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  • 6 conseils pour bien choisir les chaises de votre salle à manger !

    Il s’agit souvent d’un budget conséquent et les possibilités en la matière semblent infinies. Comment s’y retrouver ? Comment opter pour le bon modèle ?

    Matelpro

    Avec ou sans accoudoir ?

    Si vous avez pour habitude de régulièrement recevoir la visite d’amis ou de rester longtemps à table après avoir mangé, une chaise de salle à manger dotée d’accoudoirs est sans doute la meilleure option. Bien entendu, vous devez également tenir compte de la taille de la table et de l’espace dont vous disposez. Les chaises avec accoudoirs prennent en effet, souvent plus de place.

    Correspondent-elles à votre intérieur ?

    Bien entendu, il est important qu’elles s’harmonisent au mieux avec le reste de votre intérieur, à commencer par votre table à manger. Si vous n’arrivez pas à trouver un modèle qui reprend l’une des teintes de votre table, nous vous conseillons d’opter pour un modèle classique, de couleur neutre et au style indémodable.

    Testez-les !

    Bien sûr, il est toujours possible de les commander en ligne, mais si vous êtes du genre à les utiliser tous les jours, mieux vaut vous assurer de leur confort en les essayant directement dans le magasin !

    L’assise !

    Le confort d’une chaise est largement déterminé par la profondeur et la hauteur de l’assise. Ici aussi, le mieux est encore d’essayer, car il n’y a pas de règle d’or. Si vous avez de longues jambes, une assise plus profonde est évidemment un must !

    Type de matériau

    Encore un choix crucial ! En effet, si vous avez de jeunes enfants, vous serez peut-être tenté par du plastique, un matériau facile à laver. Une chaise en tissu, pour sa part, apporte un certain cachet, mais est plus complexe à l’entretien. Le cuir et le simili sont de bons compromis, mais ces matériaux ne sont pas forcément agréables en été, pour les jambes nues.

    Surveillez votre budget !

    Le prix peut fortement varier d’un modèle à l’autre. Déterminez votre budget à l’avance et essayez de vous y tenir. Une sélection naturelle se fait alors… Si celle-ci ne vous convient pas, évitez de vous rabattre sur des modèles plus bas-de-gamme : sur le long terme, ce choix est rarement payant ! Attendez donc de réunir le budget suffisant…

     

  • Vous comptez acheter une vieille maison ? Voici les travaux à prévoir !

    Vous avez acheté ou comptez acquérir une maison à rénover ? Sachez qu’outre les travaux d’agrément, certains sont tout simplement indispensables !

    Commencez par le gros œuvre

    En matière de rénovation, il est indispensable de commencer par l’enveloppe extérieure avant de s’attaquer à l’intérieur. Inspectez donc bien tous les aspects essentiels : stabilité, humidité, toit… Trop souvent en effet, on voit des panneaux photovoltaïques installés sur une toiture vieillissante ou des murs repeints alors que des problèmes d’humidité persistent…

    Non, cela ne va pas être facile…

    Sachez que tant mentalement que physiquement, un chantier de rénovation est éprouvant. Il y a les travaux que vous recommencerez un nombre incalculable de fois, la poussière qui s’insinue partout, le bruit, le manque de sommeil, les finances mises à rude épreuve… A ce dernier sujet, planifiez vos dépenses à l’avance et calculez large !

    Quelles sont les normes auxquelles une maison doit répondre ?

    Toutes les régions de notre pays appliquent un code du logement. Il y est question de normes minimales en matière de sécurité, d’isolation, de salubrité… Sachez toutefois que ces normes s’appliquent surtout au marché de la location. Cela dit, il nous paraît indispensable de les respecter, quelle que soit la destination du bâtiment !

    D’ici 2050, tous les logements auront la même efficacité énergétique

    Contrairement aux nouvelles constructions, les rénovations ne doivent pas (à l’heure actuelle) respecter des normes énergétiques. Néanmoins, si vous comptez rénover, mieux vaut penser sur le long terme. Par ailleurs, selon les régions, sachez qu’il existe des primes à l’isolation.

    Pensez également à votre production d’énergie : investir dans des panneaux photovoltaïques ou dans une chaudière à haut rendement, c’est payer plus aujourd’hui, mais pour économiser beaucoup demain. A vous de faire le calcul, tout en considérant attentivement les diverses primes régionales et votre probable consommation. Et mieux vaut mettre le paquet car d’ici 2050, 99% des maisons devront être rénovées et atteindre les objectifs énergétiques européens.

