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  • Un jardin en façade : quelque chose pour vous ?

    Vous souhaitez apporter une contribution écologique ou simplement démarquer votre façade des autres maisons de la rue ? Alors, optez pour le jardin en façade !

    Sachez toutefois qu’il y a quelques conditions et qu’un tel aménagement ne peut se faire du jour au lendemain.

    Assurez-vous d’avoir un permis

    La plupart des municipalités apprécient le fait que vous apportiez un peu de vert dans le paysage et un permis n’est dès lors pas nécessaire. Cependant, il y a encore des communes où il y a une obligation de déclaration. Mieux vaut donc s’informer afin d’éviter une amende. Ces informations peuvent se trouver sur Internet.

    Les règles de base

    Il est essentiel que les piétons ou les utilisateurs de fauteuils roulants puissent toujours circuler sans problème. La plupart des municipalités s’attendent encore à un passage d’au moins un mètre, mais il y a des exceptions. Autres conditions à prendre en compte :

    • Si vous enlevez les pavés du trottoir, gardez-les. Ils demeurent la propriété de la commune.
    • Assurez-vous d’avoir un jardin en façade bien entretenu
    • Délimitez-le clairement
    • Si des travaux dans la ruesont nécessaires, il se peut que vous deviez démolir votre jardin en façade.
    • Les plantes toxiques et les plantes à épines ne sont pas autorisées

    Le bon choix des plantes

    Vous trouverez sans aucun doute beaucoup d’inspiration sur le net, mais assurez-vous de faire un choix réfléchi de plantes et/ou de végétation. Si vous optez pour des plantes grimpantes, elles ont souvent besoin d’une aide.

    Le choix de vos plantes dépend du nombre d’heures d’ensoleillement. Les plantes d’ombre ont besoin de moins d’heures d’ensoleillement, tandis que les plantes qui aiment le soleil s’épanouissent au soleil autant que possible.

    Assurez-vous également que vos plantes reçoivent suffisamment d’eau. Un petit jardin sur la façade reste souvent sec car la façade et la gouttière bloquent l’eau de pluie. Les plantes plus âgées, en particulier, ont aussi besoin d’une fertilisation régulière.

  • Comment affûter la lame de sa tondeuse ? Voici la méthode en 5 étapes !

    Avant de débuter une nouvelle saison de tonte, avez-vous pensé à affûter la lame de votre tondeuse ? C’est une opération souvent négligée. Pourtant, votre gazon vous en remerciera !

    Que l’on utilise une tondeuse électrique ou thermique, des couteaux émoussés ne coupent plus efficacement les herbes. Ils ont plutôt tendance à les arracher ou les déchiqueter. Pour s’assurer d’un résultat optimal, pensez-donc à affûter la ou les lames de votre tondeuse. Mais comment faire ?

    1. Retirez la lame

    Avant de vous lancer dans l’opération d’affûtage, il convient bien sûr de démonter la lame de votre machine. Pour ce faire, pensez d’abord à votre sécurité et assurez-vous que votre tondeuse ne risque pas de démarrer (en retirant la prise, la batterie ou le câble de bougie en fonction du modèle dont vous disposez). Démontez ensuite la ou les lames de votre tondeuse en utilisant une clé adaptée à votre situation (généralement une clé plate ou une clé Allen). Si l’opération est compliquée, pensez à pulvériser un peu de dégrippant et assurez-vous de tourner dans le bon sens !

    2. Vérifiez son état général

    Une fois la lame démontée, observez son état général. Si la lame est très abîmée (notamment à cause de cailloux), pliée ou fissurée, ne perdez pas votre temps à essayer de l’aiguiser. Mieux vaut plutôt penser à la changer. Si vous ne notez, en revanche, que de légers petits coups et que son allure générale vous semble satisfaisante, alors vous pouvez envisager de l’affûter. Utiliser alors soit une meule, soit une meuleuse d’angle avec un accessoire adapté, soit même une lime manuelle. Bien sûr, dans tous les cas, utilisez tous les équipements de protection nécessaires pour travailler en toute sécurité.

