Selon le baromètre Era, le marché immobilier belge ne serait pas au sommet de sa forme, avec toutefois des différences sensibles selon les régions…
Le marché immobilier wallon montre des signes de ralentissement. Selon le baromètre d’ERA, la hausse des prix a été de 2,4% en 2023, une progression plus modeste comparée aux années précédentes. Emmanuel Deboulle d’ERA souligne que les Wallons disposent d’une plus grande marge pour l’achat immobilier, sans nécessité immédiate de rénovation. Le délai moyen pour vendre une propriété en Wallonie s’est allongé, passant de 88 à 118 jours.
Flandre : une première baisse en dix ans
En Flandre, le marché immobilier a connu une évolution surprenante. Pour la première fois en dix ans, les prix ont diminué (1,9 %). Cette baisse reflète un changement significatif dans les dynamiques du marché immobilier flamand.
Et à Bruxelles ?
À Bruxelles, la situation est différente. Les prix des appartements ont augmenté de 2% en 2023, une hausse alignée sur la moyenne flamande. L’augmentation des prix est influencée par des facteurs tels que le nombre de chambres, de salles de bain, et la présence d’espaces extérieurs, devenus plus prisés depuis la pandémie.
Délais de vente
Cette augmentation du délai de vente traduit une certaine frilosité du marché. En revanche, aucune analyse concluante n’a été faite pour le marché des habitations à Bruxelles et des appartements en Wallonie.
Plus de 30.000 rapports d’estimations et un outil jugé comme étant, en toute simplicité, le meilleur du marché. On vous a déjà parlé de notre estimateur de bien immobilier ?
Enfant, ma maman me répétait sans cesse d’avoir le triomphe modeste. Sorry m’man, mais cette fois, le succès est tel que garder profil bas serait tout simplement manquer de respect à toutes les parties prenantes ! Voici donc le bilan, un an après le lancement de notre outil d’estimation immobilière en ligne doté de la technologie PriceHubble !
30.000 rapports en un an !
D’emblée, tous les utilisateurs ont trouvé l’outil aussi facile à utiliser qu’un grille-pain ! Aujourd’hui, notre outil a débité pas moins de 30.000 rapports et a permis de 3.000 connexions entre propriétaires et agences. A ce sujet, nous avons signé un accord exclusif avec PriceHubble pour distribuer ce service auprès des agents immobiliers.
Le meilleur du marché
Que ce soit un bungalow à la mer, un studio à Bruxelles ou un château en Ardenne, l’outil permet en quelques clics d’établir une fourchette de valeurs. Et à en croire notre enquête de satisfaction et même si rien ne remplacera jamais une visite physique d’un agent immobilier, notre outil présente le meilleur algorithme du marché.
Notre ADN ne nous permettrait évidemment pas de nous en tenir là : nous allons donc faire évoluer l’outil et le service proposé, tant pour le particulier que pour les agents immobiliers avec des solutions B2B spécifiquement concoctés pour eux.
Et vous, connaissez-vous vraiment la valeur de votre maison ?
Qu’on l’appelle “Dvorets dlya Poutina” ou “résidence du cap Idokopas”, le palais de Poutine, situé au bord de la mer Noire à Guelendjik, fait l’objet de mille et une spéculations. Voici pourquoi.
Russian WikiLeaks
C’est l’une des marottes des opposants de Vladimir Poutine. Ce dernier se serait fait construire une “datcha” qui consiste en fait en un somptueux palais royal entouré d’un vaste domaine, le tout à l’aide de fonds publics détournés. Les autorités locales, par l’intermédiaire du porte-parole du président russe, démentent cependant depuis une bonne décennie tout lien entre cette propriété et Poutine.
35 fois la taille de Monaco !
Le palais dispose d’une superficie de 17.691 m2 et compte une orangerie de 2.500 m2, deux héliports, un port privé, une patinoire souterraine permettant de jouer au hockey sur glace, un étang, une piscine, un casino, un théâtre, une centrale électrique, plusieurs bâtiments pour loger le personnel et une chapelle. La superficie totale de la propriété serait de 7.000 ha, soit 35 fois la taille de Monaco ! Cette dernière ne peut être survolée par aucun aéronef ou drône. 300 ha de vignes comprenant une cave pour la vinification feraient également partie du domaine présidentiel. Le tout aurait coûté la bagatelle de 1,10 milliard d’euros !
