Le gouvernement flamand a opté pour la mise en place d’une « garantie logement ». Ce dispositif cible spécifiquement les primo-accédants, en leur ouvrant la porte à l’achat ou à la construction de leur premier logement.
Cette garantie logement concerne les nouveaux prêts hypothécaires destinés à financer une première habitation, avec une limite de valeur fixée à 434.830 euros. L’ambition est claire: permettre aux banques de proposer des financements couvrant plus de 90% de la valeur de l’immobilier, le gouvernement flamand s’engageant comme garant pour la portion excédant ce seuil.
Vers davantage de flexibilité bancaire ?
Le problème actuellement rencontré par de nombreux jeunes, c’est que de nombreuses banques exigent un apport personnel significatif, souvent jusqu’à 20% du prix d’achat. Les jeunes se retrouvent donc dans une impasse, devant régulièrement avancer plus de 50.000 euros, si l’on ce compte ce pourcentage, ainsi que les frais de notaires, droits d’enregistrement et autres frais annexes… Ce qui est évidemment très compliqué, pour ne pas dire impossible, pour les jeunes travailleurs ne disposant pas d’un support familial ! Pour Matthias Diependaele, ministre flamand du Logement, les banques pourraient pourtant consacrer jusqu’à 35% de leurs crédits hypothécaires à des emprunteurs disposant de moins de 10% en fonds propres.
Dès l’année prochaine ?
L’objectif est de lancer les premières garanties logement dès janvier 2025. Ce mécanisme, limité aux cinq premières années du crédit, implique en retour le paiement d’une prime par la banque.
C’est une question qui taraude de nombreux Belges : suffit-il de baisser la température de son thermostat lorsqu’on cherche à faire des économies d’énergie ? On fait le point !
Tout d’abord, tenez compte du fait que la réponse dépend de l’isolation de votre logement mais également de la température que vous estimez être optimale. De manière générale, il suffit de diminuer la température demandée d’un degré pour réduire votre consommation de 7 %. C’est pour cette raison qu’au cœur de la crise énergétique récente, il était recommandé de ne pas se chauffer à plus de 19°C.
Et en cas d’absence ?
Dans la même logique, vous pouvez baisser votre chauffage lorsque vous vous absentez, en optant par exemple pour une température de 16°C. Pour plusieurs jours d’absence, on peut même descendre à 14°C. Le fait de ne pas couper complètement le chauffage durant votre absence va permettre d’éviter un appel de puissance trop important à la remise en route de celui-ci. Enfin, si votre absence doit se prolonger durant plusieurs semaines, il est conseillé de mettre vos radiateurs en mode “hors gel” afin d’éviter à votre logement de chuter sous les 8°C.
Suivez la météo !
Dans la même veine, tenez-vous informé de la météo du jour. Si la journée s’annonce belle et plus douce, vous pouvez complètement couper votre chauffage central avant de le relancer éventuellement en début de soirée. En revanche, s’il fait très froid, mieux vaut maintenir vos radiateurs en activité et vous contenter de diminuer votre thermostat de quelques degrés, toujours dans le but d’éviter un pic de consommation à la remise en route.
Ne négligez pas l’entretien de votre chaudière !
On ne le répétera jamais assez : entretenir votre système de chauffage central, à commencer par la chaudière, est primordial. En effet, on estime que 25 % des foyers négligent ce point ce qui a tendance à faire grimper leurs factures d’énergie de près de 25 % !
Enfin, notez que si les radiateurs électriques sont moins onéreux à l’achat qu’un système de chauffage central conventionnel (chaudière au gaz, aux pellets, au bois, au fioul ou encore pompe à chaleur), leur consommation sera dans tous les cas plus élevée. Sur le long terme, mieux vaut donc éviter de s’équiper de ce type d’appareils.
La Banque centrale chinoise annonce une baisse du taux de réserve pour revitaliser l’immobilier, un secteur clé de l’économie mais qui peine fort en ce moment !
Edward He
La Banque centrale chinoise a annoncé la réduction du taux de réserve obligatoire (RRR) des banques. La Chine espère ainsi contrecarrer l’essoufflement de la croissance économique, due principalement au secteur immobilier en toute petite forme.
