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  • Mila : « un potager-tipi, ça vous dit ? »

    Mon collègue Cédric est le roi du potager et du jardinage. A l’heure où les limaces et les escargots massacrent mon ébauche de jardin fleuri, lui, il gère. Il a la main verte et l’œil du paysagiste. Tout ce qu’il plante pousse. Tout ce qu’il plante est joli.

    Il a construit ce qui seront bientôt de véritables tipis de légumes et de fleurs. Sur le premier, des haricots, des concombres et des pois. Sur le second, de la passiflore, une clématite et du chèvrefeuille. Mais il ne les a pas réalisés pareils, il a pris son inspiration sur les réseaux sociaux, le bougre !

    Pour les légumes, il a disposé une petite vingtaine de seaux les uns contre les autres, dans une vraie courbe. L’idée : constituer un arc de cercle dont le diamètre doit bien faire 1m et demi. Quant à l’ouverture laissée sur l’avant du cercle, elle doit bien équivaloir à 4 seaux.

    Il a déposé un long tuteur en bambou dans chaque pot et il a rassemblé les extrémités de ceux-ci : il les a ligotées bien comme il faut. La forme du tipi était dessinée ! Il a versé le terreau ad hoc dans les seaux : les tuteurs, ainsi pris dans la terre, ne bougeront plus.

    Il a ensuite planté dans chaque seau un plant des légumes précités. Un potager vertical, c’est un gain de place qui permet de produire plus sur un espace plus restreint et une plus petite surface de terre à travailler et à désherber.

    Pour les fleurs, il a procédé sans les seaux : il a tracé dans l’herbe un sillon circulaire et il a planté les tuteurs directement dans la terre. Il n’en a mis que 9 cette fois. Les tuteurs, bien plus espacés, ont été reliés au sommet comme dans le potager. Mais Cédric a aussi pris soin de tirer un cordage tout autour et sur plusieurs niveaux. Comme une toile d’araignée tissée sur le pourtour des bambous : les fleurs auront plus d’espace pour s’accrocher et se développer.

    Il prévoit d’en faire un terrain de jeux pour son petit-fils. Des coussins à l’intérieur des tipis de verdure. Des cachettes à l’abri du soleil. Des tentes parfumées où rire et vivre un bel été. Sourire.

    J’espère seulement que le bambin aimera les insectes comme son grand-père !           

  • Un propriétaire peut-il demander un loyer plus élevé que celui annoncé ?

    Louer un bien à un prix supérieur (ou inférieur) à celui indiqué sur l’annonce, est-ce légal ? Notre avocat vous répond !

    buying apartment

    L’annonce

    Le propriétaire qui met un bien en location et en fait la publicité doit indiquer le loyer demandé.  En outre, il doit également mentionner les frais et charges, à l’exception de celles liées à la consommation personnelle du locataire.  Si le propriétaire ne respecte pas cette obligation, il risque une amende !

    Contraignant ?

    Le loyer fixé à l’avance par le propriétaire n’est toutefois pas « contraignant ».  Le propriétaire peut s’en écarter et louer le bien à un prix plus élevé ou plus bas. On pense, par exemple, au cas où de nombreux candidats locataires se présentent et que certains d’entre eux sont prêts à payer un prix plus élevé que le prix demandé. Toutefois, le propriétaire n’a pas le droit de dire à un candidat locataire (qu’il préfère ne pas garder comme locataire pour une raison quelconque) que le prix indiqué dans l’annonce n’est pas correct et que le loyer est en réalité beaucoup plus élevé.

    Louer à qui l’on veut ?

    Le propriétaire ne doit pas non plus louer le bien au candidat qui souhaite payer le plus.  Il peut même le louer à un candidat qui est prêt à payer moins que le prix demandé (même si d’autres candidats sont prêts à payer le prix demandé).  Ce qui est important ici, c’est que le propriétaire ne peut pas faire de discrimination à l’encontre des candidats locataires.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Berlin prête à donner l’ancienne villa de Goebbels

    Un fardeau historique

    La villa de Joseph Goebbels, située près de Berlin, est devenue un véritable fardeau pour la ville-Etat de Berlin. Construite en 1936 sur une vaste propriété de 17 hectares près du lac de Bogensee, cette demeure luxueuse est désormais trop chère à entretenir et difficile à vendre.

