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  • Que faire lorsque votre entrepreneur vous demande un paiement anticipé ?

    Vous avez choisi un entrepreneur pour (re)construire votre maison. Mais celui-ci demande une avance lorsque le contrat est conclu. Comment répondre à une telle question ?

    Il arrive trop souvent que les entrepreneurs demandent une avance avant de lancer le chantier. Pour les motiver, ils soulignent qu’ils veulent être sûrs que le client ne reviendra pas sur l’accord, qu’il sera en mesure de les payer et qu’ils devront également acheter des matériaux de construction.

    Pas sans danger

    Cependant, ils oublient qu’en tant que constructeur, vous courez un risque lorsque vous payez une avance. Après tout, si l’entrepreneur fait faillite avant l’exécution des travaux, vous risquez de perdre votre paiement anticipé. Vous devrez alors déposer une créance dans le cadre de la faillite. Il y a peu de chances que vous puissiez récupérer une partie de l’avance versée.

    Négocier

    Essayez de négocier avec l’entrepreneur au sujet du paiement anticipé. Essayez de le convaincre que vous n’avez pas à faire un paiement anticipé ou du moins essayez de le maintenir aussi bas que possible. Si vous ne trouvez pas de solution lors des négociations, vous avez le choix. Soit vous acceptez de payer l’avance demandée, soit vous travaillez avec un autre entrepreneur.

    Une autre garantie

    Vous pouvez également offrir une autre garantie à l’entrepreneur. Par exemple, vous pourriez proposer de travailler avec une garantie bancaire au lieu d’un paiement anticipé, par lequel votre banque garantit à l’entrepreneur que vous allez le payer. Dans ce cas, demandez d’abord à votre banquier s’il est prêt à fournir une telle garantie.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Vos amis et votre famille peuvent-ils vous aider sur votre chantier ?

    Vous voulez profiter du congé du bâtiment pour faire plusieurs rénovations à votre maison. Vos parents, frères et sœurs veulent venir donner un coup de main. Dans ce cas, il est important de vous assurer que vous êtes suffisamment assuré !

    Aider sur un chantier n’est pas toujours sans danger. Ce ne serait pas la première fois qu’une personne sur un chantier de construction se brûle, que des matériaux tombent sur elle, etc.

    Rendre votre famille responsable

    Il est possible que la victime d’un tel accident (même s’il s’agit d’un membre de votre famille) prétende que vous êtes responsable de cet accident et que vous devrez payer des dommages et intérêts. Ces dommages peuvent être énormes, surtout s’il y a aussi des blessures physiques permanentes. Dans le pire des cas, vous risquez même de perdre tous vos biens.

    Souscrire une assurance

    Afin d’éviter ce risque, il est préférable de souscrire une police d’assurance qui intervient en cas d’accident sur site. Assurez-vous d’avoir la couverture la plus large possible. Veuillez noter qu’une police n’est pas la même qu’une autre. Une différence de prix peut, par exemple, être due à une couverture différente. La franchise que vous devez payer peut également différer.

    Tout le monde ne peut pas aider !

    Notez également que tout le monde n’est pas autorisé à venir vous aider. Les autorités pourraient supposer qu’il s’agisse de travail au noir. Une exception s’applique à votre conjoint et à vos proches jusqu’au deuxième degré et parfois aux proches au troisième et quatrième degré. Les amis ne devraient donc pas vous aider, même s’ils sont de bons amis.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Piscine : voici comment éviter le drame avec de jeunes enfants

    C’est hélas, le même constat dramatique à chaque début d’été : des enfants non surveillés finissent noyés dans une piscine. Pour sécuriser au maximum votre piscine, voici quelques conseils prodigués par Sudinfo.

    Nos collègues de Sudinfo ont relayé les conseils de professionnels du secteur. Contrairement à la France, aucune mesure de sécurité n’est obligatoire en Belgique, hormis quelques communes qui imposent une réglementation spécifique. Mais rien à l’échelle du territoire.

