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  • Voici comment couvrir votre entrée à tout petit prix !

    C’est classique : une fois arrivé devant votre porte, vous cherchez longuement vos clés et pendant ce temps, les éléments se déchaînent. Vous finissez alors, selon la saison, détrempé, gelé ou rôti ! Voici comment apporter une solution toute simple !

    Un auvent vitré, une marquise pour être plus précis, ne coûte que quelques dizaines d’euros et pourtant, au quotidien, elle change vraiment la vie. C’en est fini d’avoir les courses détrempées pendant que vous cherchez vos clés ! Facile à installer, elle ne coûte de plus, que quelques dizaines d’euros. Les prix s’envolent à près de 400 euros pour les modèles les plus élaborés, avec châssis en aluminium. Le toit, généralement en polycarbonate, doit être suffisamment solide que pour résister à de fortes chutes de neige. Jetez donc un œil attentif aux caractéristiques du modèle convoité avant de jeter votre dévolu sur lui, surtout s’il est affiché à un prix plancher !

  • Baignoire ou douche : qu’est-ce qui donne le plus de valeur à votre maison ?

    Que ce soit avec un objectif de revente ou de mise en location, il s’agit d’une question assez récurrente : qu’est-ce qui donnera le plus de valeur à votre maison, une baignoire ou une douche ? Eh bien… ça dépend !

    En effet, tout dépend de la taille de votre bien. On imagine qu’un bien comportant 3 chambres se destine de préférence aux familles. Et pour elles, surtout si elles sont de jeunes enfants, la baignoire reste un gros atout. D’autant qu’une douche, prenant par définition nettement moins de place, peut être facilement installée dans la même salle de bain si celle-ci est suffisamment grande, voire dans l’une des chambres, moyennant quelques travaux plus conséquents, comme l’arrivée et l’évacuation de l’eau. Notez également qu’il est aujourd’hui, parfaitement possible d’aménager une baignoire pour y prendre des douches ! Certes, l’accès n’est pas aussi aisé ce qui exclus la location ou la vente à des personnes plus âgées…

    En revanche, si le bien en question est un studio ou un petit appartement comptant une, voire deux petites chambres, alors une douche sera sans doute plus indiquée. Si vous n’imaginez pas une famille avec enfants débarquer dans votre bien, une douche est la solution. Pourquoi ? Parce qu’elle est plus sécurisante pour les personnes âgées et qu’elle est plus tendance pour les jeunes adultes sans enfant au train de vie agité ! Et dans ce cas, on préférera de loin une douche aux dimensions copieuses à une baignoire traditionnelle. Et si en plus elle est à l’italienne, c’est encore mieux !

  • Une piscine aussi pure qu’un lac de montagne : cette invention belge est révolutionnaire !

    A l’heure du bio, il est tout de même curieux de constater que les piscines doivent être entretenues avec du chlore et des produits chimiques… Ce n’est plus le cas aujourd’hui ! Une invention belge propose la filtration bio-minérale ! Sudpresse nous explique le tout dans le détail

    C’est à la société Aquatic Science, installée à Herstal, à côté de Liège, que l’on doit cette première. « Notre fil conducteur, c’est de reproduire un lac de montagne » explique son patron, Frédéric Luizi. Certes, la filtration bio n’est pas une première en soi, certaines piscines confiant leur filtration au lagunage, soit via des bactéries et des végétaux. Mais ce système montre aujourd’hui ses limites, « notamment parce qu’on ne peut pas demander aux plantes de s’adapter au nombre de baigneurs » explique Frédéric Luizi.

    A vrai dire, c’est un système de filtration pour bassin avec poissons qui a séduit les propriétaires de piscine, étonné de l’eau généralement plus pure que celle de leur propre piscine. Ils ont alors convaincu la société de développer un système similaire pour leurs piscines ! L’action de filtration se passe en deux phases : diminuer les déchets organiques (via des bactéries) et enrichir l’eau en minéraux (magnésium, calcium et carbonate). Les ajustements sont automatiques et le contrôle de la qualité de l’eau se fait depuis une application.

