Blog

  • Bâtiment disparu : retour sur la triste fin de l’un des plus beaux châteaux de Wallonie

    Le château de Noisy, aussi appelé château Miranda, était considéré comme l’un des plus beaux de Wallonie. Celui-ci a pourtant été abattu il y a cinq ans. N’en subsistent aujourd’hui que les écuries.

    C’est l’une des plus belles pages de l’histoire du patrimoine wallon qui s’est tournée il y a cinq ans. La fin du château de Noisy, dit château Miranda, aura soulevé l’indignation tout autour du globe face à des autorités régionales qui se fichent de voir le patrimoine local partir en gravats. Il faut dire que l’édifice avait tout du château de contes de fées avec son style néo-gothique flamboyant. Un vrai coup de cœur pour les fans du genre !

    À ses débuts, ce château n’était pourtant qu’une simple ferme rattachée à un autre château situé à deux pas de là appartenant au comte de Liedekerke-Beaufort. Par crainte des retombées de la Révolution française, le comte s’était réfugié dans cette ferme en 1792 pour s’y installer avec sa famille et, avec le temps, celle-ci s’est peu à peu agrandie. Le château tel qu’il était au XXe siècle a été édifié entre 1866 et 1907, sous la supervision de l’architecte anglais Edward Milner, qui a notamment travaillé sur le célèbre Crystal Palace, puis à sa mort, par l’architecte français Pelchner.

     
     
     
     
     
    Voir cette publication sur Instagram
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

    Une publication partagée par ChâteaudeNoisy Officiel🇧🇪️️ (@chateaudenoisyoff)

    Devenu résidence d’été de la famille Liedekerke-Beaufort durant la première partie du XXe siècle, le château fut ensuite brièvement occupé par les troupes allemandes durant la Seconde Guerre mondiale. Il est ensuite devenu un lieu de vacances pour les enfants des cheminots de la SNCB. En 1991, le château de Noisy est ravagé par un incendie. Faute d’entretien, le site a rapidement sombré dans l’abandon au point que la structure du bâtiment, à la fin du siècle dernier, était irrécupérable, rongée notamment par la mérule. Si la destruction du site est devenue une certitude dès 2015, de nombreuses actions citoyennes doublées de recours administratifs en tout genre ont retardé la démolition du château. Celle-ci a finalement eu lieu entre l’automne 2016 et le printemps 2017.

    Icône de l’exploration urbaine

    Durant 25 ans, du début des années 1990 jusqu’à sa démolition, les promeneurs et explorateurs urbains se sont bousculés dans la propriété en brandissant smartphones et appareils photos afin d’immortaliser la magie dégagée par le lieu. Le château de Noisy a même été recensé au sein de listes reprenant les plus beaux lieux abandonnés au monde. C’est donc sans surprise qu’il a accueilli des milliers de visiteurs de tout bord durant ses dernières années et qu’on ne compte plus les sites présentant des clichés sublimes malgré l’état de délabrement qui y régnait.

  • Tracteurs tondeuses électriques : faut-il craquer ? Quels avantages et inconvénients ?

    Les tracteurs tondeuses électriques se positionnent de plus en plus comme une solution indiquée et responsable pour entretenir de grandes étendues de pelouse. Mais quels sont leurs véritables atouts et leurs limites ?

    lawn mawer

    Avantages : entretien, écologie et efficacité

    La maintenance réduite est un avantage non négligeable. Adieu les vidanges, les changements de filtre et autres durites à changer… L’utilisateur profite d’une expérience plus simple et plus propre.

    Autre avantage des tracteurs tondeuses électriques : leur absence d’émissions directes. Ces machines n’émettent aucune émission de CO2 pendant l’usage même si le bilan environnemental de la batterie suscite toujours de nombreux débats…. Leur silence est un autre point fort, permettant d’effectuer l’entretien des pelouses sans déranger le voisinage !

