Vous avez repéré des rongeurs dans votre compost ? Certains experts nous donnent leur avis sur la question !
svetozar cenisev
La présence de rats et souris peut évidemment inquiéter. Selon Cyril Brunel, cité dans Neozone, ces rongeurs ne sont pas attirés spécifiquement par votre compost, mais étaient probablement déjà présents dans l’environnement.
Faut-il éviter certains aliments ?
Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas la viande ou le poisson qui attirent ces petits animaux, mais bien les végétaux et fruits secs qu’ils affectionnent. Que ce soit en milieu urbain ou rural, ils profitent des déchets organiques pour se nourrir.
Le secret pour éviter les rongeurs dans votre composteur ? « Il faut mélanger et aérer régulièrement le compost pour les déranger« , explique Cyril Brunel. Evitez également la mort-aux-rats, un élément très intrusif et non naturel. Pour rappel, un compost doit être idéalement composé pour moitié de matière verte (tonte de jardin) et pour moitié de matières brunes (branches…).
La pression financière pour les jeunes acheteurs immobiliers atteint des niveaux inquiétants…
Les jeunes adultes âgés de moins de 25 ans qui ont acheté leur premier bien immobilier en 2023, ont consacré en moyenne 34,3% de leurs revenus au remboursement de leur emprunt. Selon les données d’Immotheker/Finotheker, cette situation est la plus tendue depuis la crise de 2008 !
Pour ceux âgés de 26 à 30 ans, la situation est encore plus compliquée : bien qu’ils profitent de revenus supérieurs, ils allouent 34% de leur salaire au paiement de leur prêt, soit le niveau le plus élevé observé en 20 ans. Et les trentenaires ? Ils consacrent en moyenne 32% de leurs revenus pour rembourser leur emprunt, un chiffre inédit depuis 15 ans.
Épargner plus pour acheter
En outre, les conditions d’octroi de crédit font que les jeunes doivent présenter un apport nettement supérieur pour être en mesure d’accéder à la propriété. Ce qui signifie, hors don familial, une très grande période d’épargne. Dans les colonnes de Het Laatste Nieuws, certains experts parlent d’une crise du logement imminente, avertissant que cela concerne aussi la classe moyenne.
Certes, les droits d’enregistrement réduits sont une (petite) partie de la solution, mais il faut également travailler à assouplir les conditions d’octroi de crédit : en imposant aux jeunes un gros apport, chose impossible à court voire moyen terme pour une grande partie d’entre eux, ces derniers sont condamnés à rester sur le marché de la location.
Les ondes Wi-Fi sont partout, mais sont-elles vraiment un danger pour la santé ? Une étude australienne apporte de nouvelles réponses.
Misha Feshchak
Les ondes Wi-Fi : cancérogènes ou non ?
Les ondes Wi-Fi suscitent régulièrement des inquiétudes quant à leurs effets sur la santé. Une étude australienne récente conclut qu’il n’existe pas de preuve solide que ces ondes augmentent le risque de cancer. Contrairement aux idées reçues, l’exposition quotidienne au Wi-Fi ne semble pas avoir d’effets significatifs sur notre santé à long terme.
Ce que disent les experts
Selon les chercheurs, « les données actuelles ne montrent pas de lien direct entre le Wi-Fi et les tumeurs« . Les études réalisées sur de longues périodes confirment également ces résultats. Alors que certains prônent la limitation de l’exposition aux ondes électromagnétiques, cette étude tend à rassurer. Ce qui ne veut pas dire que toute précaution n’est pas bonne à prendre, comme éteindre le Wi-Fi la nuit !
La Belgique affiche un nombre record de prêts hypothécaires en Europe avec des taux bas, mais les prix des logements continuent de grimper.
En 2023, la Belgique s’est distinguée en se hissant au deuxième rang européen en matière de prêts hypothécaires par habitant, selon le rapport Property Index 2024 publié par Deloitte. Pas moins de 187.516 hypothèques ont été contractées, pour un montant total de 30,8 milliards d’euros. Avec un taux moyende 3,3%, le pays bénéficie de l’un des taux d’intérêt les plus bas d’Europe, derrière la Bulgarie et l’Espagne.
Des prix immobiliers en hausse
Malgré cette dynamique favorable, l’achat d’une maison en Belgique reste un défi pour de nombreux ménages. Les prix des logements neufs ont bondi de 3,4% en 2023, atteignant en moyenne 3.207 euros par mètre carré. Cette hausse est encore plus marquée dans des villes comme Bruxelles et Anvers, où les prix ont grimpé de 10%.
