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  • Une vidéo est-elle utile pour vendre votre propriété ?

    Ces dernières années, la vidéo a connu un essor considérable ! Les vidéos sont de plus en plus regardées et partagées. Une tendance dont vous feriez mieux de profiter si vous désirez vendre rapidement votre maison. En effet, les vidéos sont idéales pour mettre votre propriété sous les projecteurs et de la distinguer des autres.

    Il n’est pas nécessaire d’être un pro !

    Les agents immobiliers se chargent souvent de réaliser une vidéo de votre bien et celle-ci est souvent de belle qualité. Mais si ne désirez pas passer par une agence, vous pouvez réaliser vous-même une vidéo, via un smartphone décent. Marchez tranquillement dans votre maison, gardez l’image stable et filmez. C’est tout ce qu’il y a à dire. Vous pouvez commenter, mais ce n’est pas une obligation. Cela permettra à l’acheteur potentiel de profiter d’une vue plus dynamique de la maison qu’avec des photos.

    A relayer sur vos propres médias sociaux

    Si vous voulez utiliser votre réseau personnel pour vendre votre maison, une vidéo est toute indiquée ! Les vidéos sont de plus en plus populaires sur les médias sociaux et se prêtent très bien au partage. Qui sait, le nouveau propriétaire de votre propriété pourrait être parmi vos amis, ou à un ami de vos amis… Certes, les chances sont faibles, mais qui sait ?

    Et via un agent immobilier ?

    Si vous décidez d’utiliser les services d’un agent immobilier, renseignez-vous sur les possibilités de faire une vidéo. De nombreux agents immobiliers proposent des forfaits, parfois avec un léger supplément. Souvent, la vidéo ne montre pas que la maison, mais également les environs immédiats. Les personnes qui prennent rendez-vous après avoir regardé la vidéo sont déjà bien informées et les chances qu’elles fassent une offre sont plus élevées. Cela permet d’éviter de nombreuses pertes de temps et des visites inutiles…

    Mettez votre bien en valeur !

    Soyez honnête : inutile de zapper les points faibles de votre bien. Donnez une image réaliste de la maison ! Si celle-ci est vide, pensez à l’habiller avec du mobilier, ce qui la rendra plus attractive. En effet, quelques meubles donnent à l’acheteur un meilleur aperçu des espaces et des possibilités.

    Vérifiez toujours la qualité de votre vidéo avant de la diffuser. Une image stable est importante et, bien sûr, la qualité de l’image doit également être suffisante. Enfin, faites en sorte que votre maison soit à son avantage !

  • Revêtement de sol : Voici le choix de la rédaction !

    De nos jours, le consommateur fait face à une multitude d’alternatives lorsqu’il s’agit de choisir un revêtement de sol « en dur ». Entre les parquets contrecollés et autres PVC, il n’est pas facile d’effectuer le choix du type de sol à mettre en place à l’occasion de la rénovation ou de la construction d’un nouveau logement.

    Celles et ceux qui sont à la recherche d’une solution à la fois durable et esthétique optent bien souvent pour le parquet massif en chêne, et c’est un excellent choix. Voici pourquoi !

    Plusieurs vies

    À condition qu’il dispose d’une épaisseur suffisante (entre 15 et 25 mm), le parquet en chêne massif, lorsqu’il est endommagé, est très facile à rattraper. Grâce à sa couche d’usure, il pourra faire l’objet de plusieurs ponçages durant son existence et retrouver ainsi une nouvelle vie. À chaque rénovation, il faudra compter environ 1 mm de bois retiré.

    Très résistant

    Pour disposer d’un parquet massif qui résiste bien à l’humidité ainsi qu’à l’usure, il est primordial de porter une attention particulière à l’essence du bois du parquet massif. Le chêne étant réputé pour sa solidité et sa grande résistance à l’humidité, il représente l’un des meilleurs investissements en la matière.