Le secteur immobilier chinois, représentant près d’un quart du PIB national, fait en effet face à des défis majeurs. Entre faillites de promoteurs et projets inachevés, la situation actuelle freine fortement l’économie. La baisse du RRR devrait permettre aux banques de prêter davantage et ainsi de relancer le marché immobilier et donc, l’économie.
Contexte économique fragile
La Chine, malgré une croissance de 5,2% en 2023, subit un ralentissement notable comparé aux années précédentes. La déflation continue et la baisse des prix immobiliers en décembre dans les principales villes renforcent les inquiétudes. Rendez-vous dans quelques mois avec un premier bilan de cette mesure !
Bruxelles réforme sa législation sur l’hébergement touristique et entend sauver la cohésion sociale des quartiers…
Grace Kang
Un projet d’ordonnance vise à actualiser une législation de 2014 jugée inefficace, où plus de 95% des hébergements touristiques fonctionnaient sans enregistrement. Le ministre-président bruxellois, Rudi Vervoort (PS), soulignela nécessité d’agir face à la hausse des locations touristiques d’immeubles entiers, provoquant un exode des habitants de certains quartiers et une pénurie de logements abordables. Cette situation menace, selon le socialiste, la cohésion sociale et le commerce local.
Des mesures pour préserver l’équilibre urbain
La nouvelle ordonnance maintient la nécessité d’obtenir une attestation de conformité urbanistique et de sécurité incendie. Elle vise aussi à respecter la répartition géographique des différentes affectations urbaines, en priorisant le logement dans certaines zones.
Quelques réserves, toutefois…
L’opposition, notamment le MR, la N-VA, et les Engagés, exprime des réserves. Ils réclament des auditions et doutent de l’efficacité des contrôles. Geoffroy Coomans De Brachène (MR) critique l’absence de régulation spécifique pour les nuisances sonores et la difficulté d’obtenir l’attestation de conformité. Mathias Vanden Borre (N-VA) et Christophe De Beukelaer (Les Engagés) remettent en question l’impact réel de cette régulation sur les petits exploitants et la hausse des loyers.
Un défi de taille
La réforme vise à équilibrer les besoins en logement et l’essor du tourisme, mais les défis restent importants face à un secteur en pleine mutation.
Grâce à du verre intelligent, les fenêtres pourraient bien elles aussi contribuer à diminuer notre consommation d’énergie ainsi que notre empreinte carbone.
L’Europe est à la pointe dans le domaine de la recherche sur le verre intelligent. En effet, le projet Brightlands Materials Center, fruit de la collaboration entre la société TNO Glass Group et la province néerlandaise du Limbourg, prend petit à petit forme. Une ligne de production de verre intelligent vient en effet d’être inaugurée chez nos voisins d’outre-Moerdijk. Concrètement, il s’agit de verre contenant un revêtement thermochromique transparent, mis au point par TNO, qui, au-delà d’une certaine température, passe automatiquement d’un état où il laisse passer la chaleur solaire à un autre où il est à même de la bloquer.
Un revêtement révolutionnaire qui empêche donc la chaleur solaire de pénétrer l’intérieur d’un immeuble en été mais qui, en hiver, la laisse entrer. Les fenêtres contribuent donc ainsi à réduire la consommation d’énergie et donc les coûts de chauffage et de climatisation. Avec cette ligne de production expérimentale, TNO entend intensifier le développement de ce verre 2.0 afin de tester l’application de fenêtres thermochromiques intelligentes à différents types de bâtiments.
Tout est dans le revêtement
Le matériau retenu pour recouvrir le verre de ces “super fenêtres” est appelé thermochrome. Une couche qui a donc la capacité de modifier ses propriétés optiques en fonction de la température ambiante. Aux alentours de 20°, le verre opère un phénomène de commutation de la transparence du verre qui influe sur la réflexion des rayons infrarouges. La fenêtre qui en est équipée est ainsi optimisée pour économiser le plus d’énergie possible tout en restant parfaitement transparente. Ce phénomène de commutation s’opère de manière tout à fait autonome et est une propriété propre à la couche qui recouvre la vitre. Cette dernière peut donc être installée dans n’importe quel cadre de fenêtre, sans exigences particulières en matière d’installation.
