Les batteries domestiques permettent de stocker l’énergie produite par vos panneaux solaires pour une utilisation ultérieure. Mais comment choisir le bon modèle et la bonne capacité ?
Le premier point est évidemment la capacité. Concrètement, plusieurs formules existent pour déterminer quelle capacité serait idéale pour vous. En ce qui nous concerne, nous optons pour une formule qui est directement dépendante de votre installation solaire, sachant qu’une batterie devrait idéalement avoir une capacité un peu supérieure (ou à tout le moins, égale), à votre production d’énergie solaire. En clair, pour une installation de 4 kWc, optez pour une batterie de minimum 4 kWh, voire idéalement de 6 kWh, le rapport de 1,5 étant idéal.
En effet, une batterie trop grande vous coûtera beaucoup d’argent inutilement et une batterie trop petite ne pourra digérer votre production d’électricité verte. Avant d’opter pour un modèle, lorgnez également sur le rendement de la batterie (minimum 90%), sur ses dimensions et sa masse (pour une installation plus facile), sur le nombre de cycles de recharge possibles (minimum 7.000, pour une durée de vie supérieure à 15 ans) et sur l’intégration ou non, d’un onduleur dans l’installation ou directement dans la batterie.
Production variable !
Notez également que la production solaire est très variable et dépend fortement de l’ensoleillement. Ce printemps, nous n’aurons en effet pas été particulièrement gâtés… En été, vous pouvez atteindre une production optimale, mais en hiver, la production peut chuter drastiquement, au point de rendre votre batterie quasiment inutilisée, votre production d’énergie verte n’arrivant pas toujours à s’aligner sur votre consommation. Et c’est bien entendu l’hiver que les besoins en énergie sont les plus importants !
Et bien c’est… faux, à une exception près ! Non, la superficie des logements neufs ne suit pas une tendance à la baisse, sauf dans une région…
Au cours des cinq dernières années, la surface habitable des maisons neuves a connu une augmentation notable en Belgique, selon les dernières données de Matexi et Realo. En Wallonie, cette augmentation est de 7 m², tandis qu’en Flandre, elle atteint 11 m².
Contrairement à la Wallonie et la Flandre, Bruxelles affiche une diminution de la superficie médiane des maisons neuves, passant de 215 m² en 2014 à 174 m² en 2024. Cela s’explique aisément, les espaces étant toujours plus restreints dans la capitale.
Les appartements : une offre stable
La superficie médiane des appartements neufs reste stable à travers le pays. Les appartements deux chambres dominent le marché, avec une superficie moyenne d’environ 95 m² à Bruxelles, 96 m² en Flandre, et 94 m² en Wallonie.
Disparités des prix et des superficies par région
Les communes comme Alost, Hasselt et Louvain offrent les appartements neufs les plus spacieux. À l’opposé, Knokke-Heist présente les plus petites superficies mais reste la commune la plus chère pour l’achat d’un appartement.
Le bardage en PVC gagne sans cesse en popularité : jugé plus facile à la pose et à l’entretien que le bois est-il vraiment la solution idéale ? On voit cela avec vous !
Quel type ?
Bardage en PVC traditionnel
C’est le modèle classique, disponible dans une gamme de couleurs et de finitions très élargies. Il offre une bonne protection et un entretien minimal.
Bardage en PVC structuré
Le bardage en PVC structuré, pour sa part imite l’apparence du bois avec des textures et des reliefs qui ajoutent du caractère à votre façade. Il offre l’esthétique du bois sans les inconvénients d’entretien !
Bardage en PVC double peau
Le bardage en pvc double peau est doté d’une double couche pour une isolation renforcée et une meilleure protection contre les intempéries.
Dans tous les cas, privilégiez une pose sur une structure, pour assurer la ventilation et ainsi, diminuer les risques d’humidité.
Avantages
Résistance aux intempéries
Le PVC résiste aux UV, à la pluie, et aux variations de température sans se déformer ni se décolorer.
Entretien minimal
Contrairement au bois, le PVC ne nécessite ni peinture ni traitement régulier. Un simple nettoyage à l’eau suffit.