    Des finitions multiples

    Autre avantage : les finitions qu’il est possible d’offrir au parquet en chêne. Le chêne massif brut peut par exemple être huilé, ciré ou vitrifié, ce qui permettra de lui offrir beaucoup plus de résistance. Il peut aussi subir plusieurs traitements grâce auxquels on pourra faire de lui un authentique élément de décoration. En fonction de vos besoins, le parquet en chêne peut également être vieilli, scié, sablé, martelé ou encore teinté.

    De quoi laisser libre cours à votre imagination et trouver aisément la couleur et le style du parquet qui s’accordent le mieux possible à la décoration de votre intérieur.

    Un bel investissement

    Contrairement à de nombreuses idées reçues, le parquet en chêne massif est un excellent investissement lorsqu’on compare le montant investi pour sa pose et sa durabilité à celui des différents autres types de revêtements de sol. Le parquet massif est en effet le seul revêtement dont la durée de vie équivaut à celle d’une habitation !

    Un excellent isolant

    Très bon isolant, le plancher en chêne permet d’économiser de l’énergie et donc de réduire le montant de vos factures. Il fait par ailleurs partie des revêtements de sol les plus chauds et est l’un des rares à pouvoir apporter une chaleur intense au sein de votre intérieur.

    Un revêtement intemporel

    Enfin, il est courant de voir dans les appartements et les maisons du parquet en chêne massif plutôt que différents autres types de revêtements. À ce titre, on peut le qualifier de grand classique, dans la mesure où il constitue une réelle valeur ajoutée à votre habitation.

  • Pouvez-vous laisser vos acheteurs potentiels « enchérir » les uns contre les autres ?

    Si vous vendez un bien, il se peut que plusieurs candidats veuillent offrir le prix demandé (voire plus). Êtes-vous autorisé à faire enchérir ces candidats les uns contre les autres ? Devez-vous obligatoirement vendre au plus offrant ?

    Si plusieurs parties sont intéressées par votre propriété, vous pouvez les faire « enchérir » les unes contre les autres. Vous pouvez, par exemple, demander à ces candidats de vous faire connaître leur meilleure offre à une date précise. Vous pouvez également leur demander de mettre leur meilleure offre dans une enveloppe fermée avant cette date limite.

    Faut-il vendre ?

    Quelle que soit l’importance des offres, en tant que vendeur, vous n’êtes pas obligé de vendre à l’un des enchérisseurs, même si l’on vous offre le prix demandé (ou plus).  Il est donc parfaitement possible de prolonger la vente du bien ou de le conserver. Mettre sa propriété en vente à un certain prix n’est qu’une offre de négociation. Vous n’êtes donc pas « obligé » de vendre. La vente n’aura lieu que si vous, en tant que vendeur, acceptez une offre spécifique.

    Le plus offrant ?

    Si vous finissez par vendre, vous n’êtes pas obligé de le faire au plus offrant.  Il est parfaitement possible de choisir un autre candidat, par exemple parce que vous avez un meilleur « feeling » avec lui ou parce qu’il ne veut pas se soumettre à une condition suspensive d’obtention d’un prêt hypothécaire.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Architecte-paysagiste : combien ça coûte ?

    L’architecte-paysagiste imagine, dessine et concrétise la réalisation de votre projet. Mais là où un architecte conventionnel va se concentrer sur la structure d’une maison ou d’un appartement, son confrère paysagiste va pour sa part se pencher sur l’extérieur, et plus particulièrement sur le jardin… ou la terrasse !

    L’architecte-paysagiste est ce qu’on peut appeler un designer des espaces extérieurs, qu’il va organiser et agrémenter d’arbres, de plantes et de fleurs afin de créer un jardin joliment décoré. Qu’il s’agisse d’un nouveau projet ou du réaménagement d’un jardin existant, le paysagiste est là pour vous apporter des solutions mais également des idées d’aménagement, en tenant compte de vos préférences et exigences, ainsi que de votre budget.

