Les vols de panneaux solaires ne sont pas si anecdotiques qu’on pourrait le penser. Partant de ce constant, une société propose une système pour sécuriser votre installation !
Solar Fiber propose un système de sécurité pour vos panneaux solaires. Conçu par des experts en technologie, ce système utilise des fibres optiques pour détecter toute tentative de vol.
Le principe est simple mais efficace : des fibres optiques sont intégrées dans la structure des panneaux solaires. En cas de tentative de vol, la fibre est coupée, ce qui déclenche une alarme instantanée. Cette technologie est hautement efficace pour dissuader les voleurs et sécuriser les installations solaires.
Le système Solar Fiber s’adapte à différents types de panneaux solaires et peut être installé sur des installations existantes ou intégré dès la conception, rapporte le fabricant. De plus, il est compatible avec les autres systèmes de sécurité déjà en place.
Le coût initial de l’installation puisse sembler élevé (la carte coûte 270 €…) peut sembler significatif face aux risques… Mais il s’agit d’une fois ! En Afrique du Sud, une firme propose une solution plutôt originale face aux vols de panneaux, à savoir des panneaux… paraissant endommagés !
Mon amie Sandrine est dans les travaux jusqu’au cou : elle s’est acheté un petit appartement tout mignon et elle rénove ce qu’elle peut, comme elle peut, avant de déléguer pour le gros œuvre.
L’autre jour, elle m’a appelée pour avoir un conseil. Objectif ? Enlever le verni des deux marches en bois qui mènent du salon à la salle à manger.
Je suis descendue dans ma cave lui chercher un de mes outils préférés : un racloir qui m’a déjà sauvée de bien des situations et je me suis mise en route pour aller le lui déposer.
Il va de soi que si elle avait eu plus que quelques marches à rafraîchir, je ne lui aurais pas proposé cette méthode (trop chronophage si on ne manie pas l’outil avec dextérité). Mais là, pour le coup, c’était idéal. Cet outil est magique : chaque passage ôte quelques centimètres du verni des marches et contre-marches. Certes, il faut y mettre un peu de force mais le résultat est impeccable.
Je trouve cela bien plus rapide et précis que le ponçage. Bien sûr, on perd un petit peu de matière et de bois en chemin, mais rien de dramatique non plus (un dixième de mille). Et évidemment, cela ne fonctionne que sur du bois massif : les plaquages modernes n’y résisteraient pas !
Sandrine a soupiré : elle dit toujours qu’elle n’a que du jus de carottes dans les bras. On a fait un deal : je raclais la totalité de ses deux marches ; elle allait chercher un chinois et une bouteille de rouge.
La suite, elle la fera toute seule : elle passera un chiffon humidifié sur le bois pour le nettoyer et en ôter la poussière avant de le frotter avec une pâte abrasive pour enlever les éventuelles tâches. Il ne restera qu’à sécher le bois avec un chiffon sec cette fois, et doux, évidemment. Ses marches seront redevenues naturelles et toutes belles.
Avoir des amies passionnées de bricolage aux poches remplies d’outils, c’est, voyez-vous, toujours un bon plan !
Dimanche 31 mars, 330 personnes ont manifesté à Bruxelles pour un logement abordable, face à la crise immobilière. Leurs propositions sont assez chocs !
Le dernier jour du mois de mars 2024, Bruxelles a vu 330 citoyens manifesté pour le droit au logement. Répondant à l’appel de la Coalition européenne d’action pour le droit au logement et à la ville, les manifestants ont parcouru les rues de la capitale pour souligner l’urgence d’un droit au logement « respecté et accessible à tous ».
Un cri unanime pour la dignité
Dès 15h00, la station de métro Comte de Flandre s’est remplie de slogans tels que « Les maisons pour les gens, pas pour l’argent« . Le Rassemblement bruxellois pour le droit à l’habitat (RBDH), coorganisateur de l’événement, a insisté sur le fait que « l’accès à un logement digne et abordable est un droit fondamental ». Pour l’ASBL, un logement « n’est pas et ne devrait jamais être un bien marchand destiné à faire fructifier un investissement ».
Pour l’ASBL, il est largement contestable que ce marché reste dominé par le privé, avec des enjeux « l’objectif premier est de maximiser le profit sur les transactions ». L’organisme a également rappelé que « des milliers de personnes en Belgique peinent à trouver un logement décent à un prix proportionnel à leurs revenus, voire à se loger tout court. Parmi elles, on retrouve en premier lieu les mères célibataires, les personnes sans chez-soi, les personnes d’origine non-belge ou encore les personnes racisées ».
