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  • We Invest fête son 10e anniversaire avec optimisme

    Depuis sa naissance en 2014, We Invest n’a eu de cesse de bousculer les codes du petit monde de l’immobilier. En misant sur l’humain et les nouvelles technologies, la scale-up est devenue un acteur incontournable sur le marché belge.

    Au sortir des études, Gabrielle Amandt et Jonathan Pham se lancent dans l’immobilier. Les deux jeunes diplômés, l’une en droit, l’autre en marketing, vont mettre leurs profils atypiques au service d’une agence hors norme qui ouvre ses portes le 16 avril 2014. En quelques mois à peine, ils vont bouleverser le métier en misant sur les réseaux sociaux avec une approche personnalisée visant à améliorer l’attractivité des biens proposés, tout en optimisant le temps et les coûts consacrés au métier.

    We Invest devient rapidement le poil à gratter de l’immobilier, les grands noms du secteur observant cet ovni avec intérêt et, pour certain, non sans méfiance. C’est que jusqu’alors, rares étaient les acteurs du secteur ayant élaboré une réelle philosophie technologique et orientée client, ou ayant à tout le moins œuvré à s’adapter aux changements sociétaux. Une nouvelle façon d’aborder l’immobilier voit alors le jour, ne demandant qu’à se faire connaître et à être mise au service des professionnels de l’immobilier.

    Avec l’arrivée de Raphaël Mathieu en 2017, We Invest se professionnalise, tout en gagnant en notoriété. La jeune entreprise devient alors progressivement une société de services et de produits à part entière, parvenant à séduire mois après mois un réseau de franchisés toujours plus nombreux, en Belgique mais aussi désormais en France.

    We Invest fête aujourd’hui son dixième anniversaire, l’occasion de rencontrer Jonathan Pham et Raphaël Mathieu pour une brève interview.

    Immovlan : Quelles ont été les grandes étapes depuis la création de We Invest en 2014 ?

    Raphaël Mathieu : Si entre 2014 et 2018 on s’est principalement focalisé sur Bruxelles, on s’est ensuite dirigé vers un modèle hybride mêlant agences propres et franchisées tout en explorant les autres régions du pays, avec de nouvelles agences qui ont ouvert en Brabant wallon, dans la province de Namur ainsi que dans le Hainaut. En 2019, nous avons signé un accord de collaboration avec BNP Paribas Real Estate pour promouvoir ses activités résidentielles. En 2020, nous avons opté pour un système de franchises tout en officialisant nos activités en Wallonie car nous opérions jusque-là avec des agences partenaires. L’année d’après, nous avons procédé à une première levée de fonds de 5 millions €. En 2022, nous nous sommes attaqués à la Flandre puis, en 2023, à la France. Fin de l’année dernière, nous avons terminé l’année avec un chiffre d’affaires lié aux transactions immobilières de 10 millions €. Aujourd’hui, on compte 40 agences et 250 collaborateurs.

    Immovlan : Comment se porte le marché immobilier belge actuellement ?

    Jonathan Pham : Il a très bien résisté en 2023 et, depuis le début de l’année, continue a légèrement progressé à la hausse. On remarque aussi que les investisseurs sont de retour sur le marché même s’ils prennent plus de temps qu’auparavant pour se décider. Le rôle de l’agent est donc plus que jamais important pour aiguiller et informer nos clients. Au sein du marché belge et désormais français, nous continuons à nous distinguer avec une offre innovante, des conseils avisés, et ce alors que nos clients, vendeurs comme acquéreurs, font de plus en plus souvent face à des questions complexes, notamment liées aux exigences environnementales. Nous mettons une série d’outils à leur disposition pour les orienter au mieux sur ces thématiques. Enfin, les baisses de taux attendues dans les mois qui viennent devraient contribuer à dynamiser un peu plus l’activité immobilière.

    Immovlan : Votre équipe est-elle optimiste par rapport à l’avenir ?

