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  • Bien choisir son tapis : 3 règles à suivre!

    Le tapis fait son grand retour dans nos intérieurs ! Chaleureux, agréable sous les doigts et sous les orteils, il devient également un accessoire indispensable dans la déco de nos maisons.

    www.allotapis.com

    1ère règle : Ne pas voir trop grand

    La tentation est grande d’opter pour un tapis généreux, que tout le monde profite de sa douceur. Sachez toutefois qu’un tapis trop grand dans une petite pièce aurait tendance à visuellement rétrécir celle-ci. Dans une chambre, la tendance est au tapis posé sous le lit, débordant de tous les côtés. Pour un tapis de salon, il en va de même : on ne le pose plus devant le canapé, mais sous ce dernier. Pour les dimensions, c’est donc facile, il vous suffit de poser des feuilles ou des journaux devant (et/ou derrière) votre canapé, de mesurer l’ensemble et vous aurez ainsi les dimensions idéales.

    2ème règle : Choisir la bonne matière

    Règle de base : pensez à l’entretien. Un tapis en viscose, élégant, mais rapidement usé, n’est pas conseillé pour les espaces à fort passage. Pour une chambre, on optera plutôt pour du coton. Dans un salon, le coton peut également faire l’affaire, mais nous avouons un petit penchant pour un tapis en laine. Ce dernier est non seulement chaleureux, mais en plus, il est non-inflammable ! Avis aux propriétaires de feu ouvert…

    3ème règle : Choisir la bonne couleur

    Evitez les teintes claires dans les pièces où les risques de salissure sont élevés, comme le couloir ou la cuisine. En revanche, en choisissant la bonne teinte, vous pourrez apporter une touche élégante ou de fantaisie à votre intérieur. Pour les tapis destinés à être disposés sous un meuble, un lit ou un canapé, évitez également les tapis avec motifs, ces derniers étant cachés par le meuble en question. En revanche, pour un tapis disposé au centre d’une pièce, un tapis avec motif est tout indiqué, car il distille une ambiance incomparable…

  • Les différents types de vitrage pour votre maison

    Pensez à tout ce qu’un bon vitrage peut vous apporter : l’isolation thermique, acoustique et même les aspects sécuritaires ! Vous retrouverez ci-dessous les différents types de vitrage. A vous de faire le bon choix !

    Vitrage simple

    De nombreuses vieilles maisons sont encore équipées en simple vitrage. Aujourd’hui, il n’est guère utilisé en raison de sa mauvaise isolation. Dès cette année, le double vitrage devient d’ailleurs obligatoire en Flandre ! A l’intérieur de votre maison, le double-vitrage n’est cependant pas nécessaire.

    Double vitrage

    Le double vitrage est forcément très populaire. Il est composé de deux feuilles de verre et d’air entre les deux, qui assure une meilleure isolation. Le double vitrage est plus cher que le simple vitrage, mais vous êtes clairement gagnant à moyen terme.

    HR++ verre

    Ici, il n’y a pas d’air entre les vitres, mais un matériau isolant. Ce type de vitrage est beaucoup plus cher, mais vous économisez encore plus en énergie ! Vous économisez même beaucoup plus qu’avec le double vitrage, donc si vous avez le budget, cela vaut vraiment la peine d’y réfléchir.

    Triple vitrage

    Le triple vitrage (HR+++) se compose de trois feuilles de verre avec un matériau isolant entre. Plus solide et isolant que les éléments ci-dessus, il est également beaucoup plus lourd et plus cher. Demandez à un auditeur énergétique si l’investissement est judicieux ou non.

  • Repeindre vos murs dans une teinte foncée ? Alors, suivez ces conseils !

    La couleur 2020, selon Pantone, est le Classic Blue, un bleu assez sombre. A en croire la sommité en la matière, il y a donc de fortes chances que 2020 soit l’année des intérieurs sombres !

