Blog

  • Votre jardin en cette fin d’hiver : 5 astuces pour le réveiller en douceur !

    Préparez votre jardin pour le printemps avec nos 5 conseils de fin d’hiver. Rien de bien compliqué au programme, mais mieux vaut s’y mettre dès à présent !

    garden winter

    1. Taillez et nettoyez

    Au sortir de l’hiver, il est crucial de tailler les plantes endommagées par le froid et de nettoyer le jardin des feuilles mortes et débris. Cela permettra à vos plantes de mieux respirer et de croître de manière saine.

    2. Préparez le sol

    Enrichir le sol avec du compost ou du fumier bien décomposé est essentiel pour fournir les nutriments nécessaires à vos plantes. Un sol bien préparé est la clé d’un jardin florissant.

    3. Planifiez vos plantations

    Utilisez cette période pour planifier vos plantations. Pensez aux espaces, aux compatibilités entre plantes, et aux besoins en soleil. C’est aussi le moment idéal pour semer certaines graines à l’intérieur.

    4. Protégez les jeunes pousses

    Les nuits peuvent encore être fraîches. Protégez les jeunes pousses des dernières gelées avec un voile d’hivernage. Cela les aidera à survivre aux températures changeantes.

    5. Entretenez vos outils

    Enfin, ne négligez pas vos outils de jardin. Nettoyez, affûtez et huilez les outils pour qu’ils soient prêts à l’emploi. Quant à votre tondeuse, elle mérite certainement une bonne vidange ainsi qu’un affûtage de sa lame !

  • Innovation : une centrale électrique portable pour les petites installations photovoltaïques !

    Dans un monde où l’espace est un luxe, Sunbooster apporte une solution assez intéressante pour les petits producteurs d’énergie solaire. Le Powerstation Grid, une centrale électrique portable et bidirectionnelle, est conçue pour maximiser l’utilisation de l’énergie solaire produite par les installations de balcon.

    Ce dispositif de stockage d’énergie permet une gestion efficace de l’électricité produite, en la stockant pour une utilisation ultérieure, évitant ainsi les pertes financières liées à l’injection directe de surplus dans le réseau (en cas de compteur intelligent). Son installation simple et son fonctionnement intelligent promettent un retour sur investissement en moins de quatre ans !

    Polyvalence et autonomie

    Le Powerstation Grid peut être utilisé pour recharger un véhicule électrique, offrant jusqu’à 15 km d’autonomie supplémentaire, mais il sert également de générateur de secours en cas de panne de courant. Sa conception permet une connexion facile à n’importe quelle prise domestique, sans nécessité de branchement direct aux panneaux solaires.

    Caractéristiques techniques avancées

    Dotée d’une batterie LiFePO4 de 2 kWh, cette mini centrale solaire portable offre une variété de sorties pour différents appareils et se gère aisément via une application mobile grâce à sa compatibilité Bluetooth et Wifi. La société annonce enfin un poids limité à 22,5 kg et un prix de lancement annoncé à un peu plus de 1.000 euros.

  • Mila : « refaire son escalier, vous êtes plutôt pour la méthode expresse ou la romantique ? »

    Il y a quelques temps, je me suis mise au vert le temps d’un weekend chez une amie, dans les Ardennes belges. Et j’y suis retournée la semaine passée. J’ai été saisie de constater que les travaux entamés dans la cage d’escalier n’étaient plus qu’un lointain souvenir : tout était fini et nickel.

    stairs restoration

    Retaper un escalier, ce n’est pas une mince affaire. J’en sais quelque chose : on n’en finit jamais de poncer. Un travail de titan. Autour de moi, nombreux sont ceux qui ont laissé tomber en chemin. J’en connais même qui ont remis du tapis par-dessus les marches imparfaites.

    Tout ça pour dire que j’ai été sacrément surprise par la rapidité de rénovation de leurs escaliers.

    Mon amie a craché le morceau assez vite : ils ont fait appel à une société qui habille les vieux escaliers en bois et les escaliers en béton usé. L’idée ? Installer de nouvelles marches (et contremarches) sur les marches (et contremarches) existantes.

