Blog

  • Voici pourquoi il est plus facile de souscrire une assurance solde restant dû !

    Depuis le 1er février, les personnes qui ont eu un cancer et en ont été guéries peuvent plus facilement souscrire une assurance solde restant dû. Pourquoi ? On vous explique le tout !

    Les personnes autrefois gravement malades mais guéries, avaient jusqu’à présent du mal à souscrire une assurance solde restant dû. Une loi du 4 avril 2019 revoit enfin cette injustice. Cette loi est entrée en vigueur le 1er février.

    Pour qui ?

    La loi s’applique aux personnes qui ont été touchées par un cancer dans le passé mais qui en sont guéries. Dix ans après la fin d’un traitement réussi, un assureur n’est plus autorisé à en tenir compte lors de la demande d’assurance solde restant dû. Cette période de 10 ans peut être adaptée en fonction des catégories d’âge et/ou du type de cancer.

    La loi permet également d’introduire un « droit à l’oubli » pour certaines maladies chroniques. Le VIH, la leucémie chronique et l’hépatite chronique en sont des exemples.

    Impossible à refuser

    Un assureur ne peut donc plus refuser l’assurance solde restant dû à une personne jadis atteinte d’un cancer. Elle ne peut pas non plus demander une prime supplémentaire ou réclamer quoique ce soit d’autre.

    Cependant, un cancer doit être signalé

    Si vous demandez une assurance solde restant dû et que vous avez eu un cancer, vous devez quand même le déclarer à l’assureur. Cela s’applique même si vous êtes complètement guéri depuis plus de 10 ans !

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Un béton ciré chez vous ? 5 points d’attention !

    Une finition au béton ciré ? En voilà une bonne idée, mais vous n’êtes certes pas le premier, ce type de revêtement gagnant continuellement en popularité…

    Mais avant de vous lancer tête baissée dans ce projet, lisez d’abord les 5 conseils ci-dessous. Tout n’est pas forcément très rose avec du béton ciré !

    Pose d’une chape

    Avant de poser la chape, sachez que votre sol doit remplir un certain nombre de conditions. En effet, il doit être stable, sec et plat. Si votre sol n’est pas plat, vous pouvez toujours poser une couche de nivellement. Les plinthes doivent évidemment être enlevées avant de couler le béton. La température idéale lors de la coulée se situe entre 15 et 18°C.

    Quid des griffes ?

    Une remarque que l’on entend fréquemment concerne les rayures qui apparaissent très vite et que ce sol peut se fissurer… Si vous choisissez un sol en polyuréthane au lieu d’un sol en époxy, les rayures ont moins de chances d’apparaître.

    Qu’en est-il de la couleur ?

    Les sols en polyuréthane et en acrylique ne se décolorent pas et résistent aux UV. Les sols en époxy sont moins résistants et leur teinte se décolore au fil des ans. Une couche de protection peut empêcher les décolorations dues au soleil. Dans le cas contraire, votre sol semblera de plus en plus clair…

    Le chauffage par le sol est-il possible ?

    Si vous ne voulez pas de fissures et que vous désirez un chauffage par le sol, alors vous feriez mieux d’ignorer l’époxy. Les sols en polyuréthane, les tapis de pierre et les sols coulés, en revanche, sont compatibles avec le chauffage par le sol. Ces sols peuvent parfaitement supporter les fluctuations de température.

    Maintenance

    Il n’y a pas de joint et le sol est imperméable, donc les sols coulés et autres bétons cirés sont une bénédiction à entretenir. C’est une solution hygiénique, car la saleté ne peut pas s’accumuler. Il suffit de passer l’aspirateur et/ou de passer la serpillière avec un chiffon humide pour garder le sol propre.

  • Le vendeur veut rester un peu plus longtemps dans la maison ? 4 choses à faire !

    Le vendeur d’une maison ou d’un appartement que vous convoitez, désire y habiter pendant quelques mois après la signature de l’acte de vente. Est-ce possible et quelles précautions devez-vous prendre en tant qu’acheteur ?