    Une offre sans preneur

    Stefan Evers, le responsable des finances de Berlin, a récemment proposé de donner cette propriété à quiconque serait prêt à la reprendre, qualifiant ce geste de « cadeau du Land de Berlin ». Toutefois, ni le Land de Brandebourg ni le gouvernement fédéral n’ont manifesté d’intérêt pour cette offre, laissant la propriété sans repreneur.

    L’histoire de la villa contribue largement à sa réputation problématique. Ancienne résidence de l’un des principaux ministres d’Hitler, la villa a été un lieu de réception pour des personnalités de l’époque nazie. Après la guerre, un complexe a été construit sur le même terrain par les autorités de l’ancienne RDA, ce qui complique davantage toute tentative de réutilisation.

    En 2016, le Fonds immobilier de Berlin avait renoncé à vendre la propriété, craignant qu’elle ne devienne un lieu de pèlerinage pour des sympathisants nazis.

  • Quelles sont les communes les plus chères de Belgique?

    Certaines communes affichent des prix délirants, l’une d’entre elle dépassant par ailleurs les… 800.000 euros ! Ces prix sont calculés par Statbel sur la base de toutes les maisons de type fermé, demi-fermé ou ouvert.

    ixelles
    Axel Vasey

    Top 3 des communes les plus chères

    1. Ixelles : Cette commune bruxelloise est la plus chère du pays. Le prix médian d’une maison y atteint 827.500 € !
    2. Knokke-Heist : Cette station balnéaire huppée est une destination prisée en Flandre. Le prix médian atteint les 737.500 €
    3. Woluwe-Saint-Pierre : À Bruxelles également, Woluwe-Saint-Pierreest réputée pour ses espaces verts et ses habitations haut de gamme. Le prix médian y est de 736.500 € !

    Communes les plus chères par région en 2023

    1. Flandre : Knokke-Heist (737.500 €), Sint-Martens-Latem (705.000 €), Kraainem (622.500 €)
    2. Wallonie : Lasne (632.000 €), Waterloo (522.500 €), Rixensart (480.000 €)
    3. Bruxelles-Capitale : Ixelles (827.500 €), Woluwe-Saint-Pierre (736.500 €), Saint-Gilles (681.250 €)
  • 5 mythes sur les maisons à ossature bois

    Bien que comptant de nombreux avantages, la construction à ossature bois est victime de nombreux préjugés. Nous mettons ici fin à 5 idées reçues sur ces maisons intéressantes…

    Premier mythe : Ces maisons ne sont pas solides

    C’est une rumeur qui a la vie dure ! Pourtant, dans de nombreux pays, on trouve des maisons en bois qui ont plus de 100 ans ! Aujourd’hui, le progrès techniques et les matériaux employés font que ces maisons sont d’autant plus résistantes. Et sur le marché, les maisons à ossature bois ne valent pas moins que celles qui ont une structure plus traditionnelle.

    Deuxième mythe : Ces maisons prennent très vite feu !

    Une fois encore, ce n’est pas vrai. Certes, vous utilisez peut-être du bois pour vous chauffer ou pour allumer votre barbecue. Mais sachez que le bois est un matériau qui se consume très lentement. De plus, toutes les parois d’une maison à ossature bois sont aujourd’hui ignifugées, garantissant une excellente sécurité.

    Troisième mythe : ces maisons sont sujettes aux proliférations d’insectes

    Une autre idée fausse courante est que les maisons en ossature bois sont plus susceptibles d’être envahies par les insectes et les moisissures. Cependant, avec les avancées dans les techniques de construction et les traitements du bois, ce mythe est largement infondé. Le bois utilisé dans la construction d’une maison en ossature bois est souvent traité pour être résistant aux insectes nuisibles tels que les termites et les charançons. De plus, les méthodes modernes de construction intègrent des barrières physiques et chimiques pour empêcher l’entrée des insectes.

    Quatrième mythe : L’isolation est médiocre

    Encore une rumeur vieille comme le monde ! D’un point de vue acoustique, le bois permet de vous isoler au mieux du monde extérieur. A en croire de nombreuses études, le bois est un excellent insonorisant, absorbant remarquablement les bruits désagréables.

    De plus, le bois est un excellent isolant naturel qui permet de concevoir des maisons à basses énergies. En hiver, la maison distillera une chaleur naturelle pour le moins agréable alors qu’en été, la maison saura rester fraîche. Avantage supplémentaire : le bois régule naturellement l’humidité.

    Cinquième mythe : C’est du préfabriqué et c’est figé !