    Les mesures sont prises au millimètre et sont envoyées à l’atelier pour fabriquer les découpes. Je vous passe les détails mais la suite est rapide : les professionnels viennent coller et fixer chaque marche et chaque contremarche (avec une colle à effet insonorisant). Mon amie a choisi du chêne contrecollé : du joli bois clair. Et des contremarches blanches.

    J’étais aussi émerveillée que perplexe. Certes, le rendu était époustouflant mais, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir un peu le cœur chagrin. C’est triste de recouvrir et cacher de jolies choses pour aller plus vite en besogne. C’est dommage de poser du tout neuf là où l’ancien peut être rafraichi.

    A vrai dire, je pense que je préfère un vieil escalier retapé et embelli à un escalier tout flambant neuf. Le charme des choses qui ont vieilli et racontent une histoire, c’est inégalable, n’est-ce pas ?  

  • Devez-vous payer les dettes de l’association des copropriétaires ?

    Le tribunal ordonne à l’association des copropriétaires de l’immeuble où vous êtes propriétaire, de verser une somme d’argent à quelqu’un. Cette personne peut-elle aussi réclamer cet argent à vous, en tant que propriétaire individuel ?

    Devez-vous payer la dette de l'association des copropriétaires ?
    Cotton Bro studio

    Imaginez ce cas de figure  : l’association des copropriétaires ne paye pas une facture d’un entrepreneur. Ou alors il se peut également qu’elle soit tenue responsable d’un accident survenu dans l’immeuble. Par la suite, elle est condamnée par un juge, mais malheureusement, il n’y a pas assez d’argent comptant pour payer la condamnation. Le créancier peut-il venir frapper à votre porte pour obtenir la somme ?

    Ils peuvent frapper à votre porte

    La réponse est positive. Bien qu’il s’agisse en fait d’une dette de l’association des copropriétaires (et non de vous personnellement), le créancier peut toujours venir frapper à votre porte si l’association des copropriétaires ne paie pas. En tant que copropriétaire de l’immeuble, vous pouvez être contacté directement.

    À l’intérieur des frontières

    Pourtant, il y a des limites claires à ce mécanisme. Vous ne pouvez être tenu responsable qu’en proportion de la part que vous détenez dans les parties communes de l’immeuble. Par exemple, s’il y a 20 appartements dans l’immeuble et que votre appartement a 500/10.000 dans les parties communes, vous ne pouvez être tenu responsable que pour 1/20.

    Ne payez pas deux fois !

    Si vous avez payé  » votre part  » directement au tiers (l’entrepreneur, la victime d’une chute…), le syndic ne pourra pas vous demander de payer une deuxième fois par la suite. Si vous payez votre part de la dette, vous êtes « tiré d’affaire ». Surtout, ne payez pas pour les autres propriétaires de l’immeuble qui ne veulent pas payer leur dette !

    Pour résumer, le fait d’être propriétaire dans une copropriété peut vous exposer à des responsabilités financières qui ne sont pas directement liées à vos actions. Assurez-vous de comprendre vos droits et obligations en tant que copropriétaire pour éviter toute confusion ou mauvaise surprise financière. Bien que l’association des copropriétaires soit responsable des dettes liées à l’immeuble, les créanciers peuvent parfois se tourner vers les propriétaires individuels pour obtenir le paiement. Cependant, cette responsabilité est limitée à la part détenue dans les parties communes de l’immeuble. Prenez le temps de vous informer sur les implications financières de la copropriété afin de protéger vos intérêts et éviter les surprises désagréables.

  • Bruxelles face à une pénurie réelle de 4.500 logements ?

    Une étude révèle un déficit moins important que prévu en logements disponibles, mais toujours significatif.

    brussels

    Selon une étude récente commandée par la ministre bruxelloise du Logement, Nawal Ben Hamou, Bruxelles serait confrontée à une pénurie injuste d’environ 4.500 logements. Cette étude, rapportée par le journal Le Soir, vient contredire les estimations précédentes, souvent plus alarmistes.