    Nos collègues de Sudinfo ont interviewé Didier Delvigne, patron de DC Piscines à Boignée, dans le nord de la province de Namur. Celui-ci conseille fortement d’installer un système de sécurité dès l’achat de la piscine. « Nous installons 200 piscines annuellement et 95 % sont vendues directement avec le volet », confirme-t-il d’ailleurs. Ces volets sont télécommandés et très résistants. D’autres solutions existent comme une barrière ou une alarme, mais cette dernière n’est pas toujours d’une efficacité absolue.

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  • Louer une maison pour une courte période : cela a-t-il du sens ou pas ?

    Vous voulez louer une maison ou un appartement. Est-ce que cela a du sens de le faire pour une courte période ? Ou est-ce que vous feriez mieux de louer pour une période de neuf ans ? En tant que locataire, avez-vous un avantage lorsque vous louez pour une courte période ?

    Si une maison ou un appartement loué est considéré comme résidence principale par le locataire, la durée peut aller jusqu’à neuf ans. Une autre solution consiste à conclure un bail à court terme (maximum de trois ans).

    Avantage pour le propriétaire ?

    En tant que propriétaire, l’embauche à court terme vous donne l’avantage de vous débarrasser d’un locataire plus rapidement s’il s’avère qu’il ou elle est problématique. Vous pouvez résilier le loyer à la fin du bail (à court terme). Si le locataire est sans reproche, vous pouvez continuer à lui louer pour une plus longue période.

    Dans le passé, la conclusion d’un bail à court terme présentait également l’avantage que le locataire ne pouvait pas résilier le contrat pendant la durée du bail. A présent, il le peut, de sorte que ce n’est plus un avantage.

    L’inconvénient d’un bail à court terme est qu’un bon locataire peut  » décrocher  » plus rapidement pendant la durée du contrat ou ne pas vouloir louer du tout s’il est incapable de le faire pendant neuf ans.

    Et en tant que locataire ?

    En tant que locataire, il est préférable de pouvoir louer directement pendant neuf ans. De cette façon, vous serez plus  » rassuré  » de pouvoir vivre plus longtemps dans l’immeuble. Le seul avantage que vous avez en tant que locataire pour un contrat à court terme (par opposition à un contrat de neuf ans) est que les frais que vous devez payer si vous résiliez le bail au cours de la première ou de la deuxième année du bail, sont moins élevés que pour un contrat de neuf ans.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Top 5 des choses à faire pour se sentir chez soi lorsqu’on vient de déménager

    Vous venez d’emménager dans votre nouveau chez-vous ? Voici quelques astuces pour vous sentir immédiatement à la maison et « bien dans vos murs » !

    1. Mettre son nom sur la porte et un paillasson à l’entrée.

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    Lire son nom pendant qu’on s’essuie les pieds sur le paillasson : c’est définitivement le signe que l’on est chez soi ! Profitez de cette sensation de nouveauté car au bout de quelques semaines vous ne prêterez même plus attention à ce genre de détail.

    2. Parfumer l’ambiance avec son encens favoris.

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    Comme le parfum peut nous faire penser à quelqu’un, certaines odeurs nous rappellent un lieu. Et puis, c’est aussi ce qui donne de la personnalité à un endroit !

    3. Accrocher son poster préféré.

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    On a tous un poster, une photo ou un petit objet fétiche qui nous suit partout ! Une fois que vous lui aurez trouvé une place, vous verrez, vous serez vraiment chez vous.

    4. Commander une pizza (et la déguster devant une série)

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    C’est le combo parfait pour qui vient de déménager ! Recevoir une pizza à sa nouvelle adresse, c’est un peu comme recevoir une première lettre ! Et puis c’est pratique si vous n’avez pas encore fait les courses…

    5. Faire une crémaillère !

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    La crémaillère est le passage obligé de tout déménagement ! Voir son chez-soi peuplé d’amis est réconfortant et donne vie aux murs. Dommage que cela se solde aussi souvent par le premier grand ménage !

