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  • 10 accessoires indispensables cet été dans votre maison !

    Les beaux jours se limitent parfois à deux ou trois semaines durant l’été, il faut donc en profiter autant que possible ! Histoire de donner un air de vacances à votre chez-vous, voici quelques idées accessibles qui vous permettront de vivre pleinement la belle saison !

     

     

    1. Un parfum d’été dans votre intérieur : offrez-vous une bougie ou un spray d’ambiance au parfum à la fois frais et floral. Certains diffuseurs reproduisent aussi les embruns marins.

    2. Des textiles à motifs : tapis, housses de coussin en lin ou en coton aux tons naturels, jetés crochetés ou encore courtepointes, autant d’accessoires textiles qui transfigureront un intérieur. Les rayures, les feuillages, mais aussi les motifs tropicaux ou aztèques, voire les franges et les pompons, l’été doit vous pousser à vous éclater !

    3. Des guirlandes lumineuses : elles donnent un air de fête ainsi qu’une pointe de magie à votre jardin, votre véranda voire à votre pièce à vivre. De quoi égayer en toute simplicité.

    4. La galette de sol est un coussin qui permet de s’asseoir confortablement sur le sol et qui incite à la relaxation. La touche qui fait mouche : en empiler quelques-uns dans un des coins du séjour.

    5. Un meuble de jardin patiné par le temps ou par la rouille, placé bien en évidence dans la maison et rehaussé par une plante ou un bouquet de fleurs : effet garanti !

    6. Des verres texturés, placés à l’extérieur et garnis de motifs en relief, rendront les thés froids et autres limonades encore plus rafraîchissants.

    7. Un fauteuil en rotin apportera une touche délicieusement bohème à la maison. Il est facile d’en dénicher en brocante, voire en neuf dans une boutique d’ameublement. En effet, ce matériau naturel opère depuis peu son grand retour.

    8. Les foutas remplaceront à merveille les serviettes dans la salle de bain.

    9. Quelques touches de verdure agrémenteront la maison en toute facilité. Des plantes déposées dans des cache-pots en osier feront parfaitement l’affaire. N’hésitez pas non plus à regrouper celles-ci en fonction de différents thèmes (cactus, plantes grasses…), ça a toujours son petit effet.

    10. Enfin, des accessoires de couleurs trendy apporteront une touche branchée à l’intérieur comme à l’extérieur. Cet été, c’est la couleur « sauge du désert » (un vert gris pâle) qui remporte tous les suffrages !

  • De combien de temps de réflexion disposez-vous pour acheter une maison ?

    Vous tombez raide dingue d’une maison, vous faites une offre, mais ensuite vous commencez à douter… Êtes-vous coincé, ou y a-t-il encore moyen de changer d’avis ? Qu’en est-il de la période de réflexion lors de l’achat d’une maison ? Est-il possible de reconsidérer votre décision ?

    Prenez votre temps, même si cela peut vous coûter la maison de vos rêves.

    En bref : l’achat d’une maison est définitif en Belgique, vous n’avez donc pas de délai de réflexion. Si vous faites une offre que le vendeur accepte, vous êtes en principe lié à l’achat. Même si vous offrez le prix demandé, c’est toujours le vendeur qui décide si la vente a lieu ou non. Le vendeur n’est pas obligé de vendre parce que vous offrez le prix de vente.

    Réfléchir à deux fois avant d’acheter une maison est donc extrêmement important. Prendre des décisions irréfléchies parce qu’il y a d’autres personnes intéressées n’est pas sage. Si le vendeur accepte votre offre, il y a un accord contraignant, gardez toujours cela à l’esprit.

    Pouvez-vous retourner sur vos pas ?

    Vous vous êtes montré trop impulsif ? Uniquement dans le cas où le vendeur renonce à la vente, vous pouvez vous en sortir. Si ce n’est pas le cas, vous êtes en rupture de contrat. Le vendeur peut alors légalement réclamer des dommages et intérêts. En principe, cela peut atteindre jusqu’à 10% du prix d’achat. Les coûts montent donc rapidement !