    Un modèle d’analyse innovant

    Pour parvenir à ces conclusions, des chercheurs de l’ULB et de la VUB ont élaboré un modèle d’analyse en deux phases. Ils ont d’abord croisé diverses bases de données, appuyés par des algorithmes, pour estimer le nombre de logements vacants. Leur travail suggère que la région compte entre 17.000 et 26.400 logements inoccupés, avec environ 10.000 immeubles potentiellement « suspects ».

    Vérifications et résultats

    Une vérification approfondie a ensuite été menée sur un échantillon de 5.000 adresses, choisies aléatoirement mais reflétant la diversité du paysage immobilier bruxellois. Ces vérifications, réalisées par l’administration régionale, ont permis d’affiner les indicateurs de vacance résidentielle, estimée entre 0,7% et 4,6% du parc total. La vacance considérée comme « sanctionnable » varie entre 0,2% et 1,8%, représentant entre 720 et 9.000 unités de logement. Rappelons à ce sujet qu’à Bruxelles, laisser un logement vide constitue une infraction au code du logement.

  • Google s’engage dans le développement d’un « green data center » en Belgique

    Google a obtenu un permis d’urbanisme pour la construction d’un nouveau data center à Farciennes. Le géant américain nous promet un centre écologique !

    google data center
    Pawel Czerwinski

    L’engagement de Google vers un data center écologique repose sur des conditions strictes. L’objectif est de s’assurer que 90% de l’énergie utilisée soit décarbonée d’ici 2025, et même 95% à l’horizon 2030.

    En plus de l’utilisation préférentielle de panneaux photovoltaïques, Google devra adopter des systèmes de refroidissement par air plutôt que par eau. Le projet intègre également des initiatives de mobilité douce, avec l’installation de stations de trottinettes et vélos partagés, ainsi qu’un transport par bateaux des matériaux de construction (350.000 mètres cubes de remblais seront nécessaires !).

  • Wallonie : les prix ne grimpent plus dans la province la plus chère !

    La fédération des notaires vient de présenter un bilan du marché immobilier en Brabant wallon pour l’année 2023. Si la province a connu une baisse des ventes de 8,21% sur un an, les prix restent néanmoins assez stables…

    nivelles

    Malgré cette réduction du nombre de transactions, le Brabant wallon conserve son titre de province la plus onéreuse de Wallonie, avec un prix médian des maisons à 375.000 euros, en légère diminution de 0,50% par rapport à 2022, lorsqu’on la met en perspective avec l’inflation de 4,6% en 2023. Comment les prix vont-ils évoluer à l’avenir ?

    Les appartements et les terrains à bâtir : des dynamiques contrastées

    Le marché des appartements révèle également une baisse, avec un prix médian en recul de 3,5%, se fixant à 245.000 euros. Malgré cette diminution, le prix des appartements en Brabant wallon reste le plus élevé de la région wallonne.

    À l’inverse, le prix des terrains à bâtir connaît une progression, augmentant de 2,8% pour atteindre 180 euros par mètre carré. Cette augmentation suggère un intérêt persistant pour la construction neuve dans la province.

    Perspectives et implications

    Jean-Paul Mignon, notaire honoraire, résume la situation en affirmant que « l‘année 2023 a été très mauvaise« . Toutefois, il convient de noter que la baisse des ventes en Brabant wallon est moins prononcée que dans le reste de la Wallonie, où la moyenne régionale atteint une diminution de 12,1%.

    Les notaires attribuent ce ralentissement du marché principalement à la hausse significative des taux d’intérêt, passés de 1,32% à 3,38% en l’espace d’un an. Cette évolution tarifaire a incontestablement freiné les ardeurs des acquéreurs potentiels, tout en contribuant à une stabilisation relative des prix dans un contexte économique incertain.

  • Good Living : la dernière lubie du gouvernement bruxellois ?

    Good Living, c’est le nom du nouveau Règlement régional d’urbanisme bruxellois, appelé à remplacer celui qui date de 2007. Approuvé par le gouvernement local, celui-ci peut désormais être consulté en ligne.

    brussels
    dimitrisvetsikas1969

    Après Good Move et Good Food, voici Good Living. Dans les faits, derrière cette appellation se cache le nom du nouveau Règlement régional d’urbanisme, qui comprend une série de règles auxquelles devront se soumettre toutes les rues, les places ainsi que les bâtiments pour obtenir un permis d’urbanisme à l’avenir.