    Inconvénients : autonomie et coût

    Tout n’est pas rose, cela dit… Leur autonomie limitée est souvent pointée du doigt. Selon le modèle et la superficie à tondre, il pourrait être nécessaire de recharger la batterie une ou plusieurs fois, ce qui peut rendre la tâche plus longue. Les fabricants font toutefois de gros progrès à ce niveau, avec des autonomies souvent égales à 2 heures d’utilisation. L’autonomie réduite n’est donc réellement problématique qu’en cas d’utilisation sur les très grands terrains…

    En outre, le coût d’achat d’un tracteur tondeuse électrique est également plus élevé que celui de ses homologues à essence. Bien que cet investissement puisse être amorti sur le long terme grâce à la réduction des coûts de maintenance et de carburant, il reste un frein pour certains utilisateurs. En effet, la consommation d’essence des modèles thermiques est souvent très réduite et la maintenance est parfois assurée par l’utilisateur !

    Conclusion

    Alors ? Il reste évidemment de nombreuses inconnues, comme la durée de vie de la batterie. Ce qui est sûr, c’est qu’il s’agit d’une solution d’avenir, bien plus simple et confortable d’utilisation que les modèles thermiques… Mais le coût actuel peut franchement refroidir !

  • Litige avec un entrepreneur : qui paie l’expert ?

    En cas de litige avec votre entrepreneur, un expert peut parfois être désigné. Qui paie ce dernier ?

    conflict

    Vous choisissez un expert

    Tout d’abord, vous pouvez engager votre propre expert.  À moins qu’une assurance de protection juridique ne rembourse les frais, ce sera à vous de payer.  Même si vous obtenez finalement gain de cause et que l’entrepreneur a effectivement commis une faute sur votre chantier, en règle générale, vous ne pouvez pas vous faire rembourser les frais de votre propre expert par l’entrepreneur…

    Expert judiciaire

    Si l’affaire est portée devant le tribunal et que celui-ci désigne un expert, vous devrez généralement, en tant que client, « provisionner » l’expert. En d’autres termes, vous devrez payer l’expert dans un premier temps. A ce sujet, sachez que les frais et honoraires peuvent être considérables !

    Une fois la décision tranchée, c’est le tribunal qui décidera qui doit prendre en charge les frais de l’expert. Si vous gagnez le procès, vous pourrez probablement récupérer le montant versé à l’expert auprès de l’entrepreneur (à condition qu’il soit suffisamment solvable).  Si vous n’avez que partiellement raison, le tribunal pourra « diviser » les frais d’expertise.

    Désignation à l’amiable

    Autre possibilité : vous et l’entrepreneur décidez de faire appel à un expert pour résoudre votre litige.  Dans ce cas, vous décidez d’un commun accord qui paiera les frais, ou si vous divisez la somme en deux. Vous pourriez également avancer chacun la moitié des frais et vous les faire rembourser par la personne qui est dans l’erreur.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Station d’épuration domestique : tout ce qu’il faut savoir !

    Les stations d’épuration d’eau domestique : à quoi servent-elles ? Combien coûtent-elles ? Sont-elles obligatoires ? On fait le point !

    Dans un monde où la gestion de l’eau devient cruciale, les stations d’épuration d’eau domestique sont souvent présentées comme une solution incontournable pour les foyers soucieux de leur empreinte environnementale et de la qualité de leur eau. Mais à quoi servent-elles ?

    Qu’est-ce qu’une station d’épuration d’eau domestique ?

    Une station d’épuration d’eau domestique est un dispositif conçu pour traiter les eaux usées produites par une habitation avant leur rejet dans l’environnement. Le but ? Transformer l’eau souillée en eau claire, respectant les normes environnementales strictes. Cela concerne l’eau provenant des douches, des toilettes, des machines à laver, etc.

    Pourquoi installer une station d’épuration chez soi ?

    L’installation d’une station d’épuration répond à plusieurs besoins. D’abord, elle joue un rôle crucial dans la protection de l’environnement en évitant le rejet d’eaux usées non traitées.

    Ensuite, dans certaines zones, elle est devenue une obligation légale pour les nouvelles constructions ou les rénovations majeures. C’est aussi une manière de réduire sa consommation d’eau en permettant le recyclage et la réutilisation de l’eau pour certains besoins, comme l’arrosage des jardins.