    Sachez toutefois que choisir une teinte sombre pour votre intérieur n’est pas évident. Il y a quelques astuces à appliquer pour éviter de se retrouver dans une atmosphère confinée ! Voici 4 conseils à suivre pour que votre intérieur dégage une certaine chaleur !

    Conseil 1 : Attention à la hauteur du plafond !

    Si vous optez pour des nuances sombres, pensez à l’espace sous plafond. Si vous avez un plafond bas, vous feriez mieux de limiter les tons sombres aux murs. Si vous avez de hauts plafonds, une teinte sombre ne pose pas de problème. La règle est que votre plafond doit être d’au moins 2 teintes plus claires que les murs. L’équilibre étant la clé de tout, ne vous précipitez pas non plus sur tous les murs. Vous pouvez parfaitement ne peindre qu’un seul mur dans une teinte plus sombre !

    Conseil 2 : Le sol

    Si vous optez pour un sol et des murs sombres, cassez-les avec un tapis plus clair. Attention à ne pas combiner un plafond sombre avec un sol clair : ce genre de combinaison est rarement réussi.

    Conseil 3 : La décoration

    Une décoration sombre et vintage peut donner à la pièce un cachet supplémentaire. Quelques objets en métal ou du papier peint à fleurs peuvent distiller une atmosphère unique en son genre ! Optez toutefois pour des meubles à l’aspect assez « léger ».

    Conseil 4 : Éclairage

    Plus votre intérieur est chargé en décoration, plus vous aurez besoin de points lumineux. Optez pour un éclairage qui se démarque avec un lustre insolite ou design. Éclairer quelques murs sombres est également une excellente idée.

    Travailler avec des couleurs sombres exige un sens de l’équilibre. Si vous n’êtes pas sûr de vous, allez-y étape par étape, en commençant d’abord par un mur contrastant.

  • Poser du carrelage sur un plancher en bois ? C’est possible à cette condition seulement !

    La flexibilité relative d’un plancher en bois ainsi que les vibrations induites par les pas sur celui-ci proscrivent généralement la pose d’un carrelage collé sur ce type de sol. Néanmoins, si votre budget ne vous permet pas d’envisager d’autres solutions, pensez aux joints souples !

    C’est un écueil qui est souvent rencontré dans la rénovation de maisons anciennes. Comment convertir une pièce ou un entresol qui dispose d’un plancher, en une cuisine ou une salle de bain qui, par facilité, sera équipée d’un sol composé de carrelages ? Bien souvent, on se contente de la pose d’un panneau de construction rigide de type Wedi d’au moins 10 mm d’épaisseur sur le plancher, que l’on recouvre d’une feuille de fibre de verre puis de carreaux qui seront collés à l’ensemble avec du mortier.

    Une pratique qui, le plus souvent, débouche sur des joints de carrelage qui s’effritent au fil du temps. Si les carreaux de carrelage demeurent bien adhérents à l’ensemble, la planéité relative entre les différentes lattes du plancher entraîne inévitablement une désolidarisation des carreaux et, par conséquent, la dégradation des joints.

    Que faire ?

    La solution est dès lors d’opter pour un mortier à déformation ou pour un joint souple composé de mastic élastomère. Le premier, qui est disponible en différentes nuances, est un mortier spécial adapté à tous les supports qui rencontrent des contraintes mécaniques. Ce mortier, composé de ciment, de résine en poudre, de sables et de pigments, est à privilégier au moment de la pose du carrelage.

    Par contre, dans le cas d’un carrelage existant dont les joints se désolidarisent, mieux vaut opter pour un mastic élastomère, identique à celui utilisé pour les joints de dilatation dans le cadre d’une grande surface carrelée. Le principe est à peu de chose près, le même pour les joints entre les carrelages puisque tout comme le joint de dilatation, ceux-ci vont absorber les mouvements du carrelage, action que ne peut endurer un joint en mortier conventionnel.

  • Installer un escalier raide pour gagner de la place : que faut-il savoir ?