    Raphaël Mathieu : On se veut fondamentalement positif par rapport au futur, pour We Invest bien sûr mais également de manière générale. Un optimisme “réaliste” puisque soutenu par nos équipes mais également par les investisseurs qui nous suivent. Post-covid, une correction s’est opérée, ce qui a permis d’assainir le marché après une période d’euphorie où des biens sont partis à des prix déraisonnables tandis que le rôle de l’agent immobilier passait au second plan. Aujourd’hui, on est revenu à des niveaux nettement plus réalistes tandis que le rôle de conseiller et d’accompagnement de l’agent est à nouveau considéré à sa juste valeur. Dans le contexte actuel, la valeur ajoutée que We Invest apporte dans le métier, en termes d’accompagnement et de marketing notamment, fait la différence, ce qui permet à nos agences de sortir du lot et à We Invest de connaître une belle croissance. Celà nous conforte aussi dans les choix que nous avons faits dans le passé et dans les investissements consentis en termes de marketing et de communication notamment. Tout ce qu’on a développé porte ses fruits. Enfin, pour ce qui est de notre développement récent en France, nous pouvons là aussi faire preuve d’optimisme car on remarque que c’est un marché très traditionnel, sans compter que c’est le plus important d’Europe. La France a un réel besoin de renouveau et de dynamisme. Les solutions que nous proposons sont très bien accueillies et cela nous permet ici aussi d’être optimistes !

  • Italie : un immeuble vendu plus d’un milliard d’euros !

    Le géant du luxe Kering a acquis un immeuble à Milan pour une somme absolument mirobolante ! On vous donne les détails !

    milan

    Kering a jeté son dévolu sur un prestigieux immeuble situé au numéro 8 de la via Montenapoleone à Milan, déboursant la somme colossale de 1,3 milliard d’euros. L’adresse est reconnue parmi l’une des plus prisées au monde pour les marques de luxe selon Cushman & Wakefield. Elle abrite d’ailleurs plus de 5.000 m² de surface commerciale ! Elle est actuellement occupée par des enseignes de renom telles que Prada et Saint-Laurent, ainsi que par la célèbre pâtisserie-confiserie Cova, propriété de LVMH mais qui restera locataire de l’espace.

    Kering, déjà propriétaire de grandes maisons comme Gucci, Saint-Laurent et Balenciaga, souligne que cet investissement s’inscrit parfaitement dans sa stratégie immobilière sélective. L’objectif est clair : sécuriser des emplacements clés pour ses maisons, tout en s’assurant une présence indéniable dans les lieux les plus désirables pour le commerce de luxe.

    Cette acquisition intervient après un autre coup d’éclat de Kering, avec l’achat d’un immeuble sur la 5e Avenue à New York pour presque un milliard de dollars. Toutefois, le groupe se montre prudent quant à ses prévisions, anticipant une baisse de son chiffre d’affaires au premier trimestre, en grande partie due aux défis rencontrés par Gucci, sa marque phare.

  • Peinture ses murs intérieurs au pistolet : révolution ou fiasco ?

    Peindre ses murs intérieurs au pistolet ? A première vue, cela paraît plutôt sympa comme idée, tant cette méthode promet qualité et rapidité… Pourtant, tout n’est pas rose… On fait le tour de la question avec vous !

    Young worker using a pistol

    Avantages de la peinture au pistolet

    Rapidité et uniformité

    La peinture au pistolet permet une application rapide et uniforme, couvrant de grandes surfaces en un temps record. Cette méthode est idéale pour les projets de grande envergure !

    Finition lisse

    Grâce à la pulvérisation fine, les murs traités au pistolet se distinguent par une finition lisse et homogène, difficilement atteignable avec des méthodes traditionnelles.

    Inconvénients de la Peinture au Pistolet

    Préparation exigeante

    L’un des principaux inconvénients est la préparation laborieuse. Les zones à ne pas peindre doivent être méticuleusement masquées pour éviter les surpulvérisations. Le brouillard de peinture est en effet important et vous en mettrez facilement partout !

