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  • Les prosumers wallons devront encore attendre pour être indemnisés !

    À la veille des élections du 9 juin dernier, le gouvernement wallon a été contraint de faire le deuil d’un éventuel accord à propos de l’indemnisation des prosumers. Le point a donc été renvoyé à la prochaine législature…

    solar panels

    Faute d’un accord entre les écologistes et les libéraux le jeudi précédant les élections du 9 juin dernier, le projet d’indemnisation des prosumers wallons victimes de décrochage de leurs panneaux photovoltaïques a été abandonné. Un texte prévoyant une indemnisation forfaitaire était pourtant sur la table du dernier gouvernement wallon de la mandature. Celui-ci proposait un forfait de 44 € par kVA ce qui veut dire que l’indemnisation annuelle aurait pu atteindre 440 €/an pour une installation de 10 kVA. Pour en bénéficier, il aurait fallu avoir subi un décrochage d’au moins 120 minutes consécutives.

    Seulement voilà, ce texte, proposé par le ministre écologiste Philippe Henry, a été rejeté à la dernière minute par les libéraux, au motif que “ce système n’allait bénéficier à personne” a expliqué Willy Borsus. Le ministre en charge de l’économie a ainsi fait siennes les critiques formulées par l’association Beprosumer, qui défend les intérêts de prosumers wallons, et qui reproche au projet de Philippe Henry son caractère forfaitaire, ne reflétant pas la réalité du préjudice subi. Peu avant, Willy Borsus demandait au gouvernement de supprimer la mesure des 120 minutes proposée par Philippe Henry au profit d’un système proportionnel. Mais aucun accord n’a finalement pu être dégagé.

    Réunis pour un ultime gouvernement en distanciel, les ministres ont pris acte du blocage et de l’impossibilité de trouver une solution avant les élections. Il appartiendra donc à la nouvelle majorité wallonne de reprendre ce dossier depuis le début et de tenter de dégager une solution pérenne. Un retour à la case départ qui ne sera pas sans effet pour les prosumers. En effet, cette absence de solution pourrait signifier un report d’une éventuelle indemnisation à deux ans !

  • Berchem-Sainte-Agathe : à la recherche du logement de vos rêves ?

    Ne cherchez plus ! Fierce Immo est fier de vous présenter son tout nouveau projet immobilier neuf, situé à Berchem-Sainte-Agathe.

    Fierce Immo

    Combinaison parfaite entre modernité et confort, tout en répondant aux dernières normes environnementales (ex. panneaux voltaïques, récupération de l’eau de pluie, triple vitrage, etc.), ce projet de 10 appartements, 2 commerces et un bureau est idéalement situé, entre ville et campagne.

    Chaque appartement a été conçu avec soin pour répondre aux besoins des futurs résidents. Les espaces de vie lumineux et spacieux offrent une atmosphère chaleureuse et accueillante. Les finitions et les équipements, au choix de l’acquéreur, sont de qualité supérieure. Des cuisines entièrement équipées, des salles de bains élégantes et des espaces de rangement pratiques font partie intégrante de chaque appartement. Profitez également d’un jardin ou d’une terrasse pour vous relaxer après une longue journée.

    La localisation de notre projet neuf est un autre avantage majeur !

    Situé à proximité des commerces, des écoles et des transports en commun (quelques minutes suffisent pour rejoindre le centre-ville grâce aux nombreuses lignes de bus et de tram), vous bénéficierez d’une vie urbaine dynamique tout en profitant d’un environnement calme et paisible. En effet, les chemins de la Promenade verte n’attendent que vous !

    Vous désirez en savoir plus ? Complétez le formulaire ci-dessous et nous reviendrons vers vous !

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  • Mila : « mes solutions pour se débarrasser de l’électricité statique ! »

    Je commence enfin à oser troquer mes jupes d’hiver contre des robes plus légères. Mais maintenant que le soleil nous honore de sa présence (discrète), c’est ma garde-robe qui me joue des tours.

    ironing

    Quoi que je sorte de l’armoire, quoi que je mette, tout me colle au corps : mes vêtements font des étincelles et mes blouses n’ont pas le flottant habituel. L’électricité statique gâche ma joie.

    Il faut savoir que les matières synthétiques, qui ne retiennent pas l’eau, sont principalement concernées par ce phénomène. A l’inverse, les vêtements en laine et en coton sont moins sujets à ce problème car ils absorbent mieux l’humidité. L’électricité statique étant présente lorsque le linge manque d’humidité, il faut donc éviter au maximum de faire sécher les habits dans le sèche-linge. Mieux vaut les disposer sur l’étendoir.

