C’est toujours avec une certaine fierté que nous présentons des innovations belges qui redéfinissent les industries. Vertuoza en fait clairement partie : cette scale-up belge révolutionne le secteur du bâtiment et la fait entrer dans l’ère du digital. Comment ? Suivez le guide !
Gérer un chantier, c’est jongler avec mille et une choses : les délais qui pressent, même quand la météo décide de faire des siennes, trouver ce fichu outil ou cet isolant qui semble avoir disparu entre le camion et l’entrepôt, sans parler de garder un œil sur les coûts qui font du yoyo. Et puis, il y a l’équipe à orchestrer, dispersée sur différents fronts. Bref, chaque jour est un nouveau défi pour rester dans le coup et satisfaire les clients. La vie d’une société spécialisée dans le bâtiment est donc loin d’être de tout repos… Et cela, les magiciens de Vertuoza, l’ont parfaitement cerné !
Vertuoza peut être définie comme une plateforme tout-en-un qui facilite la gestion des devis, des plannings, des interventions, des stocks, des chantiers… Les fondateurs ont en effet rapidement compris que dans le bâtiment, probablement plus que dans n’importe quel autre secteur, le secret de la réussite tient dans l’organisation. Ce qu’il faut, c’est un système bien huilé, où tous les engrenages s’alignent correctement. Un système où les interventions sont planifiées, où les devis sont enregistrés et suivis, où les commandes sont centralisées, où les stocks sont gérés et où, bien entendu, les heures de travail sont enregistrées.
Ce que Vertuoza propose, c’est de digitaliser cette charge de travail conséquente en mettant l’accent sur l’optimisation des marges et l’efficacité opérationnelle. Bien entendu, la plateforme est flexible et s’adresse aussi bien aux indépendants qu’aux PME. Pour vous en convaincre, il suffit de les contacter !
Entre la signature du compromis de vente et l’acte notarié du bien que vous convoitez, vous remarquez que le logement a subi quelques dégâts. Pouvez-vous demander au vendeur de les réparer ou est-ce à vous de le faire, en tant qu’acheteur ?
Lorsque vous achetez une maison ou un appartement, il s’écoule généralement plusieurs mois avant que l’acte ne soit signé. Pendant cette période, toutes sortes de problèmes peuvent survenir dans le bien immobilier : en effet, le vendeur (ou son locataire) habite souvent encore les lieux et peut (consciemment ou non) causer toutes sortes de dégâts. Des circonstances extérieures (tempête, incendie, etc.) peuvent également causer des dommages.
Le vendeur est responsable
Si vous concluez une promesse d’achat (ou un compromis de vente) avec le vendeur, celui-ci reste responsable des dommages causés au bien jusqu’à la vente effective (qui coïncide normalement avec la signature de l’acte). En effet, le compromis stipule généralement que la propriété du bien et les risques y afférents ne sont transférés à l’acheteur qu’au moment de la signature de l’acte.
Vous pouvez toutefois conclure d’autres accords avec le vendeur : on pense notamment au cas où vous recevez déjà une clé du bien après le compromis, afin de pouvoir y effectuer certains travaux. Dans ce cas, il peut par exemple être convenu que vous serez responsable, en tant qu’acheteur, de tout dommage causé au bien pendant cette période.
L’assurance ?
Si des dommages surviennent, ils peuvent être couverts par l’assurance incendie du bâtiment, notamment s’il est endommagé par un incendie ou des intempéries. C’est l’assurance incendie du vendeur qui couvrira alors les dommages. Bon à savoir : celle-ci prend fin 3 mois après la signature de l’acte. En tant qu’acheteur, vous restez couvert par la police du vendeur jusqu’à l’expiration de cette période de trois mois, à moins que vous ne soyez couvert par un autre contrat. Si vous travaillez dans le bien ou si vous recevez les clés avant la signature de l’acte, vérifiez auprès de votre courtier d’assurance s’il n’est pas préférable de souscrire vous-même une assurance…
La souscription d’une assurance incendie n’est généralement pas exigée par la loi. Pour vous assurer que le vendeur en dispose d’une, vous pouvez lui demander de présenter la police et la preuve du paiement de la prime lors de la signature du compromis.
