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  • En combien d’exemplaires devez-vous rédiger un contrat de location ?

    Si vous souhaitez signer un contrat de location en tant que locataire ou propriétaire, il ne suffit pas de le faire en un seul exemplaire. Combien d’exemplaires sont-ils nécessaires ? Et doivent-ils tous être des originaux ?

    Si vous souhaitez conclure un contrat de location, il se peut que la partie administrative vous effraie. Vous préférez ne signer le contrat qu’une seule fois et en faire tirer un certain nombre d’exemplaires ? Mais est-ce possible ?

    Au moins en deux originaux

    La loi stipule que les accords doivent être rédigés en autant d’exemplaires originaux qu’il y a de parties. Cela signifie que le contrat de location que vous signez doit être rédigé en au moins deux originaux. De plus, chaque partie doit recevoir un exemplaire original. Il ne suffit pas de faire un seul original et de le copier plusieurs fois.

    Un troisième pour l’inscription 

    Souvent, une troisième copie originale est également réalisée : elle sera ensuite utilisée pour l’enregistrement. Pour prouver le nombre d’exemplaires établis du contrat et que chaque partie en a reçu un, vous pouvez inclure la phrase suivante au bas du contrat de location : « rédigé à (lieu) le (date) en 3 exemplaires originaux dont chaque partie confirme en avoir reçu un et dont le troisième est destiné à être enregistré ».

    Que risquez-vous ?

    Si vous ne vous y tenez pas, il y a un risque que la validité de l’accord soit remise en question. Vous risquez de devoir prouver l’existence (et les modalités) du contrat de location par d’autres éléments.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Quel chauffage pour votre habitation ? Le point sur tous les systèmes !

    Après avoir décortiqué les coûts de chaque type de chauffage existant, penchons-nous maintenant sur les avantages et les qualités de chacun. Vous saurez ainsi quel chauffage conviendra le mieux à votre habitation !

    Peut-être allez-vous, dans les prochains mois, être confronté au choix d’un type de chauffage pour votre habitation. Gaz, mazout, électricité, énergie verte, pellets… Il y a un vaste choix sur le marché. Comment s’y retrouver et que choisir ? Listons les atouts et inconvénients de chacun…

    Gaz

    Le gaz de ville, par exemple, n’est pas accessible à tous. Il faut en effet que votre logement soit proche d’un réseau mais il présente de nombreux atouts comme son coût économique, son côté écologique, son rendement intéressant ou encore le fait que vous ne devez rien stocker chez vous.

    Par contre, il s’agit d’un moyen de chauffage qui nécessite une cheminée et qui rejette du CO2.

    Mazout

    Le mazout, lui, présente l’avantage d’un coût raisonnable à l’installation, d’une sécurité du système et d’un rendement en constante amélioration grâce aux nouvelles chaudières à condensation.

    Par contre, le prix du mazout est régulièrement soumis à des variations parfois importantes d’une année à l’autre, il nécessite une cheminée et une citerne pour le stockage, il est peu écologique et il faut programmer votre approvisionnement.

    Electricité

    L’électricité, elle, très à la mode dans les années ’70, a moins la cote pour se chauffer. En cause ? Son coût élevé d’utilisation, le fait qu’elle soit très énergivore et qu’elle ne bénéficie pas de primes.

    Par contre, elle offre une large gamme d’appareils, son utilisation est simple, il n’y a pas de stockage de carburant et sa mise en marche est rapide mais elle est davantage utilisée comme solution d’appoint.

    Energies vertes

    Les énergies vertes (système solaire, pompe à chaleur…) utilisent une énergie écologique et inépuisable. Il existe des primes et ces systèmes ne rejettent pas de CO2.

    Par contre, l’installation est plus coûteuse, c’est une technologie souvent plus complexe tandis que les systèmes à captage d’air (comme les pompes à chaleur) peuvent parfois se révéler bruyants. Sachez aussi qu’il faut une sacrée collection de panneaux solaires pour rendre un chauffage « gratuit » !