    Compétences techniques

    L’utilisation d’un pistolet à peinture requiert un certain savoir-faire. Une mauvaise manipulation peut entraîner une application inégale, des coulures, ou un brouillard de peinture nuisible à l’environnement intérieur. Bref, il faut savoir régler son pistolet, ce qui demande soit de l’expérience, soit une bonne formation. L’idéal ? S’exercer sur des surfaces tests. Enfin, bon à savoir, toutes les peintures ne sont pas compatibles avec votre pistolet !

    Coût

    Outre le coût du pistolet et du compresseur, sachez également que vous utiliserez nettement plus de peinture !

    Conclusion

    La peinture au pistolet pour les murs intérieurs ? Pour notre part, on dit oui, si tout doit être peint uniformément de la même couleur. Dans le cas contraire, vous risquez de regretter votre bon vieux rouleau…

  • Insolite : pour 30.000 euros, achetez un… tribunal en France !

    Bourganeuf est une petite commune dans la Creuse (France) qui, à l’instar d’autres municipalités, souffre d’un patrimoine immobilier riche et onéreux à entretenir ! Au point, d’ailleurs, que la mairie a décidé de se séparer de son… tribunal !

    Entre la rénovation de l’église et les autres frais de fonctionnement, la mairie explique au Figaro Immobilier ne plus pouvoir tout assumer. Ce qui, évidemment, fait grincer quelques dents, mais la mairie ne semble plus vraiment avoir le choix !

    Contre 30.000 euros, vous pouvez donc vous porter acquéreur de ce tribunal, probablement érigé dans les années 1850. Un tout petit prix pour un bâtiment prestigieux, de style néoclassique et ayant fonctionné jusqu’en 2009. Et surtout, un prix parfaitement ridicule si l’on considère les 400 m² de superficie, le terrain de 10 ares, les 11 pièces et, bien évidemment, les nombreuses caves et réserves en sous-sol.

    Tenté(e) ? Ne tardez pas à vous manifester : au moins une offre aurait déjà été déposée, mais la mairie ne choisira l’acquéreur que d’ici l’été. D’ici-là, faites tout de même une estimation des travaux à envisager…

  • Des dégâts au bien dont vous êtes locataire, qui paie la facture ? P&V vous explique…

    Qui payera les frais pour des dégâts au bien dont vous êtes locataire ? Vous ou votre propriétaire ? Et en tant que locataire, êtes-vous obligé de souscrire une assurance habitation ? Quid en cas de dégât des eaux, de dommage suite à une tempête ou à une simple négligence ? Que faire pour la déclaration de sinistre ?

    Vous trouverez les réponses à ces questions et à bien d’autres utiles dans notre article ci-dessous. Mais avant tout, une bonne nouvelle pour les locataires d’appartements : ils peuvent bénéficier d’une réduction de 15 % sur leur assurance incendie chez P&V, jusqu’au 15 mai 2024. Cette réduction reste valable pendant toute la durée du contrat, ce qui représente une belle économie au fil des ans. Vous êtes intéressé(e) par une assurance incendie solide et raisonnable ? Visitez vite le site de P&V.

    Souscrivez une assurance incendie, même si vous êtes locataire

    La plupart des locataires sont contractuellement tenus de souscrire une assurance habitation ou incendie. Cette assurance incendie est devenue légalement obligatoire, en Flandre et en Wallonie. À juste titre, car si les locataires ont des droits, ils peuvent aussi être tenus pour responsables des dommages qu’ils causent au bâtiment qu’ils occupent, que ceux-ci surviennent intentionnellement ou non. Une bonne assurance habitation représente donc la protection indispensable contre les risques locatifs.

    Responsabilité présumée en tant que locataire

    En cas de dommages à un logement loué, le législateur présume que le locataire est responsable. Cela signifie que c’est lui ou son assureur incendie qui doit indemniser pour les dommages survenus pendant la période de location, sauf si le locataire peut prouver qu’il n’est pas responsable des dommages causés. Mais cela s’applique-t-il uniquement aux dommages causés par un incendie ?