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  • Sécheresse : voici comment sauver votre potager !

    En période de sécheresse, les potagers nécessitent un arrosage important. Mais sachez qu’un paillage efficace permettra de réduire considérablement la quantité d’eau nécessaire pour le développement de vos légumes !

    Pailler son potager consiste à recouvrir le sol autour de ses plants de légume d’une couche de protection (si possible) végétale. Ce paillis peut être réalisé à partir de nombreux éléments différents : foin, paille, feuilles mortes, fougères, copeaux de bois, écorces décomposées, tondes de pelouses (une fois les herbes préalablement bien séchées au soleil), etc.

    Avantages indéniables

    En fonction de la saison, le paillage comporte de nombreux avantages comme limiter la prolifération des mauvaises herbes, isoler la terre du froid, enrichir le sol grâce à la lente décomposition du paillage. En cette période estivale, le paillage présente aussi un autre avantage intéressant : limiter l’évaporation de l’eau.

    Economie d’eau

    Protégeant la terre des rayons directs du soleil, le paillage va en effet limiter considérablement l’évaporation de l’eau contenue dans le sol. Une zone paillée va donc rester humide plus longtemps et les cultures qui y sont plantées auront alors moins besoin d’arrosage. Surtout si vous optez pour un paillis épais (une bonne couche de 10 à 15 cm de foin par exemple). De plus, un sol nu forme une croute en surface en cas de sécheresse. Croute qui empêche, ensuite, une bonne absorption de l’eau lors d’un arrosage ultérieur. L’eau y ruissellera en surface et ne pénètrera pas profondément dans le sol. A l’inverse, un sol paillé absorbe mieux l’eau lors des arrosages. On peut donc limiter drastiquement la quantité d’eau utilisée.

  • Un jardin dans votre maison de location : quelles mesures prendre en cas de sécheresse ?

    De nombreuses pelouses et plantes sont touchées par la sécheresse. Mais qu’en est-il du jardin d’une maison louée ? Le propriétaire peut-il exiger que le locataire reconstruise le jardin à ses frais ou lui demander de remplacer les plantes fanées ?

    Le principe

    Le locataire doit entretenir la maison louée (et le jardin associé) avec soin. Cela signifie qu’il doit tondre régulièrement la pelouse, tailler les plantes, enlever les mauvaises herbes, etc.

    Les obligations du locataire à cet égard sont également en partie clarifiées dans la liste des réparations locatives qui existent dans les différentes régions. Par exemple, la liste de la Région flamande stipule, entre autres, que le locataire doit tailler les arbres et arbustes conformément aux règles de l’art et doit tondre et scarifier la pelouse.

    En ce qui concerne la Région bruxelloise, il est stipulé, entre autres, que le locataire doit tailler périodiquement les arbres et les haies, et qu’il doit protéger les arbres contre la mousse et le lichen. Le locataire doit également, par exemple, tondre, entretenir et scarifier la pelouse et entretenir les plates-bandes et les plantes. Il doit aussi désherber les mauvaises herbes et ramasser et enlever les feuilles mortes. Le propriétaire doit quant à lui, enlever et remplacer les arbres morts et élaguer les arbres (sauf convention contraire). La liste wallonne contient également toute une série d’obligations imposées au locataire.

    Que faire en cas de sécheresse ?

    S’il y a une sécheresse temporaire et que certaines plantes ont besoin d’eau pour survivre, le propriétaire peut s’attendre à ce que le locataire donne suffisamment d’eau aux plantes concernées.  De plus, afin d’éviter les discussions, le bailleur pourrait inclure dans le bail une liste de plantes nécessitant un soin particulier.