    C’est l’un des plus gros avantages : la construction débute par une grosse phase en atelier et est donc complètement indépendante des conditions météorologiques. Une fois posée sur le chantier, la structure est donc rapidement montée. Cela a un impact évident sur le budget : en effet, plus le chantier est court, plus le versement d’un loyer pour un logement « de secours » l’est également !

    Cependant, n’est pas parce que la fabrication des panneaux et des cloisons se fait en atelier qu’elle n’est pas personnalisable… Bien au contraire : le bois est un matériau très facile à travailler. De plus, le bois permet également à l’architecte et aux propriétaires de donner libre cours à leur imagination : en matière de finition extérieure les possibilités sont quasiment illimitées ! Enfin, dans les limites du permis d’urbanisme…

    Quid en cas de dégât des eaux?

    En cas d’inondation, il est vrai en revanche qu’une maison à ossature bois peut souffrir davantage qu’une construction traditionnelle en blocs. Tout dépend du degré d’exposition des panneaux de bois à l’humidité et du traitement dont ces derniers ont profité.

  • Quel est le prix médian d’une maison en Belgique? Et par province?

    En 2023, le prix médian d’une maison en Belgique s’établissait à 260.000 €. Cependant, les prix varient considérablement entre les régions ! Les prix sont à la hausse partout, à l’exception des villas à Bruxelles, dans le Brabant Wallon et en province de Liège, où l’on note un très léger déclin.

    house for sale

    En 2023, le prix médian d’une maison en Belgique s’établissait à 260.000 €. Cependant, les prix varient considérablement entre les régions ! Les prix sont à la hausse partout, à l’exception des villas à Bruxelles, dans le Brabant Wallon et en province de Liège, où l’on note un très léger déclin.

    Prix médian global

    Avec un prix médian global de 260.000 € contre 255.000 € en 2022 (maison de type fermé ou demi-fermé), le marché belge a montré une légère tendance à la hausse. Pour une 4 façades, comptez un prix médian de 369.000 € et pour un appartement, de 239.000 euros.

    Flandre

    Dans la région du nord,le prix médian d’une maison 2 ou 3 façades s’est établit à 298.120  €, ce qui la rend plus chère que la moyenne nationale. Les provinces les plus coûteuses sont le Brabant flamand (350.000 €) et Anvers (320.000 €), la moins onéreuse étant le Limbourg (250.000 €). Bon à savoir, en Flandre, une villa s’échange à un prix médian de 410.000 euros et un appartement, de 245.000 €.

    Wallonie

    En Wallonie, le prix médian est nettement inférieur, à 176.000 € (290.000 € pour une villa, 180.000 € pour un appartement). La province la plus abordable est le Hainaut (155.000 €) et la plus onéreuse le Brabant Wallon (320.000 €).

    Bruxelles

    La région de Bruxelles-Capitale est la plus coûteuse, avec un prix médian autour de 495.000 € ! Et pour le délire, pointons le prix médian d’une 4 façades : 932.500 € ! Un appartement s’échange à contrario, contre un prix médian de 256.500 €.

  • Faut-il un permis d’urbanisme pour isoler sa maison par l’extérieur ?

    Si c’est possible, isoler sa maison par l’extérieur est la meilleure solution sur le plan technique. Mais attention, cela ne s’improvise pas !

    Est-ce qu'il faut un permis d'urbanisme quand on isole sa maison par l'extérieur ?
    Pixabay

    L’intérêt d’isoler les murs de sa maison n’est plus à démontrer. Ces derniers sont en effet responsables d’environ un quart de la déperdition de chaleur de son habitation. Trois solutions principales sont alors possibles : l’isolation par l’intérieur, l’isolation par la coulisse (donc dans le vide laissé entre la brique de façade et les blocs de construction) ou l’isolation par l’extérieur. C’est cette dernière solution qui est, si possible, à privilégier car elle assure une meilleure continuité de l’isolant, permet de conserver une bonne inertie thermique à l’intérieur de son habitation et évite plusieurs problèmes techniques.

    Plus onéreux

    Malheureusement, c’est aussi cette technique qui est généralement la plus onéreuse puisqu’elle entraine notamment l’installation d’échafaudages, implique plusieurs coûts supplémentaires (déplacement ; adaptation ou remplacement des châssis ainsi que des seuils par exemple) et impose de recréer une couche de protection extérieure (enduit ou bardage généralement).

    Un permis, ou pas ?