    Pellets et bois

    Outre les poêles à pellets et à bois dont nous avons déjà parlé et qui sont plus à considérer comme des chauffages d’appoint, il y a également les chaudières à pellets. Ecologiques, dotées d’un excellent rendement et carburant avec un combustible bon marché, elles pêchent toutefois par un prix vite dissuasif, un encombrement handicapant et un entretien qui peut sembler rébarbatif…

    Quels tarifs ?

    Du côté des prix, c’est aussi très différent. Pour le mazout, comptez entre 3.000 et 6.000 euros (pour une installation capable de chauffer une surface de 100 mètres carrés), pour le gaz de 2.000 à 5.000 euros et de pas grand-chose à 8.000 euros pour l’électricité. Pour l’électricité verte, ça peut aller de 5.000 à 20.000 euros, des tarifs identiques aux chaudières à pellets.

  • 5 conseils pour isoler votre maison du bruit

    Trafic, travaux, musique qui va trop fort, proximité de l’autoroute, des voies ferrées ou d’un aéroport : ces exemples de pollution sonore sont subis chaque jour par de nombreuses personnes. Et cela peut sérieusement nuire à la qualité de vie !

    Il est possible de vous protéger des bruits extérieurs en concevant bien votre maison et en investissant dans de bons matériaux. Immovlan vous donne 5 conseils pour vous isoler du bruit extérieur !

    Choisir les bonnes portes et fenêtres

    Aujourd’hui, vous avez le choix entre le PVC, l’aluminium et le bois pour vos châssis. Le bois a l’avantage de son poids plus élevé. Plus un châssis en bois est épais, plus le bruit provenant de l’extérieur sera diminué. Si vous préférez l’aluminium, optez pour des modèles avec interruption des ponts thermiques, également plus performants sur le plan acoustique. Pour le PVC, il existe aujourd’hui des modèles avec des joints de frappe qui favorisent l’étanchéité et l’insonorisation.

    Vitrage acoustique

    Aujourd’hui, il existe un vitrage feuilleté acoustique qui protège contre toutes les sources de bruit possibles. Ce type de vitrage augmente le confort acoustique dans la maison et a un meilleur effet d’absorption acoustique que le double vitrage ordinaire. De plus, ce type de vitrage présente une meilleure isolation thermique, ce qui en fait un investissement durable.

    Isoler les volets

    Si votre maison a des volets intégrés à l’intérieur, le bruit peut entrer par le coffret du volet. On peut y remédier en appliquant un produit d’étanchéité entre ce caisson et la structure de la maison. Vous pouvez aussi choisir un matériau insonorisant qui se fixe à l’intérieur ou à l’extérieur du coffret.

    Isoler les murs

    En isolant les murs de votre maison, vous économisez non seulement de l’énergie, mais vous réduisez aussi considérablement le bruit. Cela peut être particulièrement utile si vous souffrez de la pollution sonore du côté de la rue. L’isolation peut se faire à l’intérieur ou à l’extérieur des murs.

    Clôtures anti-bruit

    Les clôtures en bois ou en plastique absorbent à peine le bruit. Vous habitez près d’une route bruyante ? Dans ce cas, choisissez une clôture en noix de coco. La noix de coco a la propriété d’absorber le son et n’a pas de fissures. De plus, on y trouve une plaque isolante qui lui confère une belle insonorisation.

  • Faut-il protéger vos plantes en hiver?

    L’hiver est à nos portes et ses attaques par surprise peuvent être meurtrières pour nos chères petites plantes, exposées aux grands froids. Quelles plantes doivent faire l’objet de protections particulières ?

    Plantes caduques (chêne, platane, érable, bouleau…)

    Elles ne nécessitent que peu de protection puisqu’elles perdent leurs feuilles en hiver et qu’elles sont moins sensibles au froid. Certaines apprécieront néanmoins un paillage fait de feuilles séchées ou d’écorces.