    3. Affûtez en douceur

    Au moment d’affûter votre lame, respectez l’angle initial de la zone de coupe et ne retirez qu’un minimum de matière pour ne pas trop user votre lame. Essayez, en outre, d’être le plus symétrique possible en passant d’un côté à l’autre de la lame afin de ne pas la déséquilibrer. C’est important, sinon vous risquez de produire de nombreuses vibrations lorsque la lame tournera à grande vitesse.

    4. Vérifiez l’équilibrage

    Avant de remonter la lame sur votre tondeuse, vérifiez donc autant que possible son équilibrage. Pour ce faire, déposez la lame sur un point en son centre (en vous aidant d’une clé ou d’un tournevis, par exemple), et regardez si elle tient en équilibre. Si elle a tendance à pencher à gauche ou à droite, c’est que vous avez retiré trop de matière d’un côté. Recommencez alors à affûter le côté de la lame qui est le plus lourd afin d’arriver à l’équilibre.

    5. Nettoyez et remontez

    Une fois la lame prête, profitez-en pour nettoyer à fond le carter de coupe de votre tondeuse et l’endroit de fixation de la lame. Remontez ensuite la lame en n’omettant pas de remettre les différentes rondelles qui l’accompagnent et de la serrer fermement.

  • Jardinage : 5 conseils pour que votre jardin retrouve sa superbe au printemps !

    Le printemps est déjà entamé, c’est donc le moment idéal pour mettre de l’ordre dans le jardin. La bêche, la pelle et la tondeuse à gazon sont donc de sortie !

    Avec ces conseils, vous pouvez transformer votre jardin en un merveilleux endroit pour les mois d’été. On y va ?

    Restauration de la pelouse

    Votre pelouse a été fortement agressée, surtout pendant les mois d’hiver. Heureusement, le printemps est la saison idéale pour lui redonner vie. En guise de préparation, tondez d’abord le gazon. Enlevez ensuite les mauvaises herbes et la mousse, et passez avec un scarificateur. La dernière étape consiste à remplir les trous et les inégalités avec de la terre de rempotage.

    Escargots pressés de se reproduire

    Les escargots pondent leurs œufs en avril. Vous pouvez les faire disparaître de votre jardin pour éviter qu’ils n’infestent votre jardin par la suite. Mettez du marc de café autour des plantes dans le jardin. De cette façon, les escargots n’iront pas pondre dans vos plantes.

    Nettoyage de la terrasse

    Vous souhaitez profiter pleinement de votre terrasse en été ? Au printemps, prenez le temps de la nettoyer en profondeur. Diluer du vinaigre dans un peu d’eau et vaporisez le dépôt. Laissez-le s’imbiber pendant un certain temps, puis frottez la saleté. En un rien de temps, votre terrasse est retrouve ses couleurs !

    Boutures de plantes

    Avez-vous des plantes vivaces dans votre jardin depuis plusieurs années ? Il est alors conseillé de les sortir du sol une fois tous les trois ans et de les couper. Les jeunes pouces que vous avez coupées peuvent ensuite être replantées. Vous pourrez ainsi profiter plus longtemps de vos plantes !

    Préparation du potager

    Vous avez la main verte et souhaitez créer un potager ? Dans ce cas, il est préférable de le préparer au printemps. Vous pouvez commencer à semer à partir de mars et avril. N’oubliez pas que le potager a besoin d’un entretien hebdomadaire. Vous devriez enlever les mauvaises herbes chaque semaine et arroser les plantes.

  • Mobilier de jardin : quelles erreurs éviter et quel budget prévoir ?

    Avec le retour des beaux jours, la terrasse se voit forcément au centre de toutes les attentions. Mais comment bien choisir son mobilier de jardin ? Quelles sont les tendances du moment et quelles sont les erreurs à éviter ?

    Nous avons demandé à Anne-Laure Gauthier, spécialiste du mobilier de jardin chez Leroy-Gauthier à Noville (près de Bastogne) de nous en dire un peu plus sur le sujet. Et manifestement, la tendance du moment, c’est le mobilier fonctionnel, pratique à l’usage.

