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  • Comment rendre votre maison plus attirante ?

    Le home staging est une pratique très courue de l’autre côté de l’Atlantique, et qui a tendance à se démocratiser en Europe. Dans les pays voisins du nôtre, elle concernerait jusqu’à 70% des ventes et permettait de diviser au moins par deux le délai qui va de la mise en vente d’un bien à sa cessation.

    Par « home staging », on entend la valorisation – littéralement la « mise en scène » – d’un bien immobilier. Cette pratique répond à quelques règles de base et, pour que chacun y trouve son compte, ne doit pas nécessiter de gros investissements, en aucun cas plus de 5% du prix de vente.

    Intéressez-vous à votre maison !

    Commencez par remédier à tous ces petits bobos de la maison auxquels vous ne prêtiez plus du tout attention : la porte de placard qui est de guingois, le carrelage effrité ou qui s’est fait la malle, le clou qui dépasse, le fil électrique qui vit sa vie… Dans ce même esprit, on pense à nettoyer de fond en comble. Désordre, poussière et taches de gras n’ont vraiment rien d’attractifs. Si les murs ont besoin d’être rafraîchis, on s’y colle mais en usant de couleurs neutres comme le blanc ou, encore mieux, le beige. Vos goûts personnels n’ont pas à entrer en ligne de compte.

    Dépersonnaliser l’intérieur

    L’idée maîtresse du home staging est de laisser à l’acheteur le loisir de se projeter dans votre intérieur. C’est pour cette raison qu’autant que possible, il faut le dépersonnaliser. On remise dans un carton photos de famille, collections en tout genre et objets trop personnels. Ensuite, il est nécessaire de désencombrer. Difficile d’apprécier le potentiel d’une pièce si on peut à peine se faufiler entre la chauffeuse et la table basse.

    Faites de la place !

    Par ailleurs, les meubles trop imposants ont tendance à grignoter les centimètres et à faire paraître un endroit plus petit qu’il ne l’est en réalité. Vider, même partiellement, un lieu va forcément faire apparaître de petits ou de gros défauts. En ce cas, on dissimule autant qu’on peut et on n’hésite pas à user d’artifices à moindre coût pour cacher ces petites « misères », à condition que tout ça reste le plus neutre possible. Plaids, coussins, cadres de toutes sortes sont vos alliés.

    Pas uniquement dans le but de vendre…

    Si vos meubles ne sont plus de première jeunesse, n’hésitez pas à leur donner un coup de pinceau. Même remède pour un carrelage qui date. On n’est pas là pour assurer la pérennité des lieux mais pour les rendre attractifs au premier coup d’œil. Essayez de considérer votre intérieur avec un œil extérieur. La bonne chose avec le home staging, c’est que ces règles toutes simples ne sont pas forcément à appliquer quand vous êtes sur le point de déménager, elles font également merveille pour vous permettre de retomber amoureux ou amoureuse de vos murs.

    Aussi pour le jardin

    A quoi bon vous couper en quatre pour rafraichir votre intérieur, si les abords du bien que vous mettez en vente font penser à une décharge ? En ce domaine également, quelques règles de base prévalent. La barrière ou la clôture sont les premières choses qu’on découvre en arrivant chez vous. Si elles sont complètement de travers, voire qu’elles ont connu des jours meilleurs, il faut y remédier.

    Le diable est dans les détails

    Par ailleurs, ça a l’air tout bête mais tondez votre pelouse, arrosez les plantes et n’hésitez pas à replanter quelques fleurettes par-ci, par-là. Songez également à entretenir arbres et arbustes, surtout si votre futur acheteur n’est pas de la famille de Tarzan ! Pensez également à la boîte aux lettres et la sonnette. N’oubliez pas non plus de ranger l’abri de jardin et le garage. Ce sont des atouts de taille pour la vente, il faut donner toutes ses chances à l’acquéreur d’en prendre conscience. Pensez également à rassembler dans un coin toboggan, balançoire et bac à sable, pour ne pas qu’ils donnent le sentiment d’envahir l’ensemble.