    Combien coûte une station d’épuration domestique ?

    Le prix d’une station d’épuration varie largement en fonction de la taille du foyer, du type de système choisi et de la complexité de l’installation. Le coût peut démarrer autour de quelques milliers d’euros pour les petits systèmes, pouvant monter à plus de quinze mille euros pour des installations plus élaborées et des maisons plus grandes.

    Comment installer une station d’épuration ?

    L’installation d’une station d’épuration domestique doit être effectuée par des professionnels certifiés. Le processus commence par une étude de faisabilité, suivi de la sélection du système le plus adapté à votre habitation et à vos besoins. La mise en place implique des travaux de terrassement, l’installation de la station proprement dite, et enfin, le raccordement aux canalisations existantes.

    L’obligation légale en Belgique

    En Belgique, la législation autour des stations d’épuration domestique varie selon les régions (Wallonie, Flandre, Bruxelles-Capitale). Généralement, les maisons situées hors des zones d’assainissement collectif sont tenues d’installer un système d’épuration individuel. Il est crucial de se renseigner auprès de sa commune pour connaître les obligations spécifiques et les aides potentielles, comme des subventions.

  • Robinet d’extérieur : le guide complet pour une installation sans faille

    C’est un petit détail qui, pourtant, change la vie ! Un robinet extérieur facilite non seulement l’arrosage et l’entretien du jardin, mais également de tous vos ustensiles, véhicules et mobilier ! Bonne nouvelle, l’installation n’est pas vraiment compliquée… Si on est méthodique !

    outside water tap

    À quoi faire attention ?

    Le choix de l’emplacement de votre robinet extérieur est crucial. Non seulement pour des raisons pratiques, mais aussi pour minimiser le coût et la complexité du raccordement à votre réseau d’eau. Idéalement, choisissez un endroit proche d’un mur donnant directement sur votre réseau d’eau intérieur. Pensez également à une zone protégée des intempéries extrêmes pour réduire les risques de gel et de détérioration.

    Quel matériel ?

    Pour cette installation, le choix du matériel est déterminant :

    • Robinet de jardin antigel : Choisissez un modèle conçu pour résister aux températures hivernales.
    • Tuyau : Préférez les tuyaux en cuivre ou en PER pour leur durabilité et leur facilité d’installation. La dimension doit correspondre à celle de vos raccords existants.
    • Raccords et colliers de fixation : Ils doivent être compatibles avec le type de tuyau choisi.
    • Outils : Une perceuse, une scie à métaux, une clé à molette, du ruban téflon et un cutter seront nécessaires.

    Comment l’installer ?

    1. Préparation

    Commencez par couper l’alimentation en eau principale. Localisez le point de raccordement le plus proche à l’intérieur de votre maison et planifiez le trajet du tuyau jusqu’au futur emplacement du robinet.

    • Percement et installation du tuyau

    Percez un trou dans le mur extérieur pour le passage du tuyau. Veillez à ce qu’il soit en pente légère vers l’extérieur pour permettre l’évacuation de l’eau et éviter le gel. Installez et fixez le tuyau en utilisant des colliers de fixation.

    • Raccordement à l’alimentation en eau

    Raccordez le tuyau au réseau d’eau en utilisant des raccords appropriés. Appliquez du ruban téflon sur les filetages pour assurer l’étanchéité.

    • Installation du robinet

    Fixez le robinet au mur et connectez-le au tuyau. Assurez-vous que toutes les connexions sont sécurisées et étanches.

    • Test et ajustements

    Rétablissez l’alimentation en eau et ouvrez le robinet pour tester. Vérifiez l’absence de fuites et faites les ajustements nécessaires.

    Conclusion

    Installer un robinet extérieur demande de la préparation et de l’attention aux détails, mais avec les bons outils et un peu de savoir-faire, c’est un projet accessible à beaucoup.