    Pour se débarrasser du problème, vous pouvez donc humidifier les habits avant de les porter : à l’aide d’un flacon spray, vaporisez de l’eau sur l’extérieur du vêtement que vous désirez porter. Lorsqu’il sera sec, vous pourrez l’enfiler sans risque. Il paraît que la laque fait aussi des miracles : vaporisée (à bonne distance) sur le vêtement, elle fait fuir l’électricité statique. Mais, je vous l’avoue, je n’ai jamais osé tester cette méthode-là !  

    Saisir un objet en métal en lien direct avec le sol règle aussi le souci. Mais ce n’est pas forcément évident : à moins d’avoir chez soi une rambarde en fer, c’est galère. Vous pouvez toujours suspendre votre linge sur un cintre en métal : il absorbera en partie l’électricité déjà.  

    Une autre possibilité est de repasser le vêtement à basse température pour effectuer un transfert d’électricité vers la prise. Ou, solution facile s’il en est, vous pouvez recourir à l’utilisation de feuilles antistatiques : les électrons présents dans le vêtement seront attirés par la feuille.

    Pensez aussi à la prévention : remplacer l’adoucissant par du vinaigre blanc est une bonne chose. On l’ignore souvent, mais c’est un assouplissant naturel idéal. Et il prévient l’apparition d’électricité statique sur le linge. Idem pour le bicarbonate de soude : saupoudrez-en votre linge dans le tambour de la machine : il aidera à diminuer la formation d’électricité sur les vêtements.

    Et si, après tout ça, le vêtement colle toujours au corps, c’est que c’est pour une autre raison…

  • Voici pourquoi les Bruxellois paient leur énergie plus chère que les Wallons et les Flamands

    En octobre dernier, un énième fournisseur d’énergie quittait le marché bruxellois pour de bon, laissant le champ libre à Engie et TotalEnergies. Une concurrence qui se réduit comme peau de chagrin, au risque que les prix grimpent en flèche !

    gaz
    Ilse Driessen

    Tous les professionnels du secteur de l’énergie vous le diront : la réglementation en vigueur en Région bruxelloise, initiée par le gouvernement Vervoort II réunissant PS, Écolo, Défi et Vooruit, et considérée par beaucoup comme trop favorable aux mauvais payeurs, fait fuir les fournisseurs d’énergie les uns après les autres. Après MEGA et Octa+, c’est Eneco qui quittait la capitale en octobre dernier.

    Pour rappel, si dans les deux autres régions un fournisseur peut résilier un contrat après un certain temps en cas de défaut de paiement d’un client, à Bruxelles, où les contrats doivent avoir une durée minimale de trois ans, le fournisseur se doit en revanche de continuer à approvisionner son client, même si celui-ci ne paye pas ses factures. Du jamais vu ! Une situation intenable pour les petits fournisseurs qui se voient donc contraints de déclarer forfait.

    Cette réglementation plus souple, souhaitée par le PS et Écolo à Bruxelles et qui est a priori favorable aux consommateurs, annihile en fait la concurrence sur le marché bruxellois, avec le risque que les prix finissent par augmenter. En effet, aujourd’hui, seuls deux fournisseurs demeurent : les français Engie et TotalEnergies. En Wallonie et en Flandre en revanche, ces derniers sont légion ! On en compte en effet 12 au sud du pays et 16 au nord ! Qui dit que les deux derniers qui restent à Bruxelles ne vont pas s’entendre sur une tarification spécifique à la capitale dans le futur, vu les règles en vigueur qui leur sont défavorables et qui surprotègent le client ? À l’heure actuelle, vu la faible concurrence, le Bruxellois paye d’ores et déjà plus chère son énergie par rapport à ses voisins flamands et wallons… Reste à voir ce que nous réserve le futur gouvernement…

  • Vente annulée : et si l’habitation s’est dépréciée ?

    Vous vendez un logement. Par la suite, cette vente est annulée et vous récupérez le logement. Mais quels sont vos droits si cette habitation a subi une dépréciation entretemps ?

    Stokkete

    Il peut y avoir diverses raisons de contester la validité d’un contrat de vente portant sur un bien immobilier. Mais quelles sont les conséquences en cas d’annulation?

    Le grand principe fondamental

    L’annulation d’un contrat fait que les parties sont remises autant que possible dans la même situation que celle où elle se trouvaient si elles n’avaient pas conclu de contrat. En principe, le vendeur récupère donc le logement tandis que le vendeur –s’il avait déjà payé – récupère le prix de vente. Une des parties peut éventuellement réclamer en outre un dédommagement à l’autre.

