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  • Crédits immobiliers: acheter coûte moins cher… pour l’instant !

    2024 commence bien ! En effet, pour les candidats acquéreurs, la baisse surprenante des taux des crédits immobiliers pourrait être synonyme de bonnes affaires… Cette baisse va-t-elle durer ?

    bank

    En fin 2023, les taux des crédits hypothécaires ont connu une diminution notable. Cette réduction soudaine, inattendue, offre une lueur d’espoir aux futurs acheteurs de biens immobiliers. Selon le baromètre Immotheker-Finotheker, un crédit de 250.000 euros sur 20 ans a vu son taux moyen passer de 3,7-3,8% en octobre à environ 3,43% début janvier. Ce n’est pas le Pérou, certes, mais cette baisse représente une économie significative sur la durée totale du prêt !

    Une tendance éphémère ?

    Malheureusement, cette tendance baissière pourrait ne pas durer. Philippe Ledent, économiste chez ING, explique dans les colonnes du journal Le Soir que cette baisse résulte d’un « excès d’optimisme » lié à la diminution plus rapide que prévu de l’inflation et aux anticipations de baisses de taux directeurs par les banques centrales. Cependant, cette détente des taux pourrait être exagérée et ne pas se poursuivre tout au long de 2024.

    Une nouvelle baisse pour la fin de l’année ?

    Il reste un espoir de nouvelle, mais légère baisse des taux en seconde moitié de l’année si la Banque centrale européenne (BCE) procède à une baisse de ses taux directeurs. Cela dit, il est peu probable que les taux reviennent à leur niveau d’avant 2022, qui était en dessous de 2% !

    Impact sur le marché immobilier

    En dépit d’une demande en baisse pour les prêts en 2023, les prix des biens immobiliers en Belgique se sont maintenus, contrairement à une baisse notable dans les pays voisins. Philippe Ledent anticipe un regain d’activité sur le marché immobilier en 2024, les taux ayant atteint leur pic.

    Bonnes nouvelles pour les frais de dossiers

    Enfin, une dernière bonne nouvelle : les banques ne peuvent désormais plus facturer plus de 350 euros pour les frais de dossiers à l’ouverture d’un prêt, contre 500 euros auparavant !

  • Mystère de la chambre d’Ambre : une merveille volée par les Nazis ?

    Emblématique, d’un faste incroyable et forte d’une histoire inédite, la Chambre d’Ambre était une pièce qui devait son nom au matériau qui recouvrait ses murs…

    La Chambre d’Ambre, commandée par Frédéric Ier de Prusse, fut achevée en 1701. Initialement située au Palais de Charlottenburg à Berlin, elle était un symbole de luxe et d’artisanat raffiné.

    Cadeau au Tsar

    Offerte au tsar Pierre le Grand en 1716, la Chambre fut transférée au Palais Catherine à Tsarskoïe Selo, Russie. Elle devint une pièce emblématique, reflétant la grandeur de l’empire russe.

    Disparue

    Durant la Seconde Guerre Mondiale, en 1941, l’armée allemande s’empara de la Chambre d’Ambre. Démontée et transportée, sa dernière localisation connue était Königsberg (aujourd’hui Kaliningrad).

    Le mystère persiste

    Depuis, la Chambre d’Ambre, évaluée à plus de 400 millions d’euros, est devenue un des plus grands mystères de l’ère moderne. Malgré de nombreuses recherches, son emplacement demeure inconnu, faisant d’elle une légende insaisissable de l’histoire mondiale. Victime d’un dynamitage ? Perdue en mer, comme on le croyait il y a quelques années ? Toujours intacte et préservée dans un lieu bien gardé ? Personne ne le sait vraiment…

    Tout n’est cependant pas perdu, car une reconstitution de cette chambre existe à Saint-Pétersbourg.

  • Les Belges sont de plus en plus riches grâce à l’immobilier !

