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  • Les pompes à chaleur, loin d’être rentables ?

    Plus chères qu’une installation de chauffage au gaz ou au mazout, les pompes à chaleur ne seraient bien souvent pas rentables estime la CREG dans une étude récente.

    heat pump

    On le sait, les pompes à chaleur sont encouragées par les autorités publiques dans la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. A contrario, les chaudières au mazout ont été pratiquement interdites et celles fonctionnant au gaz devront bientôt être remplacées. En effet, pour les logements neufs, le chauffage au gaz sera interdit dès l’année prochaine tandis qu’on sera contraint d’opter une pompe à chaleur lors d’une rénovation approfondie si l’on sollicite une réduction de taxe foncière.

    Or, cet encouragement qui a tout d’une obligation n’est pas sans impact sur le budget d’un chantier de construction ou de rénovation. Pour une pompe à chaleur air-eau, il faut en effet compter de 7.500 à 15.000 € alors qu’une chaudière au gaz ne coûte que 4.500 € en moyenne. S’ajoute à cela une électricité (nécessaire pour alimenter la pompe à chaleur) qui coûte plus cher que les autres sources d’énergie…

    Que dit la CREG ?

    La CREG, la Commission de régulation de l’électricité et du gaz, a dévoilé une étude qui compare le coût du chauffage avec une pompe à chaleur air-eau à celui du chauffage aux combustibles conventionnels. Ont été pris en compte, les coûts d’investissement, de maintenance, de TVA ainsi que les frais énergétiques sur une période allant de janvier 2018 à janvier 2024. La CREG s’est basée sur différents types de logements, aussi bien pour les clients réguliers que pour les clients bénéficiant du tarif social, ainsi que pour les propriétaires et les locataires, et ce tant à Bruxelles qu’en Flandre et en Wallonie. Chaque politique régionale, en termes d’incitants et de soutiens financiers, a donc également été prise en compte.

    Il ressort de cette étude compilant tous ces éléments qu’en moyenne, le rapport de prix entre l’électricité et le gaz devrait être au maximum compris entre 1,73 et 2,06 pour rendre une pompe à chaleur rentable”, c’est-à-dire moins chère en termes d’investissement et de consommation qu’une chaudière à gaz. Or, sur la période prise en compte pour réaliser ladite étude, le ratio moyen était compris entre 4,15 et 6 ! L’électricité a donc été deux à trois fois trop chère pour qu’une pompe à chaleur puisse être considérée comme rentable.

    La CREG nuance néanmoins ce constat peu encourageant en expliquant qu’une pompe à chaleur combinée à des panneaux solaires peut donner un résultat différent. Mais cela doit encore faire l’objet d’une étude complémentaire pour être vérifié. Enfin, dernier constat intéressant : l’étude s’est également penchée sur les poêles à pellets, en effectuant une série de calculs similaires. Et là aussi la CREG montre que cette source de chauffage n’est pas en mesure de rivaliser avec le chauffage aux combustibles fossiles en termes de rentabilité.

  • Mila : « une idée en or pour habiller vos fenêtres ! »

    La randonnée, c’est notre truc à nous. Avec l’amoureux, on marche. Pendant des heures. On découvre ainsi des régions, des villages, des petits coins de paradis, aussi. Et puis, on s’extasie des maisons, des couleurs choisies, des pierres sélectionnées, des aménagements effectués…

    L’autre jour, nous étions dans la localité de Beloeil, dans la Province du Hainaut et nous avons eu un coup de cœur pour les fenêtres qui habillaient une ancienne fermette. Les fenêtres étaient enfoncées dans la façade et embellies par plusieurs choses.

    Les appuis de fenêtres en vieille pierre accueillaient des jardinières en osier, garnies de géraniums blancs et vaporeux. Des volets en bois, massifs et peints dans un gris vert tout doux, encadraient les fenêtres. Et un morceau de vieille poutre, peint de la même couleur surlignait le tout, traçant une symétrie parfaite avec les appuis de fenêtres. Rien que ça, c’était charmant !