    Moins-value

    Si l’habitation a perdu de la valeur entretemps, c’est le problème du …vendeur, c’est lui qui supporte cette perte. Ce dernier est en effet réputé être toujours resté propriétaire du bien. Il existe toutefois une exception à cette règle si la baisse de valeur est imputable à une action ou omission de l’acheteur. Si cela peut être prouvé par le vendeur, alors celui-ci peut réclamer une indemnité supplémentaire au vendeur.

    Évaluation de la dépréciation

    Pour déterminer si la valeur du logement a diminué depuis la signature du contrat de vente, il est essentiel de faire évaluer le bien par un expert immobilier. Cette évaluation permettra de fournir des preuves tangibles en cas de litige sur la perte de valeur et aidera à étayer la demande d’indemnisation supplémentaire, le cas échéant.

    Pensez-y à deux fois

    Si vous voulez réclamer l’annulation d’un contrat de vente en tant que vendeur, mieux vaut vérifier ce que le bien immobilier vaut encore, il est crucial de connaître la valeur actuelle du bien immobilier. Consultez votre avocat. Le risque existe en effet de récupérer un logement dont la valeur a diminué.. Parfois, il peut être plus avantageux d’explorer d’autres options de réclamation. Cela pourrait inclure la renégociation des termes du contrat, la proposition de réparations ou d’améliorations pour compenser la dépréciation, ou même la recherche d’un nouvel acheteur sans annuler le contrat existant.

  • Vous faites construire ou rénover ? 13 petits et gros défauts très agaçants à prendre en compte !

    Si vous rénovez ou faites construire une maison ou un appartement, pensez aux petits détails ci-dessous… Ce sont des détails, certes, mais au quotidien, ils peuvent devenir extrêmement agaçants !

    12 défauts dans une maison
    cvincelet

    1. Les interrupteurs qu’on ne trouve jamais du premier coup !

    Vous savez, toutes ces fois où vous tâtonnez dans le noir pour trouver l’interrupteur ! Pensez à tous les mettre à gauche de l’entrée en rentrant, c’est l’endroit où on cherche tous instinctivement.

    2. Les interrupteurs loin du lit

    Dans le même registre, il existe certaines pièces pour lesquelles le placement des interrupteurs doit être pensé de façon encore plus précise. C’est le cas par exemple de la chambre à coucher. C’est toujours pénible de devoir se relever pour éteindre la lumière et d’ensuite retrouver son lit à tâtons.

    3. Manque de prises

    Les prises, surtout à notre époque sont primordiales. Les robots de cuisine, la box internet et l’ordinateur, le GSM et la guirlande LED doivent pouvoir être branchés de façon pratique, et tous en même temps si nécessaire.

    4. Les portes qui butent contre un meuble en s’ouvrant

    C’est un défaut que l’on retrouve souvent dans la salle de bains ou les toilettes, avec la porte qui bute contre les WC !

    5. L’espace entre la cuisinière et le plan de travail

    La cuisinière s’avère être plus petite que l’espace que vous lui aviez réservé. Résultat, toutes sortes d’objets tombent dans l’espace que cela crée. Comme l’appareil est lourd et peu commode à déplacer, ces objets y restent le plus souvent !

    6. L’éclairage de la cuisine qui n’inclut pas le plan de travail

    On reste dans la cuisine : vous pestez contre votre ombre qui vous empêche de bien voir ce que vous faites ? Pensez à illuminer juste au-dessus du plan de travail, pas simplement la table où vous mangez ! C’est crucial pour éviter de ses couper les doigts, et vos diverses préparations méritent d’être bien éclairées.

    7. Dysfonctionnement des espaces

    Les espaces peuvent être mal pensés de plusieurs façons. Il arrive aussi dans la cuisine que la distance entre l’espace de préparation et la cuisinière soit trop important, rendant les allers et retours plus longs qu’ils ne devraient. On peut retrouver le même manque d’optimisation dans la salle de bains.

    9. Mauvais montage de la plomberie 

    Une plomberie mal montée peut engendrer un manque de pression dans la maison. Les douches et la vaisselle notamment s’en retrouvent bien moins efficaces.

    Le chaud à la place du froid et le froid à la place du chaud, est une autre erreur à laquelle il coûte parfois de s’habituer.

    10. Le sol inégal à cause d’un carrelage mal posé

    Cela arrive malheureusement plus souvent que l’on ne pense ! Un carrelage mal posé et voilà la porte qui s’ouvre mal ou un meuble instable…C’est fastidieux à corriger une fois installé, mieux vont donc s’assurer de la qualité de la pose dès le départ.

