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  • Energie : au Canada, une province préfère limiter le renouvelable !

    Non, les énergies renouvelables ne sont pas accueillies à bras ouverts partout. Dans l’Alberta, il est même question de faire marche arrière à toute vapeur !

    Alberta
    Erin Minuskin

    La province canadienne de l’Alberta est très conservatrice et également, un pilier de l’industrie pétrolière et gazière. Le terreau est donc peu fertile au développement d’énergies renouvelables, qu’elle qualifie d’ailleurs de « peu fiables ».

    Des raisons touristiques !

    Sous la direction de Danielle Smith, figure de proue du conservatisme, l’expansion des énergies renouvelables dans l’Alberta est interdit sur les terres agricoles de premier choix. En outre, une zone tampon de 35 kilomètres est imposée autour de certains sites.

    Cette démarche s’inscrit dans un contexte plus large où l’Alberta, contribuant à plus de 80% de la production pétrolière du Canada, privilégie clairement les combustibles fossiles au détriment des alternatives renouvelables. La province se positionne ainsi en opposition frontale aux politiques climatiques du gouvernement fédéral de Justin Trudeau, notamment sur l’objectif d’un réseau électrique « propre » d’ici 2035.

    Affirmation de souveraineté

    Pour asseoir sa décision, l’Alberta invoque sa « loi sur la souveraineté », un mécanisme législatif lui permettant d’ignorer les directives fédérales jugées nuisibles à ses intérêts. Cette manœuvre, une première dans l’histoire de la province ! De quoi remettre en question la cohésion des politiques énergétiques et environnementales au Canada ?

  • Achat de meubles ou d’accessoires domestiques : pouvez-vous payer cash ?

    Pour votre maison, vous avez besoin d’un nouveau meuble, de câbles électriques ou encore de matériaux de construction  Le vendeur peut-il refuser que vous payiez en espèces ? Notre avocat vous dit tout au sujet de la nouvelle loi !

    euros wallet
    Bermix Studio

    Bien que la plupart des commerçants aient toujours accepté l’argent liquide, il existait ici et là des magasins qui ne l’acceptaient pas, ce qui signifiait que vous ne pouviez payer qu’électroniquement avec eux.

    Une nouvelle loi interdit cette pratique et stipule que le commerçant est tenu d’accepter les paiements en espèces des consommateurs lorsqu’un paiement en euros est effectué en présence physique du consommateur et de l’entreprise.

    Exceptions

    Le commerçant ne peut déroger temporairement à cette obligation que dans des cas exceptionnels. Il peut s’agir de raisons de sécurité (par exemple, plusieurs cambriolages ont eu lieu récemment dans le quartier). Le détaillant doit alors l’annoncer de manière claire et compréhensible à l’entrée de son espace de vente et à la caisse.

    Le commerçant peut également refuser une trop grosse différence entre la valeur du billet et le montant de l’achat. Exemple : un billet de 200 € pour un achat de 5 €.

    Montants maximums

    Il faut savoir que la loi fixe également une limite à 3.000 euros aux paiements en espèces. Si le prix d’achat est plus élevé, seuls 3 000 euros peuvent être payés en espèces et le reste doit être payé d’une autre manière.

    Également un moyen de paiement électronique

    Outre le paiement en espèces, le commerçant doit également vous proposer au moins une solution vous permettant de régler vos achats par voie électronique.

  • Les bulles de jardin : l’investissement idéal pour ce printemps ?

    Moins chères que les vérandas et autres pergolas, les bulles de jardin, également appelées « igloos de jardin » par ceux qui y voient une utilisation hivernale, semblent avoir la cote en ce moment. Que faut-il savoir à ce sujet ? On vous dit tout !

    garden igloo

    Une bulle de jardin est une structure sphérique (semi-)transparente conçue pour l’extérieur. Fabriquée principalement en PVC ou en polycarbonate, elle offre résistance aux UV (souvent) et aux intempéries (on ne parle évidemment pas d’une grosse tempête !). Dotée d’un diamètre variant généralement entre 3 et 5 mètres, elle est peut être utilisée comme une petite terrasse couverte supplémentaire ou comme un espace de travail. Pour y accéder, on retrouve généralement une porte zippée. Enfin, pour le confort, il est possible de commander des systèmes de ventilation ou de chauffage.

