Découvrez nos astuces pour maintenir votre jardin en état, qu’il se réveille en pleine forme au printemps !
1. Nettoyage et préparation
Commencez par arracher les végétaux morts et désherber le potager. Ramassez les feuilles mortes pour éviter qu’elles pourrissent sur la pelouse.
2. Élagage
Élaguez les arbres pour supprimer les branches mortes ou malades est une bonne idée, mais attention : faites-le en dehors des périodes de gel !
3. Protéger le potager
Pour protéger votre potager, le mieux est encore d’épandre une couche de compost de 5 à 7 centimètres. Attention toutefois à la nature de votre compost ! Outre le potager, pensez également à pailler les pieds des massifs pour protéger les racines et jeunes plants.
4. Hiverner et protéger les plantes
Penser à mettre vos fleurs à l’abri : pour ce faire, le mieux est encore de les mettre en pot voire d’utiliser un voile d’hivernage pour les plantes en terre ne pouvant être déplacées.
5. Quid de la saison prochaine !
L’hiver, c’est l’occasion de se demander ce que vous allez faire de votre jardin l’année prochaine et de planifier vos actions. On pense à la création d’un massif, d’un potager, voire l’installation d’un système d’arrosage automatique.
En termes de cuisine, il existe différents styles. Voyons ici des astuces pour trois genres en particulier : la cuisine « rustique », la cuisine « pétillante » et la cuisine « épurée ». C’est la petite touche personnalisée qui apportera de l’originalité dans la pièce !
1. Rustique
Le design de la cuisine rustique est très actuel et chaleureux. La cuisine rustique est associée à la vie campagnarde et spécialement à la nourriture préparée par nos grands-mères dans notre enfance. Les éléments floraux et les notes de terre sont obligatoires pour le design de la cuisine rustique. L’atmosphère rustique est obtenue par l’utilisation de matériaux naturels tels que la pierre, le bois, la terre cuite et les paniers. Les couleurs vives telles que le rouge et le jaune sont les accents parfaits pour ce style.
Ellen Tanner
Pour créer une cuisine simple, vous pouvez opter pour un plan de travail fait d’une planche en bois qui accueille votre évier. Ajoutez ensuite quelques rangements avec le même matériau et laissez un emplacement pour le four. Vous pouvez aussi choisir de composer votre cuisine avec de grands meubles anciens qui viendront recouvrir la surface murale. Le petit vaisselier pour exposer assiettes et tasses vintage sera le détail déco qui apportera le petit plus à votre cuisine.
N’hésitez pas à mélanger plusieurs styles en mixant du bois et du métal, par exemple, pour donner un air brocante à votre cuisine. Si vous avez un budget limité, pourquoi ne pas à vous confectionner votre propre table à l’aide de palettes de bois ou avec des tréteaux. Autour d’elle, l’accumulation de plusieurs chaises dépareillées offrira un effet réussi (on mixe couleurs, matériaux…). Chiner est toujours une bonne idée pour faire des trouvailles inattendues !
2. Pétillante
Une cuisine colorée, gourmande et chaleureuse est un plaisir pour ses habitants. Mariage aussi inattendu que réussi, le rose et le noir donnent le ton dans la cuisine. Jaune citron ou rouge cerise : opter pour une bande de peinture contrastante dans la cuisine dynamise toute la cuisine. Et le sol peut aussi être coloré ! Il existe des peintures spéciales pour repeindre son vieux plancher ou son carrelage pour lui donner une seconde vie haute en couleur !
Couleur symbolique de la gourmandise, le rouge est une teinte évocatrice de plaisir. Aussi agréable pour les yeux, cette peinture appelle au régal des papilles dans la cuisine. Si vous aimez vraiment la couleur, vous pouvez la décliner autrement qu’en peinture, par exemple en choisissant un ensemble de placards multicolores que vous trouverez dans toutes les enseignes de meubles.
Africa studio
Une autre touche d’originalité peut être apportée à votre cuisine avec un papier peint audacieux : graphique, trompe l’œil, effet matière… le papier peint joue sur tous les tableaux pour créer une ambiance dans la cuisine. Pensez aussi à personnaliser la pièce à l’aide de stickers décoratifs : c’est un moyen abordable de décorer vos meubles de cuisine. Si vous disposez d’un îlot central assez grand, vous pouvez transformer son cœur en un mini parterre de plantes aromatiques.