    La Banque Nationale révèle une hausse spectaculaire de la valeur du patrimoine immobilier belge en 2022. On vous donne les chiffres !

    key house
    Tierra Mallorca

    Le patrimoine immobilier détenu par les particuliers en Belgique a connu une augmentation impressionnante en 2022. Selon les chiffres de la Banque Nationale, la valeur totale s’élève à 1.876 milliards d’euros, marquant une croissance de 7,7% en un an.

    Valorisation des terrains

    La valeur des terrains possédés par les particuliers est estimée à 1.157 milliards d’euros en 2022, avec une part dominante (77,5%) représentée par les terrains accueillant des bâtiments résidentiels. Cette catégorie a connu une hausse de 6,9% par rapport à 2021, principalement due à l’augmentation de 6,5% de la valeur des terrains résidentiels.

    Croissance du stock immobilier bâti

    Le stock immobilier des particuliers sous forme de bâtiments, est évalué à 719 milliards d’euros, avec une prédominance des bâtiments résidentiels (698 milliards d’euros). Là encore, la hausse par rapport à l’année passée est pour le moins spectaculaire : 9,0% !

    Rareté des terrains

    La Banque Nationale souligne la raréfaction des terrains à bâtir comme un facteur clé de cette hausse, avec une augmentation de 16,0% de leur valeur en 2022. Et il y a fort à parier qu’à l’avenir, la raréfaction des terrains ne fasse qu’accroître leur valeur !

    Et si on compare avec le patrimoine financier ?

    Bon à savoir : le patrimoine financier net des particuliers, qui s’élève à 1.142 milliards d’euros, a connu une baisse de 7,8% par rapport à 2021. Voilà qui prouve la robustesse et l’attractivité croissantes du secteur immobilier en Belgique…

  • Bardage en façade : choix, entretien et tendances durables

    Le bardage pour lhabitat est en croissance constante, avec une nette préférence pour les bois peu transformés et non-traités.

    Bardage en bois pour la façade
    Boris V

    Le bois, dans toutes ses nuances, retrouve sa place de choix dans la construction, s’affirmant progressivement comme le matériau de référence. Outre sa durabilité exceptionnelle, le bois séduit par ses qualités esthétiques. Opter pour des essences naturellement résistantes garantit non seulement la pérennité de l’esthétique de votre façade mais aussi une approche respectueuse de l’environnement, sans recourir à des traitements chimiques néfastes.

    Choix des essences : quels bois privilégier ?

    Le douglas

    L’entrée de gamme d’un bardage se constitue généralement de douglas, dont la durabilité est estimée entre 50 et 100 ans ! Néanmoins, le douglas est noueux, ce qui peut être préjudiciable à sa longévité. Il est donc moins intéressant en bardage qu’en structure. En outre, d’une couleur rosée après la pose, son vieillissement est moins uniforme que les autres résineux. Enfin, il se fend facilement quand il alterne les phases de séchage et d’humidification, ce qui nuit à l’étanchéité de l’ensemble.

    Le mélèze

    Le bon compromis se trouve du côté du mélèze, dont les qualités en font un bois esthétique et à toute épreuve. Son vieillissement est uniforme et son grisement argenté dénué de tout piquage. Seul défaut : des poches de résine risquent de couler sur la façade. Pour l’éviter, un tri est nécessaire à la pose, afin d’éliminer les lames les plus proches du cœur.

    Le cèdre rouge 

    Enfin, autre essence résineuse prisée par les constructeurs : le cèdre rouge, qui apparaît comme un choix haut de gamme. Son vieillissement très uniforme, sa stabilité et l’absence de nœud garantissent une étanchéité parfaite à votre bardage. Par contre, à l’inverse du mélèze et du douglas, produits en Europe, le cèdre rouge est issu des forêts d’Amérique du Nord, en particulier de Colombie Britannique, ce qui nécessite un transport maritime pour approvisionner le marché européen. Ce bois a donc bilan carbone plus élevé.