    Avantages : un havre de paix et de connexion

    Les bulles de jardin offrent un espace unique pour se détendre et se reconnecter avec la nature, tout en profitant d’un espace couvert, vous protégeant des intempéries. Si vous avez besoin d’inspiration, c’est parfait ! Ou pour une soirée romantique sous les étoiles, c’est tout aussi sympa ! Enfin, s’agissant d’une structure démontable, vous n’avez pas besoin de permis…

    Inconvénients : chaud dedans !

    Malgré leurs atouts, ces bulles ont leurs limites. Leur transparence peut poser des problèmes d’intimité, et elles nécessitent des solutions pour éviter l’effet de serre en plein soleil ! Enfin, et vous l’aurez sans doute deviné, leur résistance face à certaines conditions climatiques extrêmes peut être limitée…

    Budget ?

    Le coût d’une bulle de jardin varie selon sa taille et ses caractéristiques, allant de quelques centaines à plusieurs milliers d’euros.

  • Mila : « des serviettes collées sur la cire, le détail ultime pour vos fêtes d’anniversaire ! »

    J’ai organisé l’anniversaire de mon amoureux. Et pour cette soirée en petit comité, j’ai mis en place une décoration toute douce et élégante. Je voulais autant de bougies dans la pièce que sur son gâteau. C’est dire…

    Pour l’occasion, j’ai testé une technique souvent observée et jamais tentée encore : celle des serviettes collées sur la cire.

    La première étape a consisté à acheter les 40 bougies. Je les ai choisies blanches, de deux hauteurs différentes (15 cm pour les unes et 6 pour les autres) et d’un bon diamètre (+/- 6 cm) : il fallait qu’on les remarque ! La seconde étape s’est avérée un peu plus compliquée : je voulais trouver des serviettes en papier aux motifs végétaux, aux couleurs lumineuses, sur fond blanc.

    Le reste du matériel nécessaire, je l’avais déjà chez moi : j’allais dégainer le fer à repasser et le rouleau de papier sulfurisé (ou de cuisson).

    J’ai sorti la première serviette aux grandes feuilles bleues et vertes et j’ai séparé les couches fragiles du papier pour en détacher seulement la première, celle aux motifs. Je l’ai positionnée sur la table et j’ai couché la bougie par-dessus. J’ai juste eu à découper le bout de serviette qui dépassait de la hauteur de la bougie et celui qui dépassait lorsqu’on l’enroulait autour de la bougie : il fallait qu’il en fasse le tour une fois.

    J’ai découpé autant de papier que j’avais de bougies : fini, les découpages. Il restait l’étape cruciale du collage.

    Après, il faut un peu de dextérité. Car il ne faut pas se brûler avec le fer à repasser. Vous prenez votre bougie et vous posez le papier serviette par-dessus, en respectant pile-poil la hauteur. Vous veillez bien à mettre le côté du papier serviette avec les motifs vers l’extérieur. Puis, vous en entourez la bougie. Vous prenez un papier cuisson et vous l’enroulez lui aussi par-dessus la bougie et la serviette.

    Il ne vous reste plus qu’à passer votre fer sur le papier sulfurisé. Tout est dans le mouvement : il ne faut oublier aucun endroit et il faut rester suffisamment longtemps sur le papier cuisson pour que la serviette colle à la cire chauffée.

    Plusieurs passages du fer se sont avérés nécessaires pour que le papier serviette adhère à la cire blanche. Mais quel joli résultat, lorsque vous le retirez ! Les feuilles étaient comme imprimées sur la bougie : parfait !

    Une technique qui permet de varier les thèmes de la déco et de personnaliser vos bougies à l’envi !            

  • Que faire si vous souhaitez assainir votre sol suite à une fuite de mazout ?