    Plantes persistantes (plantes qui gardent leurs feuilles toute l’année)

    Leur végétation n’est que ralentie pendant l’hiver et demandent donc certains soins pour faire face aux gelées. L’eau présente dans la sève se cristallise en cas de gel et fait éclater les cellules. Pas de panique cependant, la moindre petite gelée ne va pas faire mourir votre plante, il faut en général une période de gel prolongé pour que les dégâts soient irréversibles.

    Plantes de pleine terre

    Les racines des plantes vivaces mais aussi les jeunes arbustes, nécessitent une protection contre le gel. Pour ce faire, l’utilisation d’un paillage végétal (des écorces, du paillis de lin, un tapis de feuilles mortes, quelques centimètres de compost ou de fumier) est totalement indiqué. En outre, les paillages végétaux ont un autre avantage. Lors de leur décomposition, ils auront une action fertilisante qui favorisera la repousse au printemps.

    Plantes en bacs et en pots

    Ce sont les plantes les plus exposées aux gelées car l’ensemble de la surface du pot est au contact de l’air. Il est indispensable de les disposer à l’endroit le mieux protégé du froid et du vent.

    Plantes méditerranéennes (Palmiers, oliviers, agrumes, lauriers-roses…)

    Ces plantes sont aujourd’hui plus résistantes à nos climats qu’auparavant. Le réchauffement climatique joue également un rôle, mais ce n’est pas une garantie absolue. Des coups de gel prononcés sont encore fréquents et s’avèrent destructeurs pour les plantes méditerranéennes. S’il n’est pas possible de les rentrer, utiliser au minimum un voile d’hivernage qui vous fera gagner quelques degrés. A titre d’exemple, un citronnier ou un oranger qui résiste à une température de -7° sans voile, résistera avec un voile d’hivernage à une température de -10°.

    Un emplacement adapté

    Pour passer l’hiver sans encombre, les plantes méditerranéennes devront être placées de préférence dans les endroits les plus ensoleillés, à l’abri des vents. Dans la mesure du possible, rentrez-les en hiver. L’abri doit être frais, aéré et lumineux. Sa température doit idéalement se situer entre 5 et 8°C pour la plupart des plantes, entre 10 et 12° pour les lauriers et les mimosas, bougainvilliers, jasmins… et entre 15 et 20° pour les orangers et citronniers. Si vous les rentrez dans la maison, les plantes doivent être éloignées de toutes sources de chaleur.

    Un dernier conseil: si vos plantes en pot passent l’été dehors, ne les rentrez pas brutalement dès qu’il commence à faire froid, pour éviter un choc thermique.

  • Un plafond suspendu, lequel choisir ? Et quels sont ses avantages ?

    Vous avez déjà dû entendre parler d’un plafond suspendu. Cette technique de rénovation est souvent utilisée pour rénover rapidement un plafond ancien et délabré.

    Un plafond tendu suit la forme d’un plafond existant. Un tissu élastique est tendu sous ce dernier, d’où son nom. Le résultat est homogène et agréable à l’œil. Le grand avantage des plafonds suspendus est qu’aucun trou n’a besoin d’être percé. Ils s’installent en un rien de temps et vous n’avez pas besoin de le peindre. Pratique !

    PVC ou polyester ?

    Les plafonds suspendus sont disponibles en PVC et en polyester. Outre la différence de matériau, la plus grande différence est le mode d’application. Un plafond tendu en PVC est placé contre le mur avec des profilés, visibles ou non, sur lesquels le tissu PVC est tendu. Un plafond tendu en polyester est fixé à l’aide d’une spatule. Par conséquent, contrairement au PVC, un modèle en polyester est totalement transparent. Sachez également que le modèle en polyester n’est disponible qu’en version mate, les plafonds en PVC peuvent être livrés en finition mate ou brillante. Et puis il y a une différence de prix. Les plafonds en PVC sont souvent moins chers que les plafonds tendus en polyester.

    Parfait pour votre décoration d’intérieur

    Ces plafonds ne se destinent pas seulement à une rénovation rapide d’un plafond ancien. Avec un plafond tendu, vous pouvez parfaitement intégrer des spots. Ou laissez les projecteurs briller à travers la toile pour un effet « lounge » assuré !

