Blog

  • Vacances : 5 conseils pour éviter les cambriolages !

    Sudpresse s’est entretenu avec Cédric Le Blévennec, expert en sécurité, pour connaître les bons conseils à adopter avant de partir en vacances. En voici quelques-uns :

    1. Ne chargez pas en pleine rue

    Bien évidemment, c’est un conseil qui sera difficilement applicable pour ceux qui n’ont pas de garage… Mais si vous en avez un, n’hésitez pas !

    2. Préservez vos habitudes

    Cédric Le Blévennec explique : «  Les voleurs surveillent votre maison de près avant de commettre leur crime. Par conséquent, ils remarquent que les lumières s’allument et s’éteignent toujours au même moment ou ils voient si votre courrier est récupéré ou pas. » D’où l’intérêt de demander aux voisins ou à la famille de récupérer votre courrier ou de simuler une présence, en allumant les lumières par exemple, voire en tirant les rideaux. Une maison intelligente peut aussi vous y aider.

    3. Branchez votre alarme

    Cela semble tomber sous le sens, mais dans la précipitation ou l’enthousiasme, on peut vite oublier ce geste habituel. Toutefois, Cédric Le Blévennec prévient : « cela ne signifie pas [que le cambrioleur] ne tentera pas de pénétrer dans le logement ».

    4. Faites le ménage sur votre terrasse et dans votre jardin

    « Les voleurs utilisent souvent des objets qui traînent aux alentours d’une maison pour commettre leurs crimes. C’est pourquoi il est crucial de laisser le moins de choses possibles sans verrou ou sans attache. » L’expert en sécurité pointe notamment les pierres et nains de jardin qui peuvent servir à briser les vitres !

    5. Demandez à votre voisin de se garer devant chez vous

    Si vous avez une allée, le bon réflexe est de demander à votre voisin de se garer de temps à autre devant chez vous. Si vous laissez un véhicule devant chez vous, demandez à quelqu’un de le déplacer, pour simuler une présence.

    Lire plus

  • Contrôler sa maison à distance ? Voici combien ça coûte !

    En Belgique, une étude a estimé que près d’une maison sur cinq est « intelligente ». Cette tendance est à la hausse, notamment en cette saison, particulièrement propice aux cambriolages. Mais combien vous coûte un système de surveillance à distance ?

    La maison intelligente et la domotique, voilà des concepts qui ne sont certes pas neufs dans le secteur de l’immobilier. Via votre ordinateur, votre tablette ou mieux encore, votre smartphone, vous pouvez contrôler votre maison du bout des doigts. Qu’il s’agisse du chauffage, de l’éclairage, de la musique, mais aussi du système d’alarme et des diverses caméras.

    Dans un entretien avec Sudpresse, Cédric Le Blévennec, expert en sécurité chez Securitas, divise les options à la mode en matière de sécurité en cinq points : « Armer/désarmer son système d’alarme à distance, recevoir un « reminder » pour activer son système alarme lorsque l’on quitte son domicile (geo-fence), simuler sa présence grâce à des lumières s’allumant a des heures aléatoires, recevoir des notifications avec des règles prédéfinies à l’avance ou à la détection d’activité non attendue, recevoir des notifications sur des mouvements détectés par des caméras, qui deviennent de plus en plus intelligentes et permettent de faire de l’analytics ».

    Combien ?

    Pour un kit pro à installer soi-même comptant 3 caméras et un enregistreur, comptez un minimum de 1.000 € environ. Pour une simple caméra wifi à placer à l’extérieur, tablez sur un budget compris entre 30 et 400 €. Tout dépend de l’usage que vous comptez en faire. Cette grosse fourchette s’explique par les caractéristiques : qualité d’image, design, application smartphone, qualité audio, consommation d’électricité…

  • Vous voulez acheter une maison de vacances ? Voici ce à quoi vous devez faire attention !