    Faute de remplacer les meubles de jardin, changez les coussins qui les garnissent et sur la veille table toute pelée, jetez une jolie nappe de couleur assortie. Enfin, vous pouvez éventuellement usez des guirlandes lumineuses mais veillez à ne pas transformer l’ensemble en succursale de la Foire du Midi !

     

  • 4 conseils pour garder vos plantes en vie pendant votre voyage

    Vous connaissez à coup sûr ce souci : vous partez en vacances, mais qui va venir arroser les plantes ? Tout le monde ne peut pas compter sur les autres pour s’acquitter de cette corvée. Et pourtant vous pouvez prendre vous-même quelques mesures pour que vos plantes survivent à votre voyage. Voici 4 conseils !

    plants home

    1. Donnez des soins préalables

    Non nous n’attribuons aucune faculté humaine aux plantes, mais les dorloter à l’avance, ça aide ! Si elles sont dans le meilleur état possible au moment de votre départ, elles résisteront bien mieux. Rempotez-les à temps, veillez à ce que le pot de fleurs soit de taille suffisante et enlevez les branches et feuilles mortes. Donnez suffisamment d’eau à vos plantes, mais sans les noyer.

    2. Une baignoire peut faire des miracles !

    Si vous êtes un rien bricoleur, vous pouvez vous mettre au travail et construire vous-même un système d’irrigation, mais une baignoire peut aussi faire des miracles. Remplissez votre baignoire à ras bord, placez dessus 3 planches et déposez les pots sur les planches. Passez ensuite un bout d’une mèche de coton imprégnée par le trou du pot dans le substrat et déposez l’autre bout sur le fond de la baignoire. Le fil aspire l’eau et la fait remonter dans le pot.

    3. Laissez vos plantes se reposer

    Moins les plantes consomment, moins elles ont besoin d’aliments. Pour ce faire, placez-les dans l’ombre et hors du vent. Une autre option consiste à couvrir le sol de foin ou de paille. Saviez-vous que les branches mortes absorbent l’énergie de votre plante ? Il importe donc de les élaguer !

    4. Choisissez soigneusement vos plantes

    Vous êtes un globe-trotter ? Alors mieux vaut réfléchir au type de plantes que vous choisissez. On sait par exemple que les cactus requièrent très peu d’entretien. Les plantes grasses constituent une autre alternative attrayante. Mais n’attendez dans ce cas pas trop de compliments sur vos plantes quand vous êtes quand même à la maison et que vous recevez des visiteurs.

    Bon voyage!

  • Tendance cuisine : à la fois minimaliste et confortable

    Couleurs neutres et sobres, rangements pratiques et bien agencés, retour des matériaux naturels : pas de doute, la cuisine moderne est toujours simple et minimaliste.

    La déco, c’est un peu comme la mode : ça vit de tendances et de cycles. Du coup, quand on aménage les pièces de notre maison, on y fait attention même si ce sont des investissements qui coûtent et qu’on ne renouvelle pas chaque année. Pour aménager sa cuisine, on misera donc sur la sobriété.

    La cuisine est un lieu où l’on a envie de consacrer de l’énergie : après tout, c’est une pièce de vie importante. On y cuisine, bien sûr, mais c’est aussi un lieu de vie en général. On y fait parfois les devoirs avec les enfants, on y reçoit les amis pour l’apéro, on y jette un œil sur les infos du soir ou on y refait le monde avec ses proches. Il faut donc en faire un cocon agréable et pratique.

    Comment dès lors rester sobre, tout en gardant une petite dose de chic ? Par des couleurs neutres et discrètes, d’abord. A nous le blanc, le gris, le noir. Ceci dit, rien ne vous empêche de craquer pour une couleur plus pétillante comme le rouge laqué mais attention, car vous risquez de vous en lasser au fil des ans.

    Côté matériaux, le laqué a toujours la cote. Son aspect brillant donne une touche contemporaine et moderne. A éviter toutefois si vous avez des enfants en bas âge, adeptes des mains qui traînent partout et qui se collent volontiers sur les meubles.

    Retour du bois

    Les matériaux naturels sont toujours autant plébiscités. C’est le cas du marbre, de la pierre naturel ou du bois. Ce dernier existe en de nombreuses essences (chêne, pin, bois exotiques), couleurs (clair, crème, moka…) et styles (contemporain, classique, moderne..). Et il a le chic pour amener de la chaleur à l’ensemble.