    À la fois visionnaire et grand connaisseur de l’univers végétal, il va vous accompagner dans la création d’un espace extérieur sur-mesure. Sa mission consiste également à sélectionner les plantes les plus adaptées à votre jardin afin que celles-ci puissent traverser les saisons sans dénaturer le look de votre jardin. Meublé, décoré et éclairé comme n’importe quelle pièce de la maison, ce dernier apparaît de plus en plus comme une extension de la maison à ciel ouvert.

    En ville aussi !

    Si, longtemps, les services des architectes-paysagistes étaient réservés aux propriétaires de maisons avec jardin, il n’en va plus de même aujourd’hui ! En effet, le paysagiste peut également s’occuper de l’aménagement de votre terrasse ou d’une toiture verte.

    Ces dernières années, de nombreux professionnels se sont spécialisés dans l’aménagement d’espaces plus ténus comme les balcons et terrasses qui, de plus en plus, font l’objet de transformations de la part des citadins. C’est encore plus le cas depuis la crise sanitaire qui a frappé le monde entier, la terrasse devenant une pièce supplémentaire ou un coin paisible à ciel ouvert qui n’a vraiment plus rien à envier au jardin !

    À l’aide de bacs, de jardinières, de revêtements de sol et de mur mais aussi de différents types de mobilier, ce professionnel va offrir une seconde vie à votre espace extérieur. En faisant entrer le végétal dans votre décoration extérieure, le paysagiste va transformer votre terrasse en un petit jardin extérieur, bien souvent à l’aide de plantes et d’accessoires qui exigent très peu d’entretien.

    Il n’oubliera pas non plus les aspects pratiques liés à l’aménagement extérieur urbain, en proposant notamment des accessoires et bacs sur roulettes ainsi qu’un système d’éclairage qui se fond dans ce nouvel environnement extérieur. Autant d’éléments qui vont concourir à rendre votre quotidien plus agréable et paisible !

    Quel coût ?

    Pour la conception du plan, comptez quelques centaines d’euros pour une terrasse, environ 350 à 400 euros pour un petit jardin de moins de 500 m² et jusqu’à près de 2.000 euros pour un terrain d’environ 80 ares.

  • Une seconde résidence à la côte belge : quels avantages ?

    Cette année, il ne sera peut-être pas possible de voyager à l’étranger… Une raison de plus pour investir dans une seconde résidence à la côte belge ? On voit cela avec vous…

    Un temps toujours meilleur et de nombreuses activités

    Le réchauffement climatique y est peut-être pour quelque chose, mais les étés sont de plus en plus chauds à la côte belge. Et s’il pleut, il y a de nombreuses alternatives pour se divertir ! Outre le littoral, pointons les nombreuses villes, musées et parcs d’attractions à l’intérieur des terres. De plus, de nombreux événements s’y tiennent tout au long de l’été. Et avec le tram, les déplacements sont très faciles. Le dimanche ? En été, tous les magasins sont ouverts sur la côte !

    Un air sain

    Des études le prouvent : l’air marin est plus sain. Même lorsqu’il fait plus froid, il est toujours sain et revigorant de prendre l’air et/ou de faire une belle promenade dans les dunes. D’ailleurs, il n’est pas nécessaire que le temps soit radieux pour laisser les enfants s’amuser sur la plage pendant quelques heures.

    Détente…

    Il n’est pas du tout indispensable d’aller à l’étranger pour déconnecter. Une deuxième résidence à la côte peut vous faire le même effet. Le bruit des vagues et la vue sur la mer vous détendront sur le champ…

    Facile à rejoindre

    Oubliez l’avion, la côte peut être rejointe facilement et à peu de frais. Passer un week-end à la côte belge est parfaitement envisageable. Si vous investissez plus loin, il vous faudra chaque fois prendre l’avion, ce qui n’est pas toujours possible… De plus, cette proximité permettra à votre famille de vous rendre visite.

