Blog

  • Cohabitation légale : le Belge, à tort, n’en veut plus !

    Seuls 300 contrats de cohabitation légale ont été signés devant un notaire en 2018, ce qui prouve leur méconnaissance auprès du grand public, s’inquiète mercredi la Fédération royale de notariat belge (Fednot).

    La Fednot rappelle que les cohabitants de fait, légaux et les couples mariés constituent trois catégories différentes et ne bénéficient donc pas de la même protection en cas de séparation ou de décès. « Les gens pensent que la cohabitation est comme le mariage, qu’ils bénéficient des mêmes effets juridiques. C’est faux« , explique Sébastien Dupuis, notaire.

    Cohabitation de fait

    Dans le cadre d’une cohabitation de fait, si l’une des personnes décède, l’autre n’a légalement droit à rien. « Cela peut poser de nombreux problèmes, notamment en cas d’achat d’un logement en commun. Si rien n’a été prévu, la moitié de l’habitation reviendra aux héritiers du partenaire décédé, ce qui fait peser le risque que le partenaire survivant ne puisse plus y vivre« , détaille l’association de notaires. Les cohabitants de fait peuvent toutefois prévoir que l’accord des deux partenaires est requis pour la vente du logement familial. Enfin, ils ne sont pas obligés de s’adresser à un notaire pour rédiger une convention de vie commune.

    Cohabitant légaux

    Si les cohabitants légaux ne prévoient pas de contrat en plus de la déclaration de cohabitation, le survivant n’hérite que de l’usufruit sur le logement familial et les meubles qui le garnissent. En cas de séparation de deux cohabitants, un contrat permet par exemple de prévoir un droit temporaire à une pension alimentaire ou de se mettre d’accord sur l’organisation de la famille ou des biens.

    Pour la vente du logement familial, et contrairement aux cohabitants de fait, une disposition est déjà prescrite par la loi dans le cas d’une cohabitation légale. Notez toutefois qu’un contrat de cohabitation légale doit être rédigé devant notaire. En 2018, 300 accords de cohabitation légale ont ainsi été signés. Au cours des deux premiers trimestres de 2019, ce nombre s’élevait à 137, d’après les chiffres de la Fednot.

     

  • 4 conseils pour économiser de l’eau dans votre salle de bain

    Un comportement écologiquement responsable commence dans votre salle de bain ! L’eau est un bien précieux que vous devons préserver. Economiser de l’eau, c’est préserver l’environnement et… réduire sa facture !

    Installer une douche dernier cri

    De nombreuses douches modernes sont équipées d’une technologie intelligente qui vous permet de régler le volume d’eau, sans régler la puissance du jet ! De plus, elles sont également équipées d’un bouton pause, ce qui vous évite de gaspiller de l’eau lorsque vous vous savonnez.

    Au fait, saviez-vous que si vous prenez une douche pendant moins de 5 minutes, vous utilisez moins d’eau que dans un bain ? Combinez cela à une douche moderne et économique, et cela fait de belles économies en fin d’année.

    Pas de douche froide

    Comme de nombreuses personnes, avant que votre eau ne devienne chaude, vous devez laisser couler une grande quantité d’eau froide. Actuellement, certains mitigeurs thermostatiques vous permettent de conserver une eau à la bonne température, afin d’éviter ce gaspillage.

    Toilettes à double chasse

    Un classique, mais néanmoins utile. La double chasse d’eau dans les toilettes est courante, mais elle n’équipe pas encore tous les ménages. Elle permet d’économiser quelques litres d’eau par jour. Certaines toilettes modernes disposent d’une fonction start/stop, de sorte que vous n’utilisez jamais plus d’eau que ce dont vous pensez avoir besoin.

    Se nourrir et se doucher ensemble

    Les enfants, en particulier, devraient être sensibilisés à l’importance d’utiliser l’eau avec parcimonie. Fermez le robinet lorsque vous vous brossez les dents, ne laissez pas l’eau couler inutilement et limitez le temps passé sous la douche. Prendre une douche ensemble est également une option, si la douche le permet.

     

  • Lave-vaisselle : l’erreur à ne pas commettre !

    Comment placer les couverts dans le panier qui leur est dédié ? Cest la question que bon nombre de personnes se posent.

    Dans une cuisine, le lave-vaisselle est un appareil électroménager devenu incontournable. Il occupe bien souvent une place essentielle dans l’organisation ménagère au quotidien, tant celui-ci permet de gagner du temps mais aussi de l’eau et de l’électricité !