    Entretien du bardage en bois : conseils précieux

    Quelle que soit l’essence choisie pour habiller ses murs extérieurs, inutile d’espérer une couleur stable dans le temps. Le grisement du bois, dû à l’action de moisissures, est malheureusement inévitable. Si les produits de traitement de type saturateur en phase aqueuse peuvent se révéler efficaces, à condition d’être utilisés régulièrement, leur coût important et la difficulté d’application sur des hautes façades compliquent leur usage.

    Des traitements sont aussi à proscrire, à l’image des huiles végétales, comme l’huile de lin qui, utilisée seule, a tendance à pourrir à l’extérieur. Cela résulte en l’apparition de points noirs dont le rendu est peu esthétique. Certaines préparations de peinture, en particulier les produits à base de farine, d’oxyde de fer et de pigments, peuvent être envisagées pour donner des couleurs chaudes à son bardage.

    Attention néanmoins à appliquer ces peintures sur des façades basses, afin de pouvoir redonner facilement un coup de pinceau sur le bois pour conserver l’aspect désiré.

    Bardage brûlé 

    Enfin, le bardage brûlé est également une solution pour protéger le bois de manière durable et 100 % naturelle. Cette méthode implique de brûler la surface du bois, suivie d’un brossage pour éliminer les résidus carbonisés. Cette technique crée une barrière naturelle qui le rend plus résistant aux insectes, notamment aux termites, et aux champignons responsables de la pourriture du bois. Le processus de brûlage rend le bois moins sensible aux dommages causés par l’humidité, la pluie et d’autres conditions météorologiques. Cela prolonge la durée de vie du bardage.

    En conclusion, le choix du bardage en bois va au-delà de l’esthétique, intégrant des considérations de durabilité et d’entretien. Opter pour des essences adaptées à votre climat local et adopter les bonnes pratiques d’entretien vous assurera une façade élégante et résistante au fil des ans.

  • Votre ex reprend le logement ? Notre avocat vous conseille !

    Lors d’un divorce ou d’une séparation, il arrive que l’un des ex reprenne le logement.  Dans ce cas, il est important de procéder à une désolidarisation des prêts !

    divorce

    Si le logement commun est vendu à une tierce personne, le prêt restant sera libéré lors de la vente du bien. Le solde du produit de la vente (après remboursement du prêt) devra alors être partagé entre les ex-conjoints. Si le produit de la vente n’est pas suffisant pour apurer le prêt, les deux ex-conjoints ou ex-partenaires sont souvent solidairement responsables de la poursuite du paiement du solde du prêt.

    Un partenaire prend le relais

    Si l’un des ex reprend le bien, une première solution consiste à contracter un nouveau prêt qui remboursera le prêt existant. Autre possibilité : le conjoint qui garde le bien reprend le prêt existant auprès de la banque.

    Questions relatives à la désolidarisation

    Dans ce dernier cas, si le repreneur ne paie pas correctement le prêt, la banque peut toujours se tourner vers l’ex-conjoint qui a co-contracté le prêt. Veillez donc à ce que la banque confirme que la personne qui transfère le bien n’est plus liée par le prêt. Cette désolidarisation est d’autant plus importante pour l’ex qui ne garde par le bien : sans celle-ci, il lui sera difficile de contracter un autre prêt. 

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Merveille architecturale disparue : le Temple d’Artémis à Éphèse, une splendeur oubliée !

    Le Temple d’Artémis est l’une des Sept Merveilles du monde antique, un symbole de dévotion et de majesté architecturale.

    artemis temple

    Un sanctuaire divin (560 av. J.-C.)

    Érigé en l’honneur de la déesse Artémis, le Temple d’Artémis à Éphèse, actuelle Turquie, était un chef-d’œuvre de l’antiquité. Commencé vers 560 av. J.-C., le temple mesurait 137 mètres de longueur, 69 de largeur, et était soutenu par 127 majestueuses colonnes.