    Si la sécheresse se prolonge (telle que nous l’avons connue l’année dernière et cette année) et que les plantes ou les pelouses sont abimées, il sera beaucoup plus difficile pour le propriétaire d’en tenir le locataire pour responsable. Le locataire peut alors dire que la sécheresse était une situation de force majeure. Il peut également évoquer une éventuelle interdiction d’arroser les jardins.

    Prendre d’autres dispositions ?

    Le bail ne peut contraindre le locataire à réparer les dégâts causés par la sécheresse. Si une telle demande est formulée dans le bail, elle n’est tout simplement pas valable.

    Une question de preuve

    Si le propriétaire exige que le locataire paie pour les dommages causés au jardin par la sécheresse, il devra fournir la preuve que le jardin était en bon état au début de la période de location. Pour ce faire, le propriétaire doit disposer d’un état des lieux contradictoire établi au début de la période de location.

    S’il n’y en a pas, le locataire est supposé avoir reçu le bien (et le jardin) dans le même état qu’à la fin du bail. Il est conseillé d’inclure un certain nombre de photographies du jardin dans l’état des lieux.

    De plus, le bailleur devra prouver que les dommages au jardin sont dus au manque d’entretien par le locataire. Là aussi, ça devient compliqué. Il peut y avoir beaucoup de raisons pour lesquelles les plantes ne fanent…

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Vous désirez construire une piscine ? Voici les règles !

    Avec la chaleur que nous connaissons en ce moment, vous êtes nombreux à songer à l’installation d’une piscine. Avant de commencer une construction à la hâte, il faut tenir compte de la loi. Nous vous donnons un aperçu des règles les plus importantes.

    Un permis n’est pas toujours requis

    Vous voulez construire une piscine, mais une demande de permis vous semble fastidieuse ? Sachez que les règles diffèrent selon la région. En Wallonie, votre piscine doit être installée parallèlement à la maison et doit couvrir une surface inférieure à 50 m2. Toutefois, si votre maison n’est pas parallèle à la route, vous aurez besoin d’un permis simplifié. Pour ce faire, nous vous conseillons de vous informer auprès de votre commune.

    En Flandre, d’autres règles prévalent. Pour être exempté de permis, il est par exemple nécessaire que la construction se situe à plus d’un mètre de votre clôture, que la piscine soit également située à moins de 30 mètres de votre maison, qu’elle ne se situe pas en zone sensible, ni au bord d’une rivière… La règle la plus importante est que le total de vos constructions non couvertes ne doit pas dépasser 80m2. Concrètement, cela signifie que vous devez également tenir compte de votre terrasse ou d’un étang d’agrément, par exemple, ce qui signifie que vous pouvez atteindre 80m2 assez rapidement.

    Demandez à votre commune

    Si vous envisagez une piscine, veuillez toujours contacter la commune qui saura vous aiguiller. De plus, dans certaines communes, il y a toujours une obligation de déclaration ! Si vous faites appel à un entrepreneur, il saura certainement vous aider avec la partie administrative.

     

  • Quel frigo choisir : no frost ou froid statique ?

    Depuis quelques années, les réfrigérateurs no frost ont envahi les rayons des enseignes spécialisées en électroménagers. La panacée par rapport aux modèles qui privilégient le froid statique ? On vous explique les différences.

    Le petit monde des frigos a connu de belles évolutions au cours des dix dernières années. Froid statique, froid brassé, no frost (voire total no frost) ou encore no frost bio, ce ne sont pas les alternatives qui manquent sur le marché. L’occasion de faire le point, en fonction de vos besoins !

    No frost et total no frost

    Ces modèles présentent l’avantage de ne pas nécessiter un dégivrage du congélateur, tout en limitant la formation de moisissures ou de mauvaises odeurs à l’intérieur du réfrigérateur grâce à un évaporateur motorisé ainsi qu’à un système de ventilation qui se charge du traitement de l’air. En captant la condensation générée par les aliments, ce réfrégirateur prévient également la formation de givre.

    Du coup, comme ce système privilégie un environnement sec au sein du frigo, cela peut entraîner le dessèchement des aliments frais comme les fruits et les légumes. Il est donc recommandé de conserver ceux-ci dans un sachet en plastique avant de les placer au réfrigérateur.