    Une autre grande tendance, c’est l’îlot central qui est de plus en plus demandé. Il est pratique pour le rangement tout en permettant une fluidité de passage. Il peut également servir à délimiter la pièce et marquer une zone de transition.

    Au rayon des gadgets, on trouve désormais, dans la cuisine, une foule de petits détails pour nous faciliter la vie comme l’ouverture automatique de votre armoire-poubelle d’un simple mouvement du pied sur un capteur de la plinthe, à l’instar de ce qui existe de plus en plus pour les coffres des voitures. Autre exemple, les prises de courant, équipées d’un port USB, escamotables dans le plan de travail. Très pratique pour garder son gsm qui charge à portée de main ou sa tablette qui nous montre une recette de cuisine.

    Enfin, au sol, la campagne est devenue une source d’inspiration pour les matériaux et les couleurs. Le sol généralement foncé avec parfois des inserts plus clinquants, peut aussi se faire sable doré avec des éclats de pierre bleue pour rappeler la mer.

  • Louer une maison en Flandre : Avez-vous besoin d’un certificat de conformité ?

    Vous louez une maison ou un appartement situé en Flandre. Êtes-vous obligé de demander un certificat de conformité ?

    Si vous louez une maison ou un appartement, vous devez vous assurer qu’il répond à certaines normes de qualité (par exemple en matière de santé, de sécurité, etc.). Vous pouvez fournir cette preuve avec un certificat de conformité.

    De quoi s’agit-il ?

    Un tel certificat de conformité indique que votre maison n’a pas été déclarée inadaptée ou inhabitable et qu’elle est conforme aux normes d’habitation. Vous pouvez demander le certificat à la commune où la propriété est située. Parfois, vous devez payer pour ce certificat (compter environ 60 euros) et parfois c’est gratuit. Généralement, le certificat est valide pour 10 ans.

    Obligatoire ou non ?

    En tant que propriétaire, vous n’êtes généralement pas obligé d’avoir un tel certificat. Il existe une exception à cette règle. Les autorités locales peuvent décider d’imposer le certificat de conformité dans leur commune. Il y a actuellement 19 communes où un tel certificat est requis si vous voulez louer. Une liste de ces communes peut être consultée sur ce site.

    Non requis, cependant, utile

    Même si ce n’est pas obligatoire d’avoir un tel certificat, cela peut parfois être utile. Avec un tel certificat, vous pouvez prouver que votre maison ou votre appartement de location répondait aux normes légales au début de la location. Cela peut être important si vous avez un locataire peu fiable qui cause des dommages et affirme par la suite que votre propriété n’était pas satisfaisante.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Voici comment détecter des problèmes d’humidité

    Quand on est sur le point d’acheter une nouvelle maison, un problème d’humidité a vite fait de tempérer les ardeurs. En effet, les problèmes d’humidité sont souvent tenaces et difficiles à éliminer. Si vous ne voulez pas d’une habitation avec des problèmes de moisissure et de condensation, lisez attentivement ce qui suit.

    Repérez les taches noires

    Beaucoup d’humidité dans la maison et peu de ventilation peuvent entrainer de sérieux problèmes d’humidité. La présence de moisissure s’observe le plus souvent dans les coins. Elle se présente sous forme de taches noires, bien que celles-ci soient relativement faciles à enlever par un vendeur peu scrupuleux. Vérifiez en particulier les joints en silicone autour des fenêtres. La moisissure y est difficile à enlever et est souvent oubliée.

    Déplacez les meubles

    Les vendeurs n’hésitent pas à masquer les problèmes d’humidité. Sachez que la moisissure apparaît le plus souvent derrière les meubles, car ce sont des endroits peu ventilés. N’oubliez pas de vérifier les plinthes. Si celles-ci se détachent, cela peut indiquer un problème.

    Vérifiez surtout les murs et les plafonds

    La plupart des champignons se développent sur les murs et les plafonds. Vérifiez soigneusement tous les murs et les plafonds et voyez si l’on n’a pas appliqué une couche de peinture pour masquer une chose ou l’autre. Prêtez aussi attention aux taches et aux différences de couleur.