    Une architecture éblouissante

    La construction, dirigée par l’architecte Chersiphron, intégrait une riche décoration en marbre, des sculptures et des reliefs sophistiqués. Le temple était non seulement un lieu de culte mais aussi un symbole de richesse et de puissance de la ville d’Éphèse.

    artemis temple

    Destruction et reconstruction

    Le temple subit plusieurs destructions au cours de son histoire, notamment en 356 av. J.-C., la nuit même de la naissance d’Alexandre le Grand. Reconstruit plusieurs fois, il conservait toujours son allure imposante et son caractère sacré.

    La fin d’une ère (262 ap. J.-C.)

    La dernière destruction du temple survint en 262 ap. J.-C., lors d’un raid par les Goths. Après cela, il ne fut jamais reconstruit. Ses ruines furent redécouvertes au XIXe siècle, évoquant l’ombre d’un passé glorieux.

    artemis temple
  • Insolite : Le « wabi-sabi », cette recette magique pour un intérieur au top !

    Avez-vous déjà entendu parler du wabi-sabi ? Non, nous ne sommes pas fous, ce terme existe vraiment ! Il s’agit d’une philosophie japonaise qui embrasse l’imperfection. Ce qui ne veut pas dire que vous devez faire n’importe quoi pour vous sentir mieux chez vous…

    Le wabi-sabi, c’est quoi ?

    Rien n’est éternel, rien n’est parfait : voilà dans les grandes lignes ce que raconte cette philosophie. Le Wabi-sabi rend la vie plus légère et vous permet de voir la beauté d’une porte vétuste ou d’une projection de peinture sur le sol. Les choses changent avec le temps, les objets prennent vie et deviennent plus beaux. L’ensemble gagne en caractère…

    Concrètement ?

    Pensez aux planchers et aux murs vieillis, voire aux meubles qui commencent à montrer des signes d’usure, mais qui gagnent ainsi en charme. Plutôt que d’opter pour du neuf, préférez le mobilier de seconde main : cela est bon pour l’environnement, mais aussi pour votre intérieur qui gagnera en caractère. Evitez également tout le superflu et les gadgets inutiles.

    Matériaux naturels

    Un autre aspect du wabi-sabi est l’amour de la nature. Les matériaux naturels sont donc largement préférés. Les tons sable et brun, avec éventuellement des accents noirs, sont de très bons choix.

    Pas de symétrie

    Avec le wabi-sabi, oubliez toute idée de symétrie. Optez pour des formes organiques, embrassez les fissures et permettez l’imperfection. Avec des matériaux comme le bois, le cuivre, le laiton et le béton, vous serez dans le bon. Ceux-ci s’embellissent au fil des ans et deviennent plus charismatiques.

  • La Belgique manque cruellement de logements !

    La fédération de la construction Embuild sonne l’alerte : la Belgique a besoin de 225.000 logements supplémentaires d’ici 2030 pour répondre à ses enjeux démographiques et environnementaux.

    Selon Embuild, la Fédération de la construction, la Belgique se trouve face à un impératif de taille : la création de près de 225.000 logements supplémentaires d’ici 2030. La croissance démographique couplée à la hausse du nombre de familles mono-parentales expliquerait ce chiffre faramineux…

    Embuild a donc formulé des recommandations ciblées pour chaque région. En Wallonie, l’accent est mis sur l’augmentation des investissements publics et une révision de la fiscalité immobilière. La proposition inclut des incitations pour l’acquisition de logements écoénergétiques.

    Une pénurie de 15.000 travailleurs !

    Par ailleurs, la fédération souligne l’importance de combler la pénurie de main-d’œuvre dans le secteur de la construction, évaluée à environ 15.000 travailleurs.

    Pour Bruxelles, Embuild pointe vers un objectif ambitieux : 50 rénovations par jour jusqu’en 2050 pour atteindre les objectifs climatiques. La fédération appelle enfin à une réduction des coûts administratifs dans le neuf, actuellement un frein majeur pour les investisseurs.

    Appels au niveau fédéral

    Au niveau fédéral, Embuild demande une augmentation des investissements publics pour garantir la pérennité des infrastructures. Le directeur général d’Embuild.Brussels, Jean-Christophe Vanderhaegen, mentionne que la Belgique investit moins dans ce domaine comparé à ses voisins européens. Enfin, la fédération préconise l’extension du taux réduit de TVA aux projets de démolition-reconstruction menés par les promoteurs immobiliers.