    Le vendeur d’un bien immobilier souhaite parfois rester dans le bien vendu pendant un certain temps. Il peut y avoir diverses raisons à cela, comme un nouveau bien pas encore disponible, par exemple… Cela est parfaitement possible si vous, en tant qu’acheteur, y consentez. Néanmoins, il vaut mieux prendre un certain nombre de précautions. Au moment de la signature de l’acte, la propriété du bien (et les risques qui vont avec) vous sera en effet transférée.

    Prendre de bonnes dispositions concernant la durée

    Tout d’abord, assurez-vous de conclure des accords clairs sur la période pendant laquelle le vendeur peut continuer à vivre dans la propriété. Dans tous les cas, il faut prévoir une durée maximale (par exemple, six mois au maximum après la signature de l’acte) et stipuler que le vendeur doit quitter le bien acheté sans autre préavis, par exemple à l’expiration de ce délai. Vous pouvez également inclure une clause d’expulsion stipulant que le vendeur peut être expulsé par un huissier s’il ne part pas spontanément.

    Indiquez également dans le contrat que l’occupation est à « titre précaire » et qu’il n’y a donc pas de contrat de location entre vous et le vendeur. Après tout, s’il y a un contrat de location, le vendeur bénéficiera de la protection juridique des règles relatives à la location d’une maison.

    Souhaitez-vous convenir d’une compensation ?

    Vous pourriez convenir avec le vendeur d’une indemnité qu’il devra vous verser pour la période qu’il occupera la maison, après la signature de l’acte. Vous devez également vous mettre d’accord sur les coûts et les frais que le vendeur doit payer pendant cette période (par exemple, les coûts de certaines réparations qui doivent être effectuées). Pour ce faire, vous pourriez envisager de vous référer aux règles relatives à l’usufruit.

    Si aucune compensation n’est prévue et que vous autorisez le vendeur à séjourner gratuitement dans la maison, sachez que l’administration fiscale pourrait vous dire que le séjour dans la maison fait partie du prix d’achat (en d’autres termes que cet avantage a été déduit du prix d’achat). On pourrait alors dire que vous devez également des droits d’enregistrement sur cette prestation (la valeur locative estimée pour cette période).

    Etablir un état des lieux

    Il est également conseillé de rédiger un état des lieux contradictoire avec le vendeur. En cas de problème, cela vous permet de prouver que le vendeur a causé des dommages à la propriété pendant son séjour.

    Sachez qu’en outre, vous pourriez même convenir avec le vendeur qu’une partie du prix de vente sera bloquée jusqu’à ce que le vendeur quitte la propriété et qu’il s’avère qu’aucun dommage ne lui a été causé. En outre, assurez-vous que le bien est correctement assuré et demandez au vendeur d’être en ordre de son côté.

    Visiter ou travailler dans la propriété

    Dans l’accord que vous concluez avec le vendeur, vous pouvez également convenir que vous pouvez entrer dans la maison à certains jours et à certaines heures pendant la période où le vendeur est encore dans la maison (avec un entrepreneur ou un architecte, par exemple…). Cela vous permet de ne pas perdre de temps avec la prise des mesures, les devis… Vous pourriez même convenir que dans certaines pièces, vous pouvez déjà commencer à faire des travaux (par exemple, peindre certaines chambres).

    Donc, en fin de compte, tout est question de contenu dans le compromis. Le notaire auquel vous faites appel peut vous aider à mettre ces accords sur papier de manière correcte.

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • 5 conseils pour économiser le chauffage

    Économiser l’énergie peut se faire en optant pour des appareils de dernière génération, répondant aux normes environnementales les plus strictes, mais également en adoptant quelques réflexes très simples.