3. Epurée
Autre tendance : la cuisine sobre et épurée, faisant la part belle aux grandes surfaces. Elle favorise l’implantation d’un îlot central et l’architecture ouverte sur le salon, à l’instar des cuisines américaines.
Naomi Hebert
Pour bien respecter les lignes discrètes de la cuisine épurée, priorité est donnée aux agencements coulissants de grande profondeur et aux meubles sans poignée apparente. Les larges tiroirs sont également bienvenus. Ils permettent de ranger les accessoires et la vaisselle et d’y accéder facilement. La cuisine épurée se voulant claire, nette et lumineuse, il peut être opportun de privilégier les meubles et les accessoires en verre. Si l’aménagement d’une cuisine en verre se révèle trop coûteux, la solution de procéder par petites touches à l’aide de bonbonnières et de bocaux placés en vue sur certaines étagères produit un bel effet.
Côté couleur, le blanc est la première teinte à laquelle on pense. Intemporel et classique, le blanc cassé se plaît à merveille dans la cuisine ! Avec son côté un brin rustique, cette peinture dessine une cuisine au naturel, familiale et chaleureuse. Elle se décline avec différents tons de blanc pour préserver toute la luminosité de la cuisine.
À la veille de mettre l’un de vos biens en location, vous vous rendez compte que celui-ci est squatté. Quelles mesures pouvez-vous prendre ? Voici ce que dit la loi.
Jusqu’à l’automne 2017, le squat d’un bien inoccupé n’était pas considéré comme une infraction pénale. Cette situation était problématique car les propriétaires ou les locataires d’un bien inoccupé ne disposaient d’aucun recours juridique rapide et efficace pour faire libérer les lieux. Dans plusieurs villes, le nombre de propriétés squattées a atteint des proportions importantes. Les organisations criminelles se sont empressées de profiter de cette lacune dans la loi pour occuper des propriétés inoccupées, au grand désespoir des propriétaires.
Heureusement, la législation a fini par évoluer. En effet, la loi prévoit désormais que le procureur du Roi peut décerner un arrêté d’expulsion sur la base d’une plainte pénale ordinaire, mais qu’il appartient ensuite au juge d’instruction de se prononcer sur la proportionnalité et la légalité de cet arrêté, et ce, dans un délai de 72 heures. Ce pouvoir accordé au juge d’instruction est indépendant de toute enquête judiciaire. Le dépôt d’une plainte est donc nécessaire.
Notez enfin que ces règles d’expulsion ne s’appliquent pas qu’aux squatteurs. Celles-ci sont également valables pour les occupants sans titre ni droit.
Comment procéder ?
Concrètement, le propriétaire de la maison occupée par des squatteurs demande au Procureur du roi l’évacuation des personnes et objets des lieux concernés. Pour ce faire, le Procureur du roi doit faire une demande motivée au Juge d’instruction. Ce dernier doit motiver sa décision et respecter un délai de 72 heures. Si le juge d’instruction autorise l’ordonnance d’évacuation, toute personne lésée peut introduire un recours devant le juge de paix dans un délai de 8 jours à partir de la connaissance de l’ordonnance d’évacuation. Celle-ci doit être affichée sur les lieux à évacuer et remise en main propre aux personnes concernées par l’expulsion. Si l’ordonnance d’évacuation n’est pas portée à la connaissance des personnes concernées, le délai de recours ne commence pas à courir.
Notez enfin que les règles pour expulser une personne dans le cadre d’un contrat de bail sont différentes.
Dans le cas d’un immeuble fraichement construit, il n’y a pas que les appartements individuels qui doivent être remis : les parties communes de l’immeuble doivent l’être aussi ! Qui peut y assister ?
La réception des parties communes d’un immeuble tombe généralement sous la responsabilité de l’association des copropriétaires. Dans la pratique, avant cette remise, une assemblée générale est souvent organisée au cours de laquelle le syndic et un certain nombre de copropriétaires sont invités à cette réception provisoire.
Si, en tant que propriétaire, vous souhaitez être présent lors de cette remise, manifestez-vous en amont, lors de l’assemblée générale ! En effet, et plus particulièrement dans le cas des grands immeubles, il n’est pas prévu que tous les copropriétaires de l’immeuble soient présents lors de la réception, que cette dernière soit provisoire ou définitive.
