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  • Un tapis dans votre salon ? 3 erreurs à éviter !

    Agrémenter son salon d’un tapis est en soi, une excellente idée. Cet élément apporte à la fois de la chaleur, du cachet et du confort. Toutefois, il y a quelques erreurs à éviter dans le choix du tapis !

    1. Prendre un tapis aux dimensions de votre table

    Vous pensez installer votre tapis sous une table ? Dans ce cas, ne prenez pas les exactes dimensions de la table comme référence, mais rajoutez un très gros mètre à cette dernière, en longueur comme en largeur, de manière à ce que votre tapis de salon « déborde » suffisamment de chaque côté.

    2. Craquer sur un tapis… Sans penser au reste !

    Un tapis rouge vif vous fait de l’œil mais votre intérieur est plutôt sobre et classique ? Il pourrait jurer une fois installé. Parfois, il arrive qu’un modèle à la déco osée tranche harmonieusement dans votre intérieur mais par mesure de sécurité et pour éviter « toute erreur de casting », nous vous conseillons de vous rabattre sur un modèle fidèle aux teintes de la pièce.

    3. Prendre un tapis clair à l’entrée

    Vous destinez votre tapis à l’entrée de votre maison ou à une pièce à fort passage ? Dans ce cas, évitez les modèles trop clairs, trop salissants. Toutefois, si vous avez des animaux, évitez les modèles trop sombres, car ils mettent en évidence les poils « perdus » des animaux !

  • Conseil de pro : Isoler votre toit ? Choisissez parmi ces 4 méthodes !

    Augmenter la performance énergétique d’un bâtiment passe inévitablement par l’isolation de la toiture. Voici quatre matériaux qui assurent une isolation thermique optimale.

     

    Le leader du marché, l’allemand Knauf Insulation, propose une laine minérale de verre dans une nouvelle épaisseur de 370 mm, idéale pour l’isolation intérieure des combles aménagés ou perdus, qu’il s’agisse d’une construction neuve ou d’une rénovation. Baptisés TI 216, ces panneaux semi-rigides qui sont livrés en rouleaux, sont revêtus d’une surface en kraft qui limite la déperdition de poussières.

    La laine de coton est elle aussi désormais disponible en panneaux. Une solution qui s’ouvre du coup à l’isolation intérieure de l’ensemble de la maison, qu’il s’agisse de combles perdus, de combles aménagés, de cloisons, de murs intérieurs ou encore de planchers intermédiaires. Constitués à 90 % de coton provenant de tissus neufs, non utilisés par l’industrie textile, ces nouveaux panneaux se présentent généralement en dimension de 600 mm x 1.200 mm avec plusieurs épaisseurs disponibles (50, 80, 100 ou 200 mm).

    Aussi à l’extérieur

    Le sarking, qui consiste en l’isolation de la toiture par l’extérieur, est de plus en plus répandu en rénovation. Il est très apprécié pour sa grande résistance au feu. Basé sur la mise en œuvre de panneaux isolants rigides sur la charpente, cette méthode garantit la performance énergétique d’un bâtiment en limitant les déperditions thermiques au niveau de la couverture et de la ventilation. Les panneaux utilisés pour le sarking sont généralement composés de mousse phénolique dont l’épaisseur varie en fonction de la résistance thermique souhaitée.

    Enfin, le polystyrène extrudé est destiné à l’isolation intérieure comme extérieure. Ce matériau peut aussi être dédié à l’isolation des sols sous dallage et sous chape, des toitures terrasses et en pente, des parois enterrées, des soubassements, des murs intérieurs et extérieurs sous bardage, qu’il s’agisse d’une rénovation ou d’une construction neuve.

  • Une nouvelle peinture pour… améliorer la qualité de l’air intérieur !

    Beaucoup l’ignorent mais, bien souvent, la pollution est environ dix fois supérieure à l’intérieur en comparaison avec l’extérieur. Les peintures sont un des éléments qui peut contribuer à détériorer mais aussi à améliorer la qualité de l’air intérieur de nos logements et participer du coup au bien-être des habitants.

    Après plusieurs années de recherche et de développement sur de nouvelles matières premières d’origine organique, le société française Algo Paint, basée dans la banlieue de Rennes, est parvenue à remplacer les composants d’origine fossile qui composent une peinture, par des ressources locales renouvelables. L’un des éléments vedettes de cette nouvelle génération de peintures n’est autre que l’algue marine provenant de Bretagne.