    Un investissement intelligent

    Investir dans l’immobilier offre une grande sécurité, surtout à la côte ! En outre, si vous le souhaitez, vous pouvez également louer votre résidence secondaire pendant les périodes où vous ne l’utilisez pas.

  • Vous ne contestez pas la facture de votre entrepreneur ? Voici ce que vous risquez…

    Un entrepreneur a effectué quelques travaux chez vous et dans la foulée, vous recevez sa facture. Devez-vous la contester si vous pensez que les travaux n’ont pas été réalisés correctement ou que le prix est trop élevé ? Quel risque courez-vous si vous ne contestez rien et que vous décidez de ne pas la payer ?

    Bien sûr, il est toujours préférable de contester une facture avec laquelle vous n’êtes pas d’accord. Pour ce faire, envoyez une lettre recommandée à l’entrepreneur et faites-lui savoir pourquoi vous n’êtes pas d’accord avec sa facture. Faites-le le plus rapidement possible après avoir reçu la facture. Si vous contestez une partie seulement de la facture, vous pouvez bien entendu payer la partie non contestée.

    Et si vous ne contestez pas ?

    Si, en tant que particulier, vous ne contestez pas la facture (et que vous ne la payez pas), ce n’est en principe pas une catastrophe. Votre entrepreneur ne peut tirer de conclusion de votre silence. Il y a une exception à cette règle si votre silence est ce qu’on appelle « circonstancié » : dans certaines circonstances, le silence signifie que vous acceptez le contrat. Dans la pratique, c’est rarement le cas.

    Par ailleurs, de nouvelles règles juridiques stipulent que votre contractant ne peut pas prendre d’autres dispositions que celles qu’il a conclu avec vous dans le contrat. Il ne peut donc pas déterminer que vous acceptez la facture si vous ne répondez pas dans un certain délai.

    Et en tant que commerçant ?

    Si vous effectuez des rénovations pour votre entreprise, la règle est différente. Dans ce cas, une facture non contestée est présumée avoir été acceptée. Si votre entrepreneur porte l’affaire devant le tribunal, celui-ci donnera probablement raison à votre entrepreneur si vous n’avez pas contesté la facture.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Comment purger un radiateur ?

    Opération relativement simple à réaliser, la purge des radiateurs est essentielle au bon fonctionnement de votre installation de chauffage central. Voici quand et comment procéder !

    Purger un radiateur consiste à évacuer les bulles d’air mais aussi les particules qui s’accumulent dans l’eau du circuit de chauffage central et qui peuvent concourir à atténuer la performance de vos radiateurs.

    Quand faut-il purger ?

    Le meilleur moment pour procéder à la purge de vos radiateurs est lors de la remise en route de votre chaudière, généralement à la fin de la belle saison. En outre, la même opération peut être effectuée lorsqu’un ou plusieurs radiateurs ne diffusent pas la même température sur toute sa surface. C’est là un signe manifeste que des bulles d’air obstruent le passage de l’eau dans le circuit.

    Comment purger ?

    Avant toute chose, désactivez votre chauffage central et faites-en de même avec le circulateur lié à la chaudière. Pour vous éviter de vous compliquer la vie, réglez simplement votre chaudière en position été (généralement symbolisée par un petit soleil). Assurez-vous ensuite que tous les radiateurs soient bien froids.

    Munissez-vous d’une clé de purge et commencez par les radiateurs situés le plus bas dans la maison ou, pour les appartements, les plus proches de la chaudière. Opérez la purge radiateur après radiateur en terminant par le dernier du circuit de chauffage central. Si vous ne procédez pas de la sorte, les radiateurs risquent de se remplir à nouveau d’air dès que vous remettrez le circulateur en marche.

    Veillez aussi, lors de la purge, à ce que les vannes thermostatiques soient ouvertes à fond. La vis de purge se trouve généralement en haut du radiateur, à l’opposé de la vanne thermostatique. Avant de placer votre clé sur la vis de purge, placez un récipient sous cette dernière. Commencez à la dévisser jusqu’à ce que vous entendiez un petit sifflement. Peu après, de l’eau va s’écouler en crachotant. Laissez la vis ouverte jusqu’à ce que le filet d’eau qui s’écoule soit régulier. Dès que c’est le cas, refermez la vis sans forcer. Réglez ensuite la vanne du radiateur sur sa température habituelle.