     

  • Un carreau de carrelage cassé ? Voici comment le réparer !

    Allez, avouons-le : nous avons tous un carreau de carrelage cassé quelque part dans notre maison. On vous rassure tout de suite, ce n’est pas un drame, car cela peut se réparer. Ne tardez pas trop avant d’effectuer la réparation : dans une salle de bains, un carreau de carrelage cassé peut engendrer des problèmes d’humidité.

    1 l Enlevez le joint autour du carreau.

    Retirez le joint autour du carreau à l’aide d’un retire joint.

    2 l Brisez le carreau

    Pour vous faciliter la tâche, nous vous conseillons de briser le carreau de carrelage. Brisez-le à l’aide d’un marteau ou d’un burin mais faites attention à ne pas égratigner les autres carreaux !

    3 l Enlever le carreau

    Avec un ciseau de maçon, vous pouvez retirer le carreau. Faites-le avec soin pour protéger les autres carreaux et ne pas vous blesser.

    4 l Éliminer les résidus de colle

    Les résidus de colle dure peuvent être enlevés avec un couteau à mastic. Veillez à ce que la surface soit propre et régulière.

    5 l Poser un nouveau carreau

    Etalez précautionneusement la colle sur le carreau et placez-le correctement à l’aide de croisillons. Lorsque la colle est sèche, enlevez les croisillons.

    6 l Finition

    Laissez sécher pendant au moins 12 heures. Ensuite, appliquez un joint de couleur autour du carreau. Enlever l’excès de mortier avec une éponge, tant que ce dernier est encore humide. Veillez à ce que le mortier reste bien en place !

     

  • Faire rédiger un bail de location par un notaire : quel intérêt ?

    En principe, lorsque vous louez un bien immobilier, aucun notaire n’intervient dans l’établissement du contrat. Toutefois, sachez que cette intervention est toujours possible et parfois même, obligatoire ! On vous en dit plus ?

    Un bail est généralement conclu « à titre privé ». Il est donc rédigé par un agent immobilier ou par le propriétaire. Généralement, c’est un modèle déjà préconçu qui est utilisé à cette fin. À quelques exceptions près, ce genre de contrat est toujours valable.

    Parfois, un notaire est nécessaire

    Toutefois, pour certains contrats spécifiques, le passage par un notaire est obligatoire. C’est notamment le cas si vous souhaitez conclure un bail avec un locataire d’une durée supérieure à 9 ans. Il en va de même pour un bail commercial d’une durée supérieure à 9 ans.

    C’est toujours permis et parfois même recommandé !

    Sachez qu’il est toujours possible de faire appel à un notaire pour rédiger un bail. L’avantage d’un bail notarié ? C’est que ce bail est à « titre exécutoire ». Comprenez qu’il n’est pas nécessaire de passer devant un tribunal pour faire valoir vos droits de propriétaire, notamment lorsque le locataire est un mauvais payeur !

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

     

  • Un air sain chez vous en plein hiver ? 6 erreurs classiques à éviter !

    Pour un air intérieur aussi sain que possible, évitez ces 6 erreurs dont nous sommes souvent coupables !

    clean air

    1.    Ne pas aérer suffisamment !

    C’est indispensable ! Aérer environ 15 minutes par jour permet de renouveler de votre maison. Pensez-y lorsque vous vous levez le matin, d’autant que 15 minutes ne vont pas suffire à refroidir toute votre maison !

    2.    Choisissez le bon aspirateur !

    Encore une fois, pensez à aérer la pièce où vous prenez les poussières. Concernant les aspirateurs, optez de préférence pour un modèle doté d’un filtre HEPA qui va capturer les particules les plus fines et les empêcher d’être à nouveau propulsées dans l’air. Pensez aussi à changer le sac à temps (ou à vider le bac).

    3.    Pensez à la face arrière des radiateurs !

    Lorsque vous prenez les poussières, pensez à jeter un œil derrière les radiateurs : la poussière qui s’y niche rend non seulement ces radiateurs moins efficaces, mais de plus, elle se voit diffusée dans l’air !