    Vous venez d’acheter une maison où la place fait quelque peu défaut ? Un escalier un peu plus raide permet de gagner pas mal d’espace. Mais comment s’assurer que les escaliers ne sont pas trop raides et que vous pouvez toujours monter et descendre en toute sécurité ? Voici quelques conseils.

    stairs
    Jonathan Mueller

    Pente maximale de 40 degrés

    Si votre escalier n’est pas plus raide que 40°, vous pouvez le monter et le descendre en douceur. Toute pente supérieure à 40° rend l’escalier inconfortable et souvent dangereux. Seul l’escalier des combles peut être encore plus raide, de par son usage plus sporadique…

    Calcul d’une pente confortable

    La hauteur et la profondeur (giron) des marches sont essentielles pour calculer la pente. Faites un pas entre 18 et 19 cm et un autre entre 20 et 25 cm : vous verrez qu’il s’agit d’un mouvement facile. Si vous souhaitez un escalier confortable, mieux vaut prendre en compte cette formule : la somme de deux hauteurs et du giron doit être comprise entre 57 et 63 cm.

    Outre la pente, le type d’escalier est également important. Un escalier droit prend un peu plus de place qu’un escalier tournant. Certes, il s’agit souvent d’une question de goût, mais pensez aussi aux côtés pratiques !

    Les avantages d’un escalier raide

    Dans les vieilles maisons, les escaliers raides sont classiques et permettent de gagner pas mal d’espace. Si vous aménagez un étage supplémentaire, vous n’avez pas toujours le luxe de disposer de beaucoup d’espace pour installer un escalier.

    Inconvénients possibles des escaliers raides

    Il faut être réaliste, un escalier raide a quelques inconvénients. Il est souvent plus difficile à grimper, ce qui peut être un problème à un âge avancé ou avec des enfants. Recouvrir cet escalier d’un antidérapant n’est pas une mauvaise idée pour éviter les chutes… Dans le même ordre d’idée, pensez à installer une rampe, même si ce n’est pas toujours esthétique. Dans le cas contraire, vous risquez de le regretter par la suite ! Sachez enfin qu’un escalier en colimaçon est beaucoup plus sûr qu’un escalier droit.

  • Devez-vous vraiment mettre du sel dans votre lave-vaisselle ou dans votre adoucisseur ?

    Mais pourquoi donc mettre du sel (et pas autre chose) dans votre lave-vaisselle ou dans votre adoucisseur domestique ? Est-ce vraiment indispensable ? Réponse ci-dessous !

    Le processus d’adoucissement de l’eau, à savoir la suppression du calcaire en son sein, est rendu possible grâce à une résine spéciale qui permet d’échanger les ions calcium et magnésium en ions sodium. Pour que le travail effectué par cette résine puisse s’inscrire dans le temps, celle-ci a besoin d’être régénérée afin de préserver ses propriétés adoucissantes. Une régénération qui consiste en un nettoyage à l’aide de saumure (de l’eau salée) qui va débarrasser la résine de tous les ions calcium et magnésium accumulés lors du filtrage de l’eau « dure ».

    Les ions sodium de la saumure, présents en quantité importante grâce à l’apport régulier en sel, vont se substituer progressivement aux ions calcium et magnésium. La résine se retrouve ainsi à nouveau saturée en ions sodium et redevient du même coup efficace pour adoucir l’eau.

    C’est donc pour cette raison qu’on adoucisseur « consomme » du sel qui va assurer la fonction régénérative de votre adoucisseur domestique. L’adoucisseur de votre lave-vaisselle ou de certaines lessiveuses haut de gamme effectue exactement la même opération. Donc non, il n’est pas possible de substituer le sel par autre chose…

  • Votre bien ne se vend pas ? Voici 3 conseils pour accélérer la vente !

    Vous restez avec une maison ou un appartement sur les bras et en dépit de tous vos efforts, ce bien n’a récolté aucune offre ? Pas de panique : voici quelques conseils pour accélérer la vente !