    De quoi se distinguer des produits conventionnels proposés sur le marché qui, en règle générale, contiennent jusqu’à 65 % de substances d’origine pétrolière. Les peintures Algo pour leur part, s’affranchissent des composants fossiles liés au pétrole au profit de la chimie du végétal, grâce à la valorisation des algues du littoral français.

    De parasite à précieuse

    Les propriétés et intérêts de la valorisation de l’algue sont nombreux. Ces êtres vivants capables de synthétiser de la matière organique en utilisant l’énergie lumineuse ne consomment ni engrais, ni pesticide et ne nécessitent pas d’eau douce pour leur culture. Les algues n’empiètent pas non plus sur les terres agricoles destinées à nourrir les populations. Enfin, elles ne modifient pas le biotop mais, au contraire, séquestrent du CO2 et rejettent de l’oxygène.

    Avant de devenir peinture, le mélange aqueux contenant les algues se voit enrichi en kaolin, en résine végétale et en éventuels pigments de couleur. Autant de composants qui ne présentent aucune nocivité pour l’environnement. Un cocktail qui recèle de nombreuses propriétés intéressantes dans le cadre d’une peinture parmi lesquelles une grande onctuosité, un haut pouvoir couvrant, une excellente qualité de pénétration des supports, une bonne résistance aux aléas du temps et une forte perméabilité. En outre, les peintures Algo offrent un rendement remarquable de 12 m² par litre, grâce son très haut pouvoir couvrant.

    Que cela soit pour les murs, les plafonds ou encore les boiseries des différentes pièces de la maison, Algo Paint propose une palette très variée de nuances. Enfin, grâce à un emballage éco-responsable développé et fabriqué à partir de matières premières recyclées, la gamme de peintures Algo offre un produit performant, tant par son contenu que par son contenant !

     

  • Devez-vous enlever les mauvaises herbes de votre trottoir ?

    Des mauvaises herbes envahissent doucement le trottoir devant votre maison ou votre appartement ? Dans ce cas, êtes-vous obligé de les enlever ou est-ce une tâche qui incombe à la commune ?  Que risquez-vous si vous les laissez pousser ?

    Le maire de Messines, en Flandre occidentale, a annoncé qu’il imposerait des amendes aux résidents qui n’enlèvent pas les mauvaises herbes de leur trottoir. Mais est-ce légal ? Êtes-vous responsable des mauvaises herbes qui se trouvent sur le trottoir devant votre maison ?

    Obligation

    De nombreux règlements de police prévoient l’obligation d’entretenir le trottoir en face de votre domicile. Il ne s’agit pas uniquement de le déblayer quand il neige mais aussi, par exemple, d’en enlever les mauvaises herbes, voire les excréments des chiens. Votre commune impose-t-elle cette règle ? Pour le savoir, il vous suffit de lire le règlement de police. Celui-ci peut également stipuler, par exemple, que vous n’êtes pas autorisé à utiliser des pesticides ou des herbicides à cette fin.

    Sanction

    Si vous ne vous y tenez pas, vous risquez une sanction administrative. Sachez que théoriquement, vous pourriez également être tenu responsable si, par exemple, quelqu’un tombe à cause de ces mauvaises herbes sur le pas de votre porte. Dans la pratique, cependant, ce risque est limité.

    Et dans le cas d’un immeuble ?

    Dans le cas d’un immeuble d’appartements, l’obligation de nettoyer la chaussée incombe en principe à l’occupant du rez-de-chaussée. S’il n’y a pas d’appartements au rez-de-chaussée, le trottoir doit généralement être dégagé par l’occupant du premier étage.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Pouvez-vous faire appel à plusieurs agents immobiliers ? Quel intérêt ?

    Vous avez décidé de vendre votre maison ou votre appartement et souhaitez faire appel aux services de plusieurs agents immobiliers… Est-ce seulement possible ? Quelles règles devez-vous prendre en compte et quels sont les risques ?

    Lors de la vente d’une maison, on espère toujours trouver rapidement un candidat à un prix élevé. Afin d’augmenter vos chances de vendre votre bien, vous souhaitez le mettre en vente auprès de plusieurs agences immobilières. Mais est-ce possible ?