    Savez-vous qu’en Belgique, un fonds spécial a été créé pour vous soutenir dans l’assainissement de vos sols pollués par le mazout ?

    leak oil tank

    Son nom est Promaz. Ce fonds a été tout spécialement créé pour intervenir financièrement dans le cas d’une opération d’assainissement d’un sol pollué dû à une fuite d’une citerne à mazout ou d’une de ses conduites, à condition que ce carburant soit utilisé pour le chauffage de bâtiments, avec ou sans fonction résidentielle.

    Le fonds Promaz est une initiative du secteur des combustibles. Celui-ci a reçu pour mission de travailler en conformité avec les dispositions d’un accord de coopération entre les autorités fédérales et régionales, sous le contrôle de la Commission d’assainissement des sols.

    Un incident du genre est vite arrivé

    Le fait qu’une citerne à mazout ou l’une de ses conduites, reliée à un système de chauffage central, présente une fuite est un écueil qui se produit malheureusement régulièrement. Une défectuosité a priori mineure, qui peut pourtant entraîner une pollution importante du sol sous ou autour du bâtiment concerné. Et l’assainissement d’une pollution de ce type peut s’avérer particulièrement coûteux ! C’est dans ce cadre que le fonds Promaz a été créé, avec pour mission de traiter ce type précis de pollution dans le but d’assainir le sol vicié.

    Quel est le rôle de Promaz ?

    Promaz intervient dans toute la Belgique en offrant une intervention financière pour tout projet d’assainissement du sol, qu’il soit entrepris par vous-même, par un professionnel ou qu’il ait déjà été effectué par le passé. Et si vous le souhaitez, Promaz peut également prendre en charge l’assainissement du sol de manière opérationnelle.

    Pensez-vous faire face à une fuite de mazout ou avez-vous déjà effectué l’assainissement du sol de votre habitation ? Vous pouvez alors faire appel à ce nouveau fonds. Toute demande peut être introduite jusqu’au 28/02/2025 inclus. Une fois votre demande déclarée recevable par Promaz, la procédure d’assainissement sera entamée.Pour soumettre votre demande ou pour toute information complémentaire, cliquez ici.

  • Primo-acquéreurs : ne vous avouez pas vaincus !

    Les jeunes ménages qui font face à des obstacles dans le processus d’acquisition de leur premier logement sont de plus en plus nombreux. Heureusement, une solution existe et elle s’appelle Hownvestor !

    Depuis le tournant de la décennie actuelle, il est devenu quasiment impossible pour la majorité des primo-acquéreurs de trouver une maison ou même un appartement qui rentre dans leur budget. Même un couple qui perçoit deux salaires doit, bien souvent, pouvoir compter sur une aide extérieure pour pouvoir acheter.

    Outre l’apport personnel, qui doit généralement être égal ou supérieur à 10 % (autrement dit, le montant emprunté ne doit pas dépasser 90 % de la valeur du bien), le crédit hypothécaire est également soumis à la “règle du tiers”, appliquée par les organismes financiers. Pour faire bref, la banque estime que vous ne devez pas consacrer plus d’un tiers de vos revenus au remboursement des mensualités propres à votre crédit hypothécaire. Tout emprunteur doit donc présenter une situation bancaire optimale, idéalement dépourvue de crédits en cours. Sans oublier le fait qu’il est devenu très compliqué voire impossible d’inclure les frais de notaire dans le crédit… Du coup, pour les candidats primo-acquéreurs, la location demeure bien souvent la seule solution avec pour corollaire une coquette somme qui part tous les mois dans la poche de leur propriétaire. Une situation particulièrement frustrante !