En laboratoire, des tests ont montré que l’utilisation de ce revêtement peut entraîner une réduction de la consommation d’énergie par rapport au verre conventionnel. Des calculs qui prévoient des économies d’environ 500 € et 400 kg d’émissions de CO2 par foyer moyen et par an ! Un ménage lambda devrait donc pouvoir récupérer son investissement en cinq à sept ans.
La Maison Cauchie, qui fut l’habitation personnelle de l’architecte Paul Cauchie, est considérée comme l’une des plus belles œuvres de l’Art nouveau en Région bruxelloise.
L’architecte et décorateur Paul Cauchie naît à Ath en 1875. À seulement 16 ans, il entame des études d’architecture à Anvers. Il s’inscrit ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles où il rencontre Caroline Voet, dite “Lina”, qui fait partie des premières femmes admises dans cette école. Tous les deux y obtiennent plusieurs prix et Paul reçoit en 1899 une bourse qui lui permet de se rendre en Italie.
Lina et Paul se marient en 1905 et décident, la même année, de se faire construire une demeure familiale de 330 m2, répartie sur quatre niveaux, sur une parcelle de seulement 6 m de largeur achetée par Paul dans la partie supérieure de la rue des Francs, à deux pas du parc du Cinquantenaire. Soucieux de sa notoriété, il opte pour une façade qu’il conçoit telle une affiche publicitaire. Celle-ci attire tout naturellement les regards des passants tout en montrant son savoir-faire. Un joli coup de pub !
Une restauration titanesque !
Paul Cauchie décède en 1952 et son épouse y restera jusqu’à sa mort en 1969. Suzanne, fille unique du couple, en hérite puis la vend dix ans plus tard à Guy et Léona Dessicy. Bien que déjà classé à l’époque, le bâtiment a malheureusement été peu entretenu et s’est dégradé au fil du temps. Les nouveaux propriétaires entament donc un travail de restauration qui durera près de quinze ans ! Le coupe Dessicy décide d’aménager les anciennes cuisines-caves pour en faire une galerie d’exposition. La restauration de l’édifice a redonné vie aux différentes œuvres qu’il abrite. Les sgraffites de la pièce avant du rez-de-chaussée notamment, redécouverts en 1987, ont été dégagés avec d’infinies précautions.
Et aujourd’hui ?
À partir de 1994, la Maison Cauchies’ouvre au grand public et accueille des visiteurs sensibles à l’Art nouveau, mais également au patrimoine en général. Une ASBL est même fondée pour œuvrer à la préservation, la promotion, la conservation et la valorisation de cette maison remarquable. Depuis 2022, la Maison Cauchie appartient à CDA Assurances.
Ce château autrichien, vieux de 900 ans, porte le nom de Schloss Stuppach. Celui-ci est connu comme le berceau de l’une des créations musicales les plus importantes de tous les temps, le Requiem de Mozart. En effet, cette œuvre a été commandée par le propriétaire du château, le comte Franz von Walsegg, au décès de son épouse. C’est aussi la dernière composition de Wolfgang Amadeus Mozart, décédé avant que celle-ci n’ait pu être jouée.
Récemment proposé aux enchères par la maison Sotheby’s, il était estimé à plusieurs millions d’euros…
Un lieu polyvalent
Construit en 1130, le Schloss Stuppach consiste en une demeure de quelque 2.500 m2, comptant une cinquantaine de pièces, dont huit salles de bains et quatre immenses suites. La demeure, que l’on considère donc être le “dernier château de Mozart”, a été érigée sur un vaste terrain de 15.000 m2, au pied de la station de ski de Semmering, au sud de Vienne. Le compositeur y est décédé en 1791, à l’âge de 35 ans. Par la suite, de nombreux personnages illustres y ont eux aussi séjournés, dont Napoléon Bonaparte, Franz Schubert, le pape Pie VI, la princesse Isabelle de Bourbon-Parme et l’empereur François Ier du Saint-Empire.