Durabilité
Le PVC est un matériau robuste qui peut durer des décennies sans montrer de signes de vieillissement. Attention toutefois au modèle que vous convoitez, car un PVC n’est pas l’autre !
Inconvénients
Aspect esthétique
Bien que les finitions se soient améliorées, certains trouvent que le PVC n’a pas le cachet du bois. Certains modèles s’en approchent très fort, mais attention au prix !
Impact environnemental
En matière de production et de recyclage, le PVC est évidemment nettement moins vertueux que le bois ou la pierre…
Expansion thermique
Le PVC peut se dilater ou se contracter légèrement avec les variations de température : lors de l’installation, anticipez ce phénomène en calculant pas les lattes au plus juste ! Un joint de dilatation d’environ 1 millimètre par mètre est impératif !
Budget ?
Le coût du bardage en PVC varie en fonction de plusieurs facteurs :
Matériau
Les prix du PVC varient entre 10 et 40 euros par mètre carré, selon la qualité et la finition.
Installation
Faire appel à un professionnel coûte entre 20 et 50 euros par mètre carré, mais cela garantit une installation correcte et durable.
Entretien
Les coûts d’entretien sont minimes, se limitant à un nettoyage périodique.
La Cwape, le régulateur wallon des marchés de l’électricité et du gaz, a adopté les lignes directrices de sa réforme.
À partir du 1er janvier 2026, les Wallons auront le choix entre trois types de tarifs pour leur consommation d’électricité. Outre les tarifs standards mono-horaire et bihoraire existants, il faudra aussi composer avec un tarif incitatif dont le prix variera au cours de la journée en fonction de 5 tranches horaires distinctes. C’est ce qui ressort des lignes directrices présentées par la Cwape pour les années 2026-2029. “L’objectif est que le plus grand nombre possible d’utilisateurs déplacent leurs consommations aux moments les plus opportuns, c’est-à-dire lorsque l’électricité est abondante dans les réseaux”, a expliqué le régulateur wallon des marchés de l’électricité et du gaz.
Concrètement ?
Le tarif le plus avantageux sera disponible durant deux plages horaires qualifiées de “vertes” : de 1 à 7h et de 11 à 17h. Un tarif intermédiaire, “orange” sera également proposé, de 7 à 11h et de 22 à 1h. Enfin, le tarif “rouge” concernera les heures les plus chargées du réseau, à savoir de 17 à 22h. La Cwape explique que cette nouvelle tarification ne pénalisera pas forcément les Wallons qui ont pour habitude de consommer de l’électricité durant les heures “rouges”. En effet, l’étude qui a permis de définir les contours de ce nouveau plan de tarification a pris en compte la consommation d’électricité qui ne peut être postposée, comme celle inhérente à la préparation du repas du soir par exemple.
Du changement pour le bi-horaire !
Enfin, le tarif bihoraire va connaître un bouleversement majeur puisque plus aucune distinction ne sera faite entre les jours de semaine et du week-end, et puisque la plage horaire d’heures creuses qui couvrait tout le week-end va disparaître. En revanche, ces mêmes heures creuses seront plus nombreuses, avec l’apparition des “heures solaires”.
A partir du 1er novembre, une nouvelle réglementation bruxelloise clarifie la situation des locataires possédant des animaux de compagnie. De quoi s’agit-il ? Quid dans les autres régions ?
Vinicius Amnx Amano
Nouvelle réglementation
A partir du 1er novembre 2024, une nouvelle réglementation sera d’application en région bruxelloise et s’appliquera aux baux conclus ou renouvelés à partir du 1er novembre 2024. Ce qu’elle dit ? En clair, le propriétaire ne pourra plus interdire la détention d’un animal de compagnie. Si ce genre de condition apparaît dans le bail ou dans les annexes, elle sera considérée comme non écrite. Le bail peut toutefois préciser qu’il ne peut y avoir de nuisance ou d’agression. Le bail peut également limiter le nombre d’animaux ou d’espèces pouvant être détenus dans les limites du raisonnable.