Accessibilité du logement : un défi persistant
L’accessibilité au logement demeure stable avec un ménage belge devant épargner environ 7,9 salaires annuels pour acheter une maison de 70 m². Mais, comme le souligne Cédric Van Meerbeeck de Deloitte, l’accessibilité reste un « problème croissant en Belgique, notamment à Bruxelles« , où près de 40% de la population est menacée de pauvreté.
Une heure par jour. C’est le temps maximum que les Belges supportent de passer en voiture pour aller bosser sans y laisser leur santé mentale, selon une étude menée par SD Worx. Une fois ce cap franchi, le stress commence à s’installer !
Patrick C Freyer
D’après l’enquête, la majorité des travailleurs belges voudraient limiter leur trajet à 30 minutes par trajet, soit une heure aller-retour. Mais la réalité est souvent différente. Et ça, ça pèse sur le moral : à Bruxelles, où pourtant les travailleurs habitent près de leur lieu de travail, un quart des navetteurs est insatisfait de la durée de son trajet. Pire encore, un Bruxellois sur cinq passe plus d’1h30 sur la route chaque jour !
Cette insatisfaction touche aussi d’autres régions. Dans le Brabant wallon et le Hainaut, respectivement 26% et 24% des travailleurs se disent insatisfaits de la longueur de leurs trajets. A l’inverse, dans la province la moins dense du pays (Luxembourg), les temps de trajets sont les plus courts, dépassant de peu les 40 minutes par jour.
Le télétravail comme solution ?
En Flandre, les résultats sont très variables. Le bon élève semble être la Flandre-Occidentale : avec des trajets de 51 minutes par jour, 73% des navetteurs se disent satisfaits. Pourtant, le télétravail reste peu répandu dans cette région. En revanche, dans des provinces comme le Limbourg ou le Brabant flamand, les trajets dépassent souvent une heure. Pour les Limbourgeois, ce n’est pas tant le kilométrage qui importe, mais bien le temps passé : s’ils sont prêts à parcourir des distances allant jusqu’à 61 km par jour, ils ne désirent pas dépasser une heure dans leur voiture.
Ce sont deux grandes écoles qui s’affrontent : le poêle à bois traditionnel et le poêle à pellets moderne. Pour éviter toute erreur de casting et vous aider à faire un choix éclairé, nous vous invitons à décortiquer les grandes caractéristiques de ces types de poêles.
Clay Banks
Avant toute chose, et contrairement à ce que l’on entend souvent, sachez que dans l’absolu, il n’y a pas une école meilleure qu’une autre. Mais il peut y avoir une meilleure solution adaptée à un certain type d’utilisation, en fonction de vos besoins spécifiques, de votre environnement et de vos préférences personnelles… Nuance !
Prix d’achat : avantage poêle à bois
Le poêle à bois a pour immense avantage d’être bon marché. En neuf, vous pourrez même trouver un poêle à bois pour quelques centaines d’euros, ce qui le rend accessible à la plupart des budgets. En revanche, pour un poêle à pellets de base, il faut compter près de 1.000 €, avec des modèles plus sophistiqués qui peuvent rapidement dépasser les 2.000 €. De plus, l’installation d’un poêle à pellets peut nécessiter des aménagements électriques supplémentaires, ce qui peut augmenter le coût initial. En effet, un poêle à pellets, avant sa première utilisation, cela se règle ! Ce qui n’est pas forcément à la portée du premier venu…
Coûts à l’usage : avantage poêle à bois
En termes de coûts à l’usage, le poêle à bois conserve l’avantage, surtout si vous avez accès à du bois à moindre coût, voire gratuit. Néanmoins, il faut considérer le temps et l’effort nécessaires pour couper, fendre et stocker le bois. Le pellet, quant à lui, se monnaie un peu plus de 5 € le sac de 15 kilogrammes, avec des prix qui peuvent varier en fonction de la saison et de la demande. Il est possible de se le faire livrer, voire de l’acheter en gros pour réaliser des économies (avec stockage au magasin).
Stockage : avantage poêle à pellets
Le stockage est un aspect crucial à considérer, surtout si l’espace est limité. Bon à savoir, notamment pour ceux qui habitent en ville ou qui disposent de peu d’espace extérieur : un sac de pellets est tout de même plus facile à stocker qu’un stère de bois. De plus, les pellets sont conditionnés en sacs hermétiques, ce qui facilite leur manipulation et réduit les risques d’humidité. Dans les deux cas, il faudra les conserver au sec pour garantir une combustion optimale. Le bois, quant à lui, devra de préférence rester sous abri, à l’extérieur, ce qui pourra vous demander quelques aménagements spécifiques, comme la construction d’un abri.