Sotheby’s explique que cette résidence est l’une des rares en Basse-Autriche à encore être une propriété privée. Bon à savoir : le château a beau avoir été construit il y a près de 900 ans, il n’est pas resté figé dans le passé. Si la demeure comprend un donjon et une chapelle (ce qui était la norme à l’époque), on y retrouve également un cinéma, une bibliothèque et une salle de spectacle. Les anciens propriétaires du château l’ont notamment utilisé comme “centre d’attraction et d’événements de classe mondiale pour des spectacles musicaux et des conférences”.
Le gouvernement bruxellois a récemment adopté une réforme visant à augmenter les charges d’urbanisme et imposer 25% de logements sociaux dans les projets immobiliers de plus de 3.500 m². Des décisions irresponsables, à en juger par les commentaires des acteurs clés du secteur !
Juliana
Selon BECI, Embuild, et l’Union Professionnelle du Secteur Immobilier (UPSI), cette mesure pourrait réduire l’offre de logements et augmenter les prix, contrecarrant l’objectif de la réforme de rendre le logement plus abordable. Elles mettent en avant que l’accessibilité du logement à Bruxelles, tant acquisitif que locatif, risque d’être affectée.
Et cette réforme, elle dit quoi ?
Historiquement, l’arrêté de 2013 ne prévoyait pas de mécanisme d’indexation des charges d’urbanisme. L’accord récent corrige cela, mais seulement pour les bureaux et autres activités économiques, avec une exception pour le résidentiel dont l’indexation ne sera pas rétroactive. Selon l’Echo, les ministres bruxellois se sont également accordés pour que ces charges soient affectées à du logement public dans les dix communes contenant moins de 15 % de logements sociaux et où le revenu est supérieur à la moyenne régionale.
Réactions immédiates !
BECI, Embuild, et l’UPSI jugent l’obligation de 25% de logements sociaux inacceptable, arguant qu’elle ne tient pas compte de la spécificité de chaque quartier ou projet. Ils craignent aussi un impact négatif sur le marché du logement locatif, appelant à une construction de logements locatifs neufs et énergétiquement performants.
Les trois associations exigent en outre une étude préalable évaluant l’impact de la réforme sur l’accessibilité du logement. Ils soulignent que le prix d’achat médian d’un appartement à Bruxelles est déjà le plus élevé des trois Régions et que le nombre de prêts accordés est historiquement bas.
Je n’ai pas tous les talents et je le concède volontiers. Prendre des mesures pour de nouvelles tentures est quelque chose que j’ai du mal à faire. Où commencer ? Où s’arrêter ? Combien de plis estimer ? Je panique rien qu’à l’idée de.
Faut dire : toutes mes tentatives furent vaines. Tentures trop courtes ou trop longues. Ma pire réalisation ? J’ai mesuré la largeur du tissu en oubliant que celui-ci allait devoir gondoler, faire des plis. Résultat ? J’avais dû recommander deux fois les mêmes rideaux : tentures en 4 morceaux dans une des chambres.
Ma voisine, elle, est une pro de la couture. Et puis, elle a l’œil. Elle m’a fait remarquer que je pouvais créer une illusion d’optique en suspendant autrement mes rideaux. Je l’ai laissée faire et j’avoue, c’est bluffant. Les fenêtres paraissent plus hautes et plus larges. Et puis surtout, la luminosité dans la pièce est bien plus forte.
Explications. Moi, jusqu’ici, je plaçais la barre des tentures juste au-dessus de la fenêtre. Et la barre dépassait la largeur des fenêtres d’une vingtaine de centimètres à peine. Du coup, les tentures, une fois posées, cachaient un grand morceau de vitre. Jacqueline, elle, elle a proposé de voir plus grand.
On a acheté une barre de rideaux beaucoup plus large (quasi deux fois la largeur de la fenêtre !) et on l’a placée à quelques centimètres du plafond : elle flirte avec les moulures. Les tentures, cette fois, pendaient à côté des fenêtres, n’occultant pas le moindre morceau de verre : chaque rayon de soleil était le bienvenu.