Quelles solutions ?
Le RBDH appelle à une augmentation significative du nombre de logements sociaux et à la mise en place de mesures strictes pour contrôler et réduire les loyers. Ils parlent à ce sujet, d’un quota minimum de 60% de logements sociaux dans tous les grands projets de logement public, et de 100 % sur les terrains publics. Les promoteurs privés devraient, quant à eux, avoir l’obligation de réaliser de « 25% de logements sociaux dans tous leurs projets ».
Parmi leurs autres revendications, figurent la réduction des loyers de 20% sous la grille de référence actuelle, l’enregistrement obligatoire des baux, et la fin des expulsions sans solution de relogement.
Confiez votre projet à l’une des six agences du groupe Century 21 Les Lacs- Beaux Villages, une équipe d’experts à même de vous épauler dans vos différentes démarches liées à l’immobilier.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’histoire du groupe d’agences Les Lacs- Beaux Villages fait figure de success story. Tout commence en 2009, où les parents de Fiona Barthélemy créent une première agence à Walcourt. Deux ans plus tard, Damien Vynckier rejoint l’équipe en tant que collaborateur puis Fiona en fait de même en 2013. La même année, ils ont l’opportunité de reprendre une agence Century 21 déjà existante à Chimay. Trois années plus tard, l’équipe s’installe au cœur de Charleroi, un marché différent puisque principalement urbain, mais qu’elle décide néanmoins de développer dans la foulée.
En 2019, Fiona et Damien, partenaires en affaires comme dans la vie, passent du statut de collaborateurs à celui d’associés, aux côtés des parents de Fiona. En 2020, c’est Gerpinnes qui rejoint le groupe d’agences Les Lacs- Beaux Villages. Enfin, en mai de l’année dernière, la société ne compte désormais plus que deux associés : Fiona et Damien, et, dans le même élan, deux nouvelles agences Century 21 sont acquises : Mettet et Florennes.
La référence aussi bien en Hainaut qu’en Namurois.
Le groupe d’agences Les Lacs- Beaux Villages est aujourd’hui composé de six agences : Gerpinnes, Charleroi, Chimay, Walcourt, Mettet et Florennes. L’équipe est donc composée de deux administrateurs, Fiona et Damien, épaulés par trois office managers et neuf commerciaux. Chacune de ces agences partagent une volonté commune : offrir un service d’exception dans le cadre de la vente, de la location ou encore de l’acquisition d’un bien, qu’il s’agisse d’une maison, d’un appartement, d’un immeuble de rapport ou encore d’un terrain. Century 21 Les Lacs- Beaux Villages est aussi une référence en ce qui concerne l’estimation (réalisée gratuitement et sans engagement), grâce à une parfaite connaissance du marché immobilier dans sa région.
Pourquoi Century 21 ?
Lorsqu’on demande à Fiona et Damien pourquoi ils font partie du réseau d’agences Century 21, leur réponse est simple : “C’est le plus grand réseau d’agences immobilières au monde, avec 6.000 points répartis sur tous les continents, dont 140 rien qu’en Belgique”.
Century 21 leur apporte du support, de la notoriété, de l’académie. En effet, il assure une formation continue des collaborateurs et directeurs d’agence, en ce compris ceux du groupe Les Lacs-Beaux Villages.
De plus, Century 21 a été élue marque de l’année dans le secteur de l’immobilier en 2022 et 2023, là aussi une belle reconnaissance ! Vous souhaitez vendre ou acheter un bien ou avez des questions en matière d’immobilier ? Alors prenez contact avec Fiona Barthélemy, Damien Vynckier et leur équipe soit par téléphone au 071 61 30 59, soit par e-mail
Lors d’une escapade, nous nous sommes abrités du froid dans une brasserie toute jolie : les plantes vertes étaient légion. Il y avait bien plus de plantes aux murs que de sièges pour s’asseoir. Les murs végétaux, cela fait un moment qu’ils habillent nos intérieurs ! Mais je suis toujours amusée de découvrir les trucs et astuces des uns et des autres pour disposer les plantes.
