelques inconvénients :

    • Couche d’usure « relativement » mince qui ne peut être poncée que quelques fois.
    • Durée de vie inférieure à celle d’un vrai parquet massif, même si elle reste tout à fait honorable.
    • Sensibilité aux variations d’humidité et de température, pouvant affecter sa stabilité si le produit n’est pas de bonne qualité.

    3. Le parquet stratifié

    Contrairement aux parquets massifs et semi-massifs, le parquet stratifié n’est pas composé en surface de bois mais d’une résine synthétique. Cette impression supérieure peut néanmoins imiter plus ou moins fidèlement les veines du bois et être proposée en divers coloris et finitions.

    Ce revêtement présente plusieurs avantages :

    • Très facile d’entretien, résistant aux taches et aux rayures.
    • Le plus économique à l’achat, idéal pour les budgets serrés ou les rénovations rapides.
    • Pose facile et rapide, généralement en pose flottante avec un système de clips.
    • Surface au style à la carte, avec une large gamme de designs imitant non seulement le bois mais aussi d’autres matériaux comme le carrelage ou le béton.
    • Compatibilité avec le chauffage au sol, offrant un confort supplémentaire.

    Mais aussi quelques inconvénients :

    • Allure plus ou moins plastique/artificielle en fonction du modèle, pouvant manquer de chaleur.
    • Dégradation plus rapide de la couche d’usure en fonction de son épaisseur, ce qui peut limiter sa longévité.
    • Pas de rénovation/ponçage possible, en cas d’usure ou de dommage, il faudra remplacer les lames concernées.
    • Moins bonne isolation phonique, le stratifié peut être bruyant sous les pas si aucune sous-couche isolante n’est installée.
  • Mila : « nettoyage du grille-pain : essentiel, mais le faites-vous ? »

    Le weekend, on prend le temps : on sort les pots de confitures et on fait les griller les tartines. Je le concède : mon grille-pain, je n’en prends pas beaucoup soin. Lui qui embellit mes matins, il le mérite pourtant bien.

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    Pour éviter que les toasts n’aient un goût bizarre et pour prolonger la vie de votre appareil, il faut dans un premier temps évacuer les miettes carbonisées qui s’y accumulent au fil du temps. Pinceau (ou brossette), chiffon humide et brochette en bois (ou cure-dent) sont tout ce qu’il vous faut pour procéder au grand nettoyage.

    La plupart des grille-pains modernes ont un tiroir à miettes en dessous. Il suffit pour commencer, de le vider. Mon grille-pain à moi n’en dispose pas : je dois le secouer au-dessus de l’évier pour qu’il libère lesdites miettes.

    C’est le moment de dégainer le pinceau et de l’introduire au fond de l’appareil pour déloger en douceur les miettes qui seraient restées collées sur les éléments chauffants. La pique en bois permettra de passer dans les coins pour ôter toute trace de saleté.  

    Laver l’extérieur est aussi nécessaire : c’est ce qui m’a pris le plus de temps. Chiffon et vinaigre blanc ont eu raison des traces de doigts, des endroits tout collants de sucre et des éclaboussures de graisse. J’ai porté une attention toute particulière aux régulateurs de chaleur et aux boutons du côté : là aussi, les saletés peuvent s’accumuler. 

    Il faudrait que je me discipline un peu et que je le nettoie plus régulièrement : l’hygiène, c’est une chose, mais la sécurité en est une autre. Si on peut éviter les risques de pannes et d’incendie, autant le faire.

    Pensez d’ailleurs toujours à le débrancher : cela préserve sa longévité aussi.

    Longue vie à nos toasts du samedi matin ! 

  • Namur : le projet Artemis est achevé, des appartements neufs à vendre !

    Que ce soit pour habiter ou dans le cadre d’un investissement, un bien neuf évite bien des tracas et se présente comme la solution la plus pérenne. Surtout lorsqu’il est idéalement situé, comme c’est ici le cas !

    Le projet Artemis (situé rue Julie Dessy 6 à Jambes) est maintenant achevé. Il comprend 59 appartements comptant d’une à trois chambres et disposant tous de leur propre terrasse ou balcon. Vous avez du mal à visualiser ? Le mieux est encore de visiter votre futur appartement (hors cadre de la loi Breyne) afin de vous imprégner de l’atmosphère unique. En outre, un appartement témoin est conçu pour vous faire découvrir les aménagements modernes possibles. En outre, l’immobilière Hendrix propose plusieurs formules d’acquisition pour une occupation propre ou d’investissement.