    Inspectez la cave

    Si l’habitation possède une cave, demandez si vous pouvez la visiter. S’il n’y a pas de pompe vide-cave dans la pièce, soyez extrêmement vigilant. Les problèmes d’humidité croissante sont plus fréquents que vous ne le pensez.

    Vérifiez la finition des murs

    Comment vérifier la présence d’humidité montante ou de condensation ? Généralement, on l’observe d’abord sur les murs. Le papier peint qui se décolle peut aussi être une indication. Par ailleurs, un dépôt blanchâtre sur les murs peut être un signe de la présence d’humidité et mérite une inspection plus minutieuse.

    Quand un bien vient d’être rénové, c’est souvent dans le but d’en augmenter sa valeur, mais ce pourrait tout aussi bien être dans le but de masquer certains défauts. Alors, soyez vigilant!

  • Qui doit entretenir le canal entre votre terrain et celui de votre voisin ?

    Il y a un canal entre votre terrain et celui de votre voisin. Lequel d’entre vous devrait entretenir ce canal ? Quelles règles devez-vous prendre en compte ?

    Pour savoir qui doit entretenir un canal qui se trouve entre deux lots de terrain, il est important de savoir à qui appartient ce canal.

    La commune

    Tout d’abord, il peut arriver que la commune possède le canal en question. Si tel est le cas, la commune doit également être responsable de l’entretien de ce canal. Si, d’un autre côté, c’est un canal privé, alors vous (et/ou votre voisin), doit s’occuper de l’entretien.

    En copropriété

    L’obligation de faire l’entretien vous incombe à tous les deux, si le canal est en copropriété. Concrètement, cela signifie que vous et votre voisin devez assumer conjointement les coûts de maintenance.

    La loi dit aussi qu’un canal entre deux terrains est supposé être en copropriété s’il n’y a pas de titre de propriété ou de signe contraire, par exemple lorsque la digue ou un monceau de terre surélevé se trouve d’un côté seulement du canal. Le canal est alors considéré comme appartenant exclusivement à la personne dont le terrain accueille le monceau de terre.

    Exclusivement à vous ou à votre voisin

    Si, au contraire, le canal n’appartient qu’à vous ou à votre voisin, sachez que le propriétaire n’est responsable que de son entretien. Le propriétaire n’a donc pas besoin de la permission de son voisin.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • 3 conseils pour débarrasser votre toit de la mousse

    La présence de mousse sur le toit est très courante dans nos pays humides. Ce parasite vert ne vient pas seulement ternir l’aspect esthétique de votre maison, il amène également quelques risques réels !

    Nous avons déjà vu dans un article précédent, les trois gros dangers que présentait la mousse sur votre toit. Nous allons aujourd’hui vous donner quelques conseils pour vous débarrasser de cet intrus végétal. Sachez toutefois que cette entreprise est loin d’être simple et qu’elle peut être dangereuse car vous serez sur votre toit… Le mieux, surtout dans un cas comme celui-ci, c’est de faire appel à une équipe de professionnels, habitués à ce genre de nettoyage et possédant toutes les assurances nécessaires.

    1. Au jet d’eau

    Pour ôter facilement la mousse, il est conseillé de procéder après une bonne grosse averse. La mousse, ainsi gorgée d’eau, devient plus facile à enlever car elle adhère moins à votre toiture. Grimpez alors au sommet de votre toit et nettoyez vos tuiles du haut vers les bas (du faîte vers la gouttière), de manière à débarrasser vos tuiles de ces intrus sans envoyer d’eau dans les emboîtements de tuiles ou d’ardoises. Evitez les trop grosses pressions (plus de 80 bars) et répétez l’opération autant de fois que nécessaire.

    2. Avec des produits spécifiques

    Que vous les utilisiez avant ou après le nettoyage sous pression de votre toiture, les produits algicides s’emploient généralement dilués dans de l’eau, voire de l’eau de Javel. Il existe quantité de produits qui s’appliquent par pinceau, rouleau, voire par pulvérisation. Surtout, veillez à faire cela par temps sec ou vous devrez tout recommencer !