Comment prouver les dégâts ?
En cas de litige sur la question de savoir si certains dommages sont apparus après le compromis ou s’ils existaient auparavant (et que donc, vous étiez au courant), c’est vous, en tant qu’acheteur, qui devrez en apporter la preuve. Cette preuve est souvent loin d’être simple ! Vous pouvez éventuellement montrer des photos du bien au moment de la vente. Une autre méthode possible consiste à élaborer avec le vendeur, au moment du compromis, un état des lieux du bien que vous souhaitez acheter. Pour ce faire, vous pouvez réaliser un reportage photographique que vous ferez signer par le vendeur pour approbation. Prenez ensuite rendez-vous avec le propriétaire juste avant l’acte notarié. Vous pourrez alors vérifier qu’il n’y a pas eu de dégâts supplémentaires et que le vendeur n’a pas commis d’impairs.
Il y a des dégâts
S’il y a des dégâts et qu’ils sont importants, vous pouvez demander au vendeur de les réparer. Sil refuse et si les dommages sont importants, vous pouvez demander la résiliation de l’acte de vente. Vous pouvez également demander des dommages et intérêts ou une réduction du prix. Essayez de trouver une solution avec le vendeur. En cas d’échec, le tribunal aura le dernier mot. Cela ne signifie pas nécessairement l’arrêt de la vente ! En effet, s’il y a encore des discussions sur les dommages et intérêts, une partie du prix de vente peut également être bloquée chez le notaire jusqu’à ce que la question soit clarifiée.
En 2024, IKEA fête ses 80 ans ! Et pour l’occasion, la division belge de la célèbre chaîne suédoise d’ameublement annonce une collaboration avec YUST. Le résultat ? Des RËTRO RÖÖMS, soit des chambres d’hôtel, transformées en véritables capsules temporelles et qui nous (re)plongent dans les années 70 !
Les années 70, avec leur esthétique audacieuse et colorée, ont laissé une empreinte indélébile dans l’histoire du design. Pour s’en convaincre, il suffit de replonger dans les catalogues IKEA de cette époque : il y est question de motifs audacieux et de couleurs vibrantes ! Les RËTRO RÖÖMS sont un hommage à cette époque, recréant avec fidélité et originalité l’atmosphère des seventies grâce à des éléments de décoration soigneusement sélectionnés.
Une expérience déco immersive
Chaque RËTRO RÖÖM est un voyage dans le temps, où le papier peint rétro, les produits de la collection Nytillverkad et les accessoires « vintage » se mêlent pour offrir une expérience qui paraît fort authentique ! On y voit donc des chambres où le rouge et l’orange dominent (quand ce n’est pas le vert), entourant des lits encadrés d’armoires vintage. A cela, il faut encore rajouter les coins salon aux fauteuils rétro « Nytillverkad ».
Réservez votre voyage dans le temps
Disponibles jusqu’au 30 juin 2024, ces RËTRO RÖÖMS annoncent une immersion totale dans le style des années 70. Pour nous, c’est surtout un fabuleux voyage dans le temps et une excellente source d’inspiration ! Y a-t-il des amateurs de déco vintage dans la salle ?
Ce n’est pas un secret, dans l’immobilier, la vente est un domaine exigeant où chaque détail compte. En la matière, le home staging peut être un allié de poids lorsqu’il s’agit de mettre en valeur les atouts d’un bien, surtout si celui-ci nécessite d’être rénové.