    1.     Optez pour un thermostat dambiance

    Acheter une chaudière moderne sans la seconder d’un thermostat d’ambiance compatible est un non-sens. Sans ce dernier, vous êtes contraint d’effectuer en permanence un réglage de vos vannes thermostatiques lorsqu’il fait froid ou que vous vous absentez. Le thermostat d’ambiance, lui, permet dopter pour une certaine température dans la maison, sans devoir perpétuellement régler les vannes des radiateurs. Manuel, programmable voire connecté, il existe plusieurs types de thermostat. On le choisira en fonction des caractéristiques de l’espace à chauffer ainsi que de ses besoins et de son budget.

    2.     Gérer intelligemment votre chauffage

    En règle générale, le chauffage ne fonctionne que cinq à six mois par an, ce qui ne l’empêche pas de représenter plus de 65 % de l’énergie consommée au sein d’une habitation ! Il convient donc de régler et d’utiliser son chauffage central de façon intelligente. Le thermostat se basant sur la température ambiante pour enclencher et éteindre la chaudière, c’est donc la température exigée qui va déterminer votre consommation.

    Opter pour une température de référence comprise entre 19 et 20° permet d’économiser de 10 à 25 % d’énergie par rapport à 21° et plus. Cela représente un gain annuel de 100 à 250 € sur une facture moyenne de 1.000 €/an ! Programmez également votre thermostat afin qu’il éteigne la chaudière durant votre absence, avec une température de référence de 15 ou 16°.

    Pour ce qui est des vannes équipant vos radiateurs, rien de sert d’ouvrir celles-ci à fond en espérant que la pièce se réchauffe plus vite. Leurs numéros correspondent en effet à des températures maximales auxquelles l’eau chaude ne pénètre plus dans le radiateur. Vous pouvez du coup régler vos radiateurs sur 3 ou 4 (environ 20°) dans les pièces régulièrement occupées, sur 2 ou 3 dans les chambres à coucher et sur 4 ou 5 lorsque vous êtes dans la salle de bain.

    3. Entretenez votre chaudière

    Cœur de votre installation de chauffage central, une chaudière doit être régulièrement entretenue pour fonctionner convenablement. C’est d’ailleurs une obligation légale.. Vous limiterez ainsi les risques de panne, tout en diminuant la consommation de combustible d’environ 5 %. Vous augmenterez dans le même temps la sécurité de votre appareil.

    4. Et entretenez vos radiateurs

    Pour qu’un radiateur remplisse parfaitement sa mission, à savoir bien diffuser la chaleur, ils doivent être purgés, dégagés de tout obstacle et dépourvus de poussière. Avant les mois les plus frais, on leur offrira donc un bon nettoyage ainsi quune purge généralisée. Cette opération vise à faire sortir l’air qui s’est introduit dans le circuit de chauffage et qui empêche l’eau de bien circuler au sein de l’appareil.

    À l’aide d’un tournevis ou d’une clé à radiateur, on commence par purger le radiateur le plus éloigné de la chaudière. Dès qu’il n’y a plus d’air (et que de l’eau se met à sortir), on referme immédiatement le petit robinet qui équipe chaque radiateur. Une fois l’opération effectuée, profitez-en pour vérifier la pression de la chaudière. Celle-ci doit se situer entre 1,5 et 2,5 bars.

    5. Aérez régulièrement votre maison !

    Durant l’hiver, on a tout logiquement tendance à tout calfeutrer afin d’éviter toute entrée d’air froid. Un réflexe légitime qui a néanmoins pour effet d’accumuler l’humidité au sein de la maison. De quoi encourager le développement de moisissures et d’acariens, mais également de mauvaises odeurs. Il suffit pourtant d’adopter le réflexe douvrir grand les fenêtres, deux fois par jour (idéalement le matin et le soir, avant de chauffer), durant une dizaine de minutes, en créant un courant d’air. Cela permettra de renouveler l’air et d’évacuer une grande partie des odeurs et particules polluantes qui stagnent à l’intérieur.

  • Tables de cuisson : vitrocéramique, induction ou gaz ?