Elle m’a donné un dernier truc : veiller à ce que les tentures descendent aussi jusqu’au sol. Il parait que cela rajoute encore de l’élégance. Mais à cela je n’ai pas obéi : j’ai des plantes tout le long des bas de fenêtres. Ça m’aurait encombré.
Quoi qu’il en soit, l’avant-après est incroyable. Le rendu est tellement plus satisfaisant. Mon salon est plus lumineux et il a pris du cachet. Versailles, c’est désormais chez moi !
De nos jours, le manque de fonds propres constitue le principal obstacle pour ceux qui souhaitent accéder à la propriété. Une entreprise belge a décidé de faciliter l’accès à celle-ci grâce à un ingénieux modèle de co-investissement.
En manque de fonds propres pour acheter ou investir dans un bien immobilier, de nombreux ménages font face à un obstacle de taille, d’autant que les banques se montrent de plus en plus frileuses à prêter. Les conditions d’octroi au crédit vont aujourd’hui de pair avec un apport de 15% de la valeur du bien, sans compter les frais annexes comme les droits d’enregistrement et les frais de notaire… Des sommes conséquentes ! Pour les candidats primo-acquéreurs, la location demeure souvent la seule solution avec pour corollaire une coquette somme qui part tous les mois dans la poche de leur propriétaire. Une situation particulièrement frustrante, notamment pour les jeunes couples actifs sur le marché du travail et gagnant décemment leur vie !
Comment ça marche ?
Afin de réaliser ce qui relève pour beaucoup du projet de toute une vie, le duo d’entrepreneurs composé de Patrick Van Overbroek et Thomas Palmblad a décidé de proposer un concept de co-investissement qui a pour mission d’épauler les citoyens qui souhaitent accéder à la propriété. Ces deux professionnels de la finance ont mis en place un système d’indivision qui leur permet de co-investir dans un projet immobilier, en apportant les fonds propres manquants (généralement de 10 à 15% de la valeur du bien convoité) et en donnant à la banque les garanties nécessaires à l’achat. Hownvestor devient ainsi co-propriétaire passif du bien concerné. Le principal propriétaire a bien entendu la possibilité de récupérer la pleine propriété de son bien par la suite en rachetant la participation prise par Hownvestor ou simplement en vendant le bien dans le marché.
Combien ça coûte ?
Concrètement, pour se rémunérer, Hownvestor demande une indemnité d’occupation sous la forme d’un loyer. Sur base de la part détenue par Hownvestor dans le bien et du loyer théorique du bien, un montant est calculé. Ensuite, une fois que le ménage a remis ses finances à flot, il a la possibilité de racheter cette part. Dans les faits, Hownvestor prend un mark-up de 25%. Pour un bien d’une valeur de 100.000 € dans lequel 10.000 € ont été investis par la société, celle-ci détiendra une part de 12,5 % dans le bien. Cette majoration fera office de “bénéfice” pour Hownvestor lors de la revente de sa part.
Quels avantages ?
Dans le contexte actuel, les primo-acquéreurs ont de quoi être découragés. En sollicitant l’aide de Hownvestor, non seulement ils recevront un coup de pouce financier mais également l’assistance de professionnels durant le processus d’acquisition. En outre, grâce à ce modèle novateur, le ménage optimise ses chances d’obtenir un crédit, peut accéder à la propriété plus tôt que prévu, cesse de gaspiller une partie de ses revenus dans des loyers et, enfin, investit dans son futur. Le tout pour un coût mensuel qui ne représente qu’une faible indemnité d’occupation que le ménage ne paiera que durant la période d’indivision.
Depuis son lancement en Belgique, Hownvestor suscite un engouement grandissant. Un succès dont se réjouissent Patrick Van Overbroek et Thomas Palmblad, qui espèrent contribuer à booster l’accès à la propriété dans le pays et réaliser le rêve d’une vie pour de nombreux jeunes actifs sur le marché du travail.