    Le teck

    « Dans un passé récent, on vendait pas mal de mobilier en teck. C’est beaucoup moins le cas, même s’il y a toujours des adeptes. Le teck nécessite d’être huilé une à deux fois par an, et ça les gens sont devenus réfractaires. Ils veulent un mobilier qui nécessite peu ou pas d’entretien, qui puisse rester tout l’hiver dehors. Qu’il suffit de donner un coup de chiffon pour lui redonner tout son éclat et son côté fonctionnel. Donc, le plastique, l’aluminium, l’inox, fonctionnent très bien. Ce dernier est très résistant aux frimas de l’hiver et plus solide que l’aluminium… mais c’est un autre budget. »

    Les meubles sophistiqués

    En termes de design, les goûts évoluent également. Le prix est évidemment un facteur décisif. « En général, les meubles en résine tressée, bien que de haute qualité et très design, remportent moins de succès qu’avant. Par contre, les tables toutes simples, rectangulaires, fonctionnent très bien, car elles sont faciles à ranger, notamment. »

    Ne négligez pas le budget !

    Pour un ensemble table-chaises de jardin de qualité mais simple, on peut en trouver à partir de 500 ou 600€. Au niveau des salons de jardin, le coût peut varier de 1.000 à 5.000 ou 6.000€, selon le design, les matériaux.

  • Laver son lave-vaisselle en 5 étapes

    Les lave-vaisselles font tellement partie de notre quotidien qu’on en oublie presque leur présence… Jusqu’au jour où ils laissent des dépôts et autres saletés sur nos verres et assiettes. Mais comment s’en prémunir ?

    Les lave-vaisselles peuvent, avec le temps, laisser apparaître des dépôts blanchâtres ou graisseux, des traces d’aliments ainsi que des odeurs plutôt désagréables. Quelques actions simples peuvent toutefois limiter ces inconvénients.

    1. Ceci n’est pas une poubelle !

    La première étape pour conserver un lave-vaisselle propre consiste à ne pas le considérer comme une poubelle ménagère ! Pensez à retirer tous les résidus des assiettes et des casseroles. Si besoin, rincez-les avant de les mettre dans le lave-vaisselle. Bien sûr, les dépôts graisseux qui se trouvent dans le fond des casseroles et autres poêles ne sont pas non plus les bienvenus dans le lave-vaisselle !

    2. Cycle de nettoyage régulier

    Pensez à effectuer régulièrement un cycle de nettoyage à vide de votre lave-vaisselle avec un produit adapté. En tous les cas, au moins deux fois par an. Cela permet d’éliminer les dépôts graisseux qui s’accumulent avec le temps. Si vous préférez, il est possible d’utiliser des produits naturels plutôt que des nettoyants vendus dans le commerce. Mettez par exemple du bicarbonate de soude dans le réceptacle destiné à recevoir la poudre de lavage. Vous pouvez aussi verser du vinaigre blanc dans le fond de la cuve et/ou presser un demi-citron.

    3. Nettoyez les bras

    Occasionnellement, retirez toutes les parties amovibles de votre lave-vaisselle et lavez-les. Vérifiez également qu’aucun résidu de nourriture n’est coincé dans les bras de lavage quand vous les nettoyez. Ils risqueraient d’obstruer les petits trous qui permettent de projeter l’eau. Et donc de réduire l’efficacité du lavage.

    4. Nettoyez le filtre

    Pensez également à retirer le filtre qui se trouve, généralement, dans le fond de la cuve. Récurez-le à l’aide d’une petite brosse aux poils durs, voire d’une vieille brosse à dents, en utilisant de l’eau chaude. Idéalement, le filtre doit être lavé tous les mois.

    5. Pensez aux joints

    Enfin, pensez à passer une éponge ou un linge humide, voire légèrement imbibé de vinaigre blanc, le long des joints de la porte. Des moisissures peuvent s’y développer avec le temps, laissant apparaître de mauvaises odeurs.

  • 5 dégâts des eaux qu’on ne voudrait pas avoir chez soi

    À la première place des sinistres dans les maisons en Belgique : les dégâts des eaux. On en recense plus de 120 000 par an, selon Assuralia ! Plus étonnant encore : 30% des Belges ont une fuite d’eau et ne le savent pas. Or une simple fuite peut être à l’origine de dégâts très importants. À l’image des 5 cas que l’on va vous présenter en image et que, franchement, on ne voudrait pas avoir chez soi…

    Une douche plus vraiment étanche ?