Rendement : avantage poêle à pellets
Ici, il n’y a vraiment pas photo. En fonction de votre poêle à bois et du bois que vous utilisez (sec ou humide), le rendement de votre machine sera compris entre 50 et 80 %. Un poêle à pellets est nettement plus efficace, avec un rendement qui dépasse généralement les 90 %, grâce à une combustion optimisée et contrôlée électroniquement. Cela signifie que pour la même quantité d’énergie consommée, un poêle à pellets produira plus de chaleur utile qu’un poêle à bois traditionnel.
Facilité d’utilisation : avantage poêle à pellets
Pas de doute, le poêle à pellets est le plus simple des deux en termes d’utilisation quotidienne. Allumer un feu dans un poêle à bois peut être une évidence, un geste naturel, voire un réflexe pour certains, mais pour d’autres, cela s’apparentera à une tâche d’une inconsistance horripilante, surtout lorsqu’il faut répéter l’opération plusieurs fois par jour.
Avec le poêle à pellets, aucun souci : vous le mettez en route en appuyant sur le bouton ad hoc, et il fait le reste pour vous. Mieux encore : selon le modèle, il est possible de le programmer pour le faire démarrer et/ou s’arrêter à une heure précise, voire de le contrôler à distance via une application mobile. Tout profit pour votre confort, d’autant que la température est réglable et peut être maintenue constante grâce à un thermostat intégré !
Entretien : avantage poêle à bois
Le poêle à bois a pour immense avantage sa simplicité technique, ce qui réduit les risques de pannes et facilite les réparations éventuelles. Plus sophistiqué, le poêle à pellets rajoute un module électronique et des pièces mécaniques qui, à l’usage, peuvent s’user et doivent être remplacées. Généralement, le poêle à pellets vous signale quand un entretien est nécessaire, mais cela implique des coûts supplémentaires et l’intervention d’un professionnel.
Enfin, il y a également le ramonage de votre cheminée. Dans ce cas, sachez que la combustion du pellet est nettement plus propre que celle du bois, ce qui réduit l’encrassement du conduit et la fréquence de ramonage. Cependant, le poêle à pellets nécessite un nettoyage régulier du brasier et des cendres pour maintenir son efficacité.
Agrément : avantage poêle à bois
C’est sûr que le spectacle d’une ou de plusieurs bûches se consumant, des flammes virevoltantes et du crépitement du bois pourra en séduire beaucoup et créer une ambiance chaleureuse et authentique.
De son côté, le poêle à pellets présente un spectacle bien plus fade, avec un bruit de soufflerie et un foyer plus « organisé », où les flammes sont moins naturelles. De plus, certains utilisateurs peuvent trouver le bruit du ventilateur du poêle à pellets légèrement perturbant, surtout dans un environnement calme. Le poêle à bois offre donc une expérience sensorielle plus riche, appréciée lors des longues soirées d’hiver.
Conclusion
Inutile de faire le bilan des points, car nous avons tous des critères prioritaires qui nous sont propres. Certains privilégieront la simplicité et la performance, d’autres seront sensibles au charme et à l’économie. Nous l’avons vu, le gros avantage du poêle à pellets, c’est sa facilité d’utilisation et son rendement élevé. Il s’agit d’une solution moderne et très performante, idéale pour ceux qui recherchent un système de chauffage programmable et efficace. Plus chaleureux, le poêle à bois se révèle plus économique à l’usage, surtout si vous avez accès à du bois à faible coût, et sa simplicité technique peut être un atout en termes d’entretien et de longévité. Pour un chauffage d’appoint, c’est vers ce dernier que nous vous orientons ! En revanche, pour une utilisation plus régulière, le poêle à pellets marque de solides avantages…
J’avoue, je suis fleur bleue. J’avoue, je suis aussi « fleurs tout court ». On m’offre un bouquet et hop, je suis aux anges. Avouez : des fleurs, ça égaye une table. Ça embellit une pièce. Ça met du baume au cœur.
Niklas Ohlrogge
Le seul souci ? C’est que ce bonheur est de très courte durée : 5 à 7 jours, tout au plus.