Ici, le choix du support s’était porté sur de vieilles échelles en bois qui avaient été accrochées à l’horizontale. Sur tout le pourtour de la grande salle, des échelles avaient été accrochées ci et là, en quinconce. Les deux grands montants des échelles étaient devenus des étagères qui accueillaient des petits pots de fleurs. Les barreaux des échelles, désormais à la verticale, ordonnaient l’espace : à chaque plante, sa case de bois pour s’épanouir.
Les échelles semblaient avoir toujours vécu à l’horizontale, comme des tapis végétaux et aériens. Pour certaines d’entre elles, le bois avait été laissé tel quel : vieilli par le temps, il était désormais d’un gris charmant. Pour d’autres, il avait été peint de couleurs douces avant d’être patiné et ainsi vieilli, lui aussi. Du rose poudré, du bleu lavande, du vert d’eau apportaient de la couleur dans le vert plus franc et omniprésent des plantes.
L’idée est à retenir, et pas qu’en intérieur. Personnellement, j’accrocherais bien une échelle au jardin sur le mur qui fait le coin de la maison. Une manière de palier aux jardinières classiques et d’habiller le mur de crépi sur toute sa longueur. Seule condition : récupérer une vieille échelle dont les montants sont plats et surtout, assez larges que pour accueillir les pots.
Quoi qu’il en soit, si j’ai trouvé la décoration de la brasserie aussi douce que folle, je ne voudrais pas être la personne en charge de l’arrosage et de l’entretien des plantes : elle doit y passer la journée !
Tout épargnant cherche à obtenir un rendement maximum avec un minimum de risques. Sauf que rendement et risque vont généralement de pair…
À l’heure actuelle, le placement le moins risqué reste le compte épargne. Malheureusement, celui-ci offre un faible rendement. Pire, ces dernières années, ce dernier n’a pas dépassé l’inflation ce qui signifie que le pouvoir d’achat généré par votre épargne diminue année après année ! Dans ce contexte, de nombreux Belges se mettent en quête de placements offrant un rendement plus intéressant, à l’image des investissements immobiliers.
Investir dans l’immobilier peut se faire de différentes manières. On peut opter pour un investissement dans un bien résidentiel ou commercial, mais aussi dans des chambres d’hôtel, des garages ou même un simple terrain. D’autres options existent mais, dès que l’on s’écarte de l’immobilier résidentiel, investir exige certaines connaissances.
Pour ce qui est du rendement dans le cas d’un investissement locatif, celui-ci va osciller entre 3 % et 4 % du prix d’achat. Historiquement, la valeur ajoutée annuelle de l’immobilier en Belgique se situe entre 4 % et 5 %. Un rendement supplémentaire peut être obtenu en achetant de l’immobilier via un prêt. Tant que vous remboursez un prêt à un taux d’intérêt inférieur au rendement que vous réalisez sur votre achat immobilier, vous créez un effet de levier sur votre investissement. Enfin, ledit prêt peut également générer un avantage au niveau de l’impôt sur le revenu des personnes physiques, les intérêts payés pouvant éventuellement être déduits du revenu cadastral, tandis que les remboursements en capital peuvent être éligibles à la niche fiscale d’épargne à long terme.
9 % de rendement, vraiment ?
Si vous cherchez un meilleur rendement, tournez vous alors vers le crowdlending. Actuellement, des plateformes comme BeeBonds offrent un rendement brut moyen de 9 % par an. Concrètement, le crowdlending est un mode de financement qui permet à des entreprises à la recherche de fonds de se financer auprès d’investisseurs particuliers. De quoi permettre à ces derniers de prêter leur épargne de manière utile et rentable. En échange de son prêt, l’investisseur particulier va percevoir un rendement annuel défini au préalable, en fonction du risque qu’il va prendre puis, au terme du projet, récupérer le capital qu’il a initialement investi. Efficace et rapide, le crowdlending permet aux PME de diversifier leurs sources de financement tout en disposant d’un effet de levier auprès des banques pour obtenir des fonds additionnels.
La plateforme agréée BeeBonds propose un seuil d’entrée fixé à 100 € de manière permanente et pour tous ses projets qui se distinguent par leurs aspects durables. Cela permet donc aux jeunes d’investir et d’épargner dans l’économie réelle et verte, le tout avec un rendement qui oscille donc autour de 9 % brut par an. Pratiquement, les levées de fonds des projets présentés sur BeeBonds sont effectuées dans un délai de 1 à 3 mois à l’issue duquel l’investisseur perçoit un intérêt annuel pendant une période prédéterminée de 2 à 5 ans selon le projet. Au terme du projet, il récupère la totalité de son investissement de départ.