    Au moment de placer la vaisselle dans l’appareil, une question se pose régulièrement : dans quel sens faut-il placer les couverts dans le bac qui leur est dédié ? Différentes options cohabitent : placer les couverts vers le haut, pour que l’eau chaude puisse les atteindre plus facilement et donc mieux nettoyer les dents des couteaux et fourchettes, les disposer plutôt vers le bas, afin d’éviter de se blesser avec un couteau mal disposé, et enfin celles et ceux qui s’en fichent et placent les couverts de façon aléatoire…

    La meilleure option !

    Plusieurs experts s’accordent à dire que la meilleure façon de ranger ses couverts, c’est vers le bas. Et voici les trois raisons qui plaident pour ce choix a priori anodin : disposés vers le bas, les couverts seront moins dangereux quand il s’agira de les sortir de la machine. Secundo, lorsqu’on vide le lave-vaisselle, ils seront aussi plus faciles à saisir. Et enfin, cela permet d’éviter que les microbes éventuels se trouvant sur vos mains se propagent sur la partie des couverts qui entre directement en contact avec l’alimentation. CQFD !

  • 5 raisons de préférer vivre à la campagne plutôt qu’en ville

    Les milléniaux semblent en majorité, vouloir habiter les grands centres urbains. Ce qui n’est certainement pas dénué d’avantages… L’attachement des générations plus âgées à la campagne est-il justifié ? On voit cela avec vous !

    Bruit des voitures VS chants des oiseaux

    via GIPHY

    A la campagne, pas de klaxon, ni moteurs vrombissant dans des petites rues encaissées ! Chose agréable aussi bien le matin au réveil, que le soir au coucher ou l’après-midi pendant le weekend…

    Respirer de l’air pur et frais

    via GIPHY

    En sortant de chez vous, vous pourrez profiter tous les jours de l’air pur de la campagne. Et si vous êtes adepte du jogging, vous serez d’autant plus ravi(e) d’avoir fait ce choix de vie !

    Pouvoir se promener à toutes les heures, sans (trop) craindre l’insécurité

    via GIPHY

    En ville, il y a toujours quelque chose à faire, quelle que soit l’heure. Le problème, c’est que ce n’est pas toujours très rassurant de se promener la nuit dans certaines ruelles. A la campagne, l’insécurité est bien moins présente.

    Les enfants peuvent troquer la PlayStation pour les activités en plein air

    via GIPHY

    Les enfants sont sûrement ceux qui profiteront le plus de la vie à la campagne. Entre cabanes dans les arbres et courses dans les prés, ils ne s’ennuieront jamais.

    Vous pouvez faire pousser vos légumes et vos plantes !

    via GIPHY

    Les maisons de campagne ont généralement un jardin. Ce qui est une excellente occasion d’apprendre à cultiver quelques fruits et légumes !

     

  • Matelas : 4 règles pour ne pas se tromper !

    Cest un investissement capital. Dix ans de nuits réparatrices et donc de journées actives à condition de faire le bon choix !

    Matelas à ressorts, en latex, en mousse ou encore en laine ? Faut-il accorder de l’importance au garnissage et à la suspension ? Autant d’éléments à prendre en compte avant d’acheter son matelas et qui peuvent avoir un impact non négligeable sur vos nuits, et donc sur vos journées ! Car se réveiller en forme, ça commence aussi par une bonne nuit de sommeil, passée sur un matelas qui répond aux besoins de toutes et tous, y compris les plus âgés d’entre nous.

    Et si la qualité de notre sommeil dépend de la literie, la qualité du matelas dépend pour sa part de sa fabrication. Quant à sa composition et sa technique, il suffit bien souvent de suivre quatre règles pour ne pas se tromper

    1. Le garnissage

    Pour les professionnels de la literie, le garnissage du matelas constitue en quelque sorte « l’accueil ». Contrairement à la suspension, le garnissage n’est pas un élément de soutien mais bel et bien de confort, ce qui n’est pas à dédaigner lorsque les articulations se font plus sensibles avec l’âge. Il permet en outre de mesurer la qualité de fabrication d’un matelas. En effet, plus il est épais et composer de matières naturelles, plus il est de qualité.

    A ce titre, il convient d’éviter les matières synthétiques qui n’absorbent pas la transpiration et qui transforment du coup le matelas en un vivier à acariens et moisissures. La laine, le coton ou encore le lin sont à privilégier. Grâce à leurs propriétés thermorégulatrices, ces matières maintiennent votre matelas à bonne température. La frilosité venant souvent avec l’âge, la laine constitue indéniablement le maître-achat, votre matelas n’étant jamais froid. La soie pour sa part apporte fraîcheur en été et chaleur en hiver, tandis que le coton est à privilégier pour les personnes qui transpirent abondamment. Celui-ci est en effet connu pour ses qualités hydrophiles, qui favorisent l’absorption de l’humidité.