    Une question d’accords

    En soi, il est parfaitement possible de mettre votre maison en vente par l’intermédiaire de plusieurs agents immobiliers. Cependant, il est important de s’assurer qu’il n’y a pas de clause d’exclusivité dans les contrats que vous concluez avec les agents immobiliers en question. Si c’est le cas et que vous vendez toujours par l’intermédiaire de différents courtiers, vous risquez de devoir payer plusieurs frais de courtage en cas de vente.

    Négocier

    Si vous avez déjà un contrat avec un agent immobilier contenant une clause d’exclusivité et que vous souhaitez toujours avoir recours à un deuxième agent, négociez avec le premier et demandez-lui de retirer la clause d’exclusivité. Pour essayer de le convaincre, vous pourriez lui faire remarquer que, sinon, vous ne renouvellerez de toute façon pas le contrat existant, une fois celui-ci arrivé à son terme

    Limitée dans le temps en tout cas

    Notez qu’un contrat de courtage comportant une clause d’exclusivité doit en tout état de cause, être limité dans le temps. Un tel contrat peut être conclu pour une durée maximale de six mois. Si un tel accord est tacitement renouvelé, il peut être résilié à tout moment et sans frais via un préavis d’un mois au maximum.

     

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Façade : Faites attention à vos joints !

    Sur une façade en briques, les joints peuvent représenter jusqu’à 25 % de la surface totale. Ne prenez donc pas le rôle de ces joints à la légère !

    Si le choix de la brique de parement fait souvent l’objet de nombreuses recherches de la part de nouveaux bâtisseurs, le joint est en revanche plutôt relégué au rang de « parent pauvre ». Dernier gros poste extérieur, hors aménagements extérieurs, le jointoiement est d’ailleurs souvent postposé de plusieurs mois, voire de plusieurs années, avant d’être réalisé ! Pourtant les joints aussi jouent un rôle important !

    Etanchéité et solidité

    Sur le plan technique, le joint d’une maçonnerie permet d’en renforcer la solidité mais également d’en augmenter l’étanchéité. Bien sûr, une nouvelle construction « tiendra debout » sans problème durant plusieurs mois sans jointoiement. Il est d’ailleurs conseillé d’attendre au moins quelques semaines une fois la maçonnerie terminée avant de réaliser le jointoiement. Un laps de temps, variable en fonction de la saison, qui permet alors à l’humidité de la construction de totalement.

    Couleur

    Outre ses qualités techniques, un joint a aussi une fonction esthétique. En fonction de la couleur du joint retenu, une même façade pourra en effet donner une impression très différente. Généralement, on distingue trois catégories de joints : les joints gris, les joints clairs (blancs ou beiges) et les joints colorés. Un joint gris a tendance à assombrir la façade et à rendre l’ensemble de la maison plus discrète.

    À l’inverse, un joint clair attire davantage l’œil et met l’accent sur les briques qui semblent mises en évidence. Enfin, le joint coloré est généralement utilisé pour réaliser un « ton sur ton » avec les briques. Ce qui rend les joints plus discrets et confère une apparence monolithique à l’ensemble de l’habitation. C’est une alternative, d’ailleurs, aux joints minces devenus tendances ces dernières années.

  • Vous désirez acheter une nouvelle porte intérieure ? Voici des conseils de pro !

    Que vous construisiez ou que vous rénoviez, les portes intérieures ne sont probablement pas en haut de votre liste de priorités. Pourtant, elles peuvent faire toute la différence dans votre intérieur. Vous préférez le bois ou l’aluminium, un modèle plutôt classique ou moderne ? Voici comment bien choisir…

    Quel matériau pour votre intérieur ?

    Les portes intérieures sont disponibles dans de nombreux matériaux. Celui-ci détermine en grande partie son apparence. Nous énumérons les principaux types :

    Porte en bois massif : Dans l’ensemble, ces portes sont rares et coûtent souvent très cher. Plus le bois est solide, plus le prix est élevé. L’essence du bois a également un impact sur le prix.

    Portes en bois composite : La porte intérieure la plus courante. Ce sont des portes assemblées autour d’un cadre en bois. Un panneau en MDF vient terminer la porte et il peut être fini de différentes manières :

    • Portes peintes ou à peindre
      De loin les portes intérieures les moins chères. Celles avec une garniture en nid d’abeille sont les moins chères.
    • Portes laquées
      Elégantes, elles sont souvent aussi plus résistantes que les portes peintes.
    • Portes en mélamine, stratifiées et avec un placage bois
      Ces 3 types sont également populaires. Tous ont leurs avantages et leurs inconvénients.