    6 raisons de découvrir ses appartements :

    • Visitez votre appartement déjà fini
    • Disponible immédiatement
    • Possibilité d’un leasing immobilier : location – achat.
    • Investir dans un appartement déjà loué
    • TVA 12 % et sans précompte immobilier pour un investissement sous conditions
    • Dates des journées portes ouvertes : 12/10, 26/10, 09/11, 23/11, 07/12, 21/12.

    Vous désirez en savoir plus ? Complétez le formulaire ci-dessous et nous reviendrons vers vous !

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  • Flandre : des droits d’enregistrement en baisse mais pas pour tous !

    Le nouveau gouvernement flamand réduit les droits d’enregistrement sur l’immobilier à 2%. Mais il n’y a pas que des bonnes nouvelles pour tous les acquéreurs !

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    jovanel

    Dès le 1er janvier, les droits d’enregistrement pour l’achat d’une habitation propre et unique en Flandre passeront de 3% à 2%, a annoncé le nouveau gouvernement flamand. Le gouvernement du nord du pays entend ainsi stimuler le marché immobilier résidentiel et peut-être, montrer au gouvernement wallon qui est le patron en la matière ! En revanche, pour les professionnels de l’immobilier, ces droits seront augmentés à 6 %.

    Le gouvernement prévoit également de mettre fin au régime préférentiel de précompte immobilier accordé à ceux qui entreprennent des rénovations énergétiques pour atteindre un certain niveau de PEB.

    La Flandre, qui veut atteindre l’équilibre budgétaire en 2027, entend également baisser les droits de succession (en particulier pour les petites et moyennes successions), ce qui rappelle également ce qu’a fait le gouvernement MR-Les Engagés de son côté.

  • De quelle assurance habitation avez-vous besoin ?

    Que vous soyez locataire, propriétaire occupant, propriétaire bailleur ou encore sur le point d’acheter voire de faire construire une maison, votre habitation mérite d’être protégée par une assurance adéquate.

    C’est une question légitime que se posent de nombreux Belges : de quelle assurance ai-je besoin pour couvrir mon habitation ? Les cas de figure étant nombreux, voici une série d’éléments dont vous devez tenir compte lorsque vous vous mettez en quête d’une police d’assurance pour couvrir votre maison ou votre appartement. Celle-ci vous permettra de vous assurer contre de multiples dommages susceptibles de toucher votre habitation, son contenu mais également des tiers. Vous serez en effet indemnisé en cas d’incendie, de dégâts des eaux, de catastrophe naturelle, de vol ou encore de vandalisme.

    Si vous êtes locataire et que le bien occupé se situe en Flandre ou en Wallonie, vous devez souscrire une assurance couvrant l’incendie. Un acte qui n’est en revanche pas obligatoire à Bruxelles, même si la majorité des baux l’impose. On ne peut néanmoins que recommander aux Bruxellois de souscrire ce type de police, afin d’éviter toute déconvenue en cas de sinistre. Il convient aussi d’assurer votre responsabilité locative de manière plus large et pas seulement l’incendie au sens strict, qui est le minimum légal : il peut aussi être opportun d’assurer le contenu du bien que vous occupez.

    Si vous êtes propriétaire occupant et qu’un crédit hypothécaire est en cours, l’institution qui vous aura octroyé le crédit aura généralement exigé que vous disposiez d’une assurance incendie couvrant les dégâts occasionnés à l’habitation et à son contenu ainsi que votre responsabilité civile à l’égard d’autrui. Le propriétaire non occupant, lui, peut souscrire une assurance spécifique (non obligatoire en Wallonie) qui le protégera en tant que bailleur. Les dommages occasionnés à l’habitation et à son contenu appartenant au propriétaire (le cas échéant) seront alors couverts. En outre, en cas de sinistre, l’assureur du bailleur pourra se retourner contre le locataire responsable. Légalement, cette assurance est imposée pour tout immeuble situé en Flandre, mais pas en Wallonie ni à Bruxelles. Par contre, si le bailleur a un crédit hypothécaire portant sur ce bien, sa banque lui imposera généralement de disposer d’un tel contrat d’assurance.

    Lors de l’achat d’une maison ou d’un appartement, vous devrez de même protéger votre bien grâce à une assurance incendie en tant que propriétaire. L’idéal consiste à faire démarrer celle-ci à la signature de l’acte de vente, surtout si vous obtenez les droits de propriété et les clés du bien à ce moment-là. Si l’achat se fait à l’aide d’un crédit hypothécaire, vous devrez généralement y ajouter une assurance solde d’emprunt (aussi appelée solde restant dû) qui mettra vos proches à l’abri de toute répercussion financière si vous veniez à décéder.