  • Mila : « La tendance cannelée a encore de beaux jours devant elle ! »

    Je suis passée apporter une petite plante à ma voisine : petit présent du nouvel an dans lequel j’avais glissé ma carte de vœux. Elle m’a accueillie en salopette de travail : il faudra un jour que je m’en procure une pareille !

    Source : Marie Claire

    Elle était occupée à peindre un bardage nouvellement installé contre le mur du hall d’entrée. Une palissade ondulée. Ou, autrement dit, un bardage cannelé. 

    Ici, le rendu n’avait rien de rectiligne, comme c’est le cas avec les claustras classiques. C’était comme si la moitié inférieure du mur s’était ourlée de vagues douces et régulières.    

    Elle avait collé des baguettes demi-rondes les unes à la suite des autres, à la verticale et sur environ un mètre de hauteur. Elle en avait recouvert toute la longueur du couloir : l’ondulation chaleureuse nous menait jusqu’à la porte de la cuisine.

    Elle avait utilisé du mastic (à peindre) pour faire disparaître le petit interstice qui se distinguait entre la baguette et le mur. Ainsi lissé à l’index, le mastic recouvrait les arrêtes et renforçait l’illusion des vagues continues.  

    Quand je suis arrivée avec mon petit cactus en fleur, elle était occupée à peindre le bardage cannelé d’un joli vert d’eau clair.

    Elle m’a expliqué qu’elle allait encore apposer une tablette en bois, peu large, sur la jonction entre la palissade du bas et le mur nu du haut. Un support pour déposer quelques cadres et mettre des petites plantes vertes et autres succulentes dans l’entrée : mon cactus allait surfer sur la vague, le chanceux !   

    La tendance cannelée, qui a beaucoup eu la cote l’an passé, a encore de beaux jours devant elle. Une jolie manière de donner du relief en apportant de la douceur et de la rondeur.

  • Que faire si vous n’êtes pas d’accord avec la répartition des charges dans votre immeuble ?

    En tant que propriétaire d’un appartement, vous devez contribuer aux frais communs de l’immeuble. Mais que pouvez-vous faire si vous trouvez la répartition incorrecte ?

    Que faire si on vous n'êtes pas d'accord avec la répartition des charges de votre immeuble
    Andrea Piacquadio

    La répartition de ces charges communes est précisée dans les statuts de l’immeuble. Normalement, vous y contribuez en fonction de votre part dans les parties communes. Cela peut toutefois varier, en fonction de l’utilisation que vous en avez…

    Inscrivez-le à l’ordre du jour de l’assemblée générale

    Si vous n’êtes pas d’accord avec la répartition des charges, vous pouvez demander à l’assemblée générale des copropriétaires de la modifier. Cela nécessite que votre proposition soit inscrite à l’ordre du jour de l’assemblée générale. À cette fin, vous pouvez demander au syndic de faire le nécessaire.

    Majorité des 4/5

    En outre, l’assemblée générale devra également adopter votre proposition. Il ne vous suffit pas d’obtenir une majorité simple en faveur de votre proposition. Au contraire, il faut trouver une majorité qui atteint 4/5.

    Au juge de paix

    Si l’assemblée générale ne veut pas adapter cette répartition des charges, vous pouvez alors vous adresser au juge de paix. Pour ce faire, vous devez être en mesure de prouver que cette relation vous cause un désavantage personnel, ou que cette répartition est incorrecte ou encore qu’elle est devenue incorrecte à la suite de modifications apportées au bâtiment. Il est donc nécessaire que vous ayez rassemblé des documents pouvant faire office de preuve avant de recourir à cette option. Soyez préparé !

    En conclusion, si la répartition des charges de votre immeuble vous pose problème, il existe des étapes à suivre pour résoudre cette situation. De l’assemblée générale au recours judiciaire, trouvez la solution qui vous convient.