    Si vous désirez un autre matériau que le bois :

    • Portes vitrées : Une porte vitrée offre plus de lumière et une sensation d’espace. Différentes teintes de verre sont possibles, ce qui vous permet de les adapter à votre intérieur.
    • Portes métalliques : Il s’agit de portes robustes en acier. Elles sont indéformables et résistantes. Elles nécessitent peu d’entretien et sont relativement faciles à installer. Ici aussi, différentes couleurs sont possibles.
    • PVC : De nombreuses portes extérieures sont en PVC, mais vous pouvez également en placer dans votre intérieur. A vous de bien choisir la finition…

    Avec poignée ou sans

    En raison de son design élégant, les portes sans poignée sont aujourd’hui très demandées. Vous pouvez également opter pour un système dans le plancher qui permet d’ouvrir la porte dans deux directions. Les deux solutions s’intègrent parfaitement dans un intérieur moderne.

    Avec cadre ou sans

    Une autre tendance est l’insertion des portes dans le mur. Les cadres de porte sont dissimulés, de sorte que la porte et le mur semblent former un tout. L’installation est un peu plus complexe. Alors, informez-vous bien.

     

  • 4 mythes sur la climatisation

    Avec les canicules de plus en plus fréquentes et violentes que nous connaissons, vous êtes de plus en plus nombreux à investir dans une climatisation. Toutefois, une tranche non négligeable des personnes souffrant de la chaleur hésitent et parfois, pour les mauvaises raisons. Nous disséquons 5 idées reçues répandues sur la clim’ !

    1. C’est cher : Vrai et… faux !

    Tout dépend de vos besoins : qu’il s’agisse de refroidir une petite pièce de quelques degrés, comme une chambre par exemple, ou une véranda exposée plein sud, ce n’est pas le même appareil qui est requis ! Dans le premier cas, un climatiseur mobile pourra faire l’affaire et celui-ci vous coûtera quelques centaines d’euros. Quant à l’installation, vous pourrez facilement vous en charger vous-même. Concernant la seconde hypothèse, le budget est évidemment très différent, car il faudra sans doute faire appel à une équipe de professionnel qui viendra installer un modèle fixe. Dans ce cas-ci, le budget tourne souvent entre 2.000 et 4.000 € ! Mais cet investissement transforme réellement votre quotidien…

    2. C’est mauvais pour l’environnement : Faux !

    Précisons toutefois que cette remarque est tout-à-fait recevable pour les vieilles installations, car les liquides réfrigérants étaient particulièrement nocifs pour l’environnement. Aujourd’hui, les produits utilisés sont nettement plus sûrs et ces derniers sont de plus, en circuit fermé.

    3. C’est mauvais pour la santé : Faux !… Mais vrai en cas de mauvaise utilisation…

    Les personnes souffrant de la chaleur (que ce soit pour des raisons respiratoires ou cardiovasculaires) seront au contraire, soulagées par les bienfaits de la climatisation. En revanche, il est essentiel de l’entretenir régulièrement pour éviter que les filtres ne s’encrassent, auquel cas des allergènes risquent de circuler.

    Sachez également qu’une climatisation, cela requiert un certain mode d’emploi. Gardez en tête qu’il vaut mieux éviter de trop grands écarts avec la température extérieure (on parle de 7 à 8 degrés maximum) et de ne pas descendre en dessous de 21 degrés. Enfin, l’utilisation d’une climatisation a également pour effet d’assécher l’air. Garder donc un œil sur votre hygromètre pour ne pas tomber sous les 40-50 %.

    4. Ça consomme beaucoup d’énergie : Vrai… et faux !

    Ici encore, tout dépend de l’utilisation que vous comptez en faire… et du type d’appareil que vous utilisez ! Un appareil mobile consomme il vrai, beaucoup d’énergie, mais libre à vous de ne l’utiliser que ponctuellement. Un appareil mural, avec pompe à chaleur, consomme généralement tout autant, mais il peut refroidir un espace bien plus grand ! Dans ce dernier cas, si vous optez pour un modèle « inverter », soit capable de chauffer, vous économiserez sur votre facture de chauffage par rapport aux chauffages électriques d’appoint traditionnels.