Pourquoi un tel rendement ?
Le crowdlending immobilier permet de proposer des rendements potentiels élevés (9 % brut par an chez BeeBonds) sans compromettre la viabilité économique des entreprises qui y font appel. Tout d’abord, lorsqu’une entreprise fait appel au crowdlending pour financer son projet, le montant à rembourser aux investisseurs avec un taux élevé ne représente qu’une petite fraction du financement total (environ 20 %). Cette répartition des coûts permet à l’entreprise de proposer des rendements attrayants sans compromettre la santé financière du projet. En comparaison, les promoteurs qui ne recourent pas au crowdlending font souvent appel à des prêteurs institutionnels ou des acteurs comme des “family offices”, une entité privée qui gère le patrimoine et les investissements d’une famille aisée. Lorsqu’un promoteur immobilier fait appel à un prêteur professionnel, les taux pratiqués sont généralement rémunérés à des taux supérieurs à 8 %. Parfois un promoteur s’associe à ces acteurs pour réaliser un projet. Dans ce cas, il doit partager le bénéfice de l’opération, ce qui représente en général un manque à gagner supérieur aux intérêts de 9 % versés aux investisseurs en crowdlending sur une partie minoritaire du montant total emprunté.
Toutefois, tous les investisseurs qui prennent part à des projets immobiliers doivent être conscients des risques, y compris celui de perte totale ou partielle du capital.
Intéressé par cette nouvelle formule d’investissement ? Remplissez le formulaire ci-dessous et nous revenons vers vous !
Malgré un recul des ventes, le marché immobilier côtier voit ses prix grimper, dépassant même l’inflation !
Maxime Renard
La Côte belge a connu une année contrastée en matière d’immobilier. Alors que le nombre de transactions a chuté de 19,9% l’an dernier, confirmant une tendance à la baisse pour la deuxième année consécutive, les prix, eux, ne cessent de grimper. Selon la fédération des Notaires, les prix des appartements ont connu une augmentation moyenne de 7,1% par rapport à 2022, surpassant nettement le taux d’inflation qui se situe à 2,1%.
Des prix en hausse sur le littoral
Pour acquérir un appartement sur le littoral belge, il fallait en moyenne débourser 318.446 euros l’année dernière, et jusqu’à 397.080 euros pour un bien situé directement sur la digue, représentant une augmentation de 14%. Ces chiffres reflètent une croissance significative des prix moyens sur les cinq dernières années, avec des hausses de respectivement 22,1% et 26,7%, contre une inflation de 16,8% sur la même période.
Des disparités marquées
La fédération des Notaires souligne également les grandes disparités de prix entre les différentes communes de la Côte. Ainsi, un pied-à-terre à Westende coûte en moyenne 171.883 euros, contre 773.582 euros à Knokke. De même, le nombre de chambres influe considérablement sur le prix, avec 193.000 euros pour un appartement d’une chambre, 349.486 euros pour deux chambres, et 596.498 euros pour trois chambres.
Vous n’en pouvez plus de ces souches d’arbre qui viennent gâcher l’apparence de votre beau jardin ? Voici 3 astuces pour vous en débarrasser !
1. Arrachage mécanique
C’est la technique la plus redoutable, mais pas la plus facile : en effet, l’arrachage mécanique exige un équipement spécifique comme un treuil ou une mini-pelle. Creusez autour de la souche pour libérer les racines principales, puis utilisez le treuil pour extraire la souche de terre. Sachez que cette méthode peut endommager le sol environnant.
2. Le grignotage de souche
Le grignotage de souche nécessite l’utilisation d’une rogneuse de souches, disponible en location dans la plupart des quincailleries. La machine coupe la souche en petits morceaux, ce qui facilite son extraction ou sa décomposition. Suivez attentivement les instructions du fabricant pour éviter les accidents.
Vous vous sentez particulièrement en forme ? Vous pouvez toujours asséner la souche de coups de hache …
3. La solution écologique : le compostage
Recouvrez la souche de compost et de terre, puis ajoutez des vers de terre pour accélérer la décomposition. Cette méthode est très lente mais transforme la souche en un riche compost pour votre jardin. Il peut falloir plusieurs mois à plusieurs années pour que la souche se décompose complètement. Dans le même ordre d’idée, et si vous êtes patient, vous pourrez procéder à la méthode naturelle qui consiste à attendre que la souche se remplisse d’eau de pluie (via des trous préalablement forés) et finisse par pourrir. A en croire certaines rumeurs, l’ail pourrait également accélérer la décomposition de la souche… A essayer !