    Certains modèles proposent dailleurs une face hiver, souvent constituée de laine, et une surface été, en coton ou en lin. Enfin, c’est indéniablement le matelas déhoussable qui constitue le nec plus ultra lorsqu’il s’agit de l’hygiène. La housse peut en effet être lavée dès que cela s’avère nécessaire.

    2. La suspension

    Il existe trois types de suspensions, dont chacune présente ses propres particularités. Ce que les professionnels appellent « l’âme du matelas » est à choisir précautionneusement. En effet, on ne choisit pas un matelas de la même façon si on le destine à un usage quotidien ou plutôt à une chambre damis.

    Mousse, polyéter ou encore polyuréthane, les matelas dits en mousse sont déconseillés dans les pièces humides et a fortiori aux personnes qui transpirent abondamment. Du coup, ces modèles sont peu recommandés dans le cadre d’un usage quotidien. En outre, ils présentent souvent une faible fermeté, un confort moyen et une durée de vie relativement réduite. Par contre, ceux-ci sont plus abordables.

    Un peu plus chers, mais à classer dans la même catégorie : les matelas en mousse à mémoire de forme. Ceux-ci épousent mieux les formes du corps qu’un matelas en mousse conventionnel mais, avec le temps, finissent pas s’affaisser.

    Les matelas en latex naturel présentent, quant à eux, de nombreux avantages : ils sont naturellement hypoallergéniques, présentent une fermeté ciblée grâce à différentes zones de confort, une longévité accrue par rapport à la mousse et surtout une meilleure respirabilité du matelas grâce à un réseau d’alvéoles. Ils sont aussi souples et indéformables. L’idéal aussi quand on est contraint de dormir dans une position bien particulière.

    S’ils peuvent paraître complètement has been, les matelas à ressorts ont pourtant encore leur mot à dire. En effet, les ressorts conventionnels ont laissé progressivement la place aux ressorts multispires, composés d’un seul fil en acier qui assure un soutien plus homogène. Malgré cela, mieux vaut opter pour la dernière évolution en la matière : les ressorts ensachés, qui permettent au matelas de s’adapter à tous les poids et gabarits. Ici, chaque ressort est indépendant et enveloppé dans un sac individuel, ce qui optimise la libre circulation de l’air pour une ventilation optimale et donc une bonne hygiène de la literie. En outre, chaque partie du corps est soutenue de manière indépendante. La pression s’exerce seulement sur les ressorts où l’on se positionne, ce qui apporte un grand confort et une parfaite indépendance de couchage lorsque l’on dort à deux.

    3. La densité

    Une fermeté extrême n’est pas recommandée, tout comme une souplesse trop affirmée. Le plus difficile est en fait de trouver le juste milieu en densité, celle-ci se déterminant selon la taille et le poids de la personne. En effet, si le matelas est trop dur, le corps ne s’enfoncera pas convenablement et du coup la colonne vertébrale ne sera pas droite.

    Et au contraire, si le matelas est trop mou, la colonne aura tendance à s’incurver dans l’autre sens et provoquer des problèmes de dos. La garantie de douleurs en tout genre, surtout lorsqu’on souffre d’arthrose ou de rhumatismes. Et les professionnels de conseiller, pour trouver le bon équilibre en jouant sur l’accueil et le ressenti, dajouter un surmatelas. Celui-ci procure un moelleux exceptionnel, tout en ne dégradant pas la fermeté du matelas.

    4. Matelas et sommier font la paire

    La dimension de votre matelas peut elle aussi participer à votre confort personnel et à votre bien-être. En effet, qu’il s’agisse d’un couple, d’une personne seule ou encore d’un enfant, les dimensions seront bien entendu différentes.

    Il est important d’également changer de sommier lorsque vous vous décidez à acheter un nouveau matelas. Car si votre matelas est en bout de course, votre sommier l’est probablement aussi.

    Enfin, question cruciale: faut-il impérativement essayer son matelas avant de lacheter ? Pas forcément! En effet, se mettre dans les conditions idéales lorsque l’on essaye un matelas en magasin n’est pas évident. Il faut avant tout opter pour un type de matelas et ensuite estimer la densité optimale. Enfin, de nombreuses enseignes proposent aujourd’hui des « garanties » allant jusqu’à 6 mois vous permettant de changer de matelas au cas où il ne vous conviendrait pas. À ne pas dédaigner !