    Enfin, il existe de nombreuses assurances complémentaires, tant pour les propriétaires que les locataires. Que vous entrepreniez des travaux de rénovation, que vous envisagiez une démolition ou la construction d’une nouvelle maison, ici aussi des polices spécifiques existent.

    De nombreuses banques et compagnies d’assurance, à l’image de CBC, vous proposent de calculer et de souscrire votre assurance incendie en ligne. En outre, chez CBC, en tant que locataire, vous bénéficiez jusqu’au 31 octobre de deux mois gratuits sur ce type d’assurance en introduisant le code RENT2024 au début de votre demande.

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  • Avez-vous besoin de l’accord de votre conjoint pour vendre votre propre maison ?

    Vous possédez un bien que vous désirez vendre. Savez-vous que vous pourriez avoir besoin de l’accord de votre conjoint pour la vente ? Que faire si votre conjoint refuse ?

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    En effet, la vente d’un bien immobilier peut nécessiter certaines formalités légales, surtout lorsque le bien en question est lié à votre vie familiale. Il est donc essentiel de connaître vos droits et obligations avant de prendre une décision.

    Si vous et votre conjoint êtes propriétaires d’un bien immobilier, vous devez tous deux être d’accord pour le vendre. Si vous êtes le seul propriétaire, vous n’avez normalement pas besoin de l’accord de votre conjoint… Sauf si le bien que vous souhaitez vendre est la maison familiale ! En vertu de l’article 215 du Code civil belge, le logement familial est protégé et le consentement du conjoint est requis pour toute vente, même si celui-ci n’est pas propriétaire. Si, en revanche, il s’agit d’un bien d’investissement, vous pouvez vous décider seul.

    Si la maison ou l’appartement est une résidence secondaire que vous utilisez occasionnellement avec votre famille (par exemple, un appartement à la mer ou une maison de vacances à l’étranger), le consentement de votre conjoint n’est pas non plus nécessaire, quel que soit votre contrat de mariage.

    Que faire si votre conjoint refuse de donner son consentement ?

    Sans le consentement de votre conjoint, vous ne pouvez pas vendre le bien. Si vous désirez vraiment le vendre, vous pouvez saisir le tribunal qui décidera alors si le refus de votre conjoint est justifié ou non. Le juge examinera les motifs du refus et pourra, le cas échéant, vous autoriser à procéder à la vente. Cette procédure judiciaire peut être longue et coûteuse, il est donc préférable de tenter de trouver un accord amiable avant d’en arriver là.

    Cohabitants

    Si vous et votre partenaire êtes cohabitants de fait, vous n’avez pas besoin de son consentement pour la vente de vos propres biens. Toutefois, si vous êtes cohabitants légaux, vous devrez suivre les mêmes règles que celles qui s’appliquent aux époux. La cohabitation légale confère en effet certains droits et devoirs similaires au mariage, notamment en ce qui concerne la protection du logement familial.

    Attention aux conséquences

    Vendre un bien sans le consentement nécessaire de votre conjoint peut avoir de graves conséquences juridiques. La vente pourrait être annulée et vous pourriez être tenu responsable des dommages et intérêts.

    Jan ROODHOOFT, avocat

  • Flandre : l’obligation de rénovation assouplie et un taxshift pour les pompes à chaleur

    La Flandre revoit à la baisse ses exigences en matière de rénovation des bâtiments résidentiels et introduit un taxshift pour promouvoir la transition énergétique ! On vous explique tout dans le détail…

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    Assouplissement des obligations de rénovation

    Le nouveau gouvernement flamand, composé de la N-VA, Vooruit et CD&V, a décidé d’assouplir les obligations de rénovation des bâtiments résidentiels, d’après l’accord de coalition consulté par Belga. Alors qu’il était initialement prévu de viser un niveau de PEB A pour toutes les maisons dès 2040 et les appartements dès 2045, l’exigence est désormais limitée à un PEB D.

    Pour les bâtiments non-résidentiels, les obligations de rénovation sont maintenues, avec une date butoir fixée à 2050. Malgré cet assouplissement, le nouveau gouvernement insiste sur le fait que la rénovation du parc immobilier flamand reste une « pierre angulaire de sa politique« .