    Vous voulez acheter votre propre maison de vacances ? C’est tout-à-fait possible, mais ce n’est pas pour tout le monde. Avant d’acheter la maison en question, vous feriez mieux de tenir compte de ce qui suit.

    Vous n’êtes pas le premier !

    De nombreux Belges ont une seconde résidence en Belgique ou à l’étranger. Il peut s’agir d’un investissement intéressant, surtout maintenant que le compte d’épargne ne génère plus aucun revenu ! Néanmoins, il est préférable de ne pas se précipiter, alors réfléchissez bien avant de signer.

    Tenir compte des coûts d’achat

    Bien sûr, une maison de vacances ne doit pas forcément coûter une fortune, mais si vous en achetez une en Belgique, vous devez tenir compte des frais de notaire et d’enregistrement. De plus, vous ne bénéficiez d’aucune réduction sur ce point. Ainsi, en Flandre, c’est 10%, à Bruxelles et en Wallonie, c’est 12,5%. Les autres coûts sont d’environ 2,5 %. Comme vous pouvez le constater, la facture commence à grimper.

    Dans d’autres pays, c’est la législation locale qui s’applique. Informez-vous bien et laissez-vous assister par un avocat local.

    Taxes annuelles

    Chaque année, vous devez payer des impôts fonciers sur votre maison de vacances. Encore une fois, il n’y a aucune réduction applicable. De plus, le revenu cadastral constitue également la base de votre déclaration d’impôts. Le R.C. indexé est majoré de 40 % et ce montant s’ajoute à tous vos autres revenus imposables. Vous payez de 45 à 50 % d’impôt sur ce montant, selon votre situation fiscale. Les taxes locales sont également ajoutées.

    Si vous avez une seconde résidence à l’étranger, vous devez l’indiquer sur vos impôts. La valeur locative réelle ou le revenu locatif réel en constitue la base. Les taxes locales sont également applicables, selon le pays.

    Coûts fixes

    Tout comme une maison principale, il y a aussi des coûts que vous devez payer pour une maison de vacances. Il suffit de penser au chauffage, à l’électricité, à Internet, aux frais d’entretien…

     

  • 4 conseils pour lutter contre les odeurs dans la maison

    Votre maison souffre d’une odeur de moisi omniprésente ? Rien n’est plus désagréable qu’un salon, une chambre à coucher ou une autre pièce de la maison d’où se dégage une odeur de moisi omniprésente.

    Traquer la puanteur dans la maison et s’attaquer à la racine de ce problème est ce que vous devez faire. Mais quelles sont les principales causes ? Et comment éliminer rapidement et efficacement les mauvaises odeurs de votre maison ? Les conseils ci-dessous vous aideront à vous débarrasser complètement des odeurs dans votre maison !

    Ce qui cause habituellement une odeur de moisi

    Il peut y avoir plusieurs raisons à cette nuisance. Habituellement, une odeur de renfermé est causée par un problème d’humidité qui a causé des moisissures. Vous verrez habituellement des taches sombres et/ou humides sur le mur ou le plafond. Il peut s’agir d’humidité ascendante provenant du sous-sol, mais aussi d’humidité pénétrante – par la pluie, par exemple – qui a été absorbée par les murs extérieurs. L’une de ces causes peut aussi être que vous ne ventilez pas suffisamment.

    Conseil 1 – Assurer une bonne ventilation

    Vous le remarquerez probablement à la maison ou au travail, mais si vous ne ventilez pas bien, une odeur désagréable s’installera. Par conséquent, une fois par jour, pendant au moins une demi-heure, ouvrez deux fenêtres l’une contre l’autre. Vous pouvez également faire installer un système de ventilation automatique dans la maison, mais c’est bien sûr plus cher.