    Les pros de la situation

    Si des solutions publiques existent, comme le Fonds du logement à Bruxelles, le Fonds du Logement de Wallonie ou encore le Woningfonds en Flandre, il est aussi possible de se tourner vers une initiative privée innovante : Hownvestor. Ce concept de co-investissement, lancé par les entrepreneurs Patrick Van Overbroek et Thomas Palmblad, a pour mission d’épauler les citoyens qui souhaitent accéder à la propriété. Concrètement, Hownvestor co-investit dans votre projet immobilier, en apportant les fonds propres manquants et en donnant à la banque les garanties nécessaires à l’achat. Cette société devient alors co-propriétaire passif du bien concerné. Le principal propriétaire a bien entendu la possibilité de récupérer la pleine propriété de son bien par la suite en rachetant la participation prise par Hownvestor.

    Un concept idéal pour les jeunes ménages

    Pour se rémunérer, Hownvestor demandeune indemnité d’occupation sous la forme d’un loyer. Un montant calculé sur base de la part détenue par Hownvestor dans le bien et du loyer théorique du bien. Une solution particulièrement indiquée pour les jeunes actifs sur le marché du travail qui auront vite fait de remettre leurs finances à flot. Une fois que c’est le cas, le ménage n’a plus qu’à racheter la part détenue par Hownvestor, qui se contentera d’un mark-up de 25% sur ladite part, en guise de rémunération.

    En sollicitant l’aide de Hownvestor, les jeunes primo-acquéreurs recevront non seulement un coup de pouce financier mais également l’assistance de professionnels durant le processus d’acquisition. De quoi optimiser leurs chances d’obtenir un crédit et d’accéder ainsi à la propriété plus tôt que prévu !

    je veux tout savoir

  • Les délais pour obtenir un permis d’urbanisme battent tous les records

    C’est le président de l’Ordre des Architectes du pays, Francis Metzger, qui tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Jamais les délais d’obtention des permis d’urbanisme n’ont été aussi longs !

    real estate estimation

    Le permis d’urbanisme est un document qui vous autorise à effectuer certains travaux de construction. Si vous envisagez de construire, de rénover ou encore d’agrandir une habitation, il est essentiel que vous commenciez par demander celui-ci. C’est la commune sur laquelle se situe la propriété qui a la charge de vous octroyer ou non ce permis. S’il y a encore une vingtaine d’années, quelques semaines suffisaient pour obtenir ce document, de nos jours, il faut souvent compter plusieurs mois, en particulier à Bruxelles et en Wallonie où l’on bat tous les records de lenteur. Un vrai parcours du combattant, tant pour les particuliers que pour les professionnels, comme les architectes et les promoteurs immobiliers.

    Plus d’un an et demi !

    Et Francis Metzger de prendre quelques exemples concrets au micro de nos confrères de Bel RTL : “C’est la catastrophe, surtout à Bruxelles”, se désole-t-il. “En Wallonie, la difficulté, c’est de rencontrer les autorités administratives.” “Bruxelles c’est le sommet absolu”, regrette le célèbre architecte. “Si je prends des villes de taille comparable comme Amsterdam, Berlin, Marseille, c’est quatre mois pour obtenir un permis d’urbanisme. Tous ceux qui ont demandé un permis récemment se rendront compte qu’à Bruxelles, on est à plus d’un an et demi pour le même type de projet !” Soit trois fois plus de temps !

    And the winner is…

    Le pompon en la matière, c’est ce que Francis Metzger qualifie “d’insécurité juridique”. “Au bout du compte, on n’a parfois pas son permis…” Ce qui pousse bien entendu certaines personnes à poursuivre leur projet dans l’illégalité, quitte à se régulariser par après, ou pas. Beaucoup de gens n’ont pas les moyens d’attendre tout ce temps et vont travailler en infraction et ne vont pas demander le permis, constate-il encore. Une administration aux performances déplorables qui, selon Metzger, finira par décourager les investisseurs de venir à Bruxelles, refroidis par une insécurité juridique endémique.

    A quand le numérique ?