    Mais ce que je n’avais jamais vu nulle part et que je voulais vous montrer, c’était l’élément décoratif accroché à la poutre : une pièce en métal, peinte elle aussi en gris vert, et constituée d’arabesques et de motifs végétaux. Son centre descendait légèrement vers le bas et ourlait le renfoncement de la fenêtre avec finesse et élégance.

    Pour tout vous dire, c’est rare que l’amoureux et moi soyons d’accord sur quoi que ce soit. En général, nos promenades sont accompagnées de débats pour tenter de convaincre l’autre que telle maison est plus belle que telle autre. Mais ici, cet embellissement de fenêtres nous a séduits tous les deux. Assez rare que pour être dit ! 

    Je vous ai pris une photo : j’imagine que le propriétaire a l’habitude que l’on s’extasie devant sa façade.

    C’est une idée si belle que je la garde en tête pour le jour où j’aurai, moi aussi, des fenêtres à habiller !    

  • Investir dans un bien en France ou en Espagne : allez-vous devoir payer une taxe sur les loyers perçus ?

    Les deuxièmes résidences situées en Belgique appartenant à une personne qui réside sur le territoire de notre Royaume sont taxées. Si le bien est loué, le propriétaire ne sera pas taxé sur les loyers perçus mais bien sur le revenu cadastral indexé et majoré de 40 %.

    villa spain
    Frames for your Heart

    Mais qu’en est-il si l’on est propriétaire d’un bien en France ou en Espagne et qu’on le met en location ? En tant que propriétaire d’un bien immobilier dans l’un de ces deux pays, vous serez soumis à l’impôt sur les loyers perçus sur place. Voici une vue d’ensemble de la fiscalité applicable dans chacun de ces deux pays.

    En Espagne

    Si vous êtes résident belge, le taux de taxation sur le revenu des loyers perçus en Espagne est de 19 %. Jusqu’à il y a peu, vous deviez faire une déclaration des revenus fonciers à la fin de chaque trimestre et payer l’impôt trimestriellement, mais depuis le début de cette année, vous ne devez plus déclarer lesdits revenus qu’une seule fois par an. Pour 2024, les revenus devront être déclarés entre le 1er et le 20 janvier 2025. Notez qu’il est possible de déduire certaines dépenses liées à la location pour les propriétaires issus d’un pays de l’Union européenne, dont la Belgique.

    En France

    Chez nos voisins français, les revenus locatifs sont soumis à l’impôt sur le revenu. Vous devez les déclarer dans la catégorie des revenus fonciers. Trois régimes s’appliquent dans ce cas de figure :

    • le régime micro-foncier : si le montant annuel des loyers ne dépasse pas 15.000 €, vous pouvez bénéficier de ce régime simplifié qui permet un abattement forfaitaire de 30 %. Vous serez donc imposé sur les 70 % restants,
    • le régime réel : si vos revenus locatifs dépassent 15.000 € ou si vous optez pour ce régime, vous pouvez déduire les charges réelles (travaux, intérêts d’emprunt, etc.) de vos revenus fonciers. Ici, contrairement au régime du micro-foncier, le résultat de l’opération loyers moins charges peut entraîner un bénéfice (variable selon le montant des charges) ou un déficit,
    • et, enfin, la taxation au titre de meublé professionnel qui permet de bénéficier d’abattements intéressants.

    Notez aussi que depuis 2017, après plusieurs condamnations de la France par la Cour de justice de l’Union européenne, les non-résidents ne sont plus redevables des prélèvements sociaux français (CSG – Contribution Sociale Généralisée,CRDS – Contribution au Remboursement de la Dette Sociale et autres).

    Enfin, en ce qui concerne notre pays, les conventions bilatérales signées avec des États tiers ne sont plus d’une grande utilité. En effet, après trois condamnations par la même Cour de justice de l’Union européenne, la Belgique attribue depuis 2021 un revenu cadastral aux biens étrangers.