     

  • Voici comment lutter contre le salpêtre

    Phénomène qui se propage sur les murs sujets à l’humidité, le salpêtre est à traiter sans tarder, sous peine de fragiliser l’ensemble de la structure concernée.

    Ce qu’on dénomme communément le salpêtre est un sel minéral qui pointe le bout de son nez sur les murs humides, sous la forme d’auréoles blanchâtres peu esthétiques. Il se localise généralement au bas des murs. Pratiquement, c’est le nitrate de potassium qui entre dans le processus de production de bon nombre de matériaux de construction qui mue en ce dépôt blanchâtre lorsqu’il entre en contact avec l’humidité et l’oxygène.

    En règle général, le salpêtre ne monte pas plus haut qu’un mètre cinquante et concerne les constructions anciennes ainsi que les caves. Les conditions idéales à son développement sont un environnement humide mais aussi une ventilation inexistante ou défaillante de la maison. Les dépôts blanchâtres peuvent s’accompagner d’une porosité et d’une friabilité du matériau, du décollement de l’enduit qui recouvre le mur ou encore d’un pourrissement de la maçonnerie.

    Prévenir plutôt que guérir

    La meilleure chose à faire pour éviter le développement de ces taches disgracieuses est de lutter contre l’humidité. En établissant le niveau hygrométrique de la pièce, on peut déterminer si un déshumidificateur électrique est nécessaire. Au-delà de 50 à 60 % d’humidité, cette opération est indispensable, surtout en hiver car le froid accumulé dans les murs favorise les remontées d’humidité par capillarité.

    Deuxième solution, la pose d’un système de drainage qui va bloquer la remontée des eaux souterraines. On peut aussi inverser la polarité des murs en réalisant une électro-osmose. Cette dernière va elle aussi bloquer les remontées capillaires. Enfin, on peut aussi poser une membrane d’étanchéité qui se présente généralement en polyéthylène ou en caoutchouc.

    Comment s’en débarrasser ?

    S’il est déjà présent, le salpêtre peut être éradiqué, à condition de procéder étape par étape. La première opération à réaliser est d’ôter tous les enduits qui ont été contaminés afin que le salpêtre ne s’étende pas au reste de la structure. La meilleure des techniques est de frotter le mur concerné à l’aide d’une brosse en chiendent. Il convient ensuite de bien rincer la partie brossée à l’aide d’eau tiède dans laquelle de l’eau de javel aura été diluée. Ensuite, la même zone doit être lavée à l’aide d’eau chaude rehaussée de détergent, puis à nouveau rincée. Assurez-vous qu’aucun dépôt blanchâtre n’a résisté à ce traitement. Une fois le mur bien sec, bouchez les fissures éventuelles à l’aide d’enduit puis appliquez une solution anti-salpêtre qui va neutraliser la composition chimique de la zone impactée.

    Si vous comptez tapisser le mur concerné, optez pour du papier peint microporeux qui laissera respirer la surface recouverte. Pour ce qui est de la peinture, celle-ci est désormais disponible en différentes déclinaisons, notamment anti-moisissure, bactéricide ou encore imperméable.

    Si le phénomène persiste après traitement, faites appel à un professionnel qui dressera un diagnostic précis. Il pourra aussi vous aider à identifier le point d’entrée de l’humidité afin de trouver les solutions les plus adéquates.

  • Pièces sombres : Voici comment leur apporter de la lumière naturelle !

    Si le bâtit le permet, le puits de lumière est la solution idéale pour désenclaver une pièce sombre ou qui ne peut pas être éclairée artificiellement.

    Dans bon nombre de situations, le puits de lumière peut faire office de solution miracle. En effet, grâce au dôme qui le chapeaute, il capte les ondes lumineuses et les projette tout au long de la cheminée du puits. Ce conduit réfléchissant peut également être doté d’un diffuseur prismatique situé dans la pièce et qui va intensifier la lumière captée par le dôme.