    Si vous ne pouvez payer, le vendeur peut aller au tribunal. Si le vendeur a la preuve que vous avez effectivement conclu la vente, il y a de bonnes chances que vous deviez encore procéder à l’achat.

    Existe-t-il une alternative à une offre ?

    Vous ne voulez pas faire d’offre immédiate, mais vous êtes intéressé ? Envisagez de prendre une option. Dans ce dernier cas, le vendeur s’engage à ne pas vendre la maison à qui que ce soit d’autre dans un certain délai. Cette période ne dure souvent que quelques jours. Cela vous donnera le temps de réfléchir à nouveau, d’examiner rapidement d’autres options ou d’obtenir votre financement.

  • Le lambris : Pourquoi il fait son grand retour chez les Belges !

    Le tout au lambris a eu sa période de gloire dans les années 70. A l’époque, on vous mettait du bois du sol au plafond ! Oublié au tournant du millénaire, le lambris opère son grand retour dans une version remise au goût du jour !

    Le gros avantage du lambris est qu’il peut être posé sur les murs, le plafond ainsi que les rampants de toiture. Et si sa première fonction est de décorer une pièce, gardez à l’esprit que l’opération doit se faire sans excès !

    Le lambris existe en différentes finitions : brossé, lisse, brut de sciage, vernis, peint ou encore lasuré. Grisé voire blanchi, il adoucira l’ambiance, se prêtant parfaitement à un esprit bord de mer. Décliné dans des couleurs plus foncées, il se mue alors en un complément design et chaleureux.

    Ses 5 avantages !

    Outre l’aspect purement déco, le lambris offre aussi l’avantage disoler phonétiquement et thermiquement. Il permet aussi de rénover un mur abîmé, à condition qu’il soit exempt de tout problème d’humidité, et peut aussi servir de gaine technique afin d’y passer des câbles électriques voire des petits tuyaux. Il peut aussi se muer en tête de lit où l’on fixera deux appliques sans avoir à créer des saignées.

    Le lambris n’est pas qu’en bois

    Le lambris le plus noble est bien entendu celui en bois. Apte à adopter une multitude de styles, il est proposé en différentes longueurs et largeurs, ainsi qu’en différentes essences, avec ou sans nœuds.

    Et pourquoi pas le PVC ?

    Plus abordable, le lambris existe aussi en PVC, robuste, abordable et facile d’entretien. Ce dernier fera merveille dans les pièces humides, d’autant qu’il existe aussi sous forme de dalles.

    Enfin, le « lambris revêtu » se constitue d’un support en fibre de bois, recouvert d’une couche qui imite l’aspect du bois. Cette déclinaison existe dans une version hydrofuge.

    Comment le poser ?

    Pour ce qui est de la pose, le lambris peut être cloué sur des tasseaux, clipsé sur un support, collé à même un mur ou encore posé au sol sous la forme de dalles. Gardez néanmoins à l’esprit que la pose horizontale procure une sensation d’espace, ce qui est du coup recommandé pour les petites pièces. La pose verticale par contre agrandit visuellement une pièce de faible hauteur sous plafond.

    Conseil en or…

    Enfin, le bois travaille ! Stockez donc celui-ci durant 2 à 3 semaines dans la pièce qu’il habillera avant de le poser définitivement !

  • Comment prolonger la durée de vie de votre terrasse

    Le bois de votre terrasse est une chose, mais qu’est-ce qui fait que votre terrasse tienne vraiment le coup dans la durée ? L’évacuation de l’eau d’une terrasse est souvent négligée. Cela ne nécessite pas beaucoup d’entretien, mais il faut quand même garder cela à l’œil chaque année pour s’assurer d’une belle longévité.

    Élimination du produit de polissage

    En principe, vous devriez nettoyer régulièrement votre terrasse. Les drains assurent l’évacuation de l’eau. Ce que beaucoup de gens oublient, c’est qu’après avoir nettoyé avec des détergents, il est préférable de rincer à l’eau propre. Si vous ne rincez pas le détergent, il sèchera et affectera votre caniveau et surtout la grille qui peut rouiller.