    3. Des mesures préventives

    Pour éviter que la mousse ou les lichens n’envahissent trop vitre votre toiture, il existe quantité de solutions sur le marché : qu’il s’agisse d’un produit minéralisant à appliquer après nettoyage, d’un revêtement, voire d’autres produits spécifiques, tout est possible !

  • Sécurisez votre piscine si vous avez des enfants

    Installer une piscine dans son jardin n’est plus forcément devenu un luxe et vous êtes de plus en plus nombreux à investir dans cette infrastructure. Avec des enfants en bas âge, il convient de prendre un maximum de précautions pour éviter les chutes entraînant des noyades.

    Il existe plusieurs systèmes. Des moyens physiques comme des barrières ou des bâches. Cependant, des alarmes peuvent être installées. Il y a tout d’abord l’alarme périphérique. Elle consiste en un système à infrarouge avec quatre bornes qui détectent les mouvements et émet un signal sonore. Il s’agit d’un système relativement onéreux compris entre 500 et 1.000€.

    On trouve aussi une alarme de détection de chute ou alarme immergée. Elle est moins coûteuse mais implique une prompte réaction. En effet, elle se déclenche au moment où une personne tombe à l’eau. Enfin, il reste le système du bracelet principalement à destination des enfants. Ils peuvent même être utilisés en complément d’une alarme normale. Votre enfant portera ce bracelet en permanence et ce dernier est relié à une centrale d’alarme placée dans votre maison. Si l’enfant vient à tomber à l’eau, vous en êtes immédiatement avertis. Ce boîtier d’alarme amovible pourra aussi être utilisé à la plage ou lors d’une balade à proximité d’une étendue d’eau.

  • Nos 7 clôtures préférées pour votre jardin

    Le choix en matière de clôture est si vaste qu’il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Selon vos envies, vos besoins, le style de votre jardin (ou de votre terrasse) et votre budget, il existe en effet mille possibilités ! Nous faisons le ménage avec vous et avons sélectionnés sept clôtures parmi les plus populaires.

    Non, vous n’avez pas toujours envie que vos voisins vous voient en train de faire bronzette ou assistent en direct à vos barbecues entre amis… Délimiter clairement votre terrain peut également rendre les choses nettement plus évidentes avec vos voisins, notamment au niveau de l’entretien des parties situées « à la frontière ».

    Jadis, les clôtures se résumaient souvent à des piquets plantés dans le sol à intervalles plus ou moins réguliers et reliés entre eux par un vague grillage. Si ce type de clôture est évidemment très bon marché et peut donner une touche « rustique », ses qualités d’occultation et de sécurité sont aussi épaisses que la valise d’un couple de nudistes !

    Clôture en bois

    C’est l’un des modèles les plus populaires. Notamment parce qu’il est facile à installer, bon marché et qu’il occulte parfaitement. De plus, le choix en la matière est immense : du bambou au bois imprégné en passant par le panneau tressé, il y a forcément une solution qui vous tentera plus qu’une autre ! Reste que ces évidentes qualités sont contrebalancées par un entretien qui peut devenir fastidieux à la longue. Sachez aussi que les modèles d’entrée de gamme ont une résistance toute relative et que quelques rafales de vent en viendront facilement à bout.

    Le grillage

    Le grillage est sans aucun doute, le moyen le plus simple et le moins onéreux pour clôturer votre jardin. Il en existe divers types, plus ou moins chers et compliqués à mettre en place. Si la transparence de cette clôture ne vous convient pas, sachez qu’une plante grimpante peut facilement recouvrir le tout. Si la perspective de l’entretien de cet être végétal vous effraye, des solutions synthétiques existent !

    Le béton

    Non, une palissade en béton n’est pas forcément moche ou exempte de toute élégance. Il est aujourd’hui possible de modeler le béton à peu près comme bon vous semble. Son plus gros avantage, c’est évidemment sa robustesse. Même si vous habitez la côte et êtes souvent confrontés à des vents violents, cette clôture tiendra bon. L’entretien est également, quasi nul. Un bon choix, mais qui implique un budget relativement élevé si vous faites appel à un pro pour un résultat irréprochable.