    11. Revêtement salissant

    Certains revêtements peuvent être certes très esthétiques, mais s’avérer très salissants, voire même fragiles. Il arrive qu’on ne s’en rende compte que bien trop tard… De façon générale, évitez les carreaux présentant des stries profondes ainsi que les joints trop profonds, il seront complexes à nettoyer.

    12. Endroits pratiquement impossibles à nettoyer 

    Des coins inaccessibles ou rendus inaccessibles par des meubles ou des installations telles que des WC, et voilà plusieurs recoins impossibles ou du moins très difficiles à nettoyer correctement. C’est parfois inévitable, mais il est bon de garder en tête cet aspect pratiques lorsque l’on planifie l’agencement des pièces.

    13. Absence de flux cohérent

    Dans un soucis de logique et de fluidité, il faut réfléchir à l’agencement des pièces elles-mêmes, mais aussi les unes par rapport aux autres. L’idée est qu’elles puissent communiquer de façon à passer de l’une à l’autre facilement. Il faut que l’enchainement des pièces soit intuitif et cohérent. Une pièce isolée, sans accès pratique sera plus facilement négligée au quotidien.

  • Château d’Andrimont: un projet tout confort et axé sur la durabilité!

    Entre ville et campagne, alliant le charme de l’ancien avec le confort du moderne, le projet du Château d’Andrimont est une vraie pépite ! On vous en fait le tour ?

    Un cadre de vie idéal !

    Le Château d’Andrimont, c’est un projet composé de 14 logements exclusifs, combinant le charme de l’ancien et le confort du moderne. Situé en plein centre du charmant village d’Andrimont, ce projet est un parfait équilibre entre la tranquillité de la nature et les commodités du village, qui propose les commerces de première nécessité.

    La cerise sur le gâteau ? C’est évidemment la situation idéale, avec un accès rapide aux bus, écoles et commerces, sans oublier les autoroutes E40 et E42 à seulement 5 minutes.

    Conforts modernes

    Chaque logement bénéficie de la climatisation chaude et froide intégrée et assure une consommation basse énergie, promesse d’un quotidien à la fois confortable et respectueux de l’environnement.

    Une offre à ne pas manquer

    Avec encore 6 maisons et 3 appartements disponibles à la vente, le Château d’Andrimont est une opportunité rare d’acquérir une résidence de prestige dans un cadre de vie exceptionnel. Chaque logement comprend également une place de parking !

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  • « Le Belge est riche grâce à l’immobilier » : Vraiment ? Que disent les chiffres ?

    Le patrimoine médian d’un ménage belge atteint 249.301 euros, soit près de deux fois celui de la médiane européenne, selon une étude de Keytrade Bank et de l’Université de Gand.

    Le patrimoine des Belges est principalement constitué de biens immobiliers, qui représentent 58,8% de leur richesse totale, selon un rapport récent de Keytrade Bank et l’Université de Gand.

    Le rapport révèle que les ménages belges investissent massivement dans leur habitation familiale. Près de 3 ménages sur 10 choisissent également d’investir dans d’autres biens immobiliers, renforçant ainsi l’importance de l’immobilier dans la composition de leur patrimoine. Avec un patrimoine médian de 249.301 euros, les Belges surclassent largement la médiane européenne de 123.500 euros.

    Évolution du patrimoine immobilier avec l’âge

    L’étude montre que la richesse immobilière évolue avec l’âge. Les jeunes de 18 à 34 ans possèdent un montant médian de 121.426 euros, tandis que les 65-74 ans atteignent un pic de 340.050 euros. Après la retraite, cette richesse tend à diminuer, notamment après 75 ans.

    Épargne et autres investissements

    Outre l’immobilier, les comptes d’épargne constituent une part significative du patrimoine des Belges (9,4%), avec plus de 25.000 euros en moyenne. Environ 40% des ménages détiennent plus de 12 fois leur revenu mensuel net sur des comptes d’épargne.

    Et les grandes fortunes ?

    Les 1% des ménages les plus riches, avec un patrimoine minimum de 4,7 millions d’euros, investissent également majoritairement dans l’immobilier. Le patrimoine médian de ces ménages fortunés est de 5,9 millions d’euros. Ils possèdent souvent plusieurs biens immobiliers et sont impliqués dans la gestion de sociétés.

  • Focus sur le somptueux Hôtel van Eetvelde

    Inscrit depuis 2000 au Patrimoine mondial de l’Unesco, l’Hôtel van Eetvelde, construit au tournant du siècle dernier par Victor Horta, est l’un des plus beaux édifices Art nouveau de la Région bruxelloise.