    Evacuation de l’eau de pluie

    Bien sûr, l’eau de pluie est également évacuée. Au fait, saviez-vous que l’eau de pluie est parfaite pour le rinçage ? Vous pouvez même l’utiliser pour nettoyer votre terrasse. En fait, vous n’avez pas besoin de détergent…

    Entretenez également l’intérieur de votre grille

    L’entretien de l’extérieur est évident, mais aussi l’intérieur mérite un nettoyage. La plupart des grilles sont faciles à enlever. Les feuilles et autres saletés peuvent s’y accumuler, c’est pourquoi un nettoyage régulier est toujours indiqué. Il est préférable d’enlever les feuilles manuellement, la gouttière peut être arrosée.

    Si vos grilles sont vraiment usées, vous pouvez généralement les remplacer facilement. Souvent, vous pouvez simplement les soulever pour les enlever.

  • 4 moyens d’optimiser l’apport de lumière du jour dans la maison

    Gage de confort mais également d’énergie calorifique, la lumière peut faire toute la différence dans un intérieur. Voici quelques conseils vous permettant de maximiser celle-ci dans la maison.

    Si vous pouvez vous le permettre, tant structurellement que financièrement, la première solution pour gagner en luminosité est bien entendu dagrandir les ouvertures en passant de fenêtres conventionnelles à de larges baies vitrées. De quoi réaliser de sérieuses économies de chauffage en hiver mais aussi d’électricité puisque cela vous permettra d’allumer vos lampes plus tard dans la soirée.

    Des travaux de cette envergure ne s’improvisent bien entendu pas, ceux-ci concernant la structure même de votre habitation. Les conseils dun professionnel sont vivement recommandés avant d’entreprendre quoi que ce soit. Celui-ci peut également vous aider à effectuer les démarches nécessaires auprès du service de l’urbanisme de votre administration communale.

    Choix multiple

    Le choix en termes de baies vitrées n’a jamais été aussi large. Les plus discrètes et pratiques sont indéniablement les baies à galandage, qui coulissent à l’intérieur même du mur. Celles-ci permettent en effet de libérer totalement le passage vers l’extérieur.

    Autre possibilité : les baies dangle qui offrent une double orientation, garante d’une vue panoramique.

    Remises au goût du jour grâce au retour du style industriel, les baies en accordéon sont elles aussi très pratiques et exhibent un style très en vogue.

    S’il n’est pas possible d’agrandir une fenêtre existante, et donc d’y loger une baie vitrée, une solution peut consister en l’installation de nouveaux châssis aux profilés plus fin. De quoi, ici aussi, mais dans une moindre mesure, gagner en luminosité !

    Outre un architecte, les conseillers en châssis et baies vitrées sont eux aussi là pour vous aider à prendre la meilleure décision, en tenant compte de vos contraintes techniques mais aussi de votre budget. N’hésitez pas à faire appel à eux !

  • Quel vitrage choisir pour votre maison ? On fait le point avec vous !

    Opter pour des fenêtres en double voire en triple vitrage offre de nombreux avantages, notamment en termes disolation thermique et phonique. Mais le verre ne se limite plus qu’à une simple histoire de couches, que du contraire !

    Grâce au retour des baies vitrées intérieures, que cela soit pour ouvrir une cuisine vers la pièce à vivre ou une salle de bain vers la chambre à coucher, le simple vitrage est toujours bel et bien d’actualité. Du moins dans nos intérieurs. En effet, trop peu isolant, il n’est plus plébiscité que dans ces cas bien particuliers, mais plus pour une fenêtre donnant sur l’extérieur de la maison. Et quand on sait que les fenêtres représentent quelque 20 % de la déperdition de la chaleur dans une habitation, mieux vaut opter pour un vitrage le plus isolant possible !

    De nos jours, dans plus de 95 % des cas, il est conseillé d’opter pour du double vitrage, à savoir une vitre composée de deux lames de verre séparées entre elles par une lame d’air ou, mieux, de gaz rares comme l’argon ou le krypton qui font office d’isolants thermiques et phoniques naturels. Chaque lame de verre est généralement épaisse de 4 mm, tandis que la lame d’air l’est de 12 à 16 mm.