Que l’on cherche à vendre un bien en parfait état ou qui nécessite d’être rafraîchi, le home staging a pour objectif de promouvoir les atouts de celui-ci afin de le céder à un nouvel occupant dans les meilleurs délais tout en justifiant le prix demandé. Une technique qui gagne en popularité dans notre pays puisqu’elle offre une solution imparable pour séduire les acheteurs potentiels, en améliorant l’attractivité d’une maison ou d’un appartement tout en accélérant sa vente. Et c’est d’autant plus indiqué lorsque le bien nécessite d’être rénové puisque le home staging permet d’offrir un aperçu de ce qu’il sera une fois rafraîchi.
Différentes techniques
L’idée derrière le home staging est simple : que cela soit pour une maison, un appartement ou tout autre type de propriété, le but est de créer une atmosphère à la fois chaleureuse et accueillante qui permettra aux visiteurs de se projeter dans leur futur chez eux.
Pour parvenir à créer cette ambiance cosy, on recourt à une série de techniques. Le home staging peut en effet prendre différentes formes selon les besoins et le budget du propriétaire du bien. On peut se contenter de la réalisation d’un photomontage, une méthode particulièrement utile pour permettre aux acheteurs ou aux locataires de visualiser le potentiel d’un bien avant même de le visiter. Mais le plus efficace est bien entendu de revoir quelque peu l’aménagement voire l’ameublement du bien. Une étape supplémentaire qui va permettre aux visiteurs de se projeter encore plus facilement dans leur futur lieu de vie. Des espaces chaleureux, bien agencés et subtilement décorés peuvent jouer un rôle déterminant dans la prise de décision d’un acheteur ou d’un locataire potentiel.
Vendez ou louez plus cher !
En contribuant à créer une atmosphère positive et accueillante, le home staging peut également aider à minimiser les défauts potentiels d’une propriété. Des espaces désencombrés et harmonieusement organisés permettent en effet aux visiteurs de se concentrer sur les points forts du bien et d’envisager plus sereinement son potentiel. De quoi vous permettre d’exiger un prix plus élevé comme l’explique le site agentsimmo, votre bien étant présenté sous son meilleur jour. C’est qu’il ne faut pas sous-estimer l’aspect psychologique du home staging. En effet, celui-ci peut jouer un rôle essentiel dans le processus de décision d’un acheteur. Quand un bien est convenablement mis en valeur, il devient plus facile pour les visiteurs de s’imaginer y vivre, ce qui va renforcer leur attachement émotionnel au bien.
Combien ça coûte ?
La Belgique n’est pas épargnée par le home staging et, tout logiquement, de nombreuses sociétés spécialisées se sont développées pour répondre à la demande croissante des propriétaires et des agents immobiliers. Certaines d’entre elles, comme IACrea font même appel à l’intelligence artificielle pour préparer des photomontages séduisants. Pour ce qui est du coût total d’un home staging, celui-ci se situe généralement entre 1 et 5 % du prix de vente du bien. Un investissement qui peut générer une plus-value qui peut atteindre 5 à 15 % !
Vous le voyez, le jeu en vaut donc la chandelle, d’autant plus que de nombreux professionnels proposent désormais des solutions adaptées à chaque situation et budget.
Le PEB est devenu un élément toujours plus essentiel lors d’un achat immobilier. Cependant, tous les Belges ne comprennent pas vraiment son importance…
Selon l’Observatoire sur l’immobilier de CBC Banque & Assurance, la performance énergétique d’un bien immobilier est devenue un critère d’achat majeur pour les Belges, avec plus de trois quarts des candidats propriétaires considérant le niveau de PEB (Performance Énergétique des Bâtiments) comme important, voire essentiel, contre 61% l’année précédente.
Des lacunes subsistent
Cependant, une majorité de Belges admet ne pas être suffisamment informée sur les exigences en matière de PEB. La moitié des Belges ignore toujours le niveau de PEB de leur logement, bien que cette proportion ait diminué par rapport à l’année dernière. Plus inquiétant encore, plus de 40% des répondants ne savent pas que les habitations devront atteindre en moyenne le label A ou B d’ici 2050.
Un objectif ambitieux !