     

    Oui, les dégâts des eaux peuvent aller jusque-là ! Manifestement, les joints d’étanchéité de cette douche ne remplissaient plus leur fonction. S’ils deviennent poreux, l’eau peut s’infiltrer petit à petit dans le sol, jusqu’à pourrir le plancher sur lequel repose le sol. Vue l’étendue des dégâts, l’origine pourrait aussi être une fissure dans une canalisation. Au moindre signe, un carrelage qui se fissure, une tache d’humidité, un revêtement de sol qui gondole, adoptez une de ces astuces pour détecter les fuites d’eau à temps.

    Des fuites dans les murs ?

    Le papier peint qui pourrit, les tâches d’humidité qui se multiplient, autant d’indices d’une infiltration d’eau. Pour éviter d’en arriver là, on vous livre 8 tuyaux pour dire stop aux dégâts des eaux dans la maison.

    L’annonce d’une fuite à l’horizon…

    L’eau qui coule de vos robinets arbore une horrible couleur brunâtre ? Vous êtes proche d’une catastrophe ! Pas de doute, vous avez de la rouille dans vos canalisations. Un signe annonciateur d’une fuite. La fuite est peut-être même déjà là sans que vous ne vous en soyez aperçu. Il est donc temps de surveiller votre compteur et de contrôler votre consommation d’eau.

    Un boiler mal en point

    Les boilers ne sont pas à l’abri d’une fuite. Le ballon d’eau peut se percer, le joint d’étanchéité se déplacer, les raccords ne plus être étanches, la soupape de sécurité rencontrer un problème. Un amas de calcaire peut aussi être à l’origine d’une fuite. Faites entretenir votre appareil régulièrement.

    Un électroménager qui se répand…

    Votre lave-vaisselle ou votre lave-linge ne sont pas munis d’un système Aquastop, qui détecte une fuite sur le tuyau d’alimentation et coupe l’arrivée d’eau en cas de problème ? Vous n’êtes pas à l’abri d’une inondation si les tuyaux lâchent. Solution ? La technologie intelligente UP, par exemple, grâce à un capteur placé sur votre compteur d’eau, détecte une consommation anormale et le système vous avertit par e-mail et SMS de l’existence d’une fuite pour pouvoir agir le plus rapidement possible.

    Vous suspectez une fuite chez vous ? Voici les bons réflexes à adopter en cas de fuite.

     

  • Comment arroser efficacement ses jardinières ?

    Avec le printemps vient doucement le temps de préparer ses jardinières et autres pots pour garnir terrasses et balcons. Ainsi que les premiers arrosages pour en assurer un bon (re)démarrage. Mais savez-vous comment « bien arroser » des jardinières ?

    Les plantes qui se trouvent dans des pots ou des jardinières nécessitent une attention particulière. Elles doivent, en effet, être arrosées plus souvent que des plantes évoluant en pleine terre. C’est surtout le cas quand le soleil commence à briller généreusement dans le ciel : les pots chauffent et accélèrent l’évaporation de l’eau contenue dans la terre.

    Quand arroser ?

    Attention tout de même à ne pas noyer vos plantes ! Pour savoir si une plante a soif, il suffit d’abord de l’observer. Généralement, elle aura alors tendance à laisser pendre ses feuilles. Pour être certain, vous pouvez également enfoncer votre doigt de quelques centimètres dans la terre : si la terre est humide et un peu collante, inutile d’arroser ! En revanche, si la terre est sèche, il est temps de donner à boire à vos plantes.

    Comment arroser ?

    La technique la plus courante pour arroser les plantes dans les jardinières ou les pots est celle dite « du dessus ». C’est la méthode classique qui consiste à verser de l’eau avec un arrosoir sur le dessus- de la terre par opposition avec la méthode dite « du bassinage ». Cette dernière consiste à tremper les pots/jardinières dans un grand bac d’eau pour que la terre s’humidifie par le dessous via les trous de drainage. Une technique plus contraignante à l’usage à réserver plutôt à certains types de plantes plus fragiles.