Deux méthodes que nous déconseillons…
Des solutions nettement moins respectueuses de l’environnement existent, comme des solutions chimiques à injecter dans la souche, voire encore le brûlage, ce qui s’opère en vidant de l’huile dans la souche. Il va sans dire que ces méthodes peuvent avoir de graves conséquences pour l’environnement… Voire pour votre santé, si elles ne sont pas exécutées minutieusement !
Le maitre mot en termes d’économie d’énergie est bien évidemment la sobriété ! Mais ce n’est pas tout ! Il est possible de consommer intelligemment et de réduire de manière significative sa consommation énergétique et son empreinte écologique ! TEAM construct, acteur incontournable sur le marché des habitations « basse énergie » depuis plus de 35 ans, vous fait part de son expertise sur le sujet.
La transition énergétique doit nécessairement combiner 3 axes :
1/ La sobriété
2/ La performance
3/ Le renouvelable
A cet égard, voici quelques conseils à mettre en place :
1/ L’isolation de la maison
On sait que le chauffage représente environ 70% de la consommation d’énergie. Isoler son habitation permet donc de diminuer sa facture d’énergie et de garder une température agréable au sein de la maison.
De petits aménagements peuvent être réalisés à moindre cout et seront vite rentabilisés par les économies d’énergie et de portefeuille qui en résultent.
Par exemple, vous pouvez isoler le plancher de votre grenier, le plafond de votre cave, les conduites d’eau chaude, … faciles à réaliser soi-même !
L’isolation de la toiture représente un travail plus important et un budget plus conséquent ; mais quand on sait que ce poste peut générer jusqu’à 30% d’économies, le calcul est vite fait !
Les maisons basse-énergie TEAM construct répondent aux derniers critères en termes d’isolation et présentent donc un PEB remarquable.
2/ Le système de chauffage
Bien utiliser son chauffage permet d’éviter le gaspillage. Idéalement, un thermostat et des vannes thermostatiques permettent de maitriser la température en fonction de la pièce occupée. On chauffe à 19/20°C quand on est présent et on baisse la température la nuit et quand on est absent.
Diminuer le chauffage d’un degré permettra également de réaliser de belles économies sur la facture.
3/ L’eau chaude
Pour économiser votre consommation d’eau chaude, voici quelques petits trucs et astuces :
Évitez les bains, privilégiez les douches ;
Utilisez un pommeau de douche économique. De 15/18 litres/minute, vous passerez à 6 litres/minute !
Utilisez un robinet thermostatique. L’eau est à bonne température et reste stable… dès lors, vous consommez moins d’eau !
Utilisez un bouchon lorsque vous lavez la vaisselle ;
Réglez vos robinets sur eau froide ;
Ne négligez pas les fuites ! Réparez-les rapidement.
4/ La cuisine
Prenez de bonnes habitudes lorsque vous êtes aux fourneaux ! Pensez à toujours mettre un couvercle à vos casseroles pour accélérer la cuisson et dès lors réduire votre consommation. Veillez à toujours bien fermer la porte de votre réfrigérateur, à ne pas le laisser tourner « vide ». Assurez-vous de dégivrer fréquemment votre congélateur…
5/ Le choix des électroménagers
De belles économies peuvent être réalisées grâce à des appareils électroménagers peu énergivores ! Les étiquettes énergie posées sur les appareils vous aideront à y voir plus clair et vous renseigneront sur la consommation en kWh par an. Evitez d’utiliser le sèche-linge, cet appareil est très gourmand ! Faites sécher votre linge à l’extérieur ou sur un étendoir.
Veillez également à utiliser vos éléctros à bon escient. Votre machine à laver propose très certainement un programme « éco » qui consomme moins d’eau et d’électricité ! Servez-vous-en !
6/ Les appareils en veille
Ne laissez pas vos appareils en veille ! Evitez toute consommation inutile, alors débranchez vos chargeurs, vos lecteurs dvd, ordinateurs, postes de télévision… si vous faites construire, pensez à installer un bouton « éteint tout » qui se chargera des petits oublis à votre place ! Vous pouvez aussi installer des multiprises avec interrupteur pour tout éteindre depuis un seul bouton.