Et ailleurs ?
En Flandre ou en Wallonie, le locataire peut détenir un animal de compagnie si le bail n’indique pas le contraire. Cet animal ne doit évidemment pas être dangereux ou gênant, et le locataire ne peut détenir que des animaux autorisés par la loi. Le locataire doit également payer pour les dommages que l’animal cause à la maison ou à l’appartement.
Et si le propriétaire veut l’interdire ?
En Flandre et en Wallonie, la plupart des juges sont d’avis qu’une interdiction absolue de détenir des animaux de compagnie n’est pas raisonnable, sauf raison valable. Cela peut être le cas, par exemple, si les luxueuses finitions du bien sont fragiles ou si le studio ou l’appartement est trop petit pour accueillir un animal de compagnie.
Je n’ai jamais été très fan des plantes aux longues feuilles raides en forme de lances. Leur capital sympathie reste, je trouve, un mystère. Je n’y vois que dureté et danger.
Et bien qu’il ne me viendrait jamais à l’idée de planter des plantes piquantes dans mon jardin, il se fait que j’en ai deux sur mon lopin de terre. Deux énormes yucca gloriosa trônent parmi mes hortensias adorés. Et je n’ai encore jamais eu le cœur de les arracher.
Leurs longues feuilles étroites et raides se terminent par une pointe dure et dangereuse. L’angoisse. Chaque année, quand les enfants des uns et des autres défilent au jardin, je crains qu’il ne se produise un accident. Je les imagine se blesser sur ces deux touffes hérissées. Je pense donc souvent à couper la pointe des feuilles : sécurité avant tout.
Il se fait que j’ai vu dernièrement, lors d’un petit séjour en pays catalan, un jardin enchanteur. Il était fait de diverses plantes du même style, aux extrémités pointues et acérées. Et toutes, avaient été coiffées de boules colorées.
Je n’ai pas pu en avoir la certitude, mais il me semble qu’il s’agissait de boules en polystyrène, peintes et parfois recouvertes de paillettes. L’ensemble était festif et joyeux. Ces plantes si austères et si peu à mon goût, s’autorisaient tout à coup de la fantaisie et de la légèreté.
Je me suis empressée de faire de même dans mon jardin. J’ai acheté des sacs entiers de boules et me suis amusée à les peindre de différentes couleurs. Un travail fastidieux mais qui a le mérite de ne pas demander de précision. J’ai, pour ma part, laissé tomber l’idée des paillettes. Noël avant l’heure : très peu pour moi !
D’aucuns trouveront l’idée trop peu naturelle ou écolo. Je l’admets. Mais c’est une technique qui vaut la peine d’être partagée si elle permet de ne pas arracher les dites plantes et de sécuriser la zone pour les cache-cache et autres jeux d’été !
Si vous voyez de temps à autres des araignées dans votre maison, sachez qu’il ne s’agit probablement que d’un très petit pourcentage de toutes celles qui sont effectivement présentes…
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Le reste de ces arachnides est très probablement caché dans les coins, les fissures, les trous et derrière vos meubles. A l’approche de l’automne, les araignées sortent à nouveau de leurs cachettes. Les mâles deviennent plus actifs parce qu’ils recherchent une femelle, alors ils quittent leur toile… Vous serez certainement amené à les croiser plus fréquemment. Cependant, beaucoup de gens ont peur des araignées. En fait, à tort, car les araignées se nourrissent d’insectes que nous préférons ne pas avoir dans la maison, comme les mouches notamment. Vous devriez donc être plutôt reconnaissants envers ces araignées… Voici toutefois quelques conseils pour les empêcher d’entrer dans la maison.
Bouchez les trous
Les araignées préfèrent se cacher dans les coins, les recoins et les fissures de votre maison. Il est donc conseillé de remplir ou de boucher les trous et les fissures, évitant ainsi de leur fournie une cachette.
Évitez les autres insectes
Pour éloigner les araignées, il faut éloigner leurs proies. Les araignées se nourrissent d’insectes, alors assurez-vous d’attirer le moins d’insectes possible. Évitez les mouches en gardant vos fruits et légumes couverts et évitez de laisser les fenêtres ouvertes la nuit, lorsque toutes vos lumières intérieures sont allumées !