    Plus cest mieux !

    Dans le cas d’une maison passive ou à énergie positive, on optera pour le triple vitrage. Celui-ci assurera une parfaite isolation, et limitera donc les déperditions énergétiques dans le logement. Celui-ci a pour principe l’assemblage de trois couches de verre, elles aussi remplies de gaz isolant. Une structure particulière qui permet de créer un espace hermétique qui ralentira les déplacements gazeux et bloquera les variations thermiques. Certains facteurs peuvent néanmoins atténuer la qualité de l’isolation de ce type de vitrage, à l’image de la qualité de la menuiserie du châssis, de l’étanchéité, de l’orientation de la fenêtre ou encore de la localisation de la maison.

    Le verre dans tous ses états

    Outre les double et triple vitrages, les fabricants de verre ont également mis au point d’autres alternatives, à l’image du verre Securit, qui retarde les effractions jusqu’à 30 minutes ou le verre antibruit, plus épais, qui est recommandé dans les quartiers qui subissent de nombreuses nuisances sonores. Pour une exposition plein sud, il peut être utile d’opter pour un vitrage doté d’un traitement solaire qui, en renvoyant les rayons du soleil, évitera la surchauffe de vos pièces tout en atténuant les risques de décoloration de vos murs et textiles domestiques. Le verre autonettoyant pour sa part est à privilégier pour les fenêtres difficiles d’accès ou les vérandas. Enfin, petit bijou de technologie, le verre électrostatique s’opacifie sur commande grâce au passage d’un faible courant électrique.

  • Comment arroser votre jardin sans gaspiller ?

    Précieux, lor bleu doit être utilisé à bon escient dans le jardin. Un geste qui sera apprécié par Dame Nature mais qui sera également synonyme d’économies et de gain de temps.

    La base, quand cela est possible, est de récupérer l’eau de pluie. Celle-ci présente une faible minéralisation ainsi qu’un pH légèrement acide apprécié des plantes et fleurs du jardin. Cette eau non potable peut également être utilisée à la maison, notamment pour alimenter chasse d’eau, machine à laver, voire lave-vaisselle. On peut trouver dans le commerce des cuves d’une capacité allant de 200 à 2.000 litres, qui suffiront pour les travaux de jardinage, tandis qu’une contenance plus importante, pouvant grimper à 10.000 litres, sera privilégiée pour un usage hybride, combinant maison et jardin. Dans ce dernier cas, il faudra équiper votre cuve d’une pompe électrique.

    Autre alternative : le pompage de l’eau d’un puit, d’un étang voire d’une rivière. Des pompes spéciales « prêtes à l’emploi », à la fois compactes, efficaces et souvent munies d’une poignée de transport vous permettront de vous alimenter à différents endroits. Les plus modernes d’entre elles disposent d’un filtre, d’un capteur de pression et d’un arrêt automatique en cas de manque d’eau. Pour les puits, privilégiez les modèles submersibles.

    Quelques trucs

    Pratiquez l’arrosage de votre jardin en soirée, à l’aide d’ustensiles adaptés. Ces derniers sont à présent compacts, ce qui permet de les ranger plus facilement, ergonomiques pour une meilleure maniabilité et optimisés pour des réglages plus précis. Ils sont aussi plus économes, avec une pulvérisation réduite, ce qui permet d’économiser jusqu’à 20 % d’eau !

    Micro-irrigation

    Ce qu’on appelle la micro-irrigation ou le goutte-à-goutte n’est pas à négliger. Une technique qui offre un gain de temps et des économies substantielles et qui associe un réseau de tuyaux à des goutteurs qui acheminent l’eau directement au pied de la plante et ce, sans perte par évaporation ou ruissellement. Un système modulable qui s’adapte aux jardins de taille moyenne ainsi qu’aux potagers, aux haies voire aux terrasses et balcons.

    Arrosage automatique

    Enfin, l’arrosage automatique a quant à lui fait l’objet de belles évolutions au cours de ces dernières années, ici aussi dans un souci d’économie et de facilité d’utilisation. Des pompes basse tension, associées à des réservoirs d’eau représentent la solution idéale. Le tout peut être automatisé grâce à un programmateur connecté à l’alimentation d’eau, voire à une sonde d’humidité ou à un pluviomètre.