    On ne peut que vous recommander de consulter un expert-comptable ou un conseiller fiscal afin d’optimiser votre situation et vous assurer de respecter toutes les obligations déclaratives.

  • Un système original pour faire fuir les cambrioleurs et les squatteurs !

    La période de congés est une période assez faste pour les cambrioleurs… Voire pour certains squatteurs ! Comment s’en prémunir ? Diverses solutions existent, donc ce dispositif signé Verisure et proposé en France !

    Ce système libère en effet un brouillard dense en cas d’intrusion, rendant toute tentative de cambriolage particulièrement difficile. Le dispositif vise à désorienter les cambrioleurs, leur visibilité étant quasiment réduite à zéro en quelques secondes. De quoi également repousser les squatteurs !

    Fonctionnement

    Le principe de fonctionnement est basé sur la détection d’intrusion. Dès qu’un mouvement suspect est identifié, le système libère un brouillard épais qui envahit rapidement la pièce. Ce brouillard est inoffensif pour les personnes et les animaux, mais il crée un environnement où la visibilité est extrêmement réduite, compliquant les mouvements des intrus. Selon Verisure, cette méthode permet de gagner du temps avant l’arrivée des forces de l’ordre. Et cerise sur le gâteau : une fois dissipé, le brouillard ne laisse aucune trace !

    Ce dispositif s’intègre en complément des systèmes d’alarme déjà existants de Verisure. Il offre une couche supplémentaire de protection pour les foyers, en ajoutant une barrière physique immédiate contre les intrusions.

  • Mila : « Faire pousser de l’herbe dans son poulailler ? Suivez l’astuce ! »

    Les poules ? Je n’y connais pas grand-chose… Et contrairement à mon amie Céline, je ne les aime vraiment qu’en chocolat, emballées dans du papier aux couleurs chatoyantes.

    Céline, elle pense à ses poules jour et nuit. Toujours à l’affût de trucs et astuces pour améliorer leur bien-être. Elle a d’ailleurs déménagé en zone rurale pour pouvoir installer un poulailler dans son jardin sans ennuyer personne.

    Je l’écoutais l’autre jour me raconter les aventures de Martine, Julie, Yvonne et toutes les autres : il paraît que leur cadre de vie s’est amélioré depuis peu. Le problème, c’était que les chéries grattaient tout, sol compris. Et que le temps passant, il n’y avait plus un seul brin d’herbe à picorer.

    J’avoue avoir appris des choses. J’ignorais, par exemple, que l’herbe était si précieuse aux poules. Je pensais que hop, quelques grains de maïs, d’orge, d’avoine ou de blé suffisaient à leur bonheur. Mais c’est faux. Omnivores, elles trouvent dans l’herbe des éléments nutritifs essentiels : calcium, minéraux, oligo-éléments, vitamines… Ces apports réduisent leur fatigue et permettent une ponte de qualité : des œufs aux coquilles plus solides et à la belle couleur jaune orangé. Vous le saviez ?

    J’ai aussi appris que l’herbe permet d’avoir un enclos plus sain : exit les eaux qui stagnent, la boue, et les maladies liées à la prolifération des acariens. Et, cerise sur le gâteau, picorer l’herbe est une distraction qui évite aux cocottes de se disputer. C’est un passe-temps qui diminue les risques de prise de bec.

    A ce stade, je vous avoue que je ne pipais plus mot.   

    Bref, je voulais vous partager la trouvaille de mon amie : elle a construit un cadre en bois de belle taille, sur lequel elle a fixé du grillage à la maille très étroite (pour éviter que les pattes ne restent coincées) : l’herbe pousse à travers le grillage et les poules s’en délectent sans plus rien saccager. Le cadre est haut de plusieurs centimètres : impossible pour les poules de gratter ou piquer la terre à travers le grillage. On ne sait jamais : l’astuce vous inspirera peut-être ?

    Evidemment, le mieux est (je cite Céline !) de construire un parcours herbeux et d’effectuer une rotation du parcours. Mais réaliser un enclos mobile demande un terrain bien plus spacieux que celui dont elle dispose. On fait comme on peut.