    Dans le cadre d’une nouvelle construction, l’usage d’un isolant extérieur est bien sûr directement intégré au projet et n’impose pas de demander un permis spécifique. Mais avant de se lancer dans des travaux d’isolation par l’extérieur en rénovation, il convient d’être prudent. Isoler un bâtiment existant par l’extérieur modifie en effet son apparence et implique donc, globalement, l’introduction d’un permis d’urbanisme. Comme en Belgique, rien n’est jamais simple, il faudra en revanche bien se renseigner quant aux règles exactes en vigueur à ce sujet, en fonction de son lieu de résidence puisqu’elles varient d’une région à l’autre. De plus, en fonction de la situation exacte (quelle épaisseur d’isolant ? Maison alignée ou non ? Façade à rue ? etc.), l’obligation d’introduire un permis ou non peut évoluer. Mieux vaut donc se renseigner auprès de son administration communale sur base de renseignements précis.

    Impossible ?

    Si toute demande doit être étudiée au cas par cas, sachez que généralement l’isolation par l’extérieur pourra être compliquée pour les bâtiments présentant un intérêt patrimonial. Mais aussi pour les façades qui se situent à rue ou sur la limite d’une zone constructible (une épaisseur maximale pourra alors par exemple, être imposée). Enfin, sachez que si l’isolation par l’extérieure est acceptée, le type de parement retenu (enduit, bardage ou brique) pourra faire l’objet de restriction en fonction de règles urbanistiques en vigueur dans votre commune.

  • Peut-on conclure un bail de plus de 9 ans ?

    Généralement, les locations se font par le biais d’un bail de neuf ans ou d’un bail à court terme (souvent d’une durée de trois ans). Mais pouvez-vous louer le bien plus longtemps que neuf ans ? Notre avocat vous dit tout !

    Si vous louez une maison ou un appartement dans lequel le locataire a sa résidence principale, la loi vous permet de conclure un bail de plus de neuf ans. Vous pouvez alors librement choisir la durée. Il n’est même pas nécessaire que la durée soit un multiple de neuf ou même de trois. Par exemple, il est tout à fait possible de conclure un contrat pour une durée de 10, 11, 12 ou 15 ans. C’est le cas dans les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles).

    Comment le rédiger ?

    La loi prévoit que vous devez stipuler par écrit que le bail conclu concerne une durée supérieure à neuf ans. Sachez qu’il faut en principe rédiger un acte notarié. Ce bail doit également, en principe, être transféré au bureau de sécurité juridique. Il va sans dire que l’intervention d’un notaire entraîne des frais ! Si vous ne passez pas par le notaire, le bail sera valable, mais tout nouveau propriétaire pourra dire qu’il n’est lié que pour neuf ans.

    Les mêmes principes

    Dans une large mesure, les règles s’appliquant aux baux habituels sont également d’application ici. Cela signifie, entre autres, que le bailleur peut ici aussi indexer le loyer et, sous certaines conditions, demander une augmentation du loyer à l’expiration de chaque période triennale.

    Comment résilier ?

    Le locataire peut résilier le bail moyennant un préavis de trois mois. S’il le résilie au cours de la première, de la deuxième ou de la troisième année du bail, il sera redevable d’une indemnité de respectivement trois, deux ou un mois de loyer. Le propriétaire, lui, peut résilier le bail après trois ou six ans sans justification, à condition de payer au locataire une indemnité de neuf ou six mois de loyer.  Le propriétaire peut également résilier le bail pour emménager lui-même, faire emménager certains membres de sa famille, ou pour effectuer certains travaux de rénovation.

    Règles spécifiques

    Ce genre de bail prend fin après l’expiration de la durée convenue si le bailleur a donné un préavis de résiliation au moins six mois avant la date de fin. Dans le cas contraire, le bail est renouvelé pour une durée de trois ans aux mêmes conditions. Si le bailleur résilie le bail à l’expiration de la troisième période triennale ou de toute période triennale ultérieure sans justification, il doit au locataire une indemnité égale à trois mois de loyer.

    Bail à vie

    Il est également possible de conclure un bail pour la durée de vie du locataire. Ce bail prend fin de plein droit au décès du locataire. Ce genre de bail doit également être établi par acte notarié.

    Le locataire peut toujours résilier le bail en question moyennant un préavis de trois mois (et le paiement d’une redevance en cas de résiliation au cours des trois premières années du contrat). Le propriétaire ne peut pas résilier le bail dans l’intervalle, sauf si d’autres dispositions ont été prises dans le bail.