    Outre une parfaite étanchéité, les dômes actuels sont également à même de bloquer les rayons ultraviolets mais également les infrarouges. Disponible en différentes dimensions, on favorisera un dôme de grande dimension, à même d’éclairer au travers de plusieurs étages.

    Outre la lumière, ce type de puits a aussi pour avantage d’isoler du froid ainsi que de la chaleur, au contraire d’une fenêtre conventionnelle. La pose de ce type de structure ne s’improvise pas et nécessite l’intervention d’un professionnel.

    Les alternatives

    Plus simples à installer, les fenêtres de toit sont une alternative moins onéreuse pour éclairer naturellement une pièce, tout en réduisant sensiblement les besoins en chauffage. Un « effet verrière » peut être créé en combinant plusieurs fenêtres de toit ou en juxtaposant un châssis fixe en partie basse avec un ouvrant dans la partie supérieure.

    Plus simple encore : la lumière peut également être maximisée en installant des miroirs. Ceux-ci vont également accentuer la sensation d’espace dans la pièce. On peut aussi installer des réflecteurs en bordure de fenêtre ou sur un balcon. Eux aussi vont améliorer la clarté de l’espace en question.

    Enfin, la couleur retenue pour les murs d’une pièce peut avoir un impact sur l’apport en lumière, tout comme la décoration. Sans surprise, plus la couleur des murs tendra vers le blanc, plus son degré de réflectance sera optimal. Des meubles en matériaux réfléchissants, comme le métal ou les finis laqués, mais aussi des sols aux teintes claires optimiseront la luminosité de la pièce.

  • Vous contractez un prêt immobilier ? Voici 5 points cruciaux !

    Lorsque vous contractez un prêt résidentiel, vous vous engagez pour de nombreuses années. Un certain nombre de points méritent donc une attention particulière. Nous en avons énuméré quelques-uns.

    Ne vous attirez pas d’ennuis

    Il serait préférable d’inclure dans le compromis une clause avec une condition suspensive si vous n’obtenez pas le prêt au logement. De cette façon, vous ne risquez pas de devoir annuler l’achat et de devoir payer une indemnité. Ce montant peut atteindre jusqu’à 20 % du prix de vente !

    Rechercher le meilleur taux

    Bien négocier peut vous rapporter beaucoup d’argent. Ne soyez pas trop vite d’accord avec ce que vous propose votre banquier et comparez les taux des différentes banques. Les directeurs de banque peuvent souvent faire des gestes commerciaux, de sorte que les taux peuvent être beaucoup plus bas que les taux affichés.

    Le Fonds du logement wallon est-il une option ?

    Si votre revenu imposable est faible, que vous avez une famille nombreuse et que la valeur de votre logement n’est pas trop élevée, vous pouvez bénéficier d’un prêt du Fonds du logement wallon. Assurez-vous de vérifier auprès de ces autorités si vous êtes admissible. Le taux d’intérêt y est particulièrement attractif.

    Tenir compte des coûts supplémentaires

    N’oubliez pas de tenir compte des frais administratifs de votre prêt, qui peuvent facilement s’élever à 500 euros. Bien sûr, il y a aussi les frais de notaire. Vous pouvez calculer le montant sur le site de la Fédération Royale des Notaires Belges. De toute façon, les frais de notaire et les droits d’enregistrement totalisent une sacrée somme, souvent égale à plusieurs dizaines de milliers d’euros.

    Assurance solde restant dû

    Cette assurance est souvent obligatoire. Cela signifie qu’un assureur rembourse sa part du prêt en cas de décès prématuré. En tant que couple, vous pouvez répartir ce montant entre les partenaires. Osez aussi remettre en question le taux de l’assurance solde restant dû : les banques gagnent souvent bien leur vie sur cette assurance.

  • Top 5 des questions les plus courantes sur le contrat de location

    Vous avez trouvé le bien à louer de vos rêves ? Comme pour toutes les premières fois, on reste aussi excité qu’un jeune page devant sa reine… Voici donc les 5 questions les plus courantes… Le ridicule ne tue pas, on vous rassure !