    Concrètement, une nouvelle étape a été franchie ce 17 janvier puisque le cabinet de la secrétaire d’État bruxelloise à l’Urbanisme, Ans Persoons (Vooruit), a dévoilé ce texte dans son intégralité. Son entrée en vigueur est toutefois suspendue au sort que lui réservera le Conseil d’État, auquel le projet sera prochainement transmis.

    Quelles conséquences pour le bâti bruxellois ?

    Good Living vise donc à rendre l’espace public plus qualitatif et agréable à vivre, en prévoyant notamment plus d’arbres et d’espaces verts dans le paysage urbain, ainsi que des trottoirs plus larges et davantage de pistes cyclables. Pour ce qui est des bâtiments, le nouveau texte vise à rendre les logements plus abordables tandis que plusieurs chapitres sont dédiés aux nouvelles constructions, ce qui, on s’en doute, intéresse particulièrement le secteur immobilier.

    Parmi les nombreuses nouvelles règles, on peut notamment citer celle qui prévoit, au sein de toute nouvelle construction, un espace dédié au stationnement de vélos ainsi que des “espaces ouverts au sol” (terrasse, jardin,…) dont la superficie dépendra du caractère isolé ou mitoyen du bâtiment et de sa situation. Figure aussi l’obligation de doter les appartements situés aux étages d’une terrasse individuelle et, dans la mesure du possible, d’un vitrage permettant à la lumière du jour de traverser l’appartement de deux de ses côtés au minimum.

    Et ce n’est pas tout !

    Les logements étudiants sont eux aussi concernés, tout comme les immeubles prévus pour le coliving avec, dans les deux cas, des règles spécifiques. A titre d’exemple, les immeubles dédiés à la colocation devront disposer au maximum de 15 chambres et devront également offrir des surfaces minimales : de 70 m² pour deux chambres à 350 m² pour 15 chambres.

    Autant de “nouveautés” qui vont charger encore un peu plus la barque des architectes qui travaillent sur des projets situés en Région bruxelloise. Ceux-ci devront notamment donner la priorité à la rénovation plutôt qu’à la démolition, les contraignant à intégrer des stratégies de rénovation plutôt que de reconstruction. Une approche qui devra inclure de nouvelles considérations énergétiques et environnementales, engageant ainsi les architectes à concevoir des bâtiments durables et multifonctionnels. Dernier exemple : l’intégration de la gestion des eaux pluviales dans les projets d’aménagement, ce qui exigera, ici aussi, une approche novatrice de la conception des bâtiments et des espaces environnants.

  • Pensez à cet élément crucial pour votre alarme

    Pour une plus grande sérénité, surtout lors des longues soirées d’hiver, n’omettez pas de prévoir des détecteurs d’ouverture en plus des détecteurs de mouvement pour votre système d’alarme. Ils constituent l’ajout idéal pour répondre à bien des problèmes de sécurité.

    Quand on prévoit d’installer un système d’alarme dans sa maison, on pense bien sûr toujours à installer des détecteurs de mouvement. Si ces derniers sont effectivement importants, il convient toutefois de ne pas négliger de prévoir également des détecteurs d’ouverture en plus. Et cela, si possible, sur chaque porte et chaque fenêtre de son habitation. Il faut, bien entendu, particulièrement veiller à équiper les plus reculées.

    Filaire, si possible

    Idéalement, on prévoira dès lors de tirer un câble vers chaque ouverture au moment de la construction ou de la rénovation de son bien, pour une plus grande efficacité du dispositif.  Le système filaire est plus efficace en raison de sa stabilité et de sa fiabilité. Contrairement aux systèmes sans fil, il n’est pas sujet aux interférences et ne nécessite pas de batteries. De plus, il offre une communication directe et instantanée avec le centre de contrôle, cela garantit une réponse rapide en cas d’intrusion. Installer des câbles n’est pas possible dans votre habitation ? Vous pouvez aussi vous tourner vers des détecteurs d’ouverture sans fil.