    4.    Le plumeau, une fausse bonne idée ?

    En prenant les poussières avec un plumeau, vous risquez de remuer les poussières qui vont à nouveau être dispersées dans l’air ambiant. Optez plutôt, et dans la mesure du possible, pour une lingette humide qui va les capturer.

    5.    Le linge à sécher, pas dans votre salon svp !

    Placer son linge dans le salon fait rapidement relever le taux d’humidité de la pièce… ce qui n’est pas sans conséquence pour les personnes ayant des problèmes respiratoires ! La meilleure solution en hiver, c’est d’opter pour une pièce à part, chauffée et ventilée.

    6.    Quelle température pour votre maison ?

    Une température trop fraiche rehausse le taux d’humidité de votre maison. A l’inverse, une température trop élevée assèche l’air intérieur. L’idéal ? Entre 18 et 20 degrés.

  • Vous désirez une extension ? 4 conseils !

    Vous manquez de place dans votre maison et envisagez une extension ? Il s’agit effectivement d’une solution efficace pour gagner de l’espace supplémentaire. Sachez toutefois qu’il y a de nombreuses contraintes…

    Une bonne préparation est essentielle

    La préparation est effectivement, absolument essentielle et se doit d’être minutieuse ! Mettez tout sur papier ou, si le chantier vous effraye, contactez des professionnels. Pensez bien à toutes les fonctions que cet espace devra assurer. Penser également aux aspects pratiques et à l’emplacement des portes/fenêtres/cloisons/murs porteurs… Sachez qu’il existe de nombreux outils en ligne permettant de créer des plans rapidement et facilement.

    Un permis d’urbanisme est-il nécessaire ?

    Renseignez-vous auprès de l’urbanisme quant aux documents et permis nécessaires : en effet, dans la majorité des cas, un permis d’urbanisme est indispensable.

    Demander plusieurs devis

    Vous désirez faire appel à des professionnels ? Demandez plusieurs devis. Comparez non seulement les prix, mais aussi leurs projets déjà réalisés et évaluez les garanties. Si vous engagez un entrepreneur, veillez à ce que tout soit soigneusement consigné sur papier : délais, échelonnement du paiement, matériaux utilisés… Si vous avez un doute sur le contrat, demandez à un avocat d’y jeter un coup d’œil.

    Pensez à l’avenir !

    Afin d’éviter tout regret après quelques années, optez pour la meilleure isolation possible et voyez suffisamment grand. Il serait dommage de manquer de place et/ou, de payer une fortune en énergie !

     

  • 5 astuces pour occulter sa chambre à coucher

    La moindre source de lumière a tendance à vous réveiller, ce qui altère la qualité de votre sommeil ? Pensez alors à occulter votre chambre !

    dark bedroom
    Quin Stevenson

    Pour de nombreuses personnes, la lumière qui pénètre dans la chambre à coucher peut constituer une vraie nuisance, particulièrement au petit matin. D’autres par contre peuvent tout à fait se passer de rideaux et s’accommoder de la lumière du jour. Pour la première catégorie, il conviendra d’occulter autant que possible la chambre à coucher afin que l’aurore ne vienne pas gâcher une bonne nuit de sommeil. Voici 5 astuces qui vous permettront d’obtenir l’obscurité la plus complète dans votre chambre.

    Optez pour des rideaux occultants

     

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    Premier bon réflexe en la matière : se débarrasser des voilages et autres rideaux légers au profit d’exemplaires pourvus d’une couche de tissu occultant. Cela vous permettra d’empêcher la lumière extérieure de pénétrer dans la chambre, qu’il s’agisse du soleil matinal ou d’un lampadaire dans la rue. Si vous ne pouvez vous passer de vos rideaux actuels, qui sont par exemple assortis à votre papier peint, vous pouvez alors doubler ceux-ci d’une couche occultante. Dans un cas comme dans l’autre, pensez à choisir une tringle plus large que vos fenêtres ! De quoi vous prémunir de toute bande lumineuse qui pourrait se former à l’extrémité de la fenêtre !

    Pensez aux stores de fenêtres

    Autre solution pour parvenir à occulter une pièce : les stores de fenêtres, qui peuvent être installés à l’extérieur comme à l’intérieur. Qu’ils se présentent sous la forme d’un textile déroulant ou d’une structure pourvue de lames, ils permettront de réduire considérablement la lumière dans une pièce. En outre, ils concourent à assurer une meilleure isolation, tant thermique qu’acoustique.