    Vive l’herbe fraîche et les poules heureuses !

  • 4 astuces pour acheter vos meubles au meilleur prix

    On le sait, l’ameublement coûte vite une fortune. Si vous caressez l’idée de remeubler votre salon ou votre salle à manger à moindre coût, sachez qu’il existe toutefois quelques astuces pour trouver des meubles pas chers. Suivez le guide !

    1.    Les modèles d’exposition

    La plupart des enseignes cassent leurs prix sur les modèles qu’elles exposent ou qui sont légèrement griffés. Les ristournes sont souvent importantes ! À ce sujet, sachez qu’il est parfois possible de négocier un rabais encore plus conséquent, notamment si vous proposez de vous occuper vous-même du transport. Attention, toutes les enseignes ne sont pas forcément ouvertes à ce type de négociation, mais cela ne coûte rien d’essayer ! Notez enfin que certaines enseignes proposent des rayons « bonnes affaires » où vous pouvez trouver des trésors à prix réduit. Il est souvent utile de visiter ces rayons régulièrement pour ne pas manquer les meilleures opportunités.

    2.    Les modèles de fin de série

    Histoire de faire place aux nouvelles collections, les grandes enseignes liquident souvent leurs modèles plus anciens à des prix imbattables. Il faut souvent que ça parte vite ! Non seulement cela vous laissera peut-être l’occasion de négocier, mais de plus, vous repartirez avec des meubles qui, il y a quelques mois encore, coûtaient bien plus ! Cela vaut franchement le coup, car après quelques années, vous aurez sans doute oublié que vos meubles étaient une fin de série. De plus, ces modèles de fin de série sont souvent d’excellente qualité et peuvent même être plus robustes que les nouvelles collections, ce qui vous assure un achat durable.

    3.    Le net

    Fouillez le net à la recherche des bons plans ! Nous pensons notamment aux magasins en ligne qui déstockent et qui offrent parfois de sacrées remises. Généralement, les offres les plus alléchantes se trouvent sur la page d’accueil. Notez que les remises peuvent également concerner la livraison, voire le montage ! Analysez donc bien tous les détails ! Il existe également des sites de vente privée qui proposent des meubles de grandes marques à prix réduits pendant des périodes limitées. Pensez aussi à consulter les forums et les groupes de réseaux sociaux où les utilisateurs partagent régulièrement des bons plans et des codes promo.

    4.    Le marché de l’occasion

    C’est l’une des grandes tendances du moment : donner une seconde vie aux meubles. Cela demande parfois un peu d’huile de coude, un peu d’expérience et une certaine connaissance du marché (qu’est-ce qui est bon marché, qu’est-ce qui ne l’est pas ?), mais au final, vous pouvez réaliser de belles affaires et personnaliser vos meubles. Le marché de la seconde main existe tant au travers des brocantes, que des magasins spécialisés et du net.

    Les plateformes de vente entre particuliers sont également une mine d’or pour dénicher des meubles de qualité à petit prix. En plus de faire des économies, vous contribuerez à un mode de consommation plus durable et respectueux de l’environnement. Certains meubles anciens, bien que nécessitant un peu de restauration, peuvent s’avérer être des pièces uniques et authentiques qui apporteront une touche de charme à votre intérieur.

     

  • « Les rénovations sont toujours rentables » : mythe ou réalité ?

    On entend souvent que les rénovations augmentent toujours la valeur d’une maison. Mais est-ce vraiment le cas en Belgique ? Décryptons cette croyance répandue.

    Apartment repair

    Certaines rénovations, comme la rénovation de la cuisine ou de la salle de bains, sont réputées pour ajouter de la valeur à une maison. Pour Marc, agent immobilier, ces types de travaux peuvent « augmenter la valeur de revente de 10 à 15 % ». Toutefois, ce qu’il convient vraiment de faire aujourd’hui, et on s’en doutait, c’est isoler sa maison ! Une maison en PEB A peut effectivement valoir jusqu’à 70.000 euros de plus qu’une maison similaire, mais au PEB plus médiocre. « Installer des panneaux solaires peut également ajouter une belle plus-value, mais là encore, l’investissement n’est pas toujours rentable, notamment dans le cas des très grosses installations », précise Marc.