    Reste à rétablir la pression

    En procédant à la purge de vos radiateurs, vous avez probablement fait baisser légèrement la pression de l’eau à l’intérieur du circuit de chauffage. Il convient de rétablir celle-ci en ajoutant de l’eau via le robinet de remplissage qui se trouve en général sous ou à proximité de la chaudière. Avant de l’ouvrir, repérez le manomètre sur le tableau de bord de la chaudière. Procédez au remplissage si cela est nécessaire et fermez le robinet dès que l’aiguille a atteint la pression recommandée (représentée par une zone verte sur le compteur à aiguille).

    Au moindre doute ou si vous avez des questions, mieux vaut consulter votre chauffagiste avant de faire quoi que ce soit !

  • Votre jardin a besoin de vos… coquilles d’œufs ! Voici 7 manières de les utiliser

    Ne jetez plus vos coquilles d’œufs de poule ! Celles-ci sont en effet très utiles au jardin. Voici sept manières de leur donner une seconde vie !

    La coquille d’un œuf de poule se compose à plus de 95 % de cristaux de carbonate de calcium, de protéines, de magnésium, de fer et de potassium. Un cocktail qui peut s’avérer très utile dans votre jardin.

    1.   Comme engrais

    Riche en calcium, la coquille d’œuf de poule est un très bon engrais naturel. Réduite en petites particules à l’aide d’un mortier et d’un pilon, celle-ci peut être directement incorporée dans le fond d’un pot de fleur, dans le terreau de vos semis au printemps ou encore au potager.

    2.   Enrichir votre compost

    Les mêmes coquilles pilées peuvent être ajoutée ponctuellement à votre compost afin de l’enrichir. Ici aussi le carbonate de calcium sera très utile et améliorera la qualité de votre humus.

    3.   Comme répulsif !

    Écrasées plus sommairement, les coquilles feront merveille autour des salades et des plantes qui ont l’habitude d’être dévorées par les limaces. Elles joueront ici les répulsifs naturels puisque grâce aux arêtes tranchantes des coquilles, les vilains mollusques éprouveront quelques difficultés à accéder à vos plantations et préfèreront du coup les éviter.

    4.   Pour de belles tomates !

    Au potager toujours, les mêmes coquilles pourront être éparpillées autour de vos plants de tomates et de concombres. Ici, leur présence sur la terre permettre de prévenir la pourriture apicale, celle-ci survenant en pleine période de croissance lorsque la terre n’est pas assez riche en calcium.

    5.   Les poules en raffolent !

    Si vous avez des poules, offrez-leur un complément en calcium en mélangeant les morceaux de coquilles à leurs graines ou à des restes de nourriture. Veillez cependant à bien les rincer et à retirer la membrane intérieure, puis laissez-les sécher. Vous verrez qu’elles seront rapidement dévorées !

    6.   Préserver vos arbres fruitiers

    Broyées grossièrement, les coquilles d’œuf peuvent être suspendues dans des petits filets aux branches de vos arbres fruitiers. Une méthode naturelle qui préservera ces derniers de certaines maladies courantes comme la cloque.

    7.   Petits pots

    Enfin, les œufs à la coque, ouverts avec soin en leur sommet, pourront être utilisés en tant que petits pots à semis. Une fois vidé, nettoyez délicatement l’intérieur de l’œuf, laissez-le sécher, puis percez un petit trou à sa base afin que l’eau puisse s’évacuer. Vous n’avez plus qu’à y ajouter du terreau puis à planter vos graines. Un support idéal pour aider vos jeunes plants à grandir avant de les repiquer au jardin.