    L’assurance incendie : garantie incendie

    Deux exemples :

    • Imaginons : vous allumez votre friteuse et partez faire une petite course au magasin du coin. Pendant ce temps, votre cuisine prend feu. La faute est clairement établie, vous êtes responsable et vous ou votre assureur incendie devez prendre en charge les frais pour réparer ces dommages.
    • Imaginons : votre friteuse explose lors de sa première utilisation en raison d’un défaut de fabrication. Si vous pouvez le prouver, dans ce cas l’indemnisation sera réclamée au fabricant ou à son assureur responsabilité.

    L’assurance incendie : garantie bris de glace

    Deux exemples :

    • Dans votre appartement en location, le double vitrage de la fenêtre coulissante s’opacifie. Votre responsabilité ne peut être engagée, sauf en cas de faute de votre part. Le coût du remplacement éventuel de la vitre est par conséquent à charge du propriétaire (ou de sa compagnie d’assurances).
    • En déménageant, vous cassez une vitre. Vous devez faire réparer ces dommages, mais s’ils sont couverts par votre assurance incendie, votre assureur devrait rembourser les frais, diminués d’une éventuelle franchise.

    Le saviez-vous ?

    Si, en tant que locataire, vous faites exécuter une réparation dans le logement que vous occupez, il est préférable de demander à l’entrepreneur une facture à votre nom. En cas de travaux d’amélioration du bien loué (par exemple, vous faites poser un nouveau sol à vos frais), vous devez le déclarer dans votre police d’assurance incendie. De cette manière, l’assureur sait clairement qui il doit indemniser par la suite pour le coût des travaux en cas de dégâts.

    L’assurance incendie : garantie dégâts des eaux

    Encore deux exemples :

    • Le sol du garage de la maison que vous louez s’est affaissé suite à une fuite dans la conduite d’évacuation. Si cette fuite n’a pas pour origine une faute de votre part, le coût de réparation des dommages est à charge du propriétaire.
    • À la suite d’une fuite à votre lave-linge, l’eau s’écoule jusqu’au salon et le parquet est gravement endommagé. Dans ce cas, vous êtes responsable et vous ou votre assureur incendie devrez supporter les frais de réparation.

    Le saviez-vous ?

    Si, en tant que locataire, vous décidez de ne pas faire réparer les dommages à l’habitation, des discussions peuvent survenir au moment de l’état des lieux à la fin du contrat. Le propriétaire pourrait ne pas vous rembourser (une partie de) la garantie, retenue à titre d’indemnisation.

    Catastrophes naturelles et tempêtes

    En tant que locataire, vous n’êtes pas responsable des dommages causés par une catastrophe naturelle ou une tempête. Si une tempête endommage le toit de votre habitation, ce n’est pas votre faute, et le propriétaire ou son assureur devra donc payer pour le nouveau toit.

    Comment se déroule la procédure en cas de sinistre dans un logement loué ?

    1. Tant le propriétaire que le locataire déclarent les dommages à leur assureur.
    2. Les deux assureurs examinent la cause du sinistre et qui en est éventuellement responsable.
    3. Si la responsabilité est établie, le préjudicié, qui peut être soit le propriétaire, soit le locataire ou même, un tiers (comme par exemple votre voisin), est indemnisé par son assureur.
    4. A son tour, l’assureur du préjudicié demande à la partie responsable (propriétaire, locataire, assureur, fabricant…) de lui rembourser l’indemnité, sauf si c’est le préjudicié lui-même qui a causé le dommage.

    Économisez 15 % sur l’assurance habitation des locataires, maintenant et chaque année

    Un incendie dans la cuisine avec la friteuse ? Vous avez laissé couler votre bain trop longtemps ? Grâce à l’assurance incendie Ideal Home de P&V, vous n’aurez pas à payer la facture vous-même. Et votre conseiller P&V est à votre disposition si vous avez besoin d’aide.

    De plus, nous avons une bonne nouvelle pour vous. En tant que locataire d’un appartement, vous bénéficiez d’une réduction de 15 % sur la prime totale de votre assurance incendie jusqu’au 15 mai 2024 et pendant toute la durée de votre contrat ! Visitez rapidement pv.be pour plus de détails.