    Les pièges des rénovations coûteuses

    Cependant, toutes les rénovations ne sont pas synonymes de rentabilité. Des projets de grande envergure, comme l’ajout d’une piscine ou d’une extension luxueuse, peuvent coûter plus cher qu’ils ne rapportent. En effet, « le climat belge n’ajoute pas beaucoup de plus-value aux maisons avec piscines, ou alors de façon négligeable, surtout vu les défis énergétiques actuels ».

    En effet, les goûts personnels des propriétaires ne correspondent pas toujours aux attentes du marché immobilier. Une rénovation trop spécifique peut même rebuter certains acheteurs. De même, investir dans des matériaux de qualité n’aura pas un impact radical vis-à-vis d’une maison similaire, mais aux matériaux plus « communs ».

    Le marché immobilier belge : des variations régionales

    La rentabilité des rénovations dépend aussi de la localisation de la propriété. Un bon PEB étant par exemple plus impactant en Flandre qu’en Wallonie, règlementation oblige. À Bruxelles, les appartements modernisés se vendent souvent mieux, tandis que dans les régions rurales, l’impact des rénovations peut être moins significatif. « Dans les régions reculées et notamment en Flandre, l’authenticité des bâtiments est souvent préférée : on pense aux murs de pierres, aux charpentes apparentes.. », nous glisse Marc. Ce dernier résume : « Les rénovations peuvent être rentables, mais il faut se concentrer sur les améliorations qui correspondent aux attentes du marché local. »

  • Notre outil d’estimation rencontre un immense succès ! L’avez-vous déjà essayé ?

    Avec les prix de l’immobilier évoluant constamment, il est parfois difficile d’évaluer correctement le prix de sa maison et ce, que vous cherchiez à vendre votre bien ou par simple curiosité ! La solution ? Elle se trouve sur votre site favori, bien entendu !

    Et notre outil d’estimation, vous l’adorez : car ce sont largement plus de 40.000 rapports qui ont été générés en un an et demi environ ! Eric Spitzer, CEO d’Immoblan donne le détail : « sur ces plus de 40.000 rapports générés, 3.600 concernaient des biens mis en vente ou qui étaient sur le point de l’être et 4.000, des logements qui allaient être mis en vente dans les 6 mois. Cela représente environ 4.000 mises en relation avec des agents immobiliers ! »

    Pour rappel, notre outil d’estimation est alimenté par toute une série de données et profite de la technologie Price Hubble, une plateforme européenne et l’une des meilleures technologies en la matière. Bref, pour vous en convaincre, une seule adresse :

    Je veux essayer l’outil Price Hubble

  • 5 plantes qui contribuent à diminuer l’humidité dans la maison

    L’humidité dans les maisons est une problématique archi-courante dans nos contrées. Toutefois, si le problème n’est pas trop grave et avant d’investir lourdement, sachez qu’il existe quelques solutions naturelles pour enrayer l’humidité de votre logement !

    cactus
    Mikkel Bech

    Murs froids et moites, apparition de moisissures ou encore odeurs d’humidité sont autant de signaux qui doivent résonner comme un signal d’alarme : votre habitation souffre vraisemblablement de problèmes d’humidité. Une hygrométrie excessive peut rendre votre logement insalubre mais également avoir un impact très nocif pour la santé de ses occupants ! Un taux d’humidité supérieur à 50 % favorise en effet le développement de moisissures et d’acariens, ce qui concourt à stimuler les allergies, l’asthme, les rhinites, les bronchites et les irritations oculaires. Tout un programme !

    Mais savez-vous que certaines plantes permettent de diminuer le taux d’humidité dans l’air, agissant un peu comme un déshumidificateur ? Comment ? Tout simplement en absorbant les particules d’eau présentes dans l’air par leurs feuilles. Voici les plus performantes en la matière !