  • Mila : « N’achetez pas de bocaux vides, on a une solution récup’ ! »

    Chez nous, on adore les oignons frits. Il n’y a pas une salade ou un hamburger qui ne s’en trouve garni. Alors, voyez-vous, des récipients vides en plastique dur, j’en ai souvent dans le local à poubelles. Et ça me rend triste : ils sont de belles capacités, sont solides et pourvus d’un couvercle qui se ferme en deux tours de main.

    J’ai questionné la maisonnée pour savoir qui aurait usage de pots pour ranger des petits brols. Comme souvent, les ados avaient la flemme de bricoler avec moi mais étaient d’accord pour recevoir le produit fini.

    J’ai acheté de la peinture acrylique. Du noir pour moi. De l’orange vif pour mon fils. Du bleu roi pour ma fille. J’ai dégainé aussi le rouleau de papier adhésif qui sert à recouvrir les cahiers. Et été chercher le rouleau de bande autocollante que j’utilise pour repeindre les murs.

    J’avais devant moi une petite vingtaine de récipients lavés et séchés : y avait du taf. Première étape ? Découper des formes dans le papier adhésif. Des ovales pour moi. Des rectangles pour mon fils. Des cercles pour ma fille. Je les ai collés sur une des faces des bocaux en plastique. Toujours au même endroit. J’ai ensuite fait la même chose pour chaque pot : cacher le goulot en plastique des pots avec la bande pour protection des murs. J’étais prête pour la partie la plus amusante.

    J’ai utilisé une éponge pour peindre les pots. Cela évite les traces du pinceau et permet un rendu plus texturé. Cela m’a pris du temps : j’ai effectué plusieurs passages sur chaque pot. Il fallait attendre qu’ils sèchent.

    J’ai alors entrepris d’habiller les couvercles. L’opération la plus précise sans doute. J’avais acheté jadis des feuilles de liège (deux millimètres d’épaisseur) autocollantes. C’était l’occasion de les utiliser. Il a fallu découper des cercles de la taille du couvercle. Et des bandes de la largeur du pourtour du couvercle. Ôter le film de protection et recouvrir l’entièreté des couvercles.

    C’était fini ! J’ai délicatement enlevé les protections posées sur le goulot et sur une des faces des pots : il ne fallait pas abîmer les peintures. J’ai refermé les récipients : quelle allure !

    Chacun y a rangé des petits trucs persos. Les oignons frits ont fait place à des perles multicolores, des dosettes pour lave-vaisselle, des bonbons et des chocolats, du petit matériel de bureau…

    Recycler, c’est joli pour les yeux, aussi !

     

  • Est-il déjà trop tard pour tailler sa haie ?

    Alors que le printemps s’installe doucement, est-il encore temps de tailler sa haie ? On fait le point !

    Close up of man hand with hedge trimmer cutting bushes of white cedar to ideal fence. Male gardener, wearing in overalls with protective glove working with professional garden equipment in backyard.

    Une pratique réglementée pour la biodiversité

    De manière générale, de nombreux jardiniers déconseillent fortement de tailler ses haies de la mi mars à septembre. Cette période coïncide avec la saison de reproduction de nombreux oiseaux et la croissance active des plantes. La taille peut donc perturber la biodiversité et mettre en péril la nidification des oiseaux. En Wallonie, les agriculteurs ne peuvent d’ailleurs tailler durant cette période. En région bruxelloise, cette interdiction est valable pour tous les habitants !

    Les exceptions à la règle

    Bien que la règle générale soit d’éviter la taille pendant ces mois, des exceptions existent. Pour des raisons de sécurité ou de santé des plantes (comme l’élimination de branches mortes ou malades), une taille légère peut être justifiée. Toutefois, cette pratique doit rester exceptionnelle et réalisée avec la plus grande prudence pour ne pas nuire aux écosystèmes.

  • Coupe-bordures : quel modèle choisir et à quel budget ?