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Un architecte italien
La construction du palais a commencé sous la première présidence de Vladimir Poutine en 2005. Ce qui était alors dénommé “complexe de repos” par la presse russe s’est ensuite vu adjoindre une exploitation viticole deux années plus tard. L’ensemble a été imaginé et dessiné par l’architecte italien Lanfranco Cirillo, naturalisé russe en 2014 et aujourd’hui poursuivi par la justice de son pays d’origine pour fraude fiscale.
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De multiples propriétaires
Alors que la polémique quant au coût de construction du domaine gronde depuis le début du projet, en 2011, l’homme d’affaires Alexandre Ponomarenko, proche de Poutine, achète le palais à Nikolaï Chamalov, un autre proche du président. Selon l’opposant politique Alexeï Navalny, cette vente serait fictive et destinée à cacher le véritable propriétaire, qui ne serait autre que… Vladimir Poutine. À la suite de la diffusion du documentaire Un palais pour Poutine : L’Histoire du plus gros pot-de-vin, publié sur YouTube le 19 janvier 2021 et qui est le résultat d’une longue enquête menée par la Fondation anti-corruption (FBK) créée par Navalny, c’est le milliardaire et oligarque russe Arkadi Rotenberg, également proche du président russe, qui serait le propriétaire actuel du palais et de ses dépendances.
La récente chute des taux d’intérêt ne devrait pas se prolonger : les taux hypothécaires en Belgique ne devraient pas connaître de baisse significative en 2024…
Selon la dernière étude trimestrielle d’ING Belgique sur l’immobilier, les taux hypothécaires en Belgique ne devraient pas subir de baisse importante en 2024. Cette prévision intervient malgré une diminution des taux d’intérêt observée ces dernières semaines. La tendance semble indiquer une stabilité des conditions de prêt pour l’année à venir.
Priorité à la sécurité
La hausse marquée des taux d’intérêt l’année précédente a poussé les Belges à privilégier les crédits hypothécaires à taux fixe. Selon l’European Mortgage Federation (EMF), 96% des emprunteurs en Belgique ont opté pour ce type de taux, marquant le niveau le plus élevé depuis plus d’une décennie.
Une tendance belge singulière
Si, en Belgique, la préférence pour les taux fixes est historique en Belgique, il n’en va pas de même chez nos voisins : l’Allemagne et les Pays-Bas ont enregistré une diminution du nombre de prêts à taux fixes, suggérant une anticipation de la baisse des taux d’intérêt.
Des prix en baisse ?
Malgré la baisse des taux d’intérêt, l’accessibilité à l’immobilier reste difficile. Wouter Thierie, économiste chez ING, souligne : « Pour cette année, nous prenons en compte une croissance modeste des prix de l’immobilier de 1,5%, ce qui, en termes réels, constitue une baisse de facto, étant donné que l’inflation dépassera probablement encore 3%« .
Le pavillon belge, conçu par le consortium Carré 7, Beyond Limits, One Designs, Pirnay et Poly-Tech, incarne une fusion entre tradition et modernité. Sous le sous-thème « Sauver des vies », le bâtiment représente symboliquement l’eau dans tous ses états, reflétant ainsi l’identité diversifiée de la Belgique. Ce concept unique souligne l’importance de l’eau dans notre existence et son influence sur l’architecture contemporaine.
Avec environ 150 pays participants, l’Expo Universelle d’Osaka est une vitrine prestigieuse pour les innovations. Le pavillon belge, situé dans le sous-thème « Saving Lives », est conçu pour être une référence en matière de design et de technologie de construction.
L’hiver est la saison la plus rude à affronter, en ce compris pour tout matériel entreposé à l’extérieur de la maison. Les panneaux photovoltaïques n’échappent pas à la règle et exigent donc un minimum d’entretien afin d’assurer leur efficacité et de prolonger leur durée de vie.
Un nettoyage régulier
En hiver, les feuilles mortes, la neige ou encore la glace peuvent s’accumuler sur les panneaux, réduisant ainsi leur capacité à capter la lumière du soleil. Il est important de nettoyer régulièrement ceux-ci pour éliminer toute obstruction. Pour ce faire, utilisez un balai souple, un râteau à neige ou encore de l’eau tiède pour dégager la neige et la glace.
S’il neige ?