    Spathiphyllum

    Le spathiphyllum est un véritable aspirateur d’humidité. Facile d’entretien, il a aussi besoin de peu de lumière pour croître. En outre, cette plante a également pour faculté de purifier l’air grâce à des propriétés dépolluantes et détoxifiantes. Elle est idéale pour les pièces peu lumineuses et contribue efficacement à assainir l’environnement intérieur.

    Fougère de Boston

    Autre incontournable en la matière : la fougère de Boston. Fan des conditions climatiques humides où elle prospère en abondance, cette fougère absorbe elle aussi naturellement l’humidité. À l’intérieur, elle sera heureuse avec un substrat humide et peu de lumière directe. Elle sera parfaitement à son aise dans la salle de bain ou la buanderie ! Cette plante est également connue pour ses propriétés dépolluantes, aidant à éliminer les toxines de l’air.

    Palmier

    Les palmiers vous aideront eux aussi dans votre lutte contre une atmosphère humide. Qu’il s’agisse d’un palmier dame, bambou, arec ou encore roseau, l’un comme l’autre se révèlent excellents pour diminuer l’hygrométrie d’une pièce mais aussi pour lutter contre les polluants qui envahissent l’air intérieur. Cerise sur le gâteau, ils sont faciles d’entretien ! En plus de réguler l’humidité, les palmiers ajoutent une touche exotique et élégante à votre décoration intérieure.

    Tillandsia

    Plus particulière, la tillandsia, elle, apprécie beaucoup la lumière. Elle peut donc être placée sur le rebord d’une fenêtre. Particulièrement gourmande en eau, elle nécessite deux à trois arrosages par semaine en été et est à même d’absorber de grandes quantités d’humidité. Les tillandsias, également appelées plantes aériennes, n’ont pas besoin de terre pour pousser, ce qui en fait un choix flexible et décoratif pour divers espaces de votre maison.

    Cactus

    Enfin, habitués aux environnements les plus arides, les cactus ont la faculté de capturer la moindre goutte d’eau qu’ils trouvent. Ils sont donc aussi à même d’absorber une partie de l’humidité présente dans l’atmosphère. Les cactus nécessitent peu d’entretien et peuvent survivre dans des conditions de faible luminosité, ce qui en fait une option pratique pour les personnes ayant peu de temps à consacrer aux soins des plantes.

  • Le montant du jour : 2.750 euros

    Le montant que le Belge a consacré à ses assurances en 2023 a atteint en moyenne plus de 2.750 €, du jamais vu depuis 2012 !

    real estate

    Voilà dix ans que le budget assurances des Belges n’a pas été aussi haut. En effet, en 2023, le total des primes d’assurance d’un assuré belge s’est élevé à 2.753 € en moyenne, soit le montant le plus élevé depuis 2012. C’est ce que révèle une étude du groupe de réassurance Swiss Re qui vient d’être publiée. Pour réaliser celle-ci, c’est la somme moyenne que le Belge consacre à l’ensemble de ses assurances qui a été prise en considération, allant de l’assurance habitation (couverture incendie) à la RC automobile en passant par les placements en assurance vie.

    +5,3 % l’année dernière

    En 2023, le montant total moyen dédié aux assurances vie et non-vie a enregistré une augmentation de 5,3 % par rapport à l’année précédente. Et en la matière, ce sont les assurances non-vie qui ont le plus progressé, à l’image des contrats couvrant les habitations contre les incendies et les inondations, les polices liées aux accidents de la circulation ou encore les RC familiales. Ces primes en particuliers ont augmenté de 5,9 %, passant en moyenne de 1.240 € en 2022 à plus de 1.300 € l’année suivante. Si l’on fait abstraction de l’année 2021 qui avait été marquée par une hausse spectaculaire des primes d’assurance suite aux inondations qui avaient touché la Wallonie, il s’agit de la plus forte hausse annuelle dans ce segment depuis de nombreuses années.