  • Châssis : Bois, PVC, alu… Avez-vous pensé aux formules alternatives et méconnues ?

    Au moment de remplacer ou d’installer vos châssis, la question peut légitimer se poser. Quel est le meilleur matériau ? On fait le point sur les avantages de toutes les solutions !

     

    Les châssis en PVC souffrent parfois de quelques préjugés. Pourtant, oubliez tout : ils présentent de très bonnes valeurs d’isolation, adoptent la finition que vous désirez (imitation bois, par exemple), sont peu onéreux et ne demandent que très peu d’entretien.

    Les châssis en bois sont clairement les plus isolants. Ils distillent également une ambiance unique ! Reste évidemment la question de l’entretien. Sachez toutefois à ce sujet qu’aujourd’hui, le bois employé est souvent traité et ne doit plus être entretenu comme jadis.

    Les châssis en aluminium sont très résistants et sont parfaitement indiqués pour les (très) grandes baies vitrées. L’entretien d’un tel châssis est de plus, réduit à de simples opérations de nettoyage !

    Voilà pour les formules classiques. Il existe cependant d’autres solutions :

    Les châssis PVC-Aluminium : ces châssis présentent un capotage extérieur en aluminium pour plus de résistance. L’efficacité du PVC et la solidité de l’aluminium : une combinaison facile d’entretien et solide, même par les températures les plus extrêmes !

    Les châssis Bois-PVC : à l’extérieur, le PVC offre une résistance optimale contre les pluies, la chaleur, les tempêtes… Mais à l’intérieur, le bois apporte toute sa chaleur et son authenticité ! Un mariage élégant et réussi !

    Les châssis Bois-Aluminium : une fenêtre en bois, mais un capot extérieur en aluminium ! Ce mariage permet d’opter pour des bois plus écologiques, d’apporter de la chaleur à votre intérieur, tout en offrant une redoutable protection extérieure contre les intempéries !

    Les châssis Bois-PVC-Aluminium : c’est le meilleur des mariages ! Du PVC pour les profilés, de l’aluminium en partie extérieure pour une protection au meilleur niveau et du bois massif côté intérieur, pour une authenticité et une chaleur incomparables…

    Plus d’infos sur les grosses promotions du moment !

  • Vous désirez que votre nouveau partenaire achète une partie de votre maison ? Voici comment faire !

    Si vous êtes propriétaire d’une maison et que vous entretenez une relation durable avec une nouvelle personne qui désire emménager chez vous, il ou elle pourrait vouloir acheter (une partie de) votre maison. Mais comment faire ?

    Si vous vivez ensemble, il n’est pas rare que vous et votre nouveau partenaire remboursiez le prêt pour la maison et couvriez ensemble les frais de rénovation. Si la maison n’est que votre propriété, il peut arriver que votre partenaire veuille également acheter une partie de la maison …

    Parfaitement possible

    Votre partenaire peut parfaitement vous acheter une partie de la maison. Une telle vente doit être faite par acte notarié. Votre partenaire devra alors payer les droits d’enregistrement sur le prix d’achat, ainsi que les frais et honoraires notariaux. Notez qu’il s’agit donc d’une opération très coûteuse.

    Contribution

    Une alternative bien moins coûteuse est d’épouser ce partenaire.  Vous pouvez ensuite conclure un contrat de mariage dans lequel vous faites entrer la maison (ainsi que le prêt qui y est lié) dans la communauté des biens. Votre partenaire peut alors à son tour, apporter un montant égal d’actifs afin de rééquilibrer l’apport. Dans ce cas, vous ne devez pas payer de droit d’enregistrement, mais seulement le coût du contrat de mariage.

    Autre possibilité

    Si votre partenaire investit dans votre propriété, vous pouvez également conclure un accord qui stipule que vous vous engagez à lui verser une certaine somme si vous vous séparez, mais que votre partenaire ne deviendra pas copropriétaire de votre bien. Ce genre de contrat doit idéalement être réalisé par un avocat ou un notaire.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)