    Facile à entretenir et à installer

    Une entreprise spécialisée dans l’installation de plafonds tendus prépare la plupart des travaux à l’avance, afin qu’ils soient installés rapidement et proprement. De plus, ils sont faciles à entretenir car ils attirent peu de saleté. Pour le nettoyer, rien de plus simple : utilisez un chiffon doux avec de l’eau tiède et un peu de détergent et essuyez délicatement.

  • Comment nettoyer son four à micro-ondes facilement avec des produits naturels ?

    On l’utilise quotidiennement mais on oublie trop souvent de le nettoyer ! Pourtant, grâce à ces astuces simples, il est très facile de nettoyer son four à micro-ondes en quelques minutes en n’utilisant que des produits naturels ! Alors n’attendez plus…

    Invention géniale, le four à micro-ondes est devenu un incontournable de nos cuisines. Mais si on l’utilise tous les jours et « à toutes les sauces », on oublie généralement de le nettoyer. Mais comment faire ?

    Utilisez un plat adapté !

    Avant de voir comment nettoyer son four à micro-ondes, pensons d’abord à essayer d’éviter de trop le salir ! Pensez donc à utiliser systématiquement un plat adapté à la cuisson pour micro-ondes, avec une cloche ou un couvercle, afin d’éviter que la nourriture n’éclabousse les parois intérieures. Cela sera déjà plus simple de le nettoyer !

    Vinaigre blanc !

    Pour nettoyer son four à micro-ondes, on peut bien sûr trouver des produits spécifiques dans le commerce. Mais si possible, on utilisera plutôt des produits naturels. Remplissez par exemple un bol avec 1/3 de vinaigre blanc et 2/3 d’eau et faites-le chauffer dans le micro-ondes. Après quelques minutes (3 à 4 minutes à pleine puissance), la vapeur dégagée à l’intérieur du four à micro-ondes va ramollir tous les résidus. Avant d’ouvrir la porte, vous pouvez attendre quelques minutes supplémentaires pour que la vapeur dégagée à l’intérieur du micro-ondes ramollisse bien les résidus les plus tenaces. Il suffira ensuite de passer une éponge humide sur les parois pour nettoyer l’intérieur du four à micro-ondes.

    Le citron à la rescousse

    Si vous préférez, il est également possible de remplacer le vinaigre par du jus de citron. On mélangera alors également 1/3 de jus de citron avec 2/3 d’eau dans un grand bol. Cela laissera, en outre, une odeur plus agréable dans votre cuisine.

    N’oubliez pas le plateau !

    Enfin, n’oubliez pas d’enlever le plateau tournant pour le nettoyer séparément. Vous pouvez le laisser tremper dans de l’eau très chaude avec un peu de liquide vaisselle afin de le dégraisser efficacement.

  • Quel carrelage choisir pour sa maison ?

    Les qualités du carrelage ne sont plus à démontrer comme revêtement de sol pour son habitation. Mais il en existe bien sûr différentes sortes, présentant chacune des avantages et des inconvénients. Dès lors, quel carrelage choisir pour sa maison ?

    Le carrelage est devenu omniprésent dans nos maisons. Mais il n’existe pas qu’un seul type de carrelage. Généralement, on distingue trois grandes familles de carrelage : le carrelage en terre cuite, le carrelage en pierre naturelle et le carrelage en grès.

    1. Carrelage en terre cuite

    http://terrcuite.com/

    Comme son nom l’indique, le carrelage en terre cuite est fabriqué à partir d’argile cuit. On les retrouve plutôt dans les pays du Sud comme en témoignent les célèbres tomettes provençales. Ces carrelages sont généralement assez tendres et plus sensibles à l’usure. Mais aussi aux taches et doivent être régulièrement traités à l’huile de lin ou à la paraffine. En revanches, ils sont appréciés pour leur aspect naturel voire rustique et leur « chaleur » ainsi que pour la patine qu’ils affichent avec le temps. On peut classer dans la même catégorie les carreaux de ciments qui reviennent sur les devants de la scène après être tombés en désuétude.