  • Le Vintage, cette tendance que vous devez intégrer chez vous !

    Le « vintage » : que vous soyez ou non confronté au réaménagement de votre maison, vous avez déjà certainement entendu parler de cette tendance. Le Vintage est en effet plus que jamais d’actualité ! Reste à savoir comment intégrer cette tendance dans votre intérieur… On voit cela avec vous !

    Vintage ?

    Qui parle de meubles vintages, pense sans doute aux meubles anciens. Et par « ancien », on veut dire d’une bonne vingtaine d’années. Mais surtout, songez aux meubles des années 60 et 70. Ne confondez toutefois pas vintage et antiquité, car ces derniers meubles ont plus de 100 ans. Le look rétro donne l’impression de plonger dans le passé !

    Pourquoi choisir une tendance vintage ?

    Parce que ces meubles donnent du caractère à votre maison. Pensez aux créations d’Eames, Arne Jacobsen et Vernon Panton. Ces objets étant assez rares, la recherche a souvent des airs de chasse au trésor. Toutefois, si vous n’avez pas les moyens de vous payer ces merveilles, ne désespérez pas. Aujourd’hui, de nombreux fabricants remettent en production ces classiques du passé.

    Du velours, que diable !

    Pour une immersion totale dans le vintage, optez pour le velours. Une chaise en velours se marie en plus, parfaitement avec un design scandinave.

    Où trouver du mobilier vintage ?

    Sur Internet, bien sûr, surtout en ce qui concerne les refabrications. Ne délaissez toutefois pas les magasins de seconde main, ainsi que les brocantes et autres marchés aux puces. Quant aux magasins spécialisés, ils auront certainement de quoi vous satisfaire !

  • Le Marmoléum, le nouveau revêtement qui fait fureur !

    Vous cherchez un revêtement de sol à la fois écologique et esthétiquement plaisant ? Sachez dans ce cas que le « Marmoléum » fait fureur ! Ce sol en linoléum est à la fois durable, costaud et facile d’entretien !

    La durabilité avant tout !

    Il s’agit d’un sol 100% neutre en CO2, ce qui est très important à notre époque. Composé, entre autres, de toile de jute et de lin, ce sol n’est pas seulement durable dans son processus de production : les matériaux qui le composent le sont également. Ce sol de qualité est donc à la fois résistant et complètement biodégradable.

    Vaste choix

    Le Marmoléum peut imiter n’importe quel matériau : marbre, bois, béton… Considérez la pièce où vous voulez placer ce revêtement et trouvez le design qui convient. Tout est possible !

    Facile à nettoyer

    Comme le matériau n’est pas rainuré, la saleté ne vient pas s’y incruster, ce que les allergiques apprécieront. Le sol est de plus, facile à nettoyer. Pour ceux qui ont des enfants et /ou des animaux, cette caractéristique est non négligeable !

    Robuste

    Costaud, le Marmoléum possède une couche supérieure renforcée. Ce sol résiste donc contre les griffes et autres coups, ce qui est un avantage de plus pour les jeunes parents…

  • Chauffage : Quel est le moyen le moins cher de se chauffer ?

    De l’électrique au bois, en passant par le mazout, le gaz et les pellets : quel est le moyen le moins cher de se chauffer aujourd’hui ? 

    Clay Banks

    La méthode de calcul, assez poussée, prend en considération le pouvoir calorifique de chaque source d’énergie. En revanche, seul le coût d’utilisation est calculé, l’étude ne prenant pas compte des frais d’entretien, ni d’installation de la chaudière ou de la cassette…

    5. L’électricité : un gouffre financier… A une colossale exception près !

    Se chauffer à l’électricité est un gouffre financier : ce moyen est cinq fois plus cher que le gaz ! Toutefois, il convient de relativiser : nous parlons ici d’électricité achetée et non produite. Dans le cas d’une maison dotée de panneaux photovoltaïques, parfaitement isolée et équipée d’une pompe à chaleur, le constat est tout différent. Dans ce cas précis, l’électricité est clairement le moyen le moins onéreux de se chauffer !