    Si possible le soir

    Arrosez préférablement le soir, quand la température diminue. Cela permet à la plante d’absorber plus efficacement l’eau avant qu’elle ne s’évapore. Dans tous les cas, évitez de mouiller les feuilles. Les gouttes d’eau peuvent soit brûler les feuilles si le soleil brille encore, soit favoriser le développement de maladies le soir ou durant la nuit. Sur de la terre très sèche, arrosez en deux fois : d’abord une première fois légèrement pour humidifier la terre. Ensuite, repassez un peu plus tard plus généreusement. Enfin, pensez à arroser de manière régulière autour de la plante, et pas seulement d’un seul côté. Sans quoi, vous favoriseriez un développement inégal des racines qui pourrait nuire à la croissance de la plante.

  • Voici comment empêcher votre gendre ou votre bru de « partir avec votre don » si vous aidez votre enfant à acheter une maison.

    Un de vos enfants veut construire ou acheter une maison. Vous envisagez de faire don d’une somme d’argent ou d’un terrain à bâtir à l’enfant en question. Cependant, vous ne voulez pas que le partenaire de votre enfant emporte le don si jamais ils venaient à se séparer. Comment pouvez-vous procéder ?

    Donner sous conditions

    Tout d’abord, il est bien sûr important de faire le don à votre seul enfant. Vous pouvez également y joindre une condition. Par exemple, vous pouvez inclure dans l’acte de donation, une clause interdisant à votre enfant de faire un don à une communauté matrimoniale de biens ou à un bien commun supplémentaire. Une telle clause est appelée  » clause d’exclusion « .  Une telle disposition est valable. Si vous faites appel à un notaire lors d’un don, il ou elle peut vous aider à mettre cette clause correctement sur papier.

    Si vous donnez une somme d’argent, veillez à ce qu’elle soit versée sur le compte de votre enfant et non sur le compte commun de votre enfant et de son partenaire. De cette façon, vous évitez que votre beau-fils ou belle-fille ne dise qu’il ou elle et votre enfant, ont tous deux bénéficié du don.  Assurez-vous également qu’il y a des preuves correctes du don. Sachez qu’un don doit être fait par l’entremise d’un notaire. Ceci n’est pas nécessaire pour un cadeau, bien entendu… Votre banquier peut vous aider à rédiger les bons documents lorsque vous faites un don bancaire.

    Laissez votre enfant prendre rendez-vous

    Si votre enfant est marié dans le cadre d’un régime de séparation de biens ou s’ils vivent ensemble sans être mariés, il se peut qu’il achète une propriété avec son conjoint. Il peut arriver que votre enfant, en utilisant l’argent donné, investisse plus que son partenaire dans la propriété. Dans ce cas, il est important que de bons accords soient conclus sur ce qu’il faut faire de la contribution supplémentaire en cas de séparation.

    Par exemple, il peut être convenu que votre gendre ou votre bru doive payer la moitié de la cotisation supplémentaire (éventuellement majorée des intérêts) en cas de séparation. Veillez à ce que ces accords soient mis sur papier de manière correcte. Dans le cas contraire, l’existence d’un tel accord ne sera pas prouvée. Pour rédiger une telle convention, il est préférable de faire appel aux services d’un avocat ou d’un notaire.

    Une alternative est que votre enfant et votre genre ou votre bru n’achètent pas la propriété dans un rapport 50-50 mais selon une fraction différente (par exemple 1/3 et 2/3) et ceci en fonction de l’apport personnel.

    Et si votre enfant est marié sans contrat de mariage ?

    Si votre enfant est marié dans le cadre du système juridique (séparation de biens et communauté d’acquisitions), la donation sera en principe incluse dans le patrimoine de votre enfant. Si l’argent est ensuite investi dans un bien commun, votre enfant peut, en cas de divorce, exiger une compensation du capital commun. La loi fournit une base à cet effet, même si aucun contrat spécifique n’est établi. Le système juridique est donc plus favorable à votre enfant à cet égard qu’un système de séparation des biens où un contrat écrit doit être établi.

    L’indemnité que votre enfant peut alors réclamer ne peut être inférieure au montant qu’il a lui-même investi dans la convention matrimoniale. Si les fonds ont servi à obtenir, maintenir ou améliorer un bien, votre enfant peut même recevoir plus, selon le texte légal. En effet, l’investissement a participé à l’augmentation de valeur de l’immeuble.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Devez-vous payer 10 % de plus si vous avez oublié de payer la facture de l’entrepreneur ?