Assurez-vous que les panneaux solaires ne sont pas complètement recouverts durant une période trop longue. Une accumulation excessive peut en effet réduire considérablement voire carrément interrompre la production d’énergie solaire. Vous pouvez utiliser un balai souple pour enlever la neige sans endommager les panneaux.
S’il gèle et que de la glace se forme sur les panneaux solaires ?
ne grattez pas celle-ci avec un objet dur qui pourrait les endommager de manière irréversible. Privilégiez plutôt une méthode douce, comme de l’eau tiède afin de faire fondre la glace.
N’oubliez pas les arbres !
Au début de l’hiver, faites élaguer ou tailler les arbres qui pourraient provoquer de l’ombre sur les panneaux solaires. En effet, en hiver, lorsque le soleil est bas, le moindre obstacle à tendance à drastiquement limiter l’impact de ses rayons sur la surface des panneaux ce qui freine par la même occasion la production d’énergie.
Profitez de l’hiver pour vérifier les connexions électriques de votre installation solaire !
Assurez-vous que celles-ci sont en parfait état de marche. Gardez aussi à l’esprit que le froid extrême peut parfois causer des problèmes de conductivité. Vérifiez régulièrement les câbles et les connexions pour vous assurer que le tout est bien fixé.
Quid de votre production ?
Enfin, surveillez régulièrement la production d’énergie de vos panneaux pour détecter d’éventuels problèmes. Si vous constatez une baisse significative de la production, cela peut indiquer un problème qui nécessite une intervention. En cas de doute, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel.
Si un locataire paye son loyer en retard, le propriétaire peut lui réclamer des intérêts et des indemnités de retard, en plus de l’arriéré. Notre avocat vous dit tout !
Sauf accord contraire, le propriétaire peut réclamer des intérêts si le loyer est payé en retard. A noter que les intérêts ne peuvent être d’application qu’à partir du moment où le bailleur envoie une mise en demeure. Le taux d’intérêt légal s’applique alors (5,25 % par an en 2023). Si le propriétaire souhaite obtenir une indemnisation pour retard de paiement, il devra prouver son préjudice, ce qui sera extrêmement difficile dans la pratique.
Propriétaire privé
Si le propriétaire est une personne privée, il peut conclure d’autres accords concernant les conséquences d’un retard de paiement. Par exemple, il peut convenir du montant des intérêts et des frais à payer en cas de retard de paiement. Pour autant que le propriétaire n’exagère pas, il y a de fortes chances que ce genre d’accord soit valable.
Propriétaire professionnel
Si le propriétaire est une société, toute clause du bail prévoyant des indemnités et/ou des intérêts en cas de retard de paiement du locataire doit répondre à des conditions strictes. Le bailleur doit alors également veiller à ce qu’il y ait réciprocité dans le contrat et que le locataire aie droit lui aussi à une indemnité si le bailleur ne respecte pas ses obligations contractuelles.
Les tuiles adaptatives pourraient effectivement changer notre rapport à l’isolation des toits. Comment ? On vous dit tout !
Michaël Jasmund
Une équipe de chercheurs de l’Université de Californie à Santa Barbara a développé une solution ingénieuse : les tuiles adaptatives. Ces tuiles seraient en effet capables de maintenir une température intérieure constante d’un peu plus de 18°C !
Un moteur à cire
Ces tuiles thermorégulatrices sont composées de lamelles en aluminium chromé. En hiver, ces lamelles fermées absorbent la chaleur, tandis qu’en été, elles s’ouvrent pour révéler une couche blanche réfléchissante, dissipant ainsi la chaleur. Comment cette ouverture est-elle contrôlée ? Tout simplement via un moteur à cire, qui ne demande donc aucun apport en électricité. Ce moteur, réagissant aux variations de température, actionne des pistons qui ouvrent ou ferment les lamelles, permettant ainsi une régulation passive de la température.
Les tests ont montré que ces tuiles peuvent réduire la consommation d’énergie pour le refroidissement et le chauffage jusqu’à 3,1 et 2,6 fois respectivement, comparé aux systèmes traditionnels. Il ne s’agit pour l’instant que de prototypes, mais à quand une production en série ?
L’autre jour, j’ai eu rendez-vous dans un nouveau cabinet de dentistes. Tout neuf. Tout aseptisé. Tout blanc. Et moi, le blanc, ça va un moment mais j’ai trop besoin de couleurs que pour m’en contenter.