7/ L’éclairage
L’éclairage doit faire l’objet d’une étude approfondie. Adaptez les lumens (quantité de lumière – toujours indiqués sur les emballages) en fonction de l’usage demandé. Une lampe de chevet demande moins de puissance que l’éclairage de votre bureau. Il est peut-être temps de repenser les ampoules de la maison et de passer au LED pour toute la maison !
Par ailleurs, évitez d’allumer la lumière lorsque vous pouvez vous éclairer gratuitement de façon naturelle. A cet égard, pensez à laver vos fenêtres, ouvrez vos stores et rideaux…
8/ Les énergies renouvelables
Les maisons TEAM construct sont équipées de panneaux photovoltaïques qui vous permettent de produire tout ou une partie de votre consommation électrique. Le principe est simple ; concrètement, dans une cellule solaire photovoltaïque, la lumière est transformée en électricité. Le soleil ne doit pas nécessairement briller, un peu de lumière suffit pour produire de l’électricité. Un onduleur transforme le courant injecté sur le réseau de l’habitation. Les appareils électriques de l’habitation seront donc alimentés grâce à l’énergie produite en autoconsommation.
Sobriété, performance et renouvelable. Les trois mots clés à garder à l’esprit ! Construire TEAM construct, c’est agir aujourd’hui pour construire la maison de demain, peu énergivore et respectueuse de l’environnement ! Contactez nos conseillers commerciaux au 02/556.47.56
Les braséros de terrasse offrent non seulement une source de chaleur pour les soirées fraîches mais créent également une ambiance conviviale et accueillante dans votre espace extérieur. Reste à savoir lequel choisir… On fait le point avec vous !
Braséros à bois: tradition et authenticité
Caractéristiques:
Fonctionnent avec du bois, offrant une expérience authentique avec le crépitement des flammes.
Nécessitent un espace dégagé et suffisamment aéré pour évacuer la fumée.
Avantages:
Ambiance chaleureuse et traditionnelle.
Possibilité de griller des aliments sur la flamme pour une expérience culinaire unique.
Inconvénients:
Entretien plus exigeant avec le nettoyage des cendres.
Budget estimé: Environ 50 à 300 euros, variant largement selon la taille, le design et le matériau. Les modèles plus artistiques ou fabriqués à partir de matériaux haut de gamme peuvent coûter nettement plus cher.
Braséros à gaz: confort et simplicité
Caractéristiques:
Alimentés par du gaz propane ou naturel, offrant une mise en marche rapide et un contrôle facile de la flamme.
Produisent moins de fumée et sont souvent conçus avec des éléments décoratifs comme des pierres de lave ou des billes de verre.
Avantages:
Facilité d’utilisation et d’entretien.
Pas de débris ni de cendres à nettoyer.
Inconvénients:
Moins d’ambiance naturelle par rapport aux braséros à bois.
Nécessité d’avoir une bouteille de gaz ou un raccordement au gaz naturel.
Budget estimé: Environ 100 à 600 euros. Les modèles plus sophistiqués équipés de fonctionnalités supplémentaires, comme des tables intégrées ou des éléments décoratifs, peuvent voir leur prix augmenter significativement.
Braséros électriques : modernité et sécurité
Caractéristiques:
Fonctionnent à l’électricité, idéals pour les balcons ou terrasses où l’utilisation de flammes nues est limitée.
Offrent une chaleur instantanée sans émissions de fumée.
Avantages:
Sécurité accrue sans flammes ouvertes.
Utilisation possible dans des espaces fermés ou semi-ouverts.
Budget estimé: Environ 80 à 400 euros. Le prix dépend de la puissance, des fonctionnalités de sécurité supplémentaires et du design. Les modèles destinés à une utilisation intérieure/extérieure et ceux dotés d’un aspect esthétique plus élaboré tendent à être plus coûteux.
Conclusion
Le choix du braséro idéal dépend de l’atmosphère que vous souhaitez créer, de l’espace disponible, et des considérations pratiques comme l’entretien et la facilité d’utilisation. Les braséros à bois conviennent aux amateurs de tradition, tandis que les modèles à gaz offrent commodité et propreté. Les braséros électriques, quant à eux, sont parfaits pour ceux qui recherchent une solution simple et sûre, en particulier dans les espaces restreints.