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  • 5 techniques pour nettoyer son four !

    Garder un four propre peut sembler une tâche ardue, car les restants alimentaires sont une plaie à enlever ! Notez qu’outre les nettoyages manuels, certains fours proposent des techniques d’auto-nettoyage. On fait le tour de tout avec vous !

    Nettoyage manuel

    Le Nettoyage Traditionnel : si votre four est ancien et dépourvu de fonction nettoyage, sachez que le nettoyage manuel reste une option efficace. Il vous faudra du bicarbonate de soude, du vinaigre blanc, une éponge et un peu de patience. Appliquez une pâte de bicarbonate et d’eau sur les parois du four, laissez reposer toute la nuit, puis vaporisez du vinaigre. Une réaction mousseuse aidera à déloger la graisse et les résidus alimentaires.

    Des Solutions Naturelles : pour ceux qui préfèrent éviter les produits chimiques, des solutions comme le citron et le vinaigre blanc sont des alliés précieux. Le citron, avec ses propriétés acides, aide à dissoudre les graisses, tandis que le vinaigre blanc désinfecte et désodorise efficacement.

    Nettoyage 2.0

    Le pouvoir de la pyrolyse : les fours dotés de la fonction pyrolyse chauffent à des températures extrêmement élevées pour brûler les résidus alimentaires en cendres, qu’il suffit ensuite de balayer. Ce procédé est non seulement efficace mais aussi sans effort. Attention toutefois à bien ventiler la cuisine pendant le cycle de nettoyage pour éviter les odeurs.

    La technologie catalytique : les panneaux catalytiques, intégrés dans certains fours, absorbent les graisses pendant la cuisson. Ces panneaux sont poreux et retiennent les éclaboussures de graisse, les décomposant à des températures élevées. Pour une efficacité optimale, nettoyez régulièrement les panneaux et évitez d’utiliser des produits abrasifs qui pourraient les endommager.

    L’efficacité de l’hydrolyse : Cette méthode utilise la vapeur pour faciliter le nettoyage. En ajoutant de l’eau au fond du four et en activant le mode hydrolyse, la vapeur d’eau ramollit les résidus alimentaires, qui se détachent facilement avec un chiffon. Cette technique est idéale pour un entretien régulier et rapide de votre four.

  • Gestion locative : tout ce qu’il faut savoir

    Mettre un bien immobilier en location ne s’improvise pas. Les propriétaires doivent s’acquitter de nombreuses formalités obligatoires. Heureusement, des aides existent.

    building

    La gestion locative englobe l’ensemble des démarches à effectuer quand on est propriétaire et que l’on souhaite mettre en location un ou plusieurs de ses biens. Les démarches débutent avec la recherche du locataire. Il faut ensuite rédiger et faire signer le bail de location, sans oublier de réaliser un état des lieux et récupérer un dépôt de garantie. Le propriétaire devra aussi fournir une liste complète d’informations au locataire avant la remise des clés (règles de la copropriété, les modes d’emploi des machines, une liste de contacts importants, etc.).

    Suivi des loyers

    Pendant le bail aussi, le propriétaire devra s’acquitter de plusieurs tâches. Le suivi du paiement des loyers constitue bien sûr l’une des étapes essentielles de la gestion locative. En cas de non-paiement ou de paiement partiel, il faudra envoyer un rappel selon une procédure précise. En cours de location, toujours selon des règles précises, le propriétaire pourra également indexer le loyer. Il devra en outre s’occuper du décompte des charges et de l’entretien du logement (maintenance de la chaudière, par exemple).

    Etat des lieux