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Crédence : 5 alternatives au carrelage, faciles à installer

    Toute cuisine contemporaine se doit de comporter une crédence. Celle-ci permet en de effet protéger les murs des éclaboussures, des taches ou encore de l’humidité qui se dégage des casseroles lorsqu’on cuisine. Mais qu’on se le dise, celle-ci ne doit pas forcément être constituée de carrelage.

    credenza

    S’il y a bien une pièce de la maison qui est susceptible d’être salie, c’est bien la cuisine et particulièrement les surfaces proches de la table de cuisson. C’est pour cette raison qu’il convient d’opter pour une crédence facile à nettoyer, constituée d’un matériau à la fois robuste, lisse et résistant aussi bien à l’acidité de la tomate qu’aux éclaboussures de matière grasse. Et si beaucoup pensent au carrelage lorsqu’il s’agit de choisir un matériau, d’autres options tout aussi crédibles existent aussi !

    Le verre trempé

    Le verre trempé est une option à la fois élégante et moderne pour une crédence de cuisine. Il est durable, facile à nettoyer et offre une surface lisse et brillante qui peut décupler la sensation d’espace dans la pièce.

    L’acier inoxydable

    L’acier inoxydable est résistant à la chaleur, à l’humidité ainsi qu’aux taches, ce qui en fait un choix incontournable aussi bien dans une cuisine professionnelle qu’au sein d’une cuisine domestique moderne. Il offrira en outre un aspect industriel et contemporain à la pièce.

    Le bois stratifié

    Les panneaux de bois stratifié peuvent contribuer à ajouter une touche chaleureuse et un rien rustique à l’atmosphère qui règne dans la cuisine. Ils sont disponibles dans une large variété de finitions ce qui permet de facilement jeter son dévolu sur un colori qui correspondra au style de la cuisine.

    Le plexiglas

    Le plexiglas ou une plaque en acrylique offre une bonne alternative au verre trempé, tant en ce qui concerne votre budget que la facilité d’installation. Une option démocratique, disponible dans une large palette de coloris et qui pourra être facilement nettoyée à l’aide d’un simple chiffon humide.

    Le métal embossé

    Les panneaux de métal embossé, comme le cuivre, l’étain ou encore l’aluminium, peuvent eux aussi contribuer à apporter une touche de caractère et d’originalité à votre cuisine. Ils sont disponibles dans une variété de motifs et de finitions qui pourront contribuer à créer une ambiance tantôt vintage, tantôt contemporaine.

  • Décrochage des panneaux photovoltaïques : une carte pour les anticiper !

    ORES publie une carte des zones critiques pour les propriétaires de panneaux photovoltaïques en Wallonie, afin de prévenir les décrochages d’onduleurs.

    solar panels

    ORES a récemment mis en ligne une carte interactive répertoriant les zones les plus touchées par les surtensions et les décrochages d’onduleurs en Wallonie.

    Les décrochages d’onduleurs surviennent principalement lors des pics de production solaire, ce qui survient tout naturellement, les jours ensoleillés. Ce phénomène met l’onduleur en sécurité pour éviter les surtensions, stoppant ainsi la production d’électricité. Pour les prosumers, cela se traduit principalement par, vous l’aurez compris, une perte de production… Une douche froide pour ces derniers, qui payent une taxe « prosumer » destinée à compenser le renvoi d’électricité dans le réseau, mais qui payent aussi l’électricité plein pot lorsque l’onduleur décroche ! Une double peine difficile à digérer…

    Carte interactive

    La carte est principalement divisée en trois codes couleurs : vert pour les zones où moins de 10% des clients connaissent 2 heures de décrochage par jour, orange lorsque ce pourcentage est compris entre 10 et 20 % et rouge lorsqu’il dépasse les 20%.

    Quelles solutions ?

    Pour pallier ce problème, plusieurs solutions sont évoquées :

    Contacter ORES : en remplissant un formulaire, ORES peut analyser votre problème, installer un compteur intelligent et résoudre le problème en travaillant sur le réseau ou en vous conseillant de contacter un électricien pour remettre votre installation électrique à jour si le problème vient de chez vous.

    Autoconsommation: Consommer l’électricité produite au moment même où elle est générée.

    Stockage en batteries : Bien que partiellement efficace, cette méthode peut aider à stabiliser la production.

    Pas de solution universelle à court terme !

    ORES prévoit également d’importants investissements pour moderniser le réseau électrique wallon. Un plan de 4 milliards d’euros sur 10 à 15 ans est envisagé pour renforcer les infrastructures et mieux gérer les flux d’énergie solaire injectés… Bref, ce n’est pas pour tout de suite, car ces travaux réclament une main d’œuvre, des permis et… du budget !