    1. « Est-ce que je peux repeindre les murs ?»

    Quoi, vous n’aimez pas le papier peint avec motifs à carreaux ?  Oui, vous pouvez repeindre les murs.  N’abusez pas de certaines de couleur, mais tant que cela reste en harmonie avec la décoration du bien, il n’y pas de problème.

    2. « Qui prend en charge les réparations en cas de dégâts ?»

    Cela dépend du dégât. Tout ce qui est lié aux murs, c’est-à-dire les gros dégâts, sont à la charge du propriétaire. Par contre, une poignée de porte, un robinet, une vitre… Tout cela est à la charge du locataire.

    3. « Est-ce que je peux utiliser des clous ?»

    Oui, et même des chevilles si les murs sont d’accord !

    4. « Je peux sous-louer mon appartement ?»

    Non ! Sacré VacancesWeb, il nous fait croire que n’importe qui peut faire des chambres d’hôtes …

    5. « Est-ce que je peux transformer mon T3 en loft ?»

    Pour les gros travaux type démolition de murs, vous devez demander l’accord du propriétaire.

  • 5 conseils pour créer de l’ombre dans son jardin !

    Lorsque le soleil cogne, on est toutes et tous à la recherche dun peu dombre. Voici une série de solutions qui vous apporteront confort et bien-être au plus fort de la saison estivale.

    1. Lincontournable parasol : ce grand classique des terrasses et jardins se personnalise désormais de mille et une manières afin de s’harmoniser au mieux à vos accessoires et meubles d’extérieur. Intemporel lorsqu’il est constitué de bois, résistant dans un profilé aluminium et bon marché dans une facture en plastique, le parasol connaît de nombreuses déclinaisons mais aussi de multiples formes et formats. Excentré, déporté, inclinable, rotatif, c’est l’accessoire par excellence pour créer une zone d’ombrage !

    2. Le voile dombrage : l’aspect aérien de ce bel accessoire apporte une touche de légèreté à la terrasse. Sobre et moderne, sa ligne se décline en de multiples couleurs afin de s’harmoniser au mieux à la décoration extérieure. Facile à ancrer, il faut être attentif à la tension apportée à l’ensemble afin qu’il assure une bonne résistance au vent. La voile s’adapte à quasiment toutes les superficies, celle-ci pouvant être utilisée seule ou en combinaison avec d’autres. Dans ce cas, on peut varier les formes et les combinaisons de couleurs.

    3. Plus onéreux, le store banne se conçoit généralement sur mesure. Outre ses dimensions, il peut être conçu avec un certain degré d’inclinaison, ainsi qu’avec une largeur et une avancée plus ou moins importantes. Il en va de même pour son niveau d’équipement, l’ensemble pouvant être doté d’un moteur ou d’un mécanisme manuel. Même la domotique s’y est mise ces dernières années.

    4. La pergola autoportante ou en pose murale est une structure généralement constituée en aluminium qui apporte un design minimaliste s’intégrant à tous les types d’habitation. Elle a le mérite d’élargir une terrasse et d’ouvrir celle-ci sur les cieux, et ce quelle que soit la saison. Le principe de ses lames orientables ou rétractables, positionnées en mur latéral ou en plafond, crée une ventilation naturelle particulièrement bienvenue en été. Lorsqu’elle est équipée d’une gestion automatisée, la pergola offre une protection solaire optimale.

    5. Les structures nomades sont parfaites lorsqu’on dispose d’un espace généreux et que l’on souhaite disposer d’une zone d’intimité ou d’un lieu de rencontre et de partage. Transportables et déplaçables, elles s’intègrent là où vous le souhaitez et évoluent au gré de votre humeur. L’ombre s’y invite naturellement, que ces structures soient constituées de bois, de toile ou encore de matériaux synthétiques. Une protection solaire pratique, modulable et qui s’inscrit dans le respect de votre environnement.