    Avec le printemps qui pointe le bout de son nez, nous sommes nombreux à être retournés dans le jardin. Votre matériel est à la peine ? Vous cherchez un nouveau coupe-bordure ? Suivez le guide !

    coupe-bordure

    Coupe-bordures électriques : le ticket d’entrée

    Relié à un câble, ces coupe-bordures électriques sont parfaits pour les petits et moyens jardins. Ils offrent une solution simple et efficace pour maintenir les bordures nettes sans trop d’effort. Ces modèles nécessitent une prise électrique à proximité, ce qui peut limiter leur portée, mais leur légèreté et leur facilité d’utilisation compensent ce petit inconvénient. Ils sont idéaux pour ceux qui recherchent une option économique et écologique.

    Avantages:

    • Simplicité d’utilisation : légers et maniables, ils se destinent aux jardins de taille petite à moyenne.
    • Écologiques: moins de bruit et de pollution par rapport aux modèles à essence.

    Inconvénients:

    • Limitation de mouvement : la longueur du câble peut restreindre la liberté de mouvement.
    • Puissance limitée: moins adaptés aux herbes très denses ou aux terrains vastes.

    Budget estimé: Environ 30 à 100 euros, selon la puissance et les fonctionnalités.

    Coupe-bordures à batterie : le bon compromis ?

    Pour une liberté de mouvement totale, les coupe-bordures à batterie sont la solution idéale. Sans fil, ils vous permettent de vous déplacer dans votre jardin sans contrainte, offrant ainsi une grande flexibilité d’utilisation. Plus coûteux que les modèles électriques, ils nécessitent une recharge régulière, mais leurs performances et leur silence de fonctionnement en font un choix populaire pour les jardiniers.

    Avantages:

    • Mobilité : Absence de câble offre une grande liberté de déplacement.
    • Respectueux de l’environnement : Moins polluants et silencieux.

    Inconvénients:

    • Autonomie: le temps de fonctionnement est limité par la durée de la batterie.
    • Coût: Généralement plus chers que les modèles électriques filaires.

    Budget estimé: Environ 80 à 200 euros, dépendant de la capacité de la batterie et de la marque.

    Coupe-Bordures thermique : pour les grands espaces

    Les coupe-bordures à essence sont les plus puissants du marché. Conçus pour les grands espaces et les herbes épaisses, ils offrent une autonomie et une force inégalées. Bien qu’ils nécessitent plus d’entretien et soient plus bruyants et lourds que les autres types, leur efficacité est incomparable pour les travaux exigeants.

    Avantages:

    • Puissant: Idéal pour les herbes épaisses et les grands jardins.
    • Autonomie étendue: Pas de limitation liée à une batterie ou un câble.

    Inconvénients:

    • Entretien: Nécessitent plus d’entretien que les modèles électriques.
    • Poids et bruit: Plus lourds et bruyants, peuvent être fatigants à utiliser.

    Budget estimé: Environ 100 à 300 euros, variant selon la puissance et la qualité de fabrication.

    Quelle lame ?

    Lorsqu’il s’agit de choisir un coupe-bordure, le type de lame joue un rôle crucial dans l’efficacité et la précision de la coupe. Voici une vue d’ensemble des options disponibles et de leurs applications spécifiques.

    Lames en Plastique

    • Idéales pour les herbes fines et les petites zones.
    • Génèrent moins de bruit et sont plus légères.
    • Plus susceptibles de se briser ou de s’user rapidement sur des surfaces dures ou avec des herbes épaisses.

    Application: Parfaites pour les jardins résidentiels avec des besoins d’entretien légers.

    Lames en Métal

    • Offrent une coupe nette et précise même dans les herbes épaisses et les broussailles.
    • Plus durables et résistantes que les lames en plastique.
    • Peuvent présenter un risque plus élevé de renvoi de débris, nécessitant donc l’utilisation de protections adéquates.

    Application: Idéales pour les terrains plus vastes et les zones avec une végétation dense ou des mauvaises herbes robustes.

    Fil de coupe

    • Souvent utilisé dans les coupe-bordures électriques et à batterie.
    • Flexible, permettant d’accéder aux zones difficiles sans endommager les plantes délicates.
    • La durée de vie peut varier selon l’épaisseur et le matériau du fil.

    Application: Convient à une variété de situations, allant des finitions délicates autour des parterres de fleurs aux herbes plus épaisses.