Caroline Lejeune, présidente de la Fédération des agents immobiliers francophones (Federia), souligne l’ambition mais aussi les défis de la rénovation énergétique d’ici 2050 : « il est illusoire de vouloir tout rénover d’ici 2050 ! », explique-t-elle, et notamment pour des raisons de main d’œuvre insuffisante.
Priorités de rénovation et manque d’information
L’isolation et l’installation de panneaux solaires sont les principales rénovations envisagées par les propriétaires désireux d’améliorer l’efficacité énergétique de leur bien. Toutefois, plus de 60% des propriétaires se sentent mal informés sur les aides et primes disponibles pour la rénovation.
La propriété, une priorité pour les Belges
Malgré les obstacles, notamment la hausse des coûts des matériaux de construction et de l’énergie, la propriété reste une priorité pour les Belges. L’âge moyen à l’achat d’un premier bien immobilier tend à reculer, ce qui reflète les difficultés rencontrées par les acheteurs dans le contexte économique actuel.
Dans les toilettes, ce n’est pas toujours évident de trouver quelle déco adopter. Et, soyons honnêtes, ce n’est pas le lieu le plus glamour de la maison. Mais on y passe du temps, alors autant en faire un endroit agréable.
Il se fait que j’ai vu passer sur les réseaux une idée déco pleine de charme. Et facile à réaliser, ce qui ne gâche jamais rien. Un porte papier toilette aux allures de tableau.
Première étape : dénicher le cadre en bois idéal.
Deux choses s’imposent. Il faut que les bords du cadre soient relativement larges pour accueillir les crochets métalliques qui retiendront le rouleau de PQ. Et il faut que le cadre ne soit pas trop large : il sera évidemment impossible de fixer ces mêmes crochets sur la partie en verre. L’écart entre les deux bords verticaux du cadre ne devra pas être trop large : ils devront correspondre à la longueur du cylindre en bois qui retiendra le rouleau de papier.
J’ai dégoté un petit cadre carré en bois brut dans un magasin de seconde main. J’aime me balader dans ce genre d’endroits : on trouve toujours des pièces uniques d’un autre temps.
J’ai nettoyé le bois, mais pas trop. Léger ponçage pour le rendre propre. C’est tout. Je voulais garder le côté brut du vieux bois. J’avais conservé le vieux porte rouleau de mes toilettes : il était là quand j’ai emménagé. J’ai démonté le tout et récupéré les deux crochets métalliques de l’ancien support. Je les ai fixés sur le cadre, à l’aide de petites vis de la même couleur. En veillant à les accrocher le plus bas possible sur les bords verticaux. De cette façon, lorsqu’on mettra un rouleau, il ne cachera pas l’intérieur du cadre.
Il me restait à le décorer !
J’ai opté pour une chute de tapisserie en léger relief : des tons doux, des motifs végétaux. J’ai collé mon papier peint sur la plaque arrière et j’ai remis le cadre de bois par-dessus. Je n’ai pas remis la plaque de verre : c’était plus doux, plus authentique sans le côté froid et lisse du verre. J’ai remplacé le cylindre métallique d’origine par un autre en bois, pour un rendu plus tendre. C’était fini.
Je pense que dans les jours prochains, je réaliserai d’autres petits cadres avec le même papier peint pour décorer l’ensemble des toilettes. C’est ce qui est merveilleux avec le bricolage : chaque création en appelle une autre et donne d’autres envies !
Les maisons pliables représentent une innovation majeure dans le secteur de la construction. Contrairement aux idées reçues, il ne s’agit pas de structures précaires mais de véritables habitations, souvent en bois, conçues pour être montées rapidement grâce à des panneaux préfabriqués qui s’emboîtent. Cette méthode permet de réduire considérablement le temps de construction, passant de plusieurs mois à quelques jours seulement.
Pourquoi pliable ?
Tout simplement parce que la maison est souvent livrée… pliée ! Les murs et toits de déploient ensuite grâce à des vérins ou des systèmes de levage.