    Des joints adhésifs pour vos portes

    Il peut arriver que les sources de lumière proviennent d’un couloir ou d’une pièce voisine et qu’elles entrent dans la chambre par les interstices qui demeurent entre une porte et ses chambranles. De quoi former un halo particulièrement gênant, qui se diffusera alors dans toute la pièce. Dans ce cas, il existe des joints adhésifs qui se placeront facilement, tant sur la porte que sur le cadre qui la borde. Pour le bas de la porte, on peut aussi opter pour un boudin ou un tapis épais.

    Des films opaques à placer sur les fenêtres

     

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    Peut-être moins esthétiques mais diablement efficaces : les films opaques adhésifs. Ceux-ci feront parfaitement l’affaire pour une fenêtre intérieure, dans le cas par exemple d’une salle de bain qui donne sur la chambre à coucher. Ces films, qui se placent directement sur le vitrage, peuvent être appliqués mais aussi enlevés facilement, grâce à des propriétés électrostatiques. Ils peuvent du coup aussi se placer sur des fenêtres qui donnent sur l’extérieur.

    Débrancher tous les appareils qui émettent de la lumière

    Enfin, on n’y pense pas souvent mais les réveils, les téléviseurs et autres appareils électroniques peuvent aussi être la source de lumières parasites, sans compter les champs électromagnétiques qu’ils peuvent générer, eux aussi perturbateurs de notre sommeil. Pour parvenir à une obscurité totale, il suffit bien souvent de débrancher ces appareils ou de les couvrir d’un magazine ou d’un post-it.

  • Imperméabiliser le cuir : Voici l’erreur à ne surtout pas faire !

    Avec le retour de la pluie, on ressort les bottines de l’armoire. L’occasion de les nettoyer et de les imperméabiliser mais en évitant de recourir à des produits nocifs !

     

    Utilisé depuis les années cinquante, le silicone se retrouve partout, qu’il s’agisse des produits ménagers ou cosmétiques. Tantôt huileuse, tantôt cireuse, pâteuse voire aqueuse, sa composition peut prendre différentes formes. Mais aujourd’hui, le silicone est l’un des composants chimiques les plus décriés, d’une part pour son empreinte écologique désastreuse, et d’autre part pour ses effets occlusifs, que cela soit sur le cuir, mais aussi la peau ou les cheveux dans le cas des produits cosmétiques.

    Il faut que ça respire !

    Le cuir, qui entre dans la composition de bon nombre de chaussures de ville, est un matériau naturel qui a besoin de respirer. En recourant à un imperméabilisant, on va appliquer une barrière contre l’humidité, et donc éviter que l’eau ne s’infiltre dans le velin. Mais, dans le cas d’un imperméabilisant contenant du silicone, cette barrière va également empêcher le cuir de respirer ce qui va progressivement l’assécher. Résultat : le cuir perd en souplesse et finit par craqueler. Vos chaussures sont alors bonnes pour la poubelle !

    Vérifiez avant d’acheter !

    Pour éviter de devoir jeter votre paire de bottines préférée, vérifiez bien la composition de l’imperméabilisant que vous achetez ! Optez pour un produit dépourvu de silicone, qui respecte le cuir et lui permettra de respirer. La propriété hydrophile du cuir va lui permettre d’absorber une certaine quantité d’humidité, de la stocker puis de l’évacuer. Une propriété bien utile à l’intérieur de la chaussure mais qui l’est nettement moins à l’extérieur de celle-ci, dans un environnement froid et humide. D’où l’importance d’imperméabiliser la chaussure avec un produit adéquat. Votre cordonnier pourra vous conseiller en la matière !

    Quand et comment imperméabiliser vos souliers ?

    L’imperméabilisant s’utilise en fin d’entretien ou lorsque les chaussures sont neuves. Au préalable, vous allez donc devoir nettoyer, avec un lait nettoyant, nourrir, avec un cirage, et seulement ensuite vous pourrez apposer une couche d’imperméabilisant.

    • Vaporisez le produit à une distance d’environ 20 cm, sous la forme d’une première fine couche.
    • Laissez sécher 30 minutes puis appliquez une deuxième fine couche.
    • Effectuez 3 voire 4 passages afin de bien protéger vos chaussures. Cela va vous permettre de prolonger leur durée de vie et d’éviter les taches de gras ou de pluie, mais également les vilaines auréoles blanches propres à la neige.
  • 5 alternatives au radiateur classique

    Vous avez certainement rallumé votre chauffage… Et vous remarquez justement que vos radiateurs classiques sont de disgracieux intrus dans votre maison ? Bonne nouvelle, il existe de nombreuses alternatives sur le marché. En voici 5 parmi de nombreuses autres !