  • Dahlias Houses : un havre de paix confortable à Enghien

    Dahlias Houses : ce projet en pleine construction de Sotraba à Enghien, conjugue sérénité résidentielle et proximité des services essentiels. On vous le fait découvrir ? Suivez le guide !

    Offrant 3 chambres spacieuses et 2 salles de bain, chaque logement est pensé pour le quotidien. Bien entendu, il reste parfaitement possible de personnaliser les finitions pour accorder le foyer à son image.

    Un cadre de vie idéal

    Nichées dans un environnement verdoyant et paisible, les Dahlias Houses profitent d’un aménagement extérieur complet : garage, terrasse, et jardin orienté Sud-Est. En outre, leur construction durable garantit un confort supérieur et une responsabilité écologique (PEB classe A).

    Accessibilité

    Situé près du centre-ville d’Enghien, le projet permet un accès aisé à diverses commodités. Avec une offre limitée à 7 unités, cette opportunité est idéale pour ceux désirant allier confort et accessibilité.

    Une solide remise !

    La cerise sur le gâteau ? Il est possible de bénéficier d’une TVA 6% (*sous réserve de conditions) sur les frais de construction, ce qui peut vous faire économiser jusqu’à 54.000 euros ! Vous en voulez plus? Sachez que Sotraba propose en ce moment une action de 5.000 euros de réduction par chambre (hors chambres des combles aménageables), ce qui peut mener à remise supplémentaire allant jusqu’à 15.000 euros HTVA ! Les prix démarrent à 420.000 euros.

    Vous désirez en savoir plus ? Complétez le formulaire ci-dessous !

    {{ARTICLE_CONTACT }}

  • Insolite : faites des barbecues toute l’année avec ces poêles à bois !

    Plusieurs fabricants de poêles ont eu la brillante idée d’inclure un système de barbecue. De quoi profiter des plaisirs de l’été toute l’année !

    Poêle à bois et barbecue
    Tim Bish

    S’il est vrai que la fonction première d’un poêle à bois est de procurer de la chaleur, il n’en demeure pas moins que son utilisation comme barbecue en hiver peut revêtir un caractère agréable. Plus besoin d’attendre l’été pour savourer des plats délicieux ! D’ailleurs, un barbecue réalisé sur un poêle à bois serait même plus sain qu’un barbecue traditionnel au charbon de bois. En effet, les aliments sont disposés devant la flamme et non pas au-dessus des braises. Ceux-ci cuisent par rayonnement et ne sont pas carbonisés par la graisse qui s’enflamme en tombant sur les braises.

    Pour ne rien gâcher, les poêles à bois modernes allient hautes performances énergétiques et design contemporain. Ils s’installent dans tous les types d’intérieur, des plus modernes aux plus traditionnels et s’intègrent parfaitement à la pièce. De plus, un poêle à bois procure une sensation de chaleur imbattable et offre une vue agréable sur la combustion, de quoi créer une ambiance sans égal. Cette solution a le mérite d’allier plaisir des yeux et plaisir de la bouche.

    Poêles à four intégré

    La cuisine au four à bois permet de réaliser des plats avec une saveur toute particulière, les arômes de fumée qu’elle procure sont uniques. Des fabricants ont eu la bonne idée de lier production de chaleur pour une habitation avec la possibilité de cuisiner à l’ancienne. Le four intégré se prête à la cuisson de nombreuses préparations: pain, pâtisserie, pizzas, papillotes… Les options sont infinies.

    Certains poêles possèdent même un compartiment très pratique pour garder les plats au chaud jusqu’à leur consommation. Il va de soi que ce four ne peut être utilisé que lorsque le poêle fonctionne, donc lors de la mauvaise saison. Son principal avantage est de proposer une alternative intéressante aux inconditionnels du barbecue qui pourront en déguster hiver comme été. Ce poêle avec barbecue intégré a tout pour être la star des soirées entre amis ou en famille. Notez que ce sont surtout les poêles de masse qui stockent la chaleur pour la diffuser par rayonnement qui offrent cette possibilité.