    Une fois n’est pas coutume, l’Ordre des architectes appelle donc communes et régions à agir au plus vite, en ciblant deux priorités : le renforcement des moyens humains et financiers des instances publiques, et l’informatisation relatives aux procédures. Une des pistes avancées serait en effet la numérisation du permis à l’échelon national. Car oui, en Wallonie, on en est encore à traiter des permis papier, tout comme dans certaines communes bruxelloises ! La Flandre, de son côté, est passée au numérique depuis belle lurette, et on n’y connaît pas des délais d’attente qui dépassent parfois les 30 mois comme c’est le cas dans la capitale et au sud du pays…

  • Bruxelles : voici les nouvelles règles en matière de droits de succession sur le logement familial

    Depuis le 1er janvier dernier, Bruxelles a élargi les cas dans lesquels le partenaire d’une personne décédée ne doit pas payer de droits de succession sur le logement familial dont il hérite. Notre avocat vous dit tout !

    senior couple bank

    Dans la région bruxelloise, il était déjà prévu que les partenaires mariés ou cohabitant légalement ne payent pas de droits de succession sur le logement familial. Notez qu’il en va de même dans les deux autres régions du pays… En cas de décès d’un cohabitant de fait, le partenaire ne pouvait toutefois pas profiter de cette règle.

    Nouvelles règles

    Depuis le 1er janvier 2024, ces règles ont évolué. En effet, désormais à Bruxelles, les cohabitants de fait qui ont vécu sous le même toit pendant au moins trois ans sont également concernés. 

    Quant aux cohabitants de fait qui vivent en ménage depuis au moins un an, s’ils ne bénéficient pas de l’exonération, ils obtiennent un régime plus avantageux (identique à ceux des héritiers en ligne directe) en matière de droits de succession.

    Quitter le domicile familial pour cause de maladie

    Si un partenaire doit quitter le domicile familial pour cause de maladie, il s’agit d’un cas de force majeure. En cas de décès, le partenaire survivant peut bel et bien bénéficier de l’avantage précité. Il faut toutefois joindre à la déclaration de succession un certificat médical attestant de l’état de santé de la personne qui a dû quitter le domicile.

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Mila : « Ne jetez pas vos sachets de thé ! Voici 3 utilisations possibles ! »

    Ma préférence a toujours été pour le café. Mais depuis quelques temps, je me prends de passion pour les tisanes. Le côté réconfortant et relaxant de la tasse de thé fumant m’a conquise. Le soir, c’est une manière comme une autre de se poser, de se réchauffer et… de ne pas craquer sur des sucreries.

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    Mais, cela me chagrine de jeter les sachets de thé à la poubelle après un usage. Alors, j’ai cherché comment les réutiliser. Et depuis, ils vivent plusieurs vies avant de finir au bac.

    J’en conserve une partie pour en faire un désodorisant. Les feuilles de thé ont le pouvoir d’absorber les mauvaises odeurs : autant en profiter ! Il faut laisser sécher les sachets avant d’en vider le contenu dans un petit récipient. Ensuite, libre à vous de placer ce dernier au frigo, aux toilettes ou dans un placard. Moi je le range dans l’entrée, près du meuble à chaussures. Evidemment, il est nécessaire de remplacer le thé régulièrement : son efficacité est de courte durée.

    J’en utilise parfois aussi pour apporter de l’engrais à mes plantes d’intérieur. Les feuilles, une fois infusées, diffusent des minéraux et de l’azote dans la terre. Tout bénef ! Il suffit de verser le contenu des sachets autour de la plante et d’humidifier le tout : la croissance des plantes sera plus belle.

    Mais ma plus grande trouvaille est ailleurs : j’ai appris que les feuilles de thé sont pleines d’antioxydants. Même lorsqu’elles ont été infusées ! Lorsque l’eau du bain est coulée, il ne reste plus qu’à y plonger les sachets et à vous prélasser. Relaxation, parfum et peau douce au rendez-vous. Comptez quand même 6 à 10 sachets par bain.

    Et s’il vous en reste encore l’un autre sachet, vous pouvez les glisser au frigo pendant une dizaine de minutes : déposer sous les yeux, il vous feront le regard frais grâce à son action décongestionnante.

    Je vous en ressers une tasse ?   