Vous avez des commentaires
Même si vous ne pouvez pas être présent lors de la remise des clés, il est préférable d’examiner attentivement les parties communes. Si vous avez des remarques, vous pouvez les communiquer au syndic ou à un copropriétaire délégué avant l’achèvement.
Expert
Il est également recommandé que l’assemblée générale désigne un expert pour assister à la réception. Il peut s’agir, par exemple, d’un expert en construction ou d’un architecte. Ce genre de spécialiste peut voir les défauts mieux que quiconque ! Notez que cette intervention entraîne certains frais, que l’assemblée des copropriétaires devra donc payer…
Oubliez les produits chimiques nocifs pour l’environnement ou, plus simplement, l’arrachage à la main. Aujourd’hui, il existe des désherbeurs thermiques à l’efficacité redoutable.
De nombreux avantages
Qu’il soit électrique ou au gaz, le désherbeur thermique constitue une solution écologique. En effet, au contraire des herbicides chimiques, celui-ci n’est nocif ni pour l’environnement, ni pour la santé. Vous ferez également de belles économies puisqu’il ne sera plus nécessaire d’acheter des produits souvent coûteux. Ces appareils sont aussi très efficaces puisqu’ils éliminent les mauvaises herbes rapidement, en les brûlant jusqu’à la racine. Enfin, ils sont particulièrement faciles à utiliser.
Électrique ou au gaz ?
Deux types de désherbeurs thermiques coexistent sur le marché. Ceux au gaz et ceux qui fonctionnent à l’électricité. Les premiers sont alimentés par une cartouche ou une bouteille de gaz (propane ou butane). Ils sont généralement plus puissants que les modèles électriques et permettent d’éliminer rapidement et efficacement les mauvaises herbes, en ce compris les plus coriaces. En revanche, ils nécessitent un approvisionnement en gaz et sont donc un peu moins écologiques que les modèles électriques.
Comme leur nom l’indique, ces derniers utilisent donc de l’électricité pour générer de la chaleur et ensuite brûler le chiendent. Nous l’évoquions ci-dessus, ils sont généralement moins puissants que les modèles à gaz mais, par contre, ils sont silencieux et plus respectueux de l’environnement.
Lequel choisir ?
Avant de jeter votre dévolu sur l’un ou l’autre modèle, plusieurs critères doivent être pris en compte, à commencer par le type de surface à traiter. Si vous disposez d’une grande surface à traiter, optez plutôt pour un modèle puissant, et donc pour un appareil fonctionnant au gaz. Ce sera également le type d’appareil qui s’impose si vous travaillez loin de toute source d’énergie. Pour une terrasse ou une surface en dur proche de la maison (à l’exception des revêtements en bois bien entendu), choisissez plutôt un désherbeur thermique électrique.
Dans un cas comme dans l’autre, déplacez lentement la flamme ou le point de chaleur au-dessus des mauvaises herbes, en restant à une distance d’environ 5 cm. Veillez à ne pas trop vous attarder sur une zone afin de ne pas endommager la surface voire brûler des plantes qui ne doivent pas l’être. Laissez ensuite les mauvaises herbes se dessécher puis sarclez-les à la main ou à l’aide d’une binette.
Que se passe-t-il si la maison subit des dommages causés par une mauvaise préparation ?
Baranq
Lorsque l’hiver arrive, il est important de préparer votre maison (de location) pour l’hiver. On pense, par exemple, aux robinets extérieurs, aux feuilles mortes dans les gouttières et à l’entretien de la chaudière. Mais qui doit s’en occuper dans une maison de location ?
La tâche du locataire
La préparation hivernale de la maison est la tâche et la responsabilité du locataire. Il ne peut pas demander au propriétaire de prendre ces mesures, elles lui incombent.
Et s’il ne le fait pas ?
En cas de négligence de la part du locataire, entraînant des dommages tels qu’un robinet extérieur gelé, par exemple, c’est lui qui devra supporter les coûts de réparation. Une vigilance particulière est donc de mise quand arrive la période froide pour éviter des dépenses imprévues.
Si des réparations sont nécessaires….
Si, à la suite des mesures prises pour préparer la maison pour l’hiver, il apparaît que certaines réparations doivent être effectuées, il est possible que le propriétaire doive les payer. Le locataire doit alors informer le propriétaire de la nécessité de ces réparations. Typiquement le cas de figure où, après que le locataire ait fait réaliser l’entretien préventif la chaudière, il apparait que celle-ci a besoin de réparations. Les frais de la réparation seront alors à charge du propriétaire.