    En tant que particulier, vous faites appel à un entrepreneur pour effectuer un certain nombre de réparations à votre domicile. Il envoie ensuite sa facture. Cependant, vous perdez cela de vue et l’entrepreneur vous envoie un avis de défaut de payement. Peut-il réclamer des dommages et intérêts pour retard de paiement ?

    Qu’est-ce qui a été convenu ?

    L’entrepreneur peut en effet réclamer un dédommagement (souvent 10%) pour retard de paiement si cela a été convenu avec vous. Si une telle disposition figure dans les conditions générales de vente (les petits caractères sur sa facture), l’entrepreneur devra prouver que vous les avez également acceptés, ces petits caractères ! Si, par exemple, vous avez signé une offre contenant ces conditions d’approbation, cela suffit généralement comme preuve. Si vous n’avez vu les conditions que pour la première fois sur la facture, il ne sera probablement pas en mesure de fournir cette preuve.

    Les conditions sont-elles valables ?

    Même si votre entrepreneur a convenu d’une telle indemnisation avec vous, il reste à voir si cette clause est également valable. Par exemple, la clause d’indemnisation ne peut pas être excessive (souvent 10% est considéré comme un maximum). En outre, les conditions doivent également être réciproques et, par exemple, il doit également y avoir une compensation que l’entrepreneur doit vous verser s’il ne respecte pas ses obligations.

    Ne payez que le montant de la facture

    Même si l’entrepreneur demande à juste titre une indemnisation, vous pouvez toujours essayer de ne payer que le montant de la facture. Il y a de fortes chances que l’entrepreneur n’insiste pas pour que vous payiez également l’indemnité.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Voici la meilleure façon de nettoyer votre façade !

    Vous voulez donner une nouvelle jeunesse à votre maison ? Nettoyer la façade suffit souvent à donner l’impression d’avoir une nouvelle maison. Voici comment la débarrasser de toutes ces saletés accumulées !

    Pour commencer

    Vous désirez le faire vous-même ? C’est évidemment possible, mais c’est un boulot assez désagréable. De plus, vous devrez probablement travailler en hauteur, ce qui comporte des risques. Si vous employez des produits chimiques, sachez qu’ils peuvent être nocifs. Il est souvent plus sage de faire appel à une entreprise professionnelle. De toutes manières, pour toutes les saletés qui ne sont pas superficielles, il faudra employer un nettoyeur haute pression.

    Comment traiter ?

    D’abord et avant tout, analysez comment votre façade est polluée. S’il s’agit d’algues et/ou de mousse, un nettoyage à la vapeur peut suffire. Les dépôts noirs peuvent être traités avec des agents chimiques. Si vous avez des zones grises, le sablage peut être la solution.

    Voyez quel produit convient à votre façade. Toutes les surfaces ne sont pas adaptées à tous les produits. Le béton et la brique peuvent en tolérer un certain nombre, contrairement au stuc et à la brique silico-calcaire.

    Lorsque vous commencerez à nettoyer, essayez d’abord une petite pièce. Si vous utilisez un nettoyeur haute pression, essayez d’abord avec peu de pression et augmentez-la si nécessaire.

    Les différentes façons de nettoyer en un mot

    Nettoyage à sec

    Il existe de nombreux produits sur le marché. Définissez le problème auquel vous êtes confronté et demandez au magasin la bonne solution. Une eau savonneuse peut également être utilisée pour les algues et les mousses moins persistantes.

    Frottez votre façade à l’aide du produit et d’une brosse et rincez la façade avec un tuyau d’arrosage.

    Nettoyage à haute pression

    Les saletés superficielles peuvent être parfaitement éliminées avec un nettoyeur haute pression. Assurez-vous de ne pas endommager vos châssis et les montants de porte. Évitez également d’exercer une pression directement sur les joints.

    Nettoyage à la vapeur

    Chauffez l’eau du nettoyeur haute pression à 140°C. La combinaison de la chaleur et de la pression permet à la saleté de se détacher. Cette méthode est recommandée pour le calcaire et le stuc, principalement sur les vieux bâtiments.

    Sablage

    Cette méthode agressive est la dernière option. Des grains de sable sont projetés avec une grande force contre la façade et rongent la saleté. Malheureusement, cela enlève généralement aussi des morceaux de pierre et des joints. Vous devrez probablement reconstruire votre façade par la suite.