    Convecteur sous plancher

     

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    Une publication partagée par The Radiator Company (@theradiatorco)

    Imaginez un convecteur, mais intégré dans une fosse ! Tout ce que vous voyez, c’est une grille qui affleure le sol ! Cette solution permet de chauffer rapidement et peut parfaitement être combinée à de grandes surfaces vitrées descendant jusqu’au sol. Les convecteurs sous plancher peuvent être utilisés à presque tous les étages. Enfin, ce système vous permet de chauffer plus uniformément et plus efficacement qu’avec un radiateur classique.

    Un radiateur design

     

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    Une publication partagée par Geahchan Group (@geahchangroup)

    Si vous ne voulez pas faire de trop gros changements, votre radiateur classique peut être remplacé par un modèle au design plus élaboré : vous seriez surpris de l’étendue des possibilités en la matière, notamment pour la salle de bains !

    Chauffage au sol

     

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    Une publication partagée par Mrs B (@the_blooming_bungalow)

    Le chauffage par le sol, qu’il soit électrique ou relié au système de chauffage central, est naturellement invisible. Son gros avantage ? La répartition uniforme de la chaleur ! Sachez toutefois que votre sol doit être bien isolé dans sa partie inférieure. Comprenez donc que le chauffage par le sol peut se révéler au final, assez coûteux à installer. Heureusement, il ne nécessite pas beaucoup d’entretien une fois installé !

    Foyer à gaz

     

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    Une publication partagée par Krystin Trewin (@truformconstruction)

    Vous cherchez une alternative romantique ou un chauffage supplémentaire ? Le foyer à gaz est une solution moderne, d’autant qu’il peut être commandé depuis votre smartphone. Les flammes, bien qu’artificielles, sont magnifiques. La puissance calorifique de ces appareils étant importantes, choisissez une pièce aussi spacieuse que possible !

    Vitrage chauffant

     

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    Une publication partagée par IQ Projects (@iqprojectsuk)

    Cette alternative est moins connue : un peu à l’image de la lunette arrière dégivrante de votre voiture, vos vitres peuvent être chauffantes. Si vous avez des panneaux photovoltaïques, ce peut être une solution, surtout dans le cas d’une véranda. Si cette solution est onéreuse, elle a en revanche pour gros avantage de supprimer la sensation d’avoir une immense surface froide en hiver.

  • Vous commandez des matériaux de construction ? Le vendeur a alors une obligation envers vous !

    Si vous commandez à un vendeur de matériaux de construction quelque chose qui n’est pas en stock ou qui doit être fabriqué sur mesure, il vous demandera souvent une avance. Mais saviez-vous que dans ce cas, le vendeur a une obligation !

    Si vous passez une commande chez un vendeur de matériaux de construction, celui-ci voudra sans doute s’assurer que vous récupérerez bien votre commande par la suite. C’est pourquoi il demande généralement une avance.

    Bon de commande obligatoire

    Si le vendeur vous demande une avance, la loi l’oblige à vous remettre un bon de commande. Ce bon doit également contenir un certain nombre d’informations. Par exemple, il doit indiquer le nom et l’adresse du vendeur, ainsi que la signature de ce dernier. Ce bon doit aussi indiquer ce que vous venez de commander, le prix et l’acompte que vous avez versé. Vous avez ainsi la preuve de ce que vous avez déjà payé !

    Et sans acompte ?

    Si vous ne devez pas payer d’acompte, le vendeur n’est pas tenu de vous remettre un bon de commande. Dans la plupart des cas, le vendeur voudra toujours que vous en signiez un, à moins, par exemple, qu’il ne vous connaisse suffisamment bien ou qu’il soit sûr de pouvoir vendre les marchandises commandées à quelqu’un d’autre.

    Vérifiez le bon !

    Il est évidemment préférable de vérifier ce qu’il y est indiqué avant de le signer. Relevez donc si les marchandises commandées sont correctement décrites (à la fois la nature des marchandises et la quantité) et si le prix convenu est bien mentionné.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)