    Ce document est un document publicitaire qui contient des informations générales sur l’assurance P&V Habitation développée par P&V, une marque de P&V Assurances, et qui est soumise au droit belge. Afin de déterminer votre profil de risque, nous appliquons quelques critères de segmentation. Un certain nombre d’exclusions, de restrictions et de conditions relatives au risque assuré sont d’application dans le cadre de ces assurances. Nous vous invitons donc à lire attentivement les conditions générales du produit et les fiches IPID applicables à ce produit avant d’y souscrire. Elles sont à votre disposition via le site internet www.pv.be ou sur simple demande chez un conseiller P&V. Le contrat d’assurance est conclu pour une durée d’un an avec reconduction tacite.

    En cas de plainte éventuelle, vous pouvez contacter un conseiller P&V, votre interlocuteur privilégié pour toutes vos questions. Il/Elle fera tout son possible pour vous aider au mieux. Vous pouvez aussi prendre directement contact avec le service Gestion des Plaintes de P&V qui examinera votre plainte ou remarque avec la plus grande attention. Ils concilieront au mieux les différentes parties et essayeront de trouver une solution. Vous pouvez les contacter par lettre (Gestion des Plaintes, Rue Royale 151, 1210 Bruxelles), par e–mail (plainte@pv.be) ou par téléphone 02/250.90.60. Si la solution proposée ne vous convient pas, vous pouvez vous adresser au service Ombudsman des Assurances (Square de Meeûs 35 à 1000 Bruxelles) par téléphone (02/547.58.71) ou par e–mail  (info@ombudsman-insurance.be) (https://www.ombudsman-insurance.be).

    En tant que client, vous êtes protégé par les règles de conduite en matière d’assurances.

    Pour des conseils personnalisés ou une offre d’assurance, veuillez contacter l’un de nos conseillers. Vous pouvez également consulter l’ensemble des informations légales.

  • Votre femme de ménage occasionne des dégâts : qui paye ?

    Il n’y a qu’à ceux qui ne font rien que rien n’arrive… Bref, un accident est vite arrivé: Toutefois, qui paye si c’est votre femme de ménage qui a occasionné les dégâts ?

    La règle d’or: communication et assurance

    Quand un incident survient, la première étape est de communiquer. A moins qu’il ne s’agisse d’un geste intentionnel, ce qui est franchement rare, prenez le temps de rassurer la personne. Après tout, qui n’a jamais rien cassé en faisant le ménage ? Ensuite, il est temps de parler d’assurance.

    Qui paye en cas de casse?

    Emploi via une agence

    Si vous engagez votre aide-ménagère via une agence (de titres-services, par exemple), c’est cette dernière qui endosse la responsabilité. C’est donc l’assurance de l’agence qui prendra les frais en charge. Notez qu’une franchise peut vous être réclamée. Ce n’est donc pas à la femme de ménage de payer les dégâts, sauf s’il s’agit d’une faute intentionnelle, grave ou d’une erreur répétée. Si vous décidez de faire intervenir l’assurance, n’oubliez pas de constituer un dossier et rassemblant toutes les factures. Si votre femme de ménage refuse de reconnaître sa responsabilité, ce qui est plutôt rare, envoyez un recommandé à l’agence.

    Il s’agit de votre employée ?

    Si votre femme de ménage est employée directement par vous et non par une agence, il est crucial qu’elle soit couverte par une assurance « personnel de maison », qui prendra en charge les dégâts. Il s’agit d’ailleurs d’une obligation légale.

    Bien entendu, s’il s’agit d’un travail non déclaré, ce sera à vous de payer…

  • Mila : « Vos mugs sont cachés et cela vous attriste ? On a la solution ! »

    J’imagine que vous aussi, vous avez chez vous des dizaines de mugs et autres tasses jolies. Et que c’est la croix et la bannière pour leur trouver de la place. Alors, on les entasse, on les superpose, et on ne profite jamais de leurs couleurs. Pire, on utilise dès lors toujours les mêmes : celles qui sont à portée de main.