    Taxshift pour les pompes à chaleur

    En parallèle, le gouvernement souhaite favoriser l’achat de pompes à chaleur via un taxshift flamand budgétairement neutre. Ce mécanisme viserait à rendre progressivement l’électricité moins chère tout en augmentant les coûts des combustibles fossiles, afin de stimuler la transition vers des alternatives énergétiques plus écologiques.

  • Du… béton vert pour purifier nos villes !

    Et si la solution au changement climatique était… du béton vert ? Respyre est une équipe de jeunes néerlandais motivés par le changement !

     
     
     
     
     
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    Respyre propose une solution innovante : des façades en béton bio-réceptif combinées à un gel spécial, permettant à la mousse de se développer rapidement et naturellement. Cette technologie devrait parer les villes résilientes face aux changements climatiques en imitant les processus naturels.

     
     
     
     
     
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    Pourquoi la mousse est-elle si efficace ?

    Contrairement à d’autres plantes, la mousse n’a pas de racines, mais des rhizoïdes, de petits filaments qui s’accrochent aux surfaces. Avec un entretien minimal, une fois mature, la mousse peut survivre à des conditions extrêmes et fournir des avantages comme l’isolation naturelle et la rétention d’eau.

    Une solution durable et circulaire

    Le béton utilisé par Respyre est fabriqué à 85 % à partir de matériaux recyclés. De plus, pendant sa durée de vie, ce béton capture du CO₂, ce qui en fait une solution carbone négative en moins d’un an.

     

  • Acheter une maison en Thaïlande : mission impossible pour les Belges ?

    En Thaïlande, les étrangers ne peuvent pas acheter de terrains, mais cela ne veut pas dire qu’il est impossible de s’y installer !

    villa thailand
    Vitaly Sacred

    La législation thaïlandaise est claire : les étrangers ne peuvent pas être propriétaires de terrains. Cela complique (et c’est un doux euphémisme !) l’achat immobilier pour les Belges souhaitant investir dans une maison ou une villa sur une belle parcelle. Cependant, tout n’est pas perdu. Il existe des moyens légaux permettant d’investir.

    Les options légales ?

    La solution la plus simple reste l’achat d’un condominium. En effet, la loi permet à un étranger de posséder un appartement dans un immeuble, tant que les parts étrangères ne dépassent pas 49 %. Cela offre aux Belges une solution flexible et sans tracas. Mais qui n’est forcément pas la vôtre…

    Une autre solution souvent évoquée est la création d’une société à majorité thaïlandaise. Bien que cela puisse permettre à un étranger d’acheter un terrain via la société, cette option reste complexe et risquée.

    Pour ceux qui souhaitent absolument posséder un terrain, une autre option consiste à signer un contrat de bail emphytéotique. Ce type de bail peut s’étendre sur une durée de 30 à 90 ans, offrant ainsi une certaine forme de sécurité à long terme.

    L’importance de l’accompagnement juridique

    Avant tout achat, il est évidemment crucial de faire appel à un avocat spécialisé en droit immobilier thaïlandais pour s’assurer que toutes les démarches sont respectées et que les investissements sont sécurisés !

  • Airbnb interdit à New York : un an plus tard, les loyers… flambent !

    Un an après la limitation drastique d’Airbnb à New York, le marché immobilier ne montre aucun signe d’amélioration.

    Ben O Bro

    Un an après l’entrée en vigueur des nouvelles règles à New York, interdisant les locations de type Airbnb de moins de 30 jours, le marché immobilier continue de souffrir. Le taux de logements vacants n’est que de 1,4%, un niveau historiquement bas, et les loyers continuent de grimper. Les mesures prises à l’encontre des logements de vacances n’auraient-elles eu aucun impact ?

    Loyers en hausse, pénurie de logements

    En effet, et malgré ces restrictions, le loyer médian à Manhattan a franchi la barre des 5.000 dollars, une première dans l’histoire de la ville. Selon Airbnb, la réglementation n’a pas atteint son objectif de résoudre la crise du logement. Au contraire, la situation semble s’aggraver, avec des loyers en augmentation de 2,4% rien qu’en juin dernier.

    Airbnb réagit

    Airbnb souligne que cette législation pénalise à la fois les propriétaires et les locataires. « Un an après son adoption, la réglementation n’a pas tenu sa promesse de lutter contre la crise du logement« , déclare Theo Yedinsky, vice-président d’Airbnb. Va-t-on assister à un rétropédalage ?