Gardez votre maison propre
Un intérieur propre est un autre moyen de dissuasion. Passez l’aspirateur régulièrement, enlevez les aliments insectivores, et les araignées auront moins de raison de s’installer chez vous. En l’absence de proies, elles seront moins enclines à rester.
Préparez des vaporisateurs
Au citron
Citron, oranges et autres agrumes : les araignées n’en sont pas friandes du tout ! Alors, faites votre propre spray maison avec du jus de citron et de l’eau… Il ne vous reste plus qu’à vaporiser le tout un peu partout et en insistant surtout aux diverses entrées.
Au vinaigre blanc
Le vinaigre blanc est un produit ménager polyvalent qui peut également aider à dissuader les araignées. Mélangez une solution de vinaigre blanc et d’eau dans un vaporisateur et pulvérisez les zones propices à l’infestation. Le vinaigre blanc agit comme un répulsif naturel tout en laissant votre maison avec une odeur fraîche et propre.
Aux essences d’huiles essentielles
Les araignées détestent certaines essences d’huiles essentielles. Utilisez des huiles telles que la menthe poivrée, l’arbre à thé ou la citronnelle. Mélangez quelques gouttes avec de l’eau dans un vaporisateur et pulvérisez les rebords de fenêtres, les seuils de portes et les autres endroits où les araignées pourraient entrer. Non seulement cela éloignera les araignées, mais cela laissera également une agréable odeur fraîche dans votre maison.
Plantes répulsives
Introduire des plantes répulsives dans votre maison peut être une solution naturelle pour éloigner les araignées. Certaines plantes, comme la menthe, la lavande, et l’eucalyptus, ont des propriétés répulsives pour les arachnides. Placez des pots de ces plantes près des fenêtres, portes et autres points d’entrée potentiels est un autre moyen de créer une barrière olfactive dissuasive.
Maintenez une humidité équilibrée
Les araignées sont fortement attirées par des environnements humides. En maintenant un niveau d’humidité équilibré dans votre maison, vous réduisez les chances d’infestation. Utilisez un déshumidificateur dans les zones sujettes à l’humidité excessive, comme les sous-sols. Veillez également à bien aérer votre maison pour éviter les coins humides, très propices à la toile des araignées.
L’ASBL bruxelloise We Are Nature s’oppose fermement au projet de nouveau stade de l’Union saint-gilloise sur le site du Bempt à Forest et milite pour un moratoire sur les permis de bâtir dans les dernières zones naturelles de Bruxelles.
🏟️ Informations sur le nouveau stade : Le club espère introduire la demande de permis pour son projet de nouveau stade sur le site du Bempt mi 2024. pic.twitter.com/yS4NpEPq6e
— Royale Union Saint-Gilloise (@UnionStGilloise) July 20, 2023
Selon We Are Nature, « le projet de méga-stade sur le Bempt, d’une capacité de 15 000 places, est avancé sans étude sérieuse des alternatives. Il est incompatible avec les obligations climatiques de la Région, et contraire aux engagements sociétaux de l’Union saint-gilloise« . L’association soutient qu’il est possible d’augmenter la capacité du stade Marien actuel tout en respectant les normes de l’UEFA, comme l’affirme une étude d’Urban.
De plus, l’association souligne que la construction d’un méga-stade privé dégraderait les conditions de vie du quartier, aggraverait les inondations et augmenterait la pollution sonore, affectant particulièrement les habitants des logements sociaux.
Le projet est également critiqué pour son bilan carbone, jugé incompatible avec les obligations régionales de réduction des gaz à effet de serre et à des années-lumière des positions de l’Union saint-gilloise en faveur de la durabilité et de la solidarité.
Reste à voir ce que décidera la commune, par ailleurs critiquée pour son immobilisme par l’Union Saint-Gilloise.