    L’autre jour, j’ai vu sur le net une maison dont la cuisine faisait la part belle aux tasses collectionnées : un énorme cadre avait été construit sur un pan de mur. Ce cadre de bois blanc contenait des dizaines et des dizaines d’espaces dans lesquels ranger les tasses.

    La construction formait un quadrillage : des lattes horizontales et verticales qui se croisaient pour former des carrés de taille identique. Il y avait là plus d’une centaine de petits renfoncements dont la profondeur, la hauteur et la largeur étaient idéales pour accueillir des tasses. 

    Un tableau toujours changeant de teintes, de motifs, de formes et de dessins. Au fur et à mesure des thés et cafés bus, le kaléidoscope allait changer. L’ensemble avait été peint en blanc : parfait pour mettre en avant la beauté des tasses et leurs couleurs vives.      

    Quel plaisir de pouvoir choisir chaque jour le mug qui convient à notre humeur et de voir exposées les tasses glanées ci et là dans notre vie. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais pour ma part, je reçois ou achète souvent des tasses : coups de cœur au détour d’un rayon de magasin, souvenirs de vacances ou de visites diverses, clins d’œil personnalisés des amis ou de la famille, cadeaux de fête des mères… et j’en passe.

    Vous me direz : il faut sacrément de la place dans sa cuisine pour pouvoir consacrer un mur entier de la pièce à des mugs. Mais, en même temps, cela permet d’en gagner pas mal dans les placards toujours trop remplis de la cuisine.

    C’est en tous cas une idée pleine de vie que je garderai en tête : j’ai déjà de dizaines de tasses ; me reste à acheter les murs du château où les exposer !     

  • Vous avez un bien touristique à Bruxelles ? La note de vos clients sera plus salée !

    Sven Gatz (Open Vld) a récemment approuvé l’augmentation de la taxe de séjour de 1 euro pour les établissements d’hébergement touristique. Cette mesure, visant à renforcer les finances de la capitale après la crise du covid, concerne tous les propriétaires d’hôtels, de bed & breakfasts, ainsi que les autres formes d’hébergement touristique à domicile, à l’exception des campings.

    brussels
    François Genon

    Un impact sur la tarification

    La nouvelle politique implique que les tarifs de base de la taxe de séjour passeront à 5 euros pour les hôtels et 4 euros pour les autres formes d’hébergement, incluant les centimes additionnels communaux.

    Un contexte de soutien et de défis

    Cette augmentation de la taxe fait suite à une période où le secteur a bénéficié de diverses mesures de soutien gouvernementales face aux crises sanitaires et économiques. Toutefois, les propriétaires d’établissements touristiques doivent également faire face à une hausse significative de leurs coûts d’exploitation, due à la crise énergétique et à l’inflation.

    Répercussions financières et réactions

    Le gouvernement estime que cette hausse générera une recette supplémentaire de 5 millions d’euros pour la région, en plus des 19,1 millions d’euros déjà perçus via la citytax. Pour les propriétaires, cela signifie une augmentation des contributions mais aussi une réflexion sur la manière de valoriser au mieux leur offre pour absorber ce surcoût.

    Le tourisme bruxellois en reprise

    Avec plus de 5,9 millions de nuitées enregistrées en 2022 selon l’IBSA, le secteur témoigne d’une reprise encourageante.

  • Table de jardin : quel matériau, quel budget ? On vous dit tout !

    Le printemps revient et avec celui-ci, vous avez envie de revoir votre jardin et votre terrasse ? Quel budget prévoir pour une nouvelle table de jardin? Matériaux, styles, prix: notre guide complet.

    table
    Robin Wersich

    Choisir une table de jardin nécessite de considérer attentivement le matériau, tant pour son impact esthétique que financier. Voici un aperçu des options disponibles:

    • Bois

    Le bois séduit par son aspect chaleureux et naturel. Idéal pour un style rustique ou contemporain, il nécessite cependant un entretien annuel pour lutter contre les agressions climatiques. Les prix varient de 100€ pour des essences locales en seconde main, à plus de 1000€ pour des bois exotiques résistants aux intempéries.