  • Un lit électrique, une garantie pour de meilleures nuits ou un gadget inutile ?

    Investir dans l’achat d’un lit électrique est-il la garantie de passer de meilleures nuits ? Certains annoncent des avantages thérapeutiques ainsi qu’un haut niveau de confort… Voyons cela avec vous, sachant que l’on ne parle pas de lit médicalisé, d’office électrique.

    « Le premier avantage est qu’il est plus confortable car vous avez la faculté de choisir la position de chaque élément du lit. Vous pouvez donc régler pour lire, regarder la TV ou simplement pour dormir. Ce lit est également conseillé pour les personnes qui souffrent de problèmes respiratoires […]. Vous avez la possibilité de vous redresser ce qui améliorera considérablement votre respiration. », explique Marc, vendeur dans un magasin de literie.

    « Pour celles et ceux qui souffrent du dos, pouvoir ajuster la position de votre sommier limitera les douleurs. Le passage de la position couchée au lever sera grandement facilitée » complète le spécialiste. Pour les personnes vivant en couple, un lit électrique comportera toujours deux sommiers distincts, deux matelas et deux télécommandes. « Le lit électrique s’adapte à chaque partie du corps où la fermeté des éléments peut être réglée à ses besoins spécifiques. On peut même envisager d’acquérir un matelas à mémoire qui épouse les formes de votre corps permettant ainsi à votre colonne vertébrale de se trouver dans le meilleur alignement possible. Les douleurs dorsales s’en verront atténuées ».

    Une bonne circulation sanguine est indispensable et là aussi, ce lit pourra vous aider. Pour les personnes ayant des troubles à ce niveau, il est conseillé de dormir les jambes surélevées. Le moteur permettra à vos jambes d’être dans la position souhaitée

    Sommier à lattes ou à plots ?

    « Les clients choisissent souvent un sommier à lattes. […] Certains sommiers disposent d’un curseur de fermeté au niveau des lombaires et des épaules. Vous devez donc les régler de manière à obtenir un meilleur maintien ce qui soulagera votre dos », annonce-t-il.

    Un sommier à plots permet un soutien tridimensionnel du corps (en largeur, en profondeur et en hauteur) ce qui assure une position de couchage correcte : « Les plots s’enfoncent, bougent et pivotent à 360° de manière indépendante pour suivre parfaitement les mouvements, la position et les formes du corps. C’est le grand avantage par rapport au sommier à lattes qui ne sont pas aussi précis ».

    Quel inconvénient ?

    Le seul point négatif d’un lit électrique est son coût. Le sommier à plots est plus onéreux que son homologue à lattes. « Cela représente une dépense importante mais il faut plutôt envisager cet investissement sur le long terme. Le lit électrique a une durée de vie très importante et sera un bienfait pour la santé. C’est sans conteste le plus important » conclut Marc.

  • Top 5 des plantes que l’on veut chez soi !

    Son parfum, sa couleur, l’ambiance qu’elle distille : c’est généralement pour ces trois raisons réunies que l’on craque pour une plante. Et ces cinq plantes-ci portent ces critères au plus haut niveau !

    1. Le Jasmin 

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    La fleur du Jasmin est l’une des plus parfumée qu’il soit, c’est d’ailleurs l’une des plus sollicitée en parfumerie. C’est aussi le symbole de la féminité et dans certains pays, offrir une fleur de Jasmin constitue une preuve d’amour !

    2. La Lavande 

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    La lavande est une plante complète : elle parfume l’ambiance et peut être utilisée à des fins médicinales. La tisane de lavande est en outre un excellent relaxant ! Seul petit bémol de la lavande : elle attire les abeilles !

    3. L’orchidée 

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    L’orchidée, symbole de fécondité, est une fleur délicate et parfumée qui plait à de nombreuses personnes. Il faut dire qu’il y en a pour tous les goûts puisqu’il en existe plus de 25.000 sortes !

    4. Le Gardénia

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    Cette superbe fleur blanche récompense les plus attentionnés avec une longue fleuraison parfumée. Dommage qu’il faille avoir la main verte pour pouvoir en profiter, la belle ne s’offre pas à n’importe qui !

    5. Le lilas

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    La fleur de lilas ravi aussi bien les pupilles que les narines ! En plus, il fleurit avant toutes les autres plantes du jardin pour que l’on puisse apprécier son parfum unique.