    2. Carrelage en pierre naturelle

    https://www.antiekbouw.be/

    Très présent dans les anciennes bâtisses, le carrelage en pierre naturelle est aussi très apprécié dans les nouvelles maisons modernes. De nombreuses variétés de pierre offrent des qualités spécifiques. Le granit, par exemple, est apprécié pour sa solidité tandis que le marbre revient à la mode grâce à ses nombreux coloris. La pierre bleue est également très présente en Belgique. Si elle est solide, naturelle, avec notamment de légères variations de teinte, et chaleureuse, la pierre naturelle est aussi généralement plus onéreuse. En fonction de sa finition, elle peut être plus ou moins sensible aux taches. Sa pose, par son côté moins régulier, peut également être plus complexe et onéreuse. En outre, son poids plus élevé (voire son épaisseur plus importante) est également à prendre en considération, notamment si l’on envisage de l’installer à l’étage.

    3. Carrelage en grès

    http://www.adc-carrelage.com/

    Le carrelage en grès, cuit en usine, s’est rapidement imposé grâce à ses nombreuses qualités et est devenu maintenant la famille la plus courante dans nos maisons modernes. Il en existe plusieurs sous-catégories (grès émaillés, grès cérame, grès cérame pleine masse…) offrant, notamment, des résistances à l’usure plus ou moins élevées. Mais dans l’ensemble, les carrelages en grès sont appréciés pour leur facilité d’entretien, leur coût abordable, leur standardisation qui facilite notamment la pose et la très grande variété de couleur et de finition.

  • Indispensable : Checklist et conseils pour la location d’une propriété

    La location d’un studio, d’un appartement ou d’une maison suppose l’examen de nombreux éléments.

    C’est pourquoi nous avons établi un plan étape par étape et avons énuméré quelques conseils utiles qui sont importants lorsque vous êtes à la recherche d’une nouvelle location. En examinant attentivement notre plan avant d’emménager, vous éviterez les déceptions.

    Etape 1 : Visite du bien

    A quoi devez-vous faire attention lorsque vous visitez une chambre, un studio, un appartement ou une maison ? N’oubliez pas de vérifier les points ci-dessous :

    • La maison a-t-elle du double vitrage ? Les pièces à simple vitrage sont souvent humides, plus sensibles aux infractions et l’isolation acoustique est souvent très limitée.
    • Y a-t-il des radiateurs dans la pièce ? Quand vous allez voir une maison en été, vous n’y prêterez peut-être pas attention.
    • La maison est-elle humide ou y a-t-il des taches d’humidité visibles ? Souvent, les maisons peu ventilées ont des problèmes d’humidité. Jetez un bon coup d’œil à cela lors d’une visite, parce qu’un taux d’humidité élevé dans la maison peut causer des problèmes de santé.
    • Qu’en est-il des (vieux) poêles ? Combinés à une mauvaise ventilation, ils peuvent entraîner des situations dangereuses. Un problème bien connu avec des poêles en fin de vie, est la formation de monoxyde de carbone dans les pièces mal ventilées.
    • Comment sont les installations sanitaires ? Examinez attentivement l’état de la salle de bain, des toilettes, de la douche et de la cuisine.
    • Y a-t-il suffisamment de prises? L’installation électrique (inspection) est-elle en ordre ? Ce deuxième point est important pour la sécurité.
    • Y a-t-il une bonne connexion Internet dans la pièce ou le câble est-il présent ? Une (bonne) connexion Wi-Fi est aujourd’hui indispensable.
    • La chambre, le studio, l’appartement, la maison est-il mal isolé ? Cela peut causer pas mal de frictions avec les colocataires ou les voisins.
    • La maison est-elle équipée de bonnes serrures ? Soyez attentif au matériel obsolète.
    • Quid de l’aspect sécuritaire en cas d’incendie ? Il est important de vérifier si vous pouvez fuir en cas d’incendie et s’il existe des installations adaptées, telles qu’un extincteur, une couverture anti-feu et des détecteurs de fumée.
    • Y a-t-il une bonne chaudière ? Une chaudière obsolète peut causer de nombreux problèmes.