    Froid statique : le grand classique

    C’est la technologie la plus commune et la plus ancienne. Celle-ci se caractérise par la présence d’un moteur, avec un circuit réfrigérant spécifique au frigo et un second au congélateur (si l’appareil en est doté). Le processus de refroidissement s’opère grâce à un gaz réfrigérant qui se déplace dans les différentes zones froides de l’appareil jusqu’à ce que la température souhaitée soit atteinte.

    Les modèles à froid brassé exploitent exactement la même technique mais ils sont dotés d’un ventilateur placé dans le compartiment du réfrigérateur qui permet d’uniformiser la répartition du froid. Ce qui permet de mieux conserver les aliments.

    L’un comme l’autre nécessitent un dégivrage manuel lorsque cela s’impose, c’est à dire au moins deux fois par an tout en sachant que l’apparition de givre est causée par le gel de la condensation qui provient des aliments mais aussi de l’air qui entre à chaque ouverture de la porte du frigo.

    No frost bio : la nouvelle tendance

    Le no frost bio (appelé aussi no frost partiel) constitue la dernière technologie en matière de réfrigération. Celle-ci combine les caractéristiques d’un réfrigérateur à froid statique avec celles du no frost. Concrètement, la partie réfrigérante est à froid statique ou brassé (elle ne dessèche donc pas les aliments) tandis que le congélateur est pour sa part de type no frost, ce qui évite du coup de devoir le dégivrer manuellement. De quoi combiner les avantages des deux technologies !

    Enfin, petite recommandation pour un réfrigérateur en pleine forme : le givre accumulé dans le congélateur doit être retiré dès que son épaisseur atteint 2 mm sous peine d’endommager le moteur de l’appareil à long terme !

  • 5 conseils pour dormir au frais, sans climatisation !

    La température idéale pour dormir est d’environ 18 degrés. Mais en cette période de canicule, nous serons bien peu nombreux à profiter d’une température aussi fraîche dans la chambre à coucher ! Comment, dès lors, s’assurer un sommeil de qualité ? Voici 5 conseils pour vous « maintenir au frais » !

    1. Descendez d’un étage !

    C’est bien connu, l’air chaud monte. Rapprochez-vous donc du plancher, en déposant votre matelas à même le sol.

    2. Virez vos tapis !

    Tapis, couvertures, coussins et autres retiennent généralement la chaleur. Vous pouvez toujours placer quelques plantes qui viendront dépolluer l’atmosphère.

    3. Ouvrez fenêtres et rideaux au bon moment

    La nuit, la température est généralement plus fraîche dehors que dedans. Ouvrez donc les fenêtres en grand et laissez les rideaux ou les volets ouverts, de manière à favoriser la circulation de l’air. En revanche, la journée, fermez tout !

    4. Vos draps au frais !

    L’astuce du siècle ? Placez vos draps et housses dans un sac hermétique et expédiez celui-ci au congélateur !

    5. Éteignez vos appareils électriques

    Même lorsqu’il est en mode veille, un appareil électrique émet de la chaleur. La solution ? Les éteindre complètement, voire retirer la prise !

  • Toit en chaume : avantages et inconvénients

    Le chaume est utilisé pour couvrir des toitures depuis plus de 2000 ans. Un artisanat qui a bien évolué et qui offre aujourdhui les couvertures de toit les plus esthétiques et décoratives qui soient.  

     

    C’est un des matériaux les plus écologiques dans le secteur de la construction. Le toit de chaume est généralement constitué de pailles de blé et de seigle, mais également de tiges de roseaux (ou de sagne) ainsi que de genêts et de bruyères. Son utilisation était très répandue jusqu’à la fin du 19e siècle en raison du faible coût du matériau ainsi que pour l’excellente isolation thermique qu’il procurait. Très présent dans les campagnes d’alors, mais aussi parfois en ville, il a donné naissance au terme de chaumière, pour désigner une maison dont le toit est recouvert de chaume. Voici quels sont les avantages et inconvénients d’une telle toiture.