    L’Hôtel van Eetvelde, situé à Bruxelles dans le quartier des squares, est un chef-d’œuvre de l’architecture Art nouveau. Il a été conçu par l’architecte Victor Horta entre 1895 et 1897, sur commande d’Edmond van Eetvelde. Cet hôtel particulier est situé au numéro 2 de la rue Palmerston, face aux bassins du square éponyme. Edmond van Eetvelde était un homme politique et diplomate belge. Il a occupé plusieurs postes de haut rang au sein du gouvernement, notamment en tant que chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères puis en tant que secrétaire général du Comité Exécutif de l’État indépendant du Congo, alors sous domination belge et propriété du roi Léopold II.

    En plus de sa carrière politique et administrative, Edmond van Eetvelde était également un mécène des arts et un grand amateur d’architecture. C’est dans ce contexte qu’il a commandé la construction d’un hôtel particulier à Victor Horta, permettant à ce dernier de créer l’une de ses œuvres les plus célèbres.

    Révolutionnaire pour l’époque

    Ce bâtiment est remarquable pour son style architectural novateur, caractéristique de l’Art nouveau, avec ses lignes courbes, ses ferronneries élégantes et ses matériaux luxueux. L’Hôtel van Eetvelde est souvent considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de Horta, qui lui a permis de démontrer son talent consistant en l’intégration parfaite de l’art dans l’architecture.

    L’intérieur de l’hôtel est tout aussi impressionnant que sa façade, avec des espaces lumineux et aérés, décorés avec des motifs floraux et des détails très élaborés. Horta a conçu non seulement le bâtiment lui-même, mais aussi une grande partie du mobilier et des éléments décoratifs, créant ainsi une expérience immersive pour les occupants. Propriété de la Fédération de l’Industrie du Gaz depuis 1950, qui sauvera le bâtiment d’une destruction certaine, l’Hôtel van Eetvelde est classé depuis 2000 au patrimoine mondial de l’Unesco, en reconnaissance de son importance architecturale et de son influence dans le mouvement de l’Art nouveau sur le Vieux Continent. Il est parfois ouvert au public lors d’événements spéciaux ou de visites guidées, offrant ainsi aux visiteurs la possibilité d’admirer de près cette superbe création architecturale.

    Envie d’en savoir plus sur cet édifice remarquable ? N’hésitez pas à consulter le site Admirable-Artnouveau qui a dédié une page à l’Hôtel van Eetvelde, avec de superbes clichés du bâtiment et de son somptueux intérieur.

  • Peintures isolantes : révolution thermique ou gadget inefficace ?

    Les peintures isolantes : solution miracle ou coup de pouce énergétique quasiment insignifiant ? On voit cela avec vous !

    construction worker is painting a wall with a roller

    Fonctionnement

    Les peintures isolantes utilisent des microsphères céramiques ou des particules creuses pour créer une barrière thermique. Ces composants permettent de réduire les pertes de chaleur en hiver et de maintenir la fraîcheur en été. En termes de gains thermiques, on peut s’attendre à une réduction de température allant de 2 à 5 degrés Celsius selon les conditions et la qualité de la peinture.

    Applications Pratiques

    Les peintures isolantes peuvent être appliquées sur diverses surfaces :

    • Murs intérieurs et extérieurs : pour une isolation thermique et acoustique optimale.
    • Plafonds : pour réduire les pertes de chaleur par le toit.
    • Toitures : pour refléter la chaleur solaire et diminuer les besoins en climatisation.

    L’application se fait de manière similaire à celle des peintures classiques, utilisant des rouleaux ou des pinceaux.

    Budget

    Le coût des peintures isolantes varie en fonction de la marque, de la qualité et de la surface à couvrir. En général, le prix oscille entre 20 et 50 euros par litre. Pour une maison moyenne, cela représente un budget de 400 à 1200 euros pour deux couches (le minimum pour garantir une certaine efficacité), sans compter la main-d’œuvre si vous faites appel à un professionnel.

    Avantages

    • Économies d’énergie : réduction des coûts de chauffage et de climatisation.
    • Facilité d’application : comparable aux peintures traditionnelles.
    • Durabilité : une longue durée de vie avec peu d’entretien, certaines étant lavables.
    • Respect de l’environnement : certaines formulations sont écologiques.

    Inconvénients

    • Coût initial : plus élevé que les peintures classiques.
    • Efficacité variable : dépend fortement de la qualité du produit, du nombre de couches et de la méthode d’application.
    • Disponibilité : moins courantes dans les magasins que les peintures traditionnelles. Et si de nombreuses teintes sont possibles, le choix n’est pas tout-à-fait aussi large qu’avec les peintures traditionnelles