    4. Mazout : un marché volatile

    Les attaques récentes de drones sur des installations pétrolières en Arabie Saoudite nous ont rappelés à quel point le marché du pétrole peut être volatile. Aujourd’hui, le mazout peut paradoxalement être moins cher en hiver qu’en été. Les prix fluctuent beaucoup d’une année à l’autre, étant notamment victimes des tensions dans les pays producteurs…

    3. Les pellets : progressivement plus chers

    Le prix du pellet aurait augmenté de 17% en deux ans, ce qui vaut aux pellets de perdre leur deuxième place. Aujourd’hui, pour un sac de 15 kg d’excellents pellets produits dans notre Ardenne, comptez entre 4,5 et 5 €. Certes, il existe des pellets nettement moins chers dans les grandes surfaces, mais le pouvoir calorifique n’est alors plus le même. Et votre poêle/chaudière pourrait en souffrir…

    2. Le gaz : très bon marché cette année !

    Nous parlons ici du gaz de ville, pas du propane qui vient remplir une bombonne. Aujourd’hui, le gaz est particulièrement bon marché, la Belgique affichant à ce titre, les factures les plus basses ! Entre autres explications, pointons l’hiver 2018 particulièrement doux qui a permis l’accumulation de réserve.

    1. Le bois : l’éternelle solution bon marché

    Le bois reste encore et toujours le moyen de chauffage le moins onéreux. D’autant que pour ceux qui habitent en milieu rural, il n’est pas impossible d’en trouver gratuitement ! Tout comme le pellet, le bois est une production locale, ce qui garantit une certaine stabilité dans les prix. Notez toutefois que ce moyen de chauffage n’est pas sans inconvénient : il est difficile de moduler précisément la température, il est impossible de programmer une cassette et surtout, il est nécessaire de disposer d’un espace de stockage au sec. Et on ne vous parle pas de l’entretien fastidieux d’un poêle… Reste évidemment un prix hors concurrence, une chaleur très agréable et une ambiance inimitable !

  • Châssis en aluminium, pourquoi le Belge le délaisse-t-il ?

    Sur le marché du châssis en Belgique, le PVC est incontestablement le roi : environ un Belge sur deux choisit des châssis en PVC ! Le bois et l’aluminium, en revanche se partagent à parts égales le reste. Si l’on peut comprendre la position délicate du bois de par l’entretien qu’il exige, quid pour les châssis en aluminium ?

    Les châssis en aluminium ont pourtant, souvent la faveur des architectes, surtout lorsqu’il s’agit de constructions d’allure contemporaine. En effet, ils se révèlent aussi fins qu’élégants et, par ailleurs, offrent une étanchéité parfaite à l’humidité et au vent. Ils exigent peu d’entretien, ne rouillent quasiment pas, pas plus qu’ils ne sont susceptibles de se déformer. En prime, ils sont déclinés en un vaste choix de coloris.

    En revanche, les châssis en aluminium sont chers, très chers, nettement plus que les éléments en PVC. De plus, ils ne sont naturellement pas très efficaces en ce qui concerne l’isolation thermique… Voilà principalement pourquoi le PVC a la faveur de la majorité des Belges…

  • Vous comptez installer un poêle à bois ? 3 inconvénients qui pourraient vous dissuader !

    Avec le retour de l’hiver, vous êtes de plus en plus nombreux à chercher diverses alternatives pour diminuer vos factures de consommation d’énergie. L’une des solutions les plus courantes consiste en l’installation d’un poêle à bois. On voit cependant avec vous ce qui pourrait vous freiner !

     

    1. Avez-vous l’espace ?

    Un poêle à bois n’est pas un appareil compact et il réclame de plus, de ne pas être installé contre un mur. Mais si vous y songez, c’est que vous avez sans doute l’espace nécessaire pour son installation, ainsi qu’à celle de la cheminée. En revanche, avez-vous pensé à l’espace de stockage nécessaire pour le bois ? En effet, les stères de bois prennent un espace considérable et doivent être préservées au sec !

    2. Il ne sera sans doute pas suffisant pour tout chauffer !

    Outre ses qualités esthétiques, un poêle à bois chauffe généralement assez fort ! Mais pensez tout de même à ne pas supprimer votre installation existante. En effet, surtout dans le cas d’une maison ou d’un bien avec des espaces cloisonnés, le poêle ne sera sans doute pas suffisant pour chauffer toutes les pièces. Et nous ne pensons même pas à la salle de bain et à son habituel chauffage électrique !

    3. Un entretien contraignant

    C’est sans doute ce qui rebute le plus ceux qui sont habitués à un chauffage au gaz ou au mazout. Un poêle à bois réclame un nettoyage régulier des cendres, de la vitre et de la cheminée. Un entretien indispensable pour son bon fonctionnement et pour la sécurité.