    Points forts

    Le chaume est un matériau issu d’une ressource renouvelable. Naturel et durable, il offre aujourd’hui à une toiture bien entretenue une durée de vie de 50 ans ! Il opère son grand retour grâce à ses qualités disolant thermique (RC = 1,25 et supérieur) mais aussi phonique, tout en offrant charme, authenticité et caractère. Plus que tout autre matériau, le chaume dégage un certain charisme ce qui n’est pas sans apporter une plus-value au bien qu’il recouvre.

    Excellent isolant, il concourt à faire diminuer le montant de votre facture énergétique. Dans la même veine, le chaume, au contraire des tuiles, prévient des courants dair ainsi que de la condensation dans les combles. Il assure aussi une ventilation optimale de la toiture. Flexible, un toit de chaume permet d’être créatif au niveau des formes, de quoi notamment jouer sur les courbes, chose impossible avec des tuiles ou de l’ardoise. Léger (environ 40 kg par mètre carré), le chaume ne nécessite pas de forte charpente.

    Points faibles

    Les techniques de pose actuelles permettent d’optimaliser la sécurité incendie des toits de chaume. Ce matériau naturel, s’il n’est pas posé dans les règles de l’art, demeure inflammable même si la présentation en paquets est nettement moins susceptibles de prendre feu. C’est aussi le cas de la technique de construction en toiture fermée qui limite tout risque d’incendie et qui diminue donc le coût de votre assurance habitation.

    Le chaume exige un entretien régulier, c’est donc un coût supplémentaire à prendre en compte dans votre calcul initial. Par contre, les toits en chaume contemporains présentent une durée de vie d’un demi siècle, ce qui est supérieur à l’ardoise par exemple. L’entretien ne prend que quelques heures et offre un aspect « comme neuf » à la toiture une fois celui-ci effectué.

    La pose du chaume doit être effectuée par un professionnel. De quoi, outre les risques d’incendie, également limiter l’apparition d’araignées, de guêpes et de poussière sous le toit. Et, étant donné qu’on ne se déplace pas sur un toit en chaume comme sur une toiture en tuile, il est vivement déconseillé de s’y rendre s’il est recouvert de chaume.

    Enfin, la qualité du roseau utilisé est primordiale. Les professionnels recommandent le roseau d’eau douce de premier choix, provenant du nord des Pays-Bas, le berceau des toits de chaume, car celui-ci jouit de la durée de vie la plus longue.

  • Devez-vous payer le devis d’un entrepreneur ?

    Si vous désirez que vos travaux soient exécutés par un entrepreneur, vous allez certainement lui demander un devis. Mais que se passe-t-il si l’entrepreneur n’est finalement pas retenu ? Peut-il alors vous envoyer une facture pour le devis établi ?

    Si vous voulez construire ou rénover, vous allez probablement demander un devis à différents entrepreneurs. Peut-il vous envoyer une facture si vous ne faites pas appel à lui ?

    C’est gratuit

    L’offre d’un entrepreneur est gratuite. Vous n’avez pas à payer le devis si vous ne travaillez pas avec lui par la suite. Si vous recevez une facture d’un entrepreneur pour un devis, protestez et ne procédez pas au paiement.

    Autres accords

    L’entrepreneur peut toutefois prendre d’autres dispositions avec vous et ce, avant qu’il ne se rende chez vous. Par exemple, il peut convenir avec vous que vous devrez quand même payer une compensation. Le montant de cette indemnité doit également faire l’objet d’un accord préalable. Dans la pratique, cela se produit très rarement…

    Il y a une exception

    Si l’entrepreneur a fait plus qu’une simple offre, il peut vous demander de le payer. Pensez au cas où un entrepreneur vient vous donner toutes sortes de conseils techniques…

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)