    Quelles sont les taques de cuisson les plus efficaces et les plus faciles à manipuler ? Quelles sont celles qui sont les plus économes ? Autant de questions que lon se pose au moment d’équiper une nouvelle cuisine. Voici quelques pistes qui vous permettront dopérer le bon choix.

    La solution des chefs!

    Vous vous chauffez au gaz et disposez d’un raccordement dans la cuisine ? Vous avez alors tout intérêt à cuisiner au gaz car vous bénéficierez alors d’un tarif spécifique (tarif B, qui est appliqué par défaut si votre consommation excède 19.444 kWh/an).

    Outre cet aspect pécuniaire, le gaz est aussi l’énergie la plus recommandée pour cuisiner, celle-ci étant particulièrement réactive. Le gaz permet en effet de chauffer très vite, mais aussi de refroidir tout aussi rapidement une fois celui-ci éteint. C’est idéal pour une parfaite maîtrise de la cuisson.

    Inconvénient : le gaz peut faire peur à cause des risques d’intoxication au monoxyde de carbone voire d’explosion. Deux préoccupations qui, grâce aux appareils de dernière génération munis de système de sécurité, n’ont plus lieu d’être.

    L’induction comme alternative

    Les taques à induction représentent le fin du fin lorsqu’il s’agit de cuisiner à l’électricité. Celles-ci fonctionnent à l’aide d’un champ magnétique qui chauffe le fond de la casserole. Cette dernière doit donc être compatible avec cette technologie. Par rapport aux bonnes vieilles taques en fonte et aux vitrocéramiques, l’induction consomme de 30 à 40 % d’électricité en moins. En outre, comme le gaz, cela garantit une belle réactivité, avec une montée rapide en température.

    Et le vitrocéramique ?

    Si vous envisagez de rénover votre cuisine, gaz et induction sont clairement à envisager. Les taques vitrocéramiques ne font plus le poids en termes defficacité et d’économie, tout comme celles en fonte. Si vous êtes malgré tout contraint d’opter pour l’une de ces deux alternatives, minimiser votre consommation en mettant systématiquement un couvercle sur vos casseroles (cela diminuera le temps de chauffe), en n’utilisant que des casseroles au fond parfaitement plat et en optant toujours pour le foyer du bon diamètre.

  • De la moisissure chez vous ? Voici ce que vous risquez !

    En cette période hivernale, nombreuses sont les maisons à souffrir de problèmes d’humidité et de moisissure. Quels sont les risques ? Comment y remédier ?

    Les indices sont classiques : une odeur de moisi ou des tâches noires sur les murs, les joints, voire le rideau de douche… Ne laissez surtout pas les choses traîner, et traitez ces problèmes aussi rapidement que possible. En effet, outre les éventuels problèmes liés à la stabilité du bâtiment, l’humidité peut également entraîner des soucis de santé.

    Quelles en sont les causes ?

    Elles peuvent être multiples. L’humidité est généralement assez courante dans la cuisine et la salle de bain, pour des raisons évidentes. Une ventilation accrue, voire un déshumidificateur électrique peuvent apporter une solution. Evitez également d’étendre votre linge à l’intérieur. De manière générale, l’humidité est une conséquence du manque de ventilation. Toutefois, il peut y avoir des causes plus difficiles à reconnaître, comme une mauvaise conception du bâtiment.

    Quelles sont les risques pour la santé ?

    Les moisissures sont de minuscules champignons. Ces derniers peuvent se développer et libérer des substances toxiques dans l’air. D’une personne à l’autre, les risques diffèrent. Quels sont-ils ? Le développement d’allergies, d’irritations, d’écoulements du nez, d’éruption cutanée… Ce sont principalement les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes respiratoires (asthme, par exemple) qui sont les plus à risque.

    Quelles solutions ?