    Protection périmétrique

    L’installation de détecteurs d’ouverture permet de sécuriser votre domicile même lorsque vous êtes à l’intérieur, contrairement à une configuration reposant uniquement sur des détecteurs de mouvement. Vous pouvez donc brancher votre système d’alarme même lorsque vous êtes à la maison. Il n’y a aucun risque qu’elle se déclenche de façon intempestive à cause de vos propres allées et venues. Cette fonctionnalité est rassurante, particulièrement pendant les longues nuits d’hiver durant lesquelles l’obscurité tombe rapidement. Ces périodes sont d’ailleurs plus propices au cambriolage, on en observe une recrudescence durant ces mois de l’année. Vous pouvez ainsi vaquer à vos occupations l’esprit tranquille dans le salon tout en étant alerté si une porte ou une fenêtre, même éloignée, est forcée.

    Aération sous contrôle

    Ces détecteurs offrent un vrai atout lorsqu’ils sont judicieusement placés. En pensant à réaliser l’installation de détecteurs dans le bas de ses châssis, on peut également basculer ses fenêtres oscillo-battantes pour aérer certaines pièces en journée sans crainte (idéalement quand on est à la maison toutefois !). Si un voleur tente de profiter de cette ouverture pour forcer l’accès, et pénétrer dans votre habitation, l’alarme se déclenchera automatiquement. Généralement on ne branche pas ses détecteurs de mouvement en journée, cependant, c’est pratique et sécuritaire de le faire dans ce cas de figure.

    Temporisation minimale

    Avec ces détecteurs, on peut également se passer de temporisation quand on branche son alarme en mode nuit. Il ne faut, en effet, pas ouvrir une porte ou une fenêtre pour accéder à son clavier pour débrancher l’alarme au petit matin. Brancher ces détecteurs d’ouverture sans temporisation permet alors de faire sonner l’alarme directement en cas de tentative d’intrusion sans laisser de longues secondes d’impunité aux voleurs grâce à sa communication rapide avec le centre de contrôle.

    N’oubliez pas l’importance des détecteurs d’ouverture dans votre système d’alarme domestique. Ils constituent une couche supplémentaire de sécurité qui peut faire toute la différence en cas de tentative d’intrusion. Ces détecteurs d’ouverture sont complémentaires aux détecteurs de mouvement pour une sécurité optimale. Ils se déclenchent avec une temporisation minimale et ils peuvent être activés même lorsque vous êtes présent dans la maison.

  • Pouvez-vous vendre votre bien si vous n’avez pas de « Dossier d’Intervention Ultérieure » ?

    Lors de la vente d’une maison ou d’un appartement, vous devez parfois remettre à l’acheteur un dossier d’intervention ultérieure. Et si vous n’avez rien sous la main, pouvez-vous malgré tout vendre le bien ?

    notary

    Vous devez remettre un dossier d’intervention ultérieure (DIU) lors de la vente d’un bien immobilier dont la construction a démarré après le 1er mai 2001 ou si des travaux ont été effectués après le 1er mai 2001 sur un bien construit à une date antérieure.  S’il s’agit de « travaux mineurs » réalisés par un seul entrepreneur, le dossier d’intervention ultérieure peut naturellement être plus limité.

    Vente

    Si vous êtes tenu de remettre un dossier d’intervention ultérieure à l’acheteur lors de la vente de votre bien, vous ne devez le lui remettre qu’au moment de la signature de l’acte notarié. Si vous n’avez aucun dossier, l’acte indiquera alors qu’il n’y a pas eu de travaux effectués depuis 2001.  

    Pas de dossier : la vente est-elle possible ?

    Si vous n’avez pas de dossier d’intervention ultérieure ou que vous l’avez perdu, soyez rassuré, la vente est toujours possible ! Dans ce cas, vous pouvez (si l’acheteur est d’accord) inclure dans le compromis (et donc dans l’acte) une clause indiquant que le dossier d’intervention ultérieure est manquant alors qu’il était légalement obligatoire. Demandez également au notaire d’indiquer une clause qui mentionne que l’acheteur est d’accord et qu’il ne fera aucune réclamation contre vous à ce sujet.  Une autre possibilité consiste à faire établir le dossier (rétroactivement) par un coordinateur de sécurité.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)