Avantages et inconvénients
Les avantages des maisons pliables sont nombreux : rapidité de construction, flexibilité de conception, et potentiellement un moindre impact environnemental. Elles offrent la possibilité de personnaliser son espace de vie et d’adapter la maison à ses besoins évolutifs. Cependant, le coût initial peut être plus élevé que celui d’une construction traditionnelle, et certains aspects, comme la résistance aux intempéries extrêmes, peuvent susciter des interrogations.
Budget ?
Le prix d’une maison pliable varie grandement, allant de 30 000 € pour 35 m² à plus de 100.000 € pour des surfaces plus importantes.
À l’ETH Zurich, un laboratoire innovant permet de simuler les conditions de lumière solaire de différents endroits du monde – du soleil de midi dans le Sahara au soleil de janvier à Berlin – sur simple pression d’un bouton !
ETHZ
Ce laboratoire, le Zero Carbon Building Systems Lab, est dédié à l’étude et au développement de nouveaux systèmes, composants et matériaux de bâtiment sous des conditions climatiques réalistes.
Le soleil artificiel
Le laboratoire abrite une installation unique au monde : un soleil artificiel composé de centaines de puissantes diodes lumineuses fixées sur un bras pivotant. Cette configuration permet de simuler précisément le parcours du soleil et la composition de ses rayons pour tester les effets de l’ensoleillement sur divers matériaux et systèmes.
Innovations pour la construction durable
Le laboratoire s’active donc au développement de composants qui contribuent activement à l’efficacité énergétique et au confort des bâtiments. Parmi ces innovations figurent une façade semi-transparente en polymère imprimé, qui filtre la lumière solaire selon l’angle d’incidence, et des composants imprimés en 3D qui peuvent diriger la chaleur solaire à l’intérieur des bâtiments ou agir comme isolants.
Façade solaire adaptable
Un autre projet de recherche est la façade solaire adaptable, dont les panneaux solaires mobiles s’orientent en fonction de la position du soleil pour maximiser le gain énergétique. L’objectif final étant bien sûr d’arriver à des bâtiments au bilan carbone neutre.
2023 fut une année morose pour lemarché des crédits hypothécairesen Belgique, révèle une étude de BNP Paribas Fortis. Pourtant, tout n’est pas aussi sombre qu’on pourrait le croire…
L’année passée a marqué une baisse significative dans le secteur des crédits hypothécaires en Belgique. BNP Paribas Fortis a constaté une réduction de 30% du nombre d’emprunts, passant de 255.000 en 2022 à 180.000 en 2023, pour un montant total qui a chuté de 42,8 à 29,9 milliards d’euros. Cette régression ramène le marché à son niveau le plus bas depuis 2012.
Préférence pour les taux fixes
Dans un contexte d’incertitude économique, les emprunteurs ont massivement opté pour des taux fixes, représentant 97% des choix. Cette tendance souligne une quête de stabilité dans un environnement financier fluctuant.
Les primo-acquéreurs résistent
Malgré la baisse générale, les primo-acquéreurs de moins de 30 ans ont vu leurs crédits hypothécaires augmenter de 9% par rapport à 2022, représentant 29% des crédits octroyés. Cette dynamique est soutenue par l’aide familiale et l’introduction de crédits hypothécaires sur 30 ans, facilitant l’accès à la propriété.
Et le marché, dans tout ça ?
Le marché immobilier belge a montré une certaine résilience. Les valeurs des biens continuent de progresser (+4% depuis 2022), à l’exception des passoires énergétiques qui peinent à trouver preneurs. Enfin, BNP souligne que les besoins de rénovation pour répondre aux objectifs climatiques de 2050 sont estimés à 380 milliards d’euros.
Perspectives Futures
Malgré une prévision de croissance nulle pour 2024, les experts anticipent un rebond dès 2025, avec une hausse des prix de 3,8%, suivie d’une autre augmentation en 2026 (+4,2%).