    Etape 2 : Visitez le quartier !

    Lors de la visite d’une propriété, certaines personnes sont trop occupées par la propriété en elle-même. Que savez-vous du nouveau quartier ? Qui seront vos nouveaux voisins ? Le quartier est-il sûr ? Y a-t-il suffisamment de transports publics disponibles ? Y a-t-il des écoles dans les environs ? Visitez le quartier une fois le soir et parlez aux voisins. Cela vous donnera une bonne idée de l’endroit dans lequel vous vivrez et vous permettra de savoir s’il est adapté à votre situation (familiale).

    Etape 3 : La garantie

    Il appartient au propriétaire de décider si une garantie de loyer est requise ou non. Toutefois, dans le droit belge, c’est au locataire qu’il appartient de choisir la forme qu’elle prend. Dans certaines limites, car la loi n’offre que 3 possibilités :

    • dépôt sur un compte bloqué
    • garantie bancaire avec mensualités
    • Garantie via le CPAS

    Le premier et le plus courant : un dépôt unique sur un compte détenu par le locataire, mais bloqué pendant toute la durée de la location. Le nombre de mois de location que le propriétaire peut demander à titre de dépôt dépend de la formule et de la région dans laquelle vous habitez (de 2 à 3 mois).

    Etape 4 : Négocier le prix

    Lorsque vous déménagerez, pourrez-vous y vivre immédiatement ? Ou devrez-vous peindre, installer des planchers ou des cloisons ? Si tel est le cas, négociez avec le propriétaire. Il est très courant dans une telle situation de convenir d’un rabais sur le loyer pour un ou plusieurs mois.

    Vérifiez également le montant des charges qui s’ajoutent au loyer. Les charges comprennent l’eau et l’énergie, mais aussi, par exemple, le nettoyage des parties communes ou le concierge. Avant de signer un contrat de location, il est donc important d’examiner ces charges afin d’éviter de mauvaises surprises par la suite.

    Etape 5 : Paiement

    Avant la date de début du contrat, le locataire doit avoir payé le premier mois de loyer et la caution. Vous recevrez ensuite les clés de votre nouveau logement. Convenez avec le propriétaire de la date à laquelle le loyer doit être payé.

    Etape 6 : Réception des clés

    Vous recevrez les clés le jour où démarre le contrat de location. Ne faites donc certainement pas envoyer ces clés par la poste, mais convenez d’une heure de remise avec le propriétaire. Il est préférable d’avoir ce rendez-vous dans le nouveau domicile et de le combiner avec un état des lieux. Ceci implique que le locataire et le propriétaire vérifient l’état de la propriété et que l’inventaire est également vérifié. Il est sage de prendre des photos. De cette façon, vous réduisez les risques de discussions ultérieures. Assurez-vous d’avoir reçu, en tant que locataire, une copie de cet état des lieux.

    Etape 7 : Déménagement

    Comment la propriété doit-elle être laissée lors de votre départ ? La maison louée doit-elle être vidée ou remise dans son état d’origine ? Assurez-vous que cela ne cause aucun problème avec votre garantie locative. Il est également sage de garder à l’esprit le délai de résiliation de votre contrat de location. Si vous avez l’intention de déménager, gardez ceci à l’esprit !

  • Quelle est la température idéale pour sa maison ?

    Bien sûr, la température idéale dans une maison dépend de nombreux paramètres. Et notamment du ressenti de chacun. Mais tout de même, voici des valeurs moyennes « idéales » à viser en fonction du type de pièce de sa maison.

    1. 16 à 18°C pour les chambres, le hall et les toilettes

    Les frileux en tremblent peut-être déjà ! Mais idéalement, la température d’une chambre à coucher devrait être de 16°C. Inutile en effet de surchauffer les chambres : d’une part, cela va augmenter considérablement votre consommation d’énergie et, d’autre part, cela n’aide pas à atteindre un sommeil réparateur. En fonction de votre sensibilité, vous pourrez néanmoins monter jusqu’à 18°C. Mais si possible pas au-delà. Investissez alors plutôt dans une bonne couette !