  • Climat : Voici des mesures envisagées qui pourraient aussi soulager votre portefeuille !

    « Avec la mobilité, nous sommes l’industrie qui fait partie de la solution dans la lutte en faveur du climat », a indiqué Robert de Mûelenaere, administrateur délégué de la Confédération Construction. Il a détaillé plusieurs mesures qui doivent permettre de rendre les bâtiments moins énergivores… Et qui pourraient aussi profiter au portefeuille des particuliers !

     

    Toutes ces propositions ne sont pas neuves, à l’instar de la demande de généralisation de la baisse de la TVA sur la démolition-reconstruction. Actuellement, la TVA est de 21% en Belgique sauf dans 32 centres urbains où le taux a été revu à 6%. La Cour des comptes estime le coût d’une généralisation 6% à 100 millions d’euros.

    Un revenu cadastral inchangé ?

    Une personne qui a effectué des rénovations à son logement pour en améliorer l’efficacité énergétique ne doit pas être pénalisée fiscalement, en voyant son revenu cadastral à la hausse par exemple.

    Des emprunts verts facilités

    La Confédération demande l’application des taux d’intérêt verts afin d’augmenter la capacité d’emprunt des acheteurs et à intégrer l’impact de la facture énergétique dans la capacité de remboursement. L’intervention d’un tiers investisseur est aussi évoquée. Un propriétaire pourrait ainsi financer des travaux de rénovation avec l’aide d’un tiers à condition de jouir d’une rentabilité suffisante.

    La Belgique est le pays en Europe où le rattrapage énergétique à faire sur les bâtiments est le plus important. Les logements et bâtiments y représentent 40% des émissions de CO2 et trois quarts des logements datent d’avant 1985, lorsque sont apparues les premières réglementations thermiques.

     

  • Sauna, hammam ou jacuzzi, que choisir ?

    Trouver un peu de temps pour soi malgré un quotidien particulièrement chargé, voilà qui relève parfois du miracle. À ce titre, une pièce de la maison peut être convertie en une véritable « zone de bien-être ».

    Très tendance, la cabine de douche-hammam est idéale car elle cumule les côtés pratiques d’une douche et le plaisir d’un hammam conventionnel. La vapeur générée par le hammam délasse en profondeur tout en détoxifiant votre organisme. En fin de séance, la douche vous permet quant à elle, de vous rafraîchir pour une véritable « expérience globale ».

    Des cabines tout-en-un sont bien entendu proposées sur le marché mais des solutions sur-mesure peuvent aussi être commandées auprès des spécialistes du secteur. Notez que le hammam nécessite une arrivée d’eau courante, une évacuation ainsi qu’un raccord à l’électricité avec un minimum de 16 ampères. Il ne peut donc pas être installé dans n’importe quelle pièce de la maison.

    Les alternatives

    Différent, puisqu’il génère une chaleur sèche, le sauna est complémentaire au hammam. Il détend les muscles et les articulations et est idéal après un jogging ou une séance de sport. Il exerce également une action purifiante sur les pores de la peau en procurant un effet déstressant. Au contraire du hammam, le sauna ne nécessite qu’une installation électrique. Il peut donc être logé sur une terrasse, dans un garage voire sous un toit.

    Autre option : le bain à remous, plus communément appelé jacuzzi. Moyennant une série d’adaptations, dont le renfort et la stabilisation du sol dans certains cas, l’installation d’un extracteur d’air et une alimentation électrique à proximité, le jacuzzi peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur. La capacité du bain peut varier de 2 à près de 10 personnes tandis qu’en fonction du modèle, vous pouvez opter pour un remplissage et une vidange automatiques à condition que le jacuzzi soit équipé et raccordé en conséquence. Plus simple et moins onéreux : une baignoire de taille standard, équipée de jets massants et/ou d’un compresseur qui génère un flux de bulles d’air.