R R 2
J’ai donc apprécié ce que j’ai vu quand le dentiste est venu me chercher : ils avaient peint le contour des portes de couleurs vives et gaies. Et chaque fois qu’ils ouvraient ou fermaient la porte d’un des cabinets, c’était un trait coloré qui avançait ou reculait dans le couloir.
L’intérieur du chambranle avait, lui aussi, chaque fois été peint de la même couleur que les contours des portes. Vraiment joli ! Je n’aurais jamais pensé à procéder de la sorte. Mais je retiens l’idée.
Car avec l’amoureux, on n’a pas vraiment le même besoin de couleur dans nos vies. Il fait partie de ces gens bizarres qui aiment tout habiller de blanc et qui font comme s’il y avait une différence folle entre le blanc crème, le blanc poudré ou le blanc coquille d’œuf. Je fais, à l’inverse, partie de ceux qui aiment tout recouvrir de couleurs et qui hésitent plutôt entre un rouge framboise et un orange sanguine ou entre un vert canard et un bleu roi. Le bonheur, des fois, c’est difficile à accorder !
Je me dis que ça, ça peut s’appeler un compromis : les portes en blanc avec les contours en couleurs peps. Pour laisser la vie grignoter le néant petit à petit et pour apprivoiser l’amoureux, doucement … Mais sûrement !
Grâce à un automne particulièrement doux, les prix n’ont cessé de diminuer sur le marché du gaz. Mais cette baisse va-t-elle se poursuivre cette année ?
Tout au long du mois de décembre 2023, les prix du gaz ont affiché une tendance à la baisse et, vraisemblablement, il devrait en être de même dans les mois qui viennent. Cela est dû au fait qu’il n’y a pas eu d’événement géopolitique majeur au niveau de l’énergie ce qui a permis de stabiliser les tarifs du gaz sous les 40 €. Ces derniers jours, ceux-ci ont même continué à baisser, les ramenant à un niveau antérieur à la pandémie. Le tout devrait contribuer à juguler l’inflation sur le Vieux Continent qui est principalement tirée par le coût de l’énergie.
Les observateurs de ce secteur font un constat encore plus étonnant : nous sommes actuellement dans la même zone de prix qu’il y a 10 ans, en tenant compte d’une inflation d’approximativement 25 % depuis 2014, une époque où les prix oscillaient entre 24 et 26 € le mégawattheure. Compte tenu de ces éléments, la trentaine d’euros qui prévaut actuellement a donc la même valeur. Et ces mêmes observateurs de conclure qu’on paye aujourd’hui un prix “juste” pour le gaz, signe que la crise énergétique serait bel et bien derrière nous.
Quid de l’évolution du conflit en Ukraine ?
En Europe, plusieurs facteurs devraient contribuer à ce que cette situation perdure. Premièrement, la consommation de gaz et d’électricité a drastiquement diminué. Pour ce qui est de la Belgique, selon les chiffres de la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG), l’année qui vient de s’achever a été marquée par un nouveau recul de la consommation (de 4 % pour l’électricité et de 5,6 % pour le gaz) alors que 2022 avait déjà été marquée par une baisse de respectivement 3,2 et 15,2 %. En fait, il faut remonter à 1999 pour retrouver des valeurs aussi basses ! Les Belges comme les Européens ont adapté leur manière de se chauffer et certains ont effectué des travaux en privilégiant des méthodes qui exigent moins d’énergie.
Deuxièmement, la demande en énergie du secteur industriel ne remonte pas, malgré la baisse des prix de l’énergie. Cela s’explique par le fait qu’en Europe certaines entreprises ont mis la clé sous le paillasson ou ont délocalisé leur production suite à la flambée des prix.
Enfin, depuis le début de l’automne, les températures ont été particulièrement douces tandis qu’on a bénéficié de beaucoup de vent et de pluie. L’éolien et l’hydraulique ont donc fonctionné à plein régime, ce qui a du même coup limité la demande en gaz pour produire de l’électricité. À cela s’ajoute le fait que les réserves stratégiques de gaz sont très hautes, ce qui a naturellement tendance à rassurer les marchés. Tous les signaux sont donc au vert pour les mois qui viennent, même si on n’est bien entendu jamais à l’abri d’un nouveau revirement géopolitique…