Et pourtant, il y a des astuces qui permettent de garder un bouquet plus longtemps. Mais comme toujours, cela demande un peu de temps de faire bien les choses.
Pour commencer, coupez les tiges en biseau. C’est important : cela facilitera la prise d’eau en donnant aux fleurs une plus grande surface pour boire. Il faut savoir que le bout des tiges cicatrice après la coupe : il faut donc recouper un bout tous les deux jours (lorsque vous changerez l’eau). Cela permettra aux fleurs de se nourrir mieux !
Et en parlant de nourriture, utilisez le sachet livré avec le bouquet : on le jette trop souvent dans la précipitation, et c’est dommage. La fleur, privée des éléments nutritifs de la terre, a besoin de ces solutions nutritives pour rester belle.
Pour couper, pensez à éviter les ciseaux de cuisine : je sais, je plaide coupable, moi aussi. On reçoit le bouquet, on ne veut pas faire attendre les invités et on ouvre gentiment le tiroir de la cuisine dans lequel dorment les ciseaux. Mais c’est une vraie erreur : ils écrasent les tiges, rendant inefficace la coupe des tiges. Préférez-leur un sécateur ou un couteau sans dents.
Autre astuce : pensez à retirer les feuilles ou les fleurs qui seraient immergées dans l’eau du vase. Elles risquent seulement de laisser les bactéries proliférer.
Changer l’eau tous les deux jours évitera aussi aux microorganismes d’abîmer les fleurs. Et si un chimiste se cache derrière le fleuriste que vous êtes, osez diluer quelques gouttes d’eau de Javel dans l’eau du vase. Bye-bye les bactéries. Pour l’eau, veillez à ce qu’elle soit à température ambiante : ni trop froid, ni trop chaud !
Il ne vous reste qu’à poser votre joli bouquet loin des sources de chaleur : ces dames aiment garder le nez au frais !
Dans une maison, la poussière, c’est un peu l’invité qu’on ne veut jamais voir mais qui revient toujours. Pour s’en débarrasser, on connaît tous la solution classique : sortir l’aspirateur, le brancher, traîner l’engin dans chaque pièce et recommencer chaque semaine, voire plus souvent. Mais saviez-vous qu’il existe une alternative bien plus pratique et discrète ? L’aspirateur centralisé, un système qui pourrait bien changer votre quotidien. Alors, qu’est-ce que c’est exactement, et pourquoi envisager de l’installer chez soi ?
Le concept de l’aspirateur centralisé
L’idée derrière l’aspirateur centralisé est simple et redoutablement efficace. Plutôt que de transporter un appareil d’une pièce à l’autre, ce système utilise un réseau de tuyaux intégrés dans les murs de la maison. Ces conduits, reliés à un moteur central, acheminent la poussière et les saletés jusqu’à un réservoir qu’il suffit de vider de temps en temps. Concrètement, il vous suffit de brancher un tuyau à des prises murales réparties stratégiquement dans votre logement, et hop, l’aspiration se met en route !
Les trois éléments clés d’un système d’aspiration central
Un système d’aspiration centralisé se compose de trois parties essentielles. D’abord, le moteur, ou unité d’aspiration, généralement installé dans une zone peu fréquentée comme le garage, la cave ou un local technique. Ensuite, un réseau de tuyaux, invisibles puisqu’ils sont encastrés dans les murs, assurant le transport de la poussière. Enfin, des points de connexion, les fameuses prises murales, répartis dans les différentes pièces de la maison. Ces points sont à planifier avec soin : mal placés, ils risquent de rendre l’utilisation moins pratique.
Il est aussi important d’adapter la puissance de l’aspirateur centralisé à la taille de votre maison. Plus celle-ci est grande, plus le moteur devra être puissant. Un installateur professionnel saura vous conseiller sur ce point et sur l’emplacement optimal des prises pour maximiser l’efficacité du système.
Pourquoi opter pour un aspirateur centralisé ?
Alors, pourquoi se tourner vers ce type d’installation ? D’abord, plus besoin de traîner un aspirateur lourd et encombrant d’une pièce à l’autre. Mais l’argument santé n’est pas négligeable non plus. Contrairement à un aspirateur classique, le système centralisé expulse la poussière directement hors des pièces habitées, ce qui permet d’améliorer la qualité de l’air intérieur. En particulier, les personnes allergiques ou sensibles à la poussière apprécieront de ne plus voir de fines particules rejetées dans l’atmosphère après chaque passage.