  • Résiliation d’un bail de location ? Assurez-vous que tout est bien en règle

    Imaginons que vous louez un appartement pour 9 ans. Voyons dans quels cas le propriétaire peut vous soumettre un préavis de résiliation de bail.

    En tant que locataire, si vous louez un bien pour 9 ans, vous pouvez à tout moment résilier le contrat en soumettant un préavis de 3 mois. Mais vous devez payer des frais supplémentaires si la résiliation a lieu durant la première, la deuxième ou la troisième année d’occupation. Le propriétaire n’a pas les mêmes possibilités : les cas dans lesquels un propriétaire peut résilier un contrat de location sont beaucoup plus limités. Et même s’il existe dans le contrat une clause offrant des options de résiliation supplémentaires pour le propriétaire, celle-ci n’est pas valable.

    Tous les trois ans

    Le propriétaire peut, sauf clause contractuelle contraire, mettre fin au contrat de bail à la fin de chaque période de 3 ans. Il doit pour cela déposer un préavis de 6 mois. Si le bail est résilié à la fin du premier triennat, il doit verser au locataire une indemnité équivalant à 9 mois de location. Cette indemnité est ramenée à 6 mois si la résiliation a lieu à partir de la 6e année d’occupation du bien. Si le bail est résilié à la fin de la 9e année d’occupation, le propriétaire ne doit pas verser d’indemnité.

    Pour occupation personnelle

    Le propriétaire peut aussi mettre fin à un bail à tout moment avec un préavis de 6 mois si c’est pour lui-même habiter le bien ou si c’est pour y faire habiter quelqu’un de sa famille. Cela peut être son conjoint, son partenaire cohabitant légal, ses descendants ou enfants adoptés, ses ascendants en ligne directe ou ses parents éloignés jusqu’au 3e degré ou ceux de son conjoint ou de son partenaire cohabitant légal. Cette option de résiliation peut être exclue dans le contrat de location.

    Si le bien loué est situé en Flandre, il existe une nuance à cette règle pour les contrats conclus après le 1er janvier 2019. Si l’annulation est donnée pour cette raison durant le premier triennat, le préavis ne peut pas prendre fin avant l’expiration de la première période de trois ans qui suit l’entrée en vigueur du bail. Dans les autres communes et en Flandre, pour les baux émis avant le 1er janvier 2019, cette règle ne vaut que lorsque la résiliation est donnée dans le but qu’un parent au 3e degré habite le bien.

    Rénover

    Si le propriétaire désire effectuer des travaux dans le bien, il peut aussi résilier le contrat de location plus tôt. Mais il doit s’agir de “gros” travaux : ils doivent coûter l’équivalent de plus de trois ans de location du bien. Et ces travaux doivent être effectués sur la partie du bâtiment occupée par le locataire. Cette option d’annulation peut aussi être exclue du contrat de location.

    La résiliation pour cette raison ne peut intervenir qu’à la fin de la première et de la deuxième période de trois ans. Et un préavis de 6 mois doit être respecté. La situation est toutefois différente pour les bâtiments loués en Flandre après le 1er janvier 2019. Dans ce cas, le propriétaire peut à tout moment résilier le contrat pour cause de gros travaux. Si l’annulation est faite au cours de la première période de trois ans, le préavis ne peut pas prendre fin avant l’expiration de la première période de trois ans à compter de la date d’entrée en vigueur du contrat de location.

    Regardez la lettre d’annulation

    Si le propriétaire souhaite annuler le bail pour rénover le bien ou y habiter lui-même, la lettre de résiliation doit comprendre un certain nombre de points obligatoires (et parfois des annexes). Si ce n’est pas le cas, la résiliation ne sera pas valide. Si vous recevez une lettre de résiliation de contrat de location, il est donc conseillé de faire vérifier sa conformité avec la loi.

    De plus, il faut aussi que le propriétaire exécute bien les motifs de sa résiliation. Exemple : il est obligé de mener à bien les travaux de rénovation ou d’habiter suffisamment longtemps dans le bien. Si ce n’est pas le cas, en tant que locataire, vous pouvez, sauf circonstances exceptionnelles, demander une indemnité de 18 mois.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)