    Dans un hall ou une toilette, 17 à 18°C sont également suffisants.

    2. 19 à 20°C pour les pièces de vie

    Pour les pièces de vie, mieux vaut viser 19° C. Du moins si possible… Si cette température ne vous semble pas « confortable », montez alors plutôt vers 20° C. On veillera à atteindre ces températures dans la cuisine, la salle à manger et le salon. Notez que c’est également la température idéale pour un bureau. Pour les enfants/étudiants dont le bureau se situe dans la chambre, on essaiera donc de viser les 19-20° C au moment de l’étude avant de laisser la température descendre pour la nuit.

    3. 22°C dans la salle de bain

    Dans une salle de bain, il faudra atteindre au minimum 22°C pour ne pas « souffrir » de la sensation de froid en sortant mouillé de sa douche ou de sa baignoire. En revanche, inutile de conserver une telle température toute la journée ! Veillez toutefois à ne pas descendre sous 16 à 17°C pour limiter les risques de condensation.

  • 5 conseils pour chauffer efficacement votre salle de bain

    Rien n’est plus déplaisant que d’entrer dans une salle de bain froide quand vous sortez de votre lit bien chaud ! En suivant ces quelques conseils, votre salle de bain actuelle sera chauffée de manière optimale.

    Et si vous désirez construire une nouvelle salle de bain, ces conseils vont assureront un endroit bien douillet quand vous y entrerez.

    1. Choisir le bon radiateur

    Plus la salle de bain est grande, plus le radiateur doit être puissant pour chauffer la pièce. Un radiateur doit donc être adapté à sa taille. Vous pouvez facilement calculer la puissance : il vous suffit pour cela de compter entre 130 et 150 Watts par mètre carré. Une salle de bain de 15 m² réclame donc une puissance comprise entre 1.300 et 1.500 Watts. Essayez également de trouver un modèle élégant, qui s’harmonise bien avec la pièce !

    2. Placez le radiateur au bon endroit

    Lorsque vous avez trouvé le bon radiateur, il est important de l’accrocher au bon endroit. Il est préférable de le placer à l’endroit le plus froid de la salle de bains, par exemple contre un mur extérieur et/ou sous une fenêtre. Par conséquent, l’air froid est chauffé immédiatement avant de se propager davantage. Gardez un espace d’environ 5 centimètres entre le radiateur et le mur.

    3. Choisir le chauffage par le sol

    Vous avez toujours des frissons ? Dans ce cas, le chauffage par le sol est pour vous. Ce type de chauffage offre une chaleur uniforme et très confortable. De plus, vous souffrirez moins de la poussière parce qu’il n’y a presque pas de circulation d’air. Il existe deux types de chauffage par le sol. Par exemple, vous pouvez choisir un plancher chauffant électrique : il vous faut alors placer un câble chauffant réparti sur l’entièreté du sol (sous le carrelage de la salle de bains, donc) ou plus simplement, pour un tapis chauffant. Vous pouvez également opter pour le chauffage par le sol par le biais de tuyaux à travers lesquels l’eau chaude est acheminée.

    4. Chauffage infrarouge

    Un radiateur infrarouge monté au mur ou au plafond émet une chaleur ciblée, qui chauffe rapidement l’atmosphère dans la salle de bain. La connexion se fait par une prise de courant. Certains modèles sont équipés d’une télécommande ou d’une minuterie pour contrôler l’alimentation et l’heure.

    5. Envisagez une douche infrarouge !

    Une douche infrarouge peut fournir une chaleur supplémentaire et offre également certains avantages pour la santé. La lumière infrarouge permet à votre corps de se détendre, la circulation sanguine est stimulée et les douleurs ou crampes musculaires disparaissent. Cela paraît idéal si vous voulez ajouter une touche de luxe supplémentaire à votre salle de bain existante !