    Si la trace d’humidité est petite et très localisée, il est possible de la traiter en la nettoyant avec de l’eau de Javel et un produit anti moisissure. Prenez également des mesures de bon sens, comme aérer régulièrement vos pièces. Dans tous les autres cas, mieux vaut faire appel à un spécialiste, à même de traiter efficacement et définitivement tous vos problèmes d’humidité…

  • Achat d’un nouveau four : 4 points d’attention

    Cest lune des pièces maîtresses de la cuisine. Le four, généralement encastré ou positionné sous la table de cuisson, est devenu un accessoire dont on ne peut plus se passer pour cuisiner efficacement et rapidement. Mais entre les modèles dentrée de gamme et les références qui passent allègrement la barre des 1.000 , comment choisir le bon modèle ?

    À l’occasion de l’achat de votre nouveau four électrique, il est important de vérifier plusieurs critères avant de jeter votre dévolu sur l’un ou l’autre modèle…

    Les modes de cuisson

    On le sait, en matière de cuisine, la réussite d’un plat tient pour beaucoup dans sa cuisson. Quiche, viande ou gâteau, à chaque préparation son mode de cuisson privilégié. Du coup, si vous êtes du genre cordon-bleu, mieux vaut opter pour un four qui offre plusieurs fonctionnalités. Du côté des fours traditionnels, il existe généralement quatre modes de cuisson : la convection naturelle par voûte et sole, par sole uniquement (pour les pâtisseries), le grill et le tournebroche. Plus perfectionnés, les fours multifonctions offrent une cuisson plus rapide et plus homogène des aliments, et ce grâce au fait qu’ils sont dotés d’une turbine de ventilation qui permet de choisir entre un mode de cuisson à air brassé ou à chaleur tournante.

    L’entretien

    Les fours d’aujourd’hui disposent généralement d’une fonction d’auto-nettoyage qui fonctionne soit par catalyse, soit par pyrolyse. La première est un procédé qui détruit les résidus de graisse par oxydation pendant la cuisson des plats (au-delà de 180°) tandis que la pyrolyse détruit la graisse mais aussi les sucres résiduels à une température nettement plus élevée (500°), ce qui réduit le nettoyage à un simple coup d’éponge une fois le processus terminé. La catalyse, elle, nécessitera de frotter un peu plus.

    Le design

    Qui dit équipement encastré dit appareil qui s’intègre au mieux au style de votre cuisine. Du four au style rétro à l’appareil ultra épuré dénué de tout interrupteur ou mollette, le choix n’a jamais été aussi vaste qu’actuellement. Optez pour un modèle qui rehaussera l’ambiance de votre cuisine en misant sur sa forme et sa couleur.

    Porte battante ou coulissante ?

    La porte battante équipe plus de 95 % des fours. Elle représente la solution idéale lorsque le four est situé sous un plan de travail ou lorsqu’il est logé en hauteur. Certains modèles disposent de rails télescopiques qui permettent de faire coulisser les plats très facilement. D’autres proposent également un système qui vous permet de glisser la porte sous l’enceinte du four. Vous accédez ainsi directement au four, sans obstacle ce qui réduit les risques de brûlure.

    Autre possibilité : la porte tiroir qui, ici aussi, vous aidera à ne pas vous brûler. La porte coulisse tout simplement sur deux rails. Dans ce cas également, c’est sous un plan de travail que ces fours seront les plus appropriés.

  • Votre alarme : plutôt avec ou sans fil ?

    Vous souhaitez sécuriser votre maison avec un système d’alarme ? Sachez que plus de 90 % des alarmes vendues aujourd’hui sont sans fil. Nous allons brièvement énumérer les avantages et les inconvénients.

    Facile à installer

    Un système d’alarme sans fil est facile à installer par un professionnel. Il n’est pas nécessaire de poser des câbles, ce qui permet de gagner du temps… Et ce qui le rend aussi moins cher !

    A emporter

    Vous avez l’intention de déménager ou vous n’êtes pas sûr de vivre dans votre maison actuelle pour toujours ? Un système d’alarme sans fil vous accompagnera sans problème dans vos futurs logements.