    La clôture végétale

    Qu’il s’agisse d’une haie, de sapins ou d’une autre structure végétale, ce type de clôture a l’immense avantage d’occulter à merveille votre jardin tout en lui préservant une certaine homogénéité de style. Une haie peut durer des décennies, mais pour éviter de la voir envahir votre jardin ou qu’elle ne dépérisse trop vite, il faudra l’entretenir amoureusement. Enfin, dernier détail qui peut avoir toute son importance : certaines plantes perdent leurs feuilles en hiver, rendant votre clôture transparente…

    Le PVC

    « Le plastique, c’est fantastique » chantait Elmer Food Beat… Et ce n’est pas faux : pouvant afficher de nombreuses apparences, les clôtures ainsi constituées ne dépérissent pas, ne demandent quasiment pas d’entretien et requièrent un prix généralement assez modique. Reste que certains trouveront que ce matériau manque cruellement de « charme » et de « noblesse »…

    Les gabions

    C’est la dernière mode ! Un grillage rempli de cailloux, graviers, écorces, voire de tout ce que vous susurre votre imagination… L’entretien est limité, mais l’installation peut être laborieuse selon la taille de votre clôture. Quant au prix, sachez qu’il s’agit clairement de l’une des clôtures les plus chères du marché ! C’est le prix à payer pour une clôture de haute qualité qui tiendra sur la durée.

    L’aluminium

    Certes, le prix pourra rapidement vous effrayer. Mais l’aluminium saura vous séduire par sa légèreté et son endurance. Une palissade composée de lames en aluminium affiche une résistance dans le temps tout à fait honorable. Et contrairement à l’acier, ce matériau-ci ne rouille pas !

  • 5 conseils pour bien choisir votre canapé

    Les enfants ont trop joué avec les marqueurs, le tissu est usé ou peut-être êtes-vous fatigué du modèle? Toutes ces raisons peuvent vous conduire à acheter un nouveau canapé.

    Le choix est énorme et nous vous donnons ici un certain nombre de conseils. Après tout, le canapé devrait en principe, rester avec vous pendant des années.

    Choisissez un cadre de qualité

    Voilà une matière difficile à estimer si vous n’êtes pas expert… En effet, un bon cadre est à peu près la chose la plus importante de l’ensemble du canapé. Mais vous ne pouvez cependant pas le voir ! Plus le cadre est ferme, mieux c’est. Les matériaux qualitatifs sont les bois durs ou le métal. Si vous ne voulez pas tomber au travers, faites attention aux pieds collés. Des éléments boulonnés sont recommandés.

    Connexions au cadre

    Si vous voyez des agrafes, des clous et de la colle, vous êtes sans doute face à un canapé de moins bonne qualité. Des fixations en bois et/ou des vis en métal sont nettement plus rassurantes. Si vous désirez un fauteuil de qualité, assurez-vous que les agrafes et les clous n’aient aucun rôle structurel.

    Un confort optimal

    Il existe différents types de ressorts, dont notamment les Nosag qui sont un gage de qualité.

    Le remplissage du siège

    Pour un canapé confortable, vous avez besoin d’un remplissage qualitatif. Sachez que si le fauteuil n’est rempli que de mousse, vous ne serez jamais ou rarement confortablement assis. La mousse est alors directement attachée au bois et cela se fait souvent au détriment du confort d’assise.

    Notre conseil pour un remplissage idéal? Mousse de polyéther à haute densité, mousse froide ou duvet de canard mélangé à des plumes. Demandez conseil à un vendeur, mais restez critique : les fauteuils bon marché utilisent souvent des matériaux de qualité inférieure.

    Tissu, cuir ?

    Le choix du tissu est une affaire personnelle, mais optez pour quelque-chose de durable. Il existe différents types de tissus, tous déclinés en diverses qualités. Sachez que la résistance à l’usure de votre tissu se mesure grâce au test Martindale. Plus ce chiffre est élevé, plus le tissu est durable. Optez pour une valeur de minimum 20.000 tours si vous utilisez votre canapé tous les jours.

    Un autre aspect est la résistance à la lumière : en effet, qui a envie d’un salon se décolorant rapidement ? Si le score est supérieur à 6, vous pouvez supposer que votre siège gardera sa teinte pendant un certain temps.