  • 5 astuces à moins de 100 € pour transformer votre intérieur

    Il suffit parfois d’un petit rien pour complètement métamorphoser l’atmosphère qui règne au sein d’une pièce de la maison. Voici 5 astuces qui vous y aideront.

    Révolutionner votre intérieur
    Luca de Moura

    Un nouveau luminaire

    Souvent négligé, l’éclairage a une importance fondamentale dans la maison. Il peut en effet contribuer à créer une atmosphère chaleureuse et conviviale tout comme à ruiner cette dernière si la température des ampoules est trop froide ou si leur puissance est trop importante. Faites-vous conseiller auprès d’une enseigne spécialisée en la matière et profitez-en pour choisir un nouveau luminaire qui contribuera à mettre la pièce concernée en valeur ! Ils vous orienteront en fonction de votre hauteur de plafond et de vos goûts. Si vous êtes plus friand de lumières tamisées, privilégiez des sources d’éclairage tel que des lampes à pied ou des lampes murales, afin d’éviter la lumière qui vient du plafond et ne laisse aucune zone d’ombre. Les guirlandes LED très à la mode aujourd’hui peuvent se coller à différents endroits pour une ambiance sympa, et il est possible d’en régler la couleur.

    Un papier peint original

    Vous ne pouvez plus voir en peinture les quatre murs blancs de votre pièce de séjour ? Alors optez pour un papier peint original qui vous permettra d’habiller ceux-ci ! Cet élément de décoration peut en effet contribuer à sublimer un intérieur de manière remarquable à condition que le motif s’intègre harmonieusement dans la pièce concernée. Judicieusement choisi, un papier peint sera aussi un bon moyen d’exprimer vos goûts tout en rehaussant votre intérieur d’une touche d’originalité. Vous pouvez d’ailleurs ne tapisser qu’un seul mur, histoire de le différencier des autres. Optez pour un papier peint plus foncé qui donnera une note élégante, ou choisissez en un coloré qui apportera du peps à votre pièce.

    Miroir miroir

    Comme l’éclairage et le papier peint, les miroirs sont des accessoires qui vont vous permettre de maximiser le volume d’une pièce tout en décuplant l’éclairage et en habillant vos murs de manière simple mais efficace. Un choix qui se révèle généralement payant, particulièrement dans le cas d’un logement aux dimensions réduites. Même dans les grandes pièces ou dans celles disposant d’un haut plafond, le miroir permettra ici aussi d’apporter une dimension à la fois moderne et chic. Le choix de la placer ou non dans un cadre fait également toute la différence.

    Le coup de pouce de Dame Nature

    Qu’il s’agisse de plantes en pots disposées ci-et-là ou d’un mur végétal, une touche de verdure au sein d’une pièce est toujours une excellente idée. Les bienfaits des plantes dans notre environnement ne sont plus à prouver tandis que leur dimension esthétique est elle aussi une bonne raison de les intégrer dans un espace de vie, surtout si celui-ci vous paraît tristounet. Si vous n’avez pas la main vertes, les plantes dites « grasses » ainsi que les cactus seront très faciles à entretenir et nécessitent peu d’eau.

    T’as le look…

    Enfin, autre option qui ne nécessitera pas la mise en œuvre d’un chantier titanesque : recouvrir vos plinthes et portes d’une nouvelle couleur. Celles-ci peuvent en effet se transformer en alliées de poids lorsqu’il s’agit d’offrir un nouveau look à votre pièce de vie. Il vous suffira d’opter pour une couleur harmonieuse et d’ensuite sortir rouleaux et pinceaux pour en recouvrir les éléments concernés. Vous le constaterez, il est facile d’offrir un peu de caractère et d’originalité à un intérieur en choisissant une teinte qui se marie bien avec les meubles et objets qui occupent la pièce en question. A l’inverse, revenir à l’aspect naturel du bois peut aussi être un parti pris tout aussi efficace en fonction de votre mobilier. Dernière alternative, changer tout simplement les poignées de porte. Une petite modification facile, mais qui peut avoir de gros effets ! Le doré ou le noir par exemple, donneront un résultat qui ne passera pas inaperçu.