Autre avantage non négligeable : le silence. Le moteur étant installé à l’écart, dans un local technique, vous ne serez plus dérangé par le bruit de l’aspirateur, même en pleine séance de ménage. Et pour ceux qui aiment organiser leur espace de vie, l’absence d’un aspirateur à ranger quelque part est un gain de place indéniable.
Ce à quoi il faut faire attention
Bien sûr, tout n’est pas parfait. L’installation d’un système d’aspiration centralisé représente un certain coût, à la fois pour l’achat du matériel et pour l’installation elle-même. Les tuyaux étant encastrés dans les murs, il est préférable de prévoir ce type de projet lors d’une construction ou d’une rénovation importante. En cas de panne ou de problème avec ces conduits, les réparations pourraient nécessiter de casser les murs, ce qui peut vite devenir un chantier coûteux et contraignant. Cependant, avec une bonne installation et un entretien régulier, ces soucis sont relativement rares.
En résumé, l’aspirateur centralisé est un choix intéressant pour ceux qui cherchent à gagner en confort et en efficacité dans l’entretien de leur maison. Plus discret, plus hygiénique et plus pratique qu’un aspirateur classique, il a toutefois du mal à se généraliser. Les robots-aspirateurs seraient-ils plus en vogue ?
En cas de séparation, il arrive que le notaire propose une estimation « contraignante » des biens immobiliers. A quoi faut-il faire attention ? Notre avocat vous dit tout !
Dans les grandes lignes
Si des ex-conjoints ou des ex-cohabitants possédaient ensemble des biens immobiliers, une solution doit être trouvée. L’un des ex-partenaires peut alors vouloir reprendre le bien, plusieurs biens peuvent être partagés ou le bien peut être vendu. Si l’un des ex-partenaires est intéressé par la reprise, il est parfois suggéré que le bien fasse l’objet d’une estimation contraignante.
Réfléchissez-y à deux fois !
Si vous n’êtes pas intéressé par l’achat, il est préférable de ne pas accepter ce genre d’estimation. En effet, si vous estimez que l’évaluation est trop basse, vous êtes malgré tout coincé et ce, même si vous pensez qu’il y a erreur ! Dans ce cas-là, il n’y a pas grand-chose que vous puissiez faire, car en règle générale, l’évaluation est contraignante. La partie qui souhaite acheter le bien, en revanche, conserve toute sa liberté, à moins qu’il n’en ait été convenu autrement. Elle peut donc dire qu’elle n’est pas disposée à acheter au prix estimé.
Autres solutions…
Vous pouvez faire estimer le bien sans aucune obligation. Si, après cette évaluation, vous n’arrivez pas à vous décider sur le sort de ce bien, vous jouissez d’une certaine liberté ! Autre solution : faire procéder à l’évaluation selon les règles de l’expertise. L’expert établira alors un rapport préliminaire auquel vous pourrez répondre et vous ne serez pas lié par les conclusions du rapport.
Vous voyez de la buée dans vos fenêtres à double vitrage ? Cela peut être facile à réparer… ou pas du tout !
Pourquoi y a-t-il de la buée dans un double vitrage ?
La condensation entre les vitres est un phénomène courant, mais souvent mal compris. Elle survient lorsque le joint d’étanchéité, qui maintient les deux vitres ensemble, se détériore avec le temps. Ce joint est censé emprisonner un gaz isolant (souvent de l’argon) qui optimise l’isolation thermique. Lorsque ce gaz s’échappe et que de l’air humide s’infiltre, cela provoque la buée à l’intérieur du vitrage, impossible à nettoyer de l’extérieur. Ce problème survient généralement après une dizaine d’années d’utilisation.
En plus de l’aspect visuel gênant, ce phénomène réduit l’efficacité énergétique de vos fenêtres. Sans côté les éventuels problèmes d’humidité pour votre châssis…
Est-ce réparable ?
Lorsque la condensation est visible à l’intérieur des vitres, plusieurs solutions s’offrent à vous. Dans certains cas, il est possible de réparer les joints défectueux ou de réinjecter du gaz. Mais ces réparations ne sont pas toujours durables. « Si la buée persiste, un remplacement complet du vitrage est souvent la meilleure option à long terme« , explique un expert en menuiserie.
Le coût d’une réparation de joint varie entre 80 et 150 € par fenêtre, tandis qu’un remplacement complet peut aller de 200 à 600 € en fonction des matériaux (PVC, bois, aluminium) et de la taille du vitrage.