Communication essentielle
Il est crucial que le locataire communique efficacement avec le propriétaire en cas de problèmes ou de réparations nécessaires. Une collaboration transparente garantit que la maison reste en bon état tout au long de l’hiver.
Prévention des problèmes hivernaux
Pour éviter les désagréments liés à l’hiver, le locataire doit effectuer des tâches simples mais importantes, telles que le nettoyage des gouttières obstruées par les feuilles mortes. Cela contribue à prévenir d’éventuels dégâts des eaux, préservant ainsi l’intégrité de la maison.
Si cela s’applique, le locataire peut aussi prévenir les problèmes de gel en protégeant ses canalisations exposées. En utilisant des isolants pour envelopper les tuyaux, il réduit ainsi le risque de gel et de ruptures coûteuses.
Pour résumer, des mesures diverses sont à prendre à l’arrive de l’hiver en tant que locataire pour s’assurer une période sans soucis majeur. Ils dépendent du type de logement que vous habitez, et de ses caractéristiques. Le propriétaire entre généralement en jeu lorsque de plus gros travaux sont nécessaires. Communiquer efficacement sera la clé.
Les chaudières au mazout étant appelées à disparaître dans les quinze années à venir en Belgique, vous êtes nombreux à vous demander s’il n’est pas temps de passer à une autre source de chauffage… Celui-ci devra être économique, confortable et forcément, écologique pour répondre à d’éventuelles futures normes. La solution ? La biomasse. Mais de quoi s’agit-il ?
Hacast
Les avantages de la chaudière biomasse
Le combustible
Une chaudière biomasse utilise des combustibles d’origine organique. En Belgique, il s’agit généralement de bois ou de pellets, soit des combustibles renouvelables.
La combustion
La combustion entraine forcément des gaz à effet de serre, mais nettement moins que dans le cas d’une chaudière classique au mazout. Ce type de chaudière peut parfaitement remplacer votre chaudière actuelle et effectuer le même travail. Avantages conséquents : une combustion plus propre et une
Point de vue budgétaire
économie à l’usage, le bois et les pellets faisant partie des combustibles les moins chers du marché. De plus, sachez que les trois régions offrent des primes substantielles à l’installation de ces chaudières.
Les inconvénients de la chaudière biomasse
Le coût
Tout d’abord, une chaudière biomasse impose quelques contraintes : tout d’abord elle est chère à l’achat, comptez de 5.000 à 20.000 € pour vous en procurer une.
L’apport en combustibles
La chaudière biomasse demande également à l’utilisateur un apport régulier en combustibles. A ce sujet, deux modèles sont disponibles : avec une alimentation manuelle c’est alors au propriétaire de faire l’appoint. Le deuxième modèle existant est automatique. Il offre une autonomie de quelques semaines, mais l’ajout d’un silo est nécessaire pour son fonctionnement.
Autres détails
Notez également que la mise en température est plus lente avec une chaudière biomasse qu’avec une chaudière classique, et qu’un réservoir tampon (pour éviter les allumages et arrêts intempestifs) est chaudement recommandé. Il vous faudra aussi installer une cheminée adaptée. Enfin, il vous faudra prévoir un espace de stockage pour les combustibles.
La Région wallonne prévoit déjà d’interdire les chaudières à mazout en cas de remplacement d’ici 2026, et Bruxelles d’ici 2025 qu’elles soient neuves ou non. N’hésitez donc pas à franchir le pas à votre rythme et à remplacer la vôtre par une autre alternative si c’est le bon moment. Malgré son coût à l’achat, la chaudière biomasse reste extrêmement intéressante d’un point de vue économique et écologique.
Si, en tant que propriétaire, vous ne pouvez pas ou ne voulez pas assister à l’assemblée générale des copropriétaires d’un immeuble, vous pouvez donner une procuration. À qui pouvez-vous donner cette procuration et comment faire ?
Fauxels
A qui pouvez-vous donner procuration ?
Vous pouvez donner une procuration à presque tout le monde. Il peut s’agir, par exemple, d’un autre propriétaire de l’immeuble, de votre locataire, de votre mari, d’un membre de votre famille ou d’un ami, etc. La seule personne à qui vous ne pouvez pas donner de procuration est le syndic de l’immeuble.