    Surtout, ne vous affolez pas si votre bien est toujours invendu au bout de quelques jours, voire semaines, suivant la région. En effet, Bruxelles et les autres grandes villes de notre pays (que ce soit au nord ou au sud), attirent toujours plus de demandes que les petits coins reculés de nos campagnes. Au bout de quelques mois, cependant, si le compteur d’offres est toujours à zéro, posez-vous les bonnes questions. Voici comment donner un coup de boost à votre bien !

    1. Réévaluer le prix

    C’est évidemment la première chose à laquelle on pense. Un prix trop haut par rapport au marché bloquera la vente. Votre bien pourrait donc vous coûter plus cher au final, surtout si un prêt immobilier est toujours d’application à son sujet ! Pour vous faire une idée du prix de votre maison, nous vous conseillons de naviguer sur www.immovlan.be et de partir à la quête de maisons comparables situées dans votre voisinage. N’ayez surtout pas les yeux plus gros que le ventre ! L’autre solution, c’est de faire appel à quelques agents immobiliers qui seront à même de faire une expertise de votre maison.

    2. Recalibrer l’annonce et la présentation

    Des photos prises rapidement, sans éclairage, un texte trop court, une absence de description… Si ces critères ne sont pas optimaux, votre annonce a de grandes chances de ne pas passer la première sélection des acheteurs… Mais ce n’est pas tout ! Soignez aussi les visites de votre bien, restez patient, ne soyez pas trop bavard et restez à l’écoute des clients. Tâchez aussi de rester conciliant, notamment au niveau du prix de vente. Enfin, mémorisez les données essentielles de votre bien.

    3. Home-staging

    Si, en dépit de tous vos efforts, votre bien reste toujours invendu, il est peut-être temps d’investir quelque peu. On pense notamment au rafraichissement des murs, à l’entretien du jardin et à toutes ces petites choses qui dévaluent votre bien. Présentez une maison propre et évitez les souvenirs de famille, que les acheteurs puissent déjà se projeter dans votre bien !

  • Comment se prémunir de tout cambriolage durant votre absence ?

    Avant de prendre la route pour célébrer le réveillon de Noël ou de fin d’année, veillez à suivre ces quelques recommandations afin d’éviter tout risque de cambriolage durant votre absence.

    La première recommandation est la discrétion ! N’apposez jamais de mot d’absence sur votre porte d’entrée ou vos fenêtres. Annulez les éventuelles livraisons à domicile, telles que le laitier ou le boulanger. Ne faites pas non plus mention de votre absence sur votre répondeur téléphonique mais demandez plutôt à votre opérateur de dévier les appels sur votre téléphone mobile.

    Pour les fenêtres en façade, branchez une ou deux lampes sur une minuterie à horloge aléatoire, vous simulerez ainsi une présence au sein de l’habitation. Pour les appartements dénué de fenêtres visibles, placez une radio derrière la porte d’entrée et veillez à ce que le volume soit audible depuis le hall, sans pour autant qu’on l’entende dans tout l’immeuble.

    Pour les absences de longue durée, prévenez un voisin de confiance qui pourra du coup relever le courrier et éventuellement baisser et remonter vos volets ou ouvrir et fermer vos tentures par intermittence. Enfin, n’attirez pas l’attention de vos voisins lors de votre départ.

    Serrures et cadenas

    Il va de soi qu’avant votre départ, vous veillerez à fermer à clé les portes et fenêtres de votre habitation, mais également votre garage. Si elles sont dénuées de serrure, fermez les barrières et grilles à l’aide de cadenas. Rangez ensuite vos clés dans un emplacement situé à l’abri des regards ou emportez-les avec vous.

    Verrouillez également les véhicules qui ne sont pas utilisés et cadenassez à un objet fixe vos motos, vélos et autres trottinettes. Si votre maison est munie d’un soupirail, veillez à ce que celui-ci soit bien fixé à sa base. Il en va de même pour les coupoles et lucarnes en toiture. Rentrez également vos échelles ainsi que vos outils de jardin. Activez ensuite votre alarme et, si nécessaire, prévenez votre central d’alarme de votre départ.