A moins d’avoir vécu reclus dans une grotte ces dernières années, il est difficile de passer à côté de l’arrivée de l’intelligence artificielle, qui se répand à une vitesse vertigineuse à tous les niveaux. Et parce que chez Immovlan, on est toujours à la page et en quête d’innovation, elle arrive chez nous aussi ! Voici ce que cela vous apportera…
Des robots-tondeuses détectant la laissant du chien trainant dans le gazon aux étudiants profitant de l’outil pour rédiger leurs rédactions, l’intelligence artificielle envahit progressivement notre quotidien. Et sur votre site immobilier favori ? Cela passe par une « traduction » automatique des textes descriptifs des biens rédigés en une seule langue, vers l’anglais, le français et/ou le néerlandais. Bref, toutes les annonces seront proposées dans les trois langues ! A vrai dire, le mot « traduction » est injuste, car il ne s’agit pas de traduire grossièrement le texte rédigé par l’annonceur, mais de le réécrire, en s’appuyant notamment sur d’autres données fournies par ce dernier, telles que le nombre de chambres, la situation géographique…
Les avantages ?
Pour le vendeur, ils sont multiples : cela signifie non seulement qu’il peut se passer de la corvée de traduction, cette dernière se faisant automatiquement, mais cela veut également dire que son annonce gagnera en visibilité. Pour l’utilisateur, l’avantage principal est évident : l’annonce sera toujours rédigée dans sa langue.
Et on ne compte pas s’arrêter là !
L’intelligence artificielle sera déployée dans d’autres domaines, comme, pour les biens à rénover, la génération d’images illustrant le bien remis à neuf, ce qui permettra aux personnes intéressées de se projeter dans leur futur bien… Bref, vous l’aurez compris, on ne reste pas les bras croisés et votre expérience sur notre site est plus que jamais, au cœur de nos préoccupations.
Repasser ? Voilà une activité que je ne pratique pour ainsi dire jamais. Je fais en sorte de sécher le linge sans qu’il ne se froisse, je secoue les vêtements pour les détendre au maximum et je les lisse du plat de la main sur la table avant de les plier. La majeure partie du temps, cela suffit.
Mais il reste toujours quelques chemises qui ne peuvent se passer d’un bon coup de fer. Celles-là patientent dans la malle jusqu’au jour où je n’ai plus d’autre choix que de les repasser. Et il se fait qu’hier, c’était le grand jour.
Quand j’ai dégainé mon fer, j’ai fait la moue : la semelle était toute recouverte de calcaire et quelques tâches noircies avaient fleuri ci et là. L’eau dure et la température trop élevée du fer étaient responsables de son état. Je n’aurais jamais osé glisser cette semelle sur le linge propre et prendre ainsi le risque de tacher les vêtements.
Evidemment, le mieux est toujours d’entretenir l’appareil et de veiller à ce qu’il reste propre. Nettoyer la semelle avec du vinaigre dilué ou de l’eau distillée après chaque usage ne serait pas vain.
Dans mon cas, il n’était plus question d’entretenir mais de réparer. Mon allié en pareille situation ? Le dentifrice ! Une noisette suffit à redonner éclat et brillance à la semelle du fer. Il faut en disposer un peu sur un chiffon doux et frotter la semelle en faisant des mouvements circulaires. Il faut insister un peu sur les taches noires. Le passage d’un chiffon humide ôtera le surplus de dentifrice, produit miracle s’il en est ! Il ne reste plus qu’à allumer le fer sur la fonction vapeur pendant plusieurs minutes : cela finira de décoller la saleté de la semelle. Ça, c’est mon truc à moi !
Selon vos préférences, sachez que d’autres possibilités existent : du produit nettoyant pour four peut faire l’affaire pour éliminer les taches noires. Un demi-citron frotté sur la semelle (encore tiède dans ce cas) fait des miracles aussi. Pour récupérer les orifices de la semelle, bouchés par le calcaire, j’utilise du vinaigre blanc. Je frotte les trous avec un coton-tige trempé dans le vinaigre blanc additionné de bicarbonate de soude.
Ce sont les chemises qui ont été contentes : je les ai entendues ronronner de plaisir sous le fer flambant neuf !