Toutefois, vérifiez les règles de copropriété pour voir s’il est nécessaire d’informer le syndic à l’avance.
Comment pouvez-vous donner procuration ?
La procuration doit être sur papier. Le syndic devrait pouvoir vous procurer un exemple-type d’une telle procuration.
Il est également possible de donner des instructions claires à votre mandataire sur la façon de voter sur les différents points qui seront à l’ordre du jour. Dans ce cas, mettez ces instructions sur papier et demandez à la personne recevant cette procuration de signer pour approbation.
Combien de procurations par personne ?
Afin d’empêcher une personne ayant trop de procurations de voter, la loi fixe certaines limites, à savoir un maximum de trois procurations. Davantage de procurations ne sont possibles que si elles représentent ensemble un maximum de 10 % des voix. En outre, le nombre total des procurations ne peut en aucun cas excéder la moitié du nombre total des voix détenues par les autres copropriétaires présents ou représentés.
Avoir sa propre maison est et reste le rêve de nombreux Belges. Mais comment démarrer un projet d’une telle ampleur et comment en garder le contrôle ?
Quiconque a déjà suivi de près le processus de construction d’une maison sait que la tâche est lourde, surtout si l’on décide de se retrousser les manches soi-même. Tout commence par une bonne préparation. Il faut bien sûr chercher un terrain à bâtir, mais avant même de l’acheter, il faut consulter un architecte. En effet, pour avoir l’autorisation de construire, vous avez besoin d’un permis de bâtir, pour lequel vous êtes légalement obligé de faire appel à un architecte. Ce permis est également soumis à des règles d’urbanisme, de sorte que l’emplacement de votre terrain à bâtir déterminera ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Plus tôt vous ferez appel à un architecte, plus le résultat final sera adapté à vos souhaits. En outre, renseignez-vous auprès de votre banque sur les possibilités de financement afin de connaître le budget maximum que vous pouvez avoir (mais surveillez vos réserves) et la manière dont la somme sera versée.
Quel est votre degré d’engagement ?
Une fois que vous avez acheté un terrain à bâtir, que votre architecte a dessiné les plans et que vous avez obtenu le permis, le véritable travail peut commencer, à savoir la construction proprement dite. Le degré d’implication dépend de la confiance que vous avez en vos capacités, du temps dont vous disposez et de votre budget. Vous pouvez opter pour une approche consistant à faire beaucoup de choses vous-même, mais gardez à l’esprit que cela pourrait vous coûter beaucoup de sang, de sueur et de larmes !
Opter pour un entrepreneur qui s’occupe de tout est une option plus réaliste pour de nombreuses personnes et ce, même si vous faites appel à des connaissances pour les différentes phases du processus de construction. Avant de vous lancer dans un projet de construction, discutez avec des amis et des connaissances qui sont déjà passés par là, consultez votre architecte, étudiez vos options avec des professionnels du bâtiment et des entreprises de construction, et n’hésitez pas à visiter des salons pour vous inspirer et nouer des contacts. En d’autres termes, sachez dans quoi vous vous engagez et à quoi vous attendre !
Clé sur la porte : le choix du confort
Vous souhaitez une maison qui réponde à vos besoins, mais vous n’êtes pas favorable à une approche où vous seriez étroitement impliqué dans le processus de construction ? Dans ce cas, la formule « clé sur porte » peut vous convenir. On peut comparer leur approche à celle d’une entreprise de construction, mais le service va beaucoup plus loin. Par exemple, vous n’avez pas forcément besoin de trouver un architecte, car l’entreprise à laquelle vous vous adressez dispose déjà des plans de base des différentes maisons qu’elle construit et peut se charger de la demande de permis de construire avec ses partenaires. Certaines proposent même des terrains à bâtir sur des lotissements ou des parcelles individuelles, ou recherchent avec vous l’endroit idéal pour construire votre maison.
En outre, les entreprises clés en main disposent de tout le nécessaire pour vous donner une idée de ce à quoi votre maison va ressembler et pour vous aider à la personnaliser comme vous le souhaitez. Une fois que vous aurez fait vos choix, vous aurez également une idée assez précise du coût final de votre maison (attention néanmoins aux frais annexes !) et de la date approximative à laquelle elle sera prête. Il ne vous reste plus qu’à attendre que votre maison soit terminée !