    Flexible

    Un système d’alarme sans fil est facile à étendre. En quelques minutes, vous pouvez par exemple connecter une alarme incendie ou des caméras supplémentaires. Ainsi, vous pouvez opter pour une installation de base limitée et l’étendre à l’avenir. Cela vous permet d’étaler votre investissement sur une plus longue période.

    Piles

    Un système d’alarme sans fil fonctionne sur piles. L’avantage est que le système continue à fonctionner en cas de panne d’électricité, l’inconvénient est que vous devez remplacer les piles. Les piles de votre système dureront au maximum 3 ans. Un système d’alarme adéquat vous indiquera quand les piles doivent être remplacées. Sachez toutefois qu’il existe des systèmes avec fil et batterie, ce qui permet de profiter d’une certaine autonomie en cas de panne de courant.

  • Quid de la garantie en cas de panne de votre électroménager ?

    Que se passe-t-il si le petit électroménager de votre cuisine tombe en panne ? Avez-vous droit à une garantie en cas de défaut ?

    Votre réfrigérateur qui a moins de deux ans, semble être en panne. Pouvez-vous demander au vendeur de le réparer sous garantie ?

    Garantie de deux ans

    En principe, lorsque vous achetez un appareil électrique (qu’il soit encastré ou non), vous bénéficiez d’une garantie de deux ans. N’oubliez pas que si vous possédez l’appareil depuis plus de six mois, le vendeur peut vous demander de prouver que le défaut était déjà présent au moment de la livraison. Dans la pratique, cela n’est généralement pas demandé. Si c’est le cas, il faudra s’en remettre à un expert.

    Réparer ou remplacer

    La loi prévoit que vous avez le choix de demander une réparation ou un remplacement. Toutefois, ce choix ne doit pas être déraisonnable. S’il s’agit d’un petit défaut, vous ne pouvez pas simplement demander au vendeur de vous fournir un nouvel appareil et vous devez accepter une réparation. D’ailleurs, cette réparation doit être gratuite. Ainsi, le vendeur ne peut pas dire qu’il ne livre que les pièces gratuitement et que vous devez payer ses heures de travail.

    Garantie supplémentaire

    Après deux ans, en principe, la garantie expire. Il existe une exception à cette règle si le vendeur vous a accordé une garantie commerciale supplémentaire (de cinq ans par exemple) sur l’appareil. Si c’est le cas et qu’un défaut survient après deux ans, vous devez vérifier les conditions de la garantie pour voir jusqu’où elle va exactement et ce que vous pouvez demander au vendeur.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Cette méthode pourrait diminuer de 90% les risques de cambriolage

    On pensait que les voleurs agissaient principalement la nuit, mais sachez que les vols en pleine journée sont également très fréquents ! Nul n’est évidemment à l’abri d’une « visite », mais il existe néanmoins quelques solutions peu connues pour diminuer les risques…

    Interrogé par nos collègues de Sudpresse, Pascal Neyman, chef du corps de la police de Nivelles-Genappe, explique qu’il existe depuis une quinzaine d’années le « partenariat local de prévention ». Un système qui « permet aux citoyens de s’organiser pour collaborer avec la police et garder un œil vigilant sur leur quartier. Concrètement, nous encourageons les voisins à mieux communiquer entre eux, en cas de départ en vacances par exemple. »

    Et manifestement, en dépit de récents cambriolages dans une telle zone, ça marche ! Le chef de cette zone de police explique : « Nous avions beaucoup de faits sur Bousval et depuis que nous avons mis en place un partenariat local de prévention, nous constatons que le nombre de faits est en diminution de 90 % dans cette zone. Je suis persuadé que les zones qui bénéficient d’un tel partenariat vont dissuader les cambrioleurs, notamment grâce aux panneaux « Les voisins veillent » apposés à chaque entrée de quartier. »

    N’hésitez donc pas à ouvrir l’œil, d’autant que le chef de zone explique qu’à chaque coup de fil indiquant la présence de véhicules suspects, des agents sont envoyés sur place…

    Lire plus