    Les absences prolongées peuvent également être signalées auprès de votre bureau de police local. Veillez aussi à ce que votre contrat d’assurance contre le vol et l’incendie soit bel et bien valide !

  • Peut-on dimmer une ampoule ou un luminaire à LED ?

    Avec l’hiver et le froid qui s’installent, les ambiances feutrées et chaleureuses sont particulièrement recherchées dans un intérieur. Une atmosphère que l’on peut facilement recréer grâce aux variateurs d’intensité ou dimmers qui ont la faculté de pouvoir jauger l’intensité lumineuse des ampoules et luminaires. Mais est-ce également possible avec la technologie LED qui envahit nos habitations ? Oui, mais moyennant deux conditions !

    Une ampoule ou un luminaire compatible

    Toutes les ampoules LED, et particulièrement les plus anciennes, ne sont pas compatibles avec un dimmer. La première chose à tenir à l’œil est donc la compatibilité de l’ampoule avec un variateur d’intensité. Lorsqu’un luminaire LED est dimmable, les fabricants le mentionnent généralement en toutes lettres sur lemballage. Techniquement, une lampe LED n’est pas dimmable. Pour qu’elle le soit, celle-ci doit être équipée d’un driver électronique qui va lui offrir cette faculté. Sans lui, la variation de lumière est impossible !

    Un variateur compatible avec les LED

    Pour pouvoir fonctionner convenablement, les LED ont besoin d’un passage de courant constant. Malheureusement, les dimmers les plus anciens, conçus à la base pour être utilisés avec des lampes à incandescence, ne le permettent pas toujours. Cette incompatibilité impose que vous remplaciez lancien variateur par un nouveau qui peut être couplé à une lampe LED.

    Le plus simple est d’opter pour un modèle universel, généralement baptisé RLC, qui est du coup compatible avec tous les types d’ampoules LED. Fin du fin, certains modèles intègrent également un système de déparasitage, destiné à éliminer un maximum de signaux perturbateurs du réseau afin de permettre aux lampes de fonctionner de manière optimale, sans papillotement ni bourdonnement.

  • Faut-il payer l’agent immobilier si l’acheteur n’obtient pas de prêt ?

    Vous vendez une maison ou un appartement par l’intermédiaire d’un agent immobilier. Faut-il payer les frais de ce dernier si l’acheteur n’obtient pas de prêt au bout du compte ?

    Si vous vendez une maison ou un appartement, l’acheteur demandera souvent qu’une condition suspensive d’obtention d’un prêt soit incluse dans le contrat de vente. Si l’acheteur ne reçoit pas de prêt, la vente ne peut pas avoir lieu. Dans ce cas, devez-vous payer l’agent immobilier ?

    Aucun achat, aucun paiement

    C’est la règle. La loi est claire à ce sujet. En effet, elle stipule que si une condition suspensive d’un contrat d’achat n’est pas remplie, aucune indemnité n’est due à l’agent immobilier.

    Le contrat dit autre-chose ?

    Votre agent immobilier ne peut pas prendre d’autres dispositions avec vous. Il ne peut donc pas convenir contractuellement que vous devrez quand même le payer si la condition suspensive n’est pas remplie. S’il y a une telle clause dans le contrat, elle n’est tout simplement pas valide. L’agent immobilier ne pourra donc de toute façon pas l’invoquer pour vous demander une indemnisation.

    Et si vous agissez en tant que société ?

    Si vous vendez une propriété appartenant à votre société professionnelle, les règles précédentes ne s’appliquent pas. Un agent immobilier peut inclure une disposition qui indique que vous devez une indemnité dans le cas où une condition suspensive n’est pas remplie. Lisez donc attentivement le contrat avant de le signer et supprimez ce genre de condition.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)