La garantie
Le mode de construction a également une incidence sur la garantie contre les défauts de construction. Si vous faites tout vous-même, vous en assumez la responsabilité. En revanche, les architectes, les entreprises de construction, les entrepreneurs et autres professionnels sont tenus de vous offrir une garantie de 10 ans contre les défauts graves et, dans de nombreux cas, ils sont également assurés à titre obligatoire. Moins vous aurez de partenaires différents au cours du processus de construction, moins vous aurez de points de contact en cas de problème. Là encore, une entreprise de construction « clé sur porte » est la solution la plus simple.
Le frigo est l’un des plus grands consommateurs d’énergie d’une maison. Un modèle ancien engloutit chaque année environ 500 kWh ! Si les frigos plus récents et les mieux notés divisent cette consommation par trois, il est toutefois possible d’encore économiser quelques euros en adoptant ces gestes simples.
Kevin Malik
1. Ne mettez pas le frigo près de votre four !
Cela peut paraître une évidence, mais curieusement, cet aspect est souvent négligé lors de l’aménagement d’une nouvelle cuisine. Un frigo s’installe idéalement dans une pièce froide, loin de toute source de chaleur, comme un four, un radiateur, ou même une baie vitrée laissant entrer le soleil. Idéalement, mais ce n’est certes pas la solution de facilité, on l’installera dans une cave ou dans un garage.
2. Ne collez jamais votre frigo au mur
Cela n’est pas toujours un réflexe car on n’y pense pas forcément, mais ne collez pas votre frigo au mur. Les réfrigérateurs génèrent de la chaleur lors de leur fonctionnement normal, et cette chaleur doit être évacuée efficacement pour maintenir une température interne optimale. Si le frigo est collé au mur, l’air chaud émis par l’appareil a du mal à circuler, ce qui peut entraîner une surchauffe. Une surchauffe du réfrigérateur peut non seulement compromettre son efficacité énergétique, mais elle peut également entraîner une usure prématurée des composants internes. En permettant à l’air chaud de s’échapper librement, vous garantissez un fonctionnement plus efficace de l’appareil et prolongez sa durée de vie
3. Remplissez-le intelligemment
Un frigo vide ou complètement rempli consomme toujours plus. L’idéal est de le remplir à 70-80 % environ. Sachez aussi que la zone la plus froide du frigo est celle située sur le niveau inférieur, juste au-dessus des bacs. Évitez également de laisser les aliments dans leur emballage, ce qui peut également être une première étape vers le zéro déchet. La partie supérieure du réfrigérateur est souvent légèrement moins froide que la zone inférieure. C’est l’endroit idéal pour stocker des articles tels que les restes, les produits laitiers et les aliments prêts à manger. Veillez à ne pas surcharger cette zone pour permettre à l’air froid de circuler librement
4. Contrôlez la température du frigo
La température du frigo est de 4 degrés. Pour le congélateur, elle est de – 18 degrés. Placez un thermomètre dans votre frigo et vérifiez que votre frigo ne refroidit pas trop ! Si tel est le cas, sa consommation s’envole inutilement ! Certains frigos affichent leur température, soyez alors vigilant à ce qu’elle indique.
5. Dégivrez-le régulièrement
Les frigos les plus récents sont parfois dotés de la fonction « no-frost » qui évite le givre à l’intérieur. Si tel n’est pas le cas de votre frigo, dégivrez-le au moins une fois par an. Une épaisseur de 3 mm de givre entraîne une surconsommation de 30 % ! Et profitez-en pour enlever la poussière qui traîne à l’arrière et qui engendre elle aussi une surconsommation !
6. Laissez la porte fermée !
Cela va évidemment de soi, mais refermez la porte dès que possible ! Certains modèles de frigo plus récents vous avertissent d’ailleurs en cas de porte laissée trop longtemps ouverte!
7. Vérifiez l’étanchéité de la porte
Une porte mal étanche peut entraîner des fuites de froid, augmentant ainsi la consommation énergétique de votre frigo. Vérifiez régulièrement l’étanchéité de la porte en inspectant les joints et en vous assurant qu’ils sont en bon état. Si vous remarquez des signes d’usure ou des fissures, envisagez de les remplacer pour maintenir une isolation optimale.
En suivant ces astuces simples, vous pouvez réduire considérablement la consommation d’énergie de votre frigo, économiser de l’argent sur vos factures d’électricité, et adopter un mode de vie plus éco-responsable. N’oubliez pas que chaque geste compte pour préserver notre planète