    • Métal

    Entre le romantisme du fer forgé et la modernité de l’aluminium, le métal est apprécié pour sa durabilité. Il exige peu d’entretien, bien que le fer doive être traité contre la rouille. Laissée sans protection, la peinture peut également devenir matte.  Les budgets s’échelonnent de 150€ à plus de 700€, en fonction de la finition et du design. La mode du moment ? Une structure en aluminium et un plan en bois…

    • Résine tressée

    Synonyme de modernité, la résine tressée résiste bien aux éléments tout en étant légère et facile à déplacer. Elle demande peu d’entretien. Prévoyez entre 200€ et 800€ pour un bon rapport qualité-prix.

    • Plastique

    Solution la plus abordable, le plastique convient parfaitement aux budgets serrés. Offrant une grande variété de couleurs et de formes, il est toutefois moins résistant sur le long terme. Les prix débutent à 20€ et peuvent atteindre 200€ pour des designs plus élaborés.

    Style et dimensions

    La taille et le style de votre future table dépendent évidemment de l’utilisation prévue et de l’espace à votre disposition. Pour un petit balcon, une table pliante en plastique peut suffire, tandis qu’une grande tablée en bois conviendra mieux à un vaste jardin pour accueillir des repas familiaux ou entre amis. Pensez pratique: certaines tables offrent des fonctionnalités supplémentaires comme des rallonges ou des compartiments cachés. Et ça, c’est le must !

    Quel entretien ?

    Quel que soit le matériau choisi, l’entretien joue un rôle clé dans la durabilité de votre table de jardin. Le bois peut nécessiter une couche de vernis ou de peinture protectrice annuelle, tandis que le métal et la résine peuvent simplement être nettoyés avec de l’eau savonneuse. Le plastique, quant à lui, se contente d’un coup d’éponge mais peut perdre en éclat avec le temps.

  • Logements sociaux : Bruxelles est à sec ! Quel avenir pour ces logements ?

    Ce sont nos confrères de L’Echo et De Standaard qui l’écrivent : il ne reste plus rien dans les caisses de la Société du Logement de la Région de Bruxelles-Capitale (SLRB), ce qui signifie que les chances de voir de nouveaux projets de logements sociaux sont à peu près nulles ! Quelles solutions ?

    On le sait, la capitale fait face à une grosse pénurie de logements, une crise accentuée par la flambée des prix : près de 50.000 candidats locataires sont sur liste d’attente ! Le temps d’attente en moyenne ? 12 ans ! Autant dire que face à de tels chiffres, les 3.000 logements sociaux proposés ces 5 dernières années font pâle figure. Pourtant, ce chiffre est un record ! Un record qui a malheureusement fait fondre les trésoreries de la SLRB…

    Pour assumer ses engagements, la SLRB a pourtant besoin de 300 millions d’euros. Pour info, à ce sujet, les financements sont assumés pour moitié par la région et pour l’autre moitié, par la SLRB sur ses fonds propres… Comprenez, vu l’état des finances de cette dernière, un prêt financier. Bruxelles, exsangue elle aussi, hésitant à donner son feu vert pour la moitié de cette somme, l’organisme prêteur (à savoir Belfius) n’est franchement pas chaud pour libérer les autres 150 millions d’euros ! Bref, quel avenir pour les logements sociaux?

    La solution AIS ?

    Pour les libéraux, la solution est claire : il faut en finir avec ces logements sociaux et les remplacer par des AIS (Agences Immobilières Sociales). Les logements ne sont ainsi plus achetés par les organismes publics mais par des privés qui, moyennant des régimes fiscaux favorables, confient leurs biens à ces agences qui les proposent à des locataires aux revenus limités. Voilà qui ferait l’effet d’une bombe dans le paysage immobilier social…