    Conseil 2 – Nettoyer régulièrement les drains

    Des tuyaux d’évacuation dans la maison, vous en trouverez à divers endroits, comme dans la cuisine (évier) et la salle de bain (douche, bain, lavabo…). Dans ces tuyaux s’entassent beaucoup de poils, de saleté, de nourriture et d’autres débris. En nettoyant régulièrement le tout à fond, vous pouvez mettre fin à l’odeur d’égout dans la pièce en question.

    Conseil 3 – Laisser sécher le linge mouillé à l’extérieur

    Beaucoup de gens, surtout s’ils n’ont pas de sèche-linge, choisissent de faire sécher leur linge à l’intérieur. Ceci, bien sûr, libère beaucoup d’humidité, ce qui peut entraîner des problèmes d’odeurs. Par conséquent, si possible, laissez sécher le linge à l’extérieur et non à l’intérieur. Si vous choisissez de sécher à l’intérieur, faites-le dans une pièce qu’il est possible d’aérer autant que possible.

    Conseil 4 – Laisser la porte fermée pendant la douche

    Lorsque vous prenez une douche, assurez-vous de garder la porte de la salle de bain fermée et de ventiler la pièce de l’intérieur, par exemple par la fenêtre. Cela réduira la quantité d’humidité entrant dans la maison.

     

  • Usufruit ou propriété nue : qu’est-ce que cela signifie ?

    Supposons que votre mari ou votre femme décède et qu’il ou elle ait déclaré dans son testament que la maison va aux enfants mais que vous, en tant que partenaire, avez l’usufruit jusqu’à votre mort : qu’est-ce que cela signifie ? Voici une brève explication !

    Qu’est-ce que l’usufruit ?

    Si vous additionnez l’usufruit et la nue-propriété, vous arrivez à la pleine propriété. Dans le cas d’un bien immobilier, l’usufruit signifie que vous avez le droit d’utiliser le bien immobilier sans en être propriétaire. C’est souvent une question de droit du logement. Mais vous n’avez pas seulement le droit d’y vivre, vous avez également le droit de le louer, les revenus locatifs étant pour vous.

    Votre principal devoir ? Maintenir la propriété en l’état. Vous devez entretenir la propriété et vous occuper de la plupart des réparations.

    Qu’est-ce que la nue-propriété ?

    Il s’agit du propriétaire réel du bien qui est en usufruit. Ses droits ont été restreints parce qu’il n’est pas autorisé à vivre dans la propriété. De plus, la location du bien n’est pas non plus une option, car la personne qui a le bien en usufruit, perd alors ses droits. Les dons ou les ventes sont autorisés, mais l’usufruit continue. L’usufruitier doit aussi toujours être informé en cas de vente.

    Dans quels cas ?

    Habituellement lors des problèmes d’héritage. La durée maximale de l’usufruit est de 30 ans, mais on peut parfaitement imaginer une durée moindre. Veuillez noter que lorsque l’usufruit arrive à son terme, le nu-propriétaire devient aussi le plein-propriétaire.

    Il est possible que l’usufruitier achète la nue-propriété. Lorsque l’usufruitier décède, l’usufruit prend fin dans tous les cas.

    Méfiez-vous de l’administration fiscale

    L’évaluation correcte de l’usufruit est extrêmement importante. En effet, l’administration fiscale calcule les droits de succession sur la valeur de l’usufruit. Il n’y a pas de règles vraiment claires, mieux vaut donc s’en référer à un bon conseiller fiscal.

  • Comment réagir lorsque vos voisins mettent la musique trop fort ?

    Vos voisins passent beaucoup d’heures dans leur jardin avec leurs radios au volume réglé au maximum… Que ce soit dans votre jardin ou dans votre maison, cette musique vous est imposée ! Pouvez-vous y faire quelque-chose et si oui, et quelles mesures pouvez-vous prendre ?

    Nuisance

    Si la musique de vos voisins va vraiment trop fort, vous n’avez pas à l’accepter. Vos voisins ne devraient pas vous déranger. De nombreux règlements municipaux stipulent explicitement qu’il est interdit d’écouter trop fort la musique (même pendant la journée). Les nuisances musicales nocturnes peuvent même être considérées comme du tapage nocturne.

    Parler avec votre voisin

    Si la radio de votre voisin va toujours trop fort, vous devriez d’abord communiquer avec lui. Demandez à votre voisin de baisser sa radio à l’avenir. Dans de nombreux cas, votre voisin comprendra votre question et répondra à vos préoccupations. Si d’autres voisins sont également dérangés par la musique, vous pouvez éventuellement contacter le voisin en question avec plusieurs personnes.

    Et si ça n’aide pas ?

    Si vous n’arrivez pas à faire réfléchir votre voisin, vous pouvez lui envoyer une lettre recommandée en demandant de mettre la musique en sourdine. Si cela n’aide pas non plus, vous pouvez contacter la police. Celle-ci peut essayer de convaincre votre voisin de baisser sa musique à l’avenir. Vous pouvez aussi entamer une médiation ou même une  » véritable procédure  » avec le juge de paix.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • 5 conseils pour bien choisir ses meubles pour lavabo de salle de bains

    Si vous désirez un nouveau meuble de salle de bains qui s’intègre parfaitement, alors vous feriez mieux de suivre les conseils ci-dessous. En un rien de temps, vous saurez tout de suite lequel choisir !

     

    Conseil 1 : Déterminer les dimensions en fonction des personnes qui utilisent la salle de bain.

    Pour que deux personnes puissent se brosser les dents facilement, il faut compter 140 cm de largeur. Non seulement la largeur est-elle importante, mais aussi la profondeur. Une profondeur minimale d’environ 50 cm est recommandée. De plus, un lavabo encastré doit toujours être suspendu avec le fond à environ 90 cm du sol. N’hésitez pas à demander conseil à un spécialiste pour déterminer la hauteur.

    Conseil 2 : Optez pour des matériaux de qualité et durables

    Il est recommandé d’utiliser un matériau durable résistant aux rayures, à l’humidité et aux liquides. Cela contribue également à la valeur de votre maison. Le MDF et le stratifié sont des matériaux à la mode, mais il vaut mieux opter pour le bois composite ou la pierre naturelle.

    Conseil 3 : Optez pour l’intemporel

    Pour éviter de rapidement se retrouver avec un meuble démodé, optez pour un modèle intemporel et neutre. Si vous voulez vendre votre maison, un meuble rappelant une mode datée risque de la pénaliser. Les tons clairs augmentent l’espace et seront toujours à la mode. Une touche colorée est possible, mais nous préférons une certaine sobriété.

    Conseil 4 : Optez pour de grandes capacités de stockage

    Croyez-nous, en un rien de temps, vous aurez rassemblé beaucoup de choses qui auront toutes besoin d’une place. Serviettes, savons, sèche-cheveux… Assurez-vous d’avoir suffisamment d’armoires et d’espaces de rangement. Limitez également le nombre d’étagères ouvertes, car elles peuvent rapidement donner une impression de désordre.

    Conseil 5 : Respectez votre budget

    En un rien de temps, vous aurez dépassé votre budget de centaines, voire de milliers d’euros. Déterminez votre budget à l’avance et vous éviterez les décisions trop impulsives une fois que vous serez dans le magasin.

  • Comment entretenir votre canapé en cuir ?

    Matière vivante, le cuir dun canapé peut rapidement perdre sa beauté et sa souplesse si lon nen prend pas soin. Voici quelques astuces qui vous permettront de prolonger l’éclat de vos fauteuils et canapés. 

    Premier bon réflexe : dépoussiérer deux à trois fois par mois votre canapé à l’aide d’une peau de chamois. Inutile de frotter énergiquement la surface du fauteuil, ça ne fera qu’altérer l’apparence du cuir. Il suffit de passer délicatement une chamoisine légèrement humide et le tour est joué.

    Ensuite, une à deux fois par an, ou après un petit accident, le cuir doit être nettoyé en douceur. De quoi éliminer les petites taches mais également redonner tout son éclat au cuir. Et pour ce faire, le cuir a un allié pas cher et particulièrement efficace : le savon de Marseille. Après avoir dépoussiéré le fauteuil comme expliqué ci-dessus, prenez un gant de toilette humidifié et enduisez-le de savon de Marseille. Passez ensuite le gant sur le cuir en effectuant des petits mouvements circulaires puis renouvelez le procédé après avoir rincé le gant à l’eau claire afin d’enlever ce qui reste de savon. Séchez ensuite le cuir avec un linge propre en coton. Riche en huiles végétales, le savon de Marseille va nourrir le cuir tout en le nettoyant en douceur.

    Et les taches ?

    Pour les taches tenaces, un mélange de lait démaquillant et de vinaigre blanc fera merveille. Il suffit d’imbiber un tampon d’ouate ou une microfibre de lait démaquillant puis d’ajouter quelques gouttes de vinaigre blanc, en veillant à ce que ce dernier se mélange bien au lait. Frottez ensuite l’endroit où se trouve la tache, laissez sécher puis passer un coton imprégné de crème hydratante.

    Autre solution pour les taches incrustées : imbibez une éponge d’eau tiède et de pierre d’argile blanche, puis appliquez en effectuant des petits cercles concentriques sur la tache. Rincez l’éponge, passez la à nouveau sur la zone traitée puis laissez sécher. Ce procédé est néanmoins à réserver aux cuirs pleine fleur et pas aux cuirs fragiles qui risqueraient d’être abimés.

  • Comment limiter la poussière dans votre habitation ?

    On la maudit régulièrement et il est difficile de sen débarrasser. Ennemie tenace, la poussière peut pourtant être limitée grâce à quelques bons réflexes.

    S’il est malheureusement impossible de se débarrasser définitivement de la poussière, on peut par contre retarder son retour. La solution : un nettoyage régulier et minutieux, principalement à l’aide d’un aspirateur.

    Les bons réflexes

    Avant de passer au nettoyage pur et dur, de bonnes habitudes vont déjà contribuer à limiter l’entrée de la poussière dans votre habitation. À commencer par la pose d’un paillasson devant toutes les portes donnant sur l’extérieur. C’est en effet du jardin, de la rue ou encore de la terrasse que la poussière provient, d’autant plus en présence d’enfants qui ont tendance à régulièrement entrer et sortir. Le paillasson va agglomérer les saletés comme les poussières. Celui-ci doit néanmoins aussi être régulièrement entretenu en le brossant deux à trois fois par mois, à l’extérieur, à l’aide d’une brosse dure.

    Deuxième bon réflexe : enlever les chaussures lorsqu’on rentre dans la maison. Pour que ce réflexe devienne tout naturel, il suffit de disposer quelques paires de pantoufles ou de chaussons dans votre hall d’entrée.

    Vous avez des animaux ? Alors essuyez leurs pattes immédiatement après la promenade. Pensez également à les peigner régulièrement afin que leur pelage ne se décompose pas en touffes de poils et de saletés.

    Autre réflexe à adopter : changez vos draps régulièrement (idéalement une fois par semaine). Ceux-ci sont d’importants accumulateurs de poussières, de cheveux et poils ainsi que de peaux mortes qui, au moindre mouvement, peuvent s’envoler et retomber sur le sol ou les meubles de la chambre. Lorsque vous renouveler la literie, veillez à retirer les draps en les repliant sur eux-mêmes, vers l’intérieur du lit.

    Action !

    La poussière se pose partout, sur le sol comme en hauteur ainsi que sur n’importe quelle surface. Ces dernières exigent un traitement particulier avec des outils adaptés.

    Les surfaces lisses préfèreront les chiffons à poussière statiques ou les microfibres à poils longs. Ce type de chiffons piège et enlève la poussière sans griffer vos meubles. Évitez par contre les balais doux ou les plumeaux qui, in fine, ne feront que déplacer la poussière.

    Ces chiffons font également merveille pour nettoyer les stores, les cadres, les appareils hifi, les livres ou encore les plantes. Ici aussi sans détériorer la surface nettoyée.

    Enfin, passez régulièrement laspirateur en veillant à ce que son sac (s’il s’agit d’un aspirateur de ce type) ne soit pas plein. C’est, de loin, le moyen le plus efficace pour débarrasser les sols et tapis de la poussière. C’est aussi un outil écologique, au contraire des lingettes à poussière jetables qui sont difficilement recyclables.

  • Produits de lessive : plutôt poudre ou liquide ?

    La propreté du linge dépend irrémédiablement de la qualité du détergent utilisé, ainsi que de son dosage. Mais vaut-il mieux privilégier la poudre ou le liquide ?

    Comme dans bon nombre de domaines, jamais le consommateur n’a eu à disposition un choix aussi large en matière de produits pour la machine à laver. Les poudres traditionnelles doivent aujourd’hui composer avec des liquides, des tablettes, des uni-doses ou encore des copeaux de savon de Marseille. Et ce, alors que les fabricants jouent la carte de l’innovation à grands renforts de pub afin de convaincre la ménagère.

    Chaque type de lessive ayant des propriétés bien distinctes, c’est l’occasion de faire le point sur les deux produits qui se vendent le plus dans nos supermarchés : la poudre et le liquide.

    La poudre, reine de lefficacité

    Si elle peut paraître has been dans son emballage en carton peu aguicheur, la lessive en poudre écrase pourtant la concurrence en efficacité de lavage. C’est elle qui enlève le mieux tous les types de taches en comparaison avec les lessives liquides. Bon nombre de tests le confirment, c’est la poudre qui s’en sort le mieux contre les taches difficiles comme l’herbe, le sang, la sauce tomate, le vin ou encore le café.

    De même, la poudre se révèle supérieure lorsqu’il s’agit de maintenir l’éclat des vêtements blancs, là où les liquides ont tendance à « grisailler » les tissus. L’explication est simple : les poudres contiennent des agents de blanchiment solides qui sont absents de la composition des liquides. Du coup, les poudres sont à déconseiller pour le linge de couleur. À de rares exceptions, les poudres détérioreront la vivacité des couleurs au fil des lavages.

    Enfin, les poudres sont aussi recommandées pour le lavage à haute température (60° et plus) ainsi que pour les programmes avec prélavage. Peu moussantes et fortes d’agents naturels anticalcaires et de blanchiment, elles libèrent d’autant mieux l’oxygène actif qu’elles contiennent, plus la température de l’eau monte.

    Les liquides pour préserver le linge

    Si les produits de lessive liquides sont moins fortiches lorsqu’il s’agit de venir à bout de taches difficiles, ils sont par contre nettement supérieurs aux poudres quand il s’agit de respecter les couleurs ainsi que laspect de l’étoffe. Les vêtements noirs, les jeans ou les vêtements de couleurs vives resteront plus beaux au fil des lavages si on les lave à l’aide d’une lessive liquide. À l’inverse, et comme expliqué ci-dessus, leurs compositions dénuées d’agents de blanchiment les rendent moins adaptées au lavage du linge blanc. Cette absence est néanmoins compensée par une concentration plus élevée en agents tensioactifs.

    Les lessives liquides sont donc à privilégier pour le linge de couleur, pour les textiles synthétiques ainsi que pour le linge qui n’est pas trop sale. Elles sont aussi plus adaptées aux programmes sans prélavage et à températures moyennes, basses et à froid (40° et en dessous) puisqu’elles se diluent plus rapidement. Autre point fort : les lessives liquides existent en recharges ce qui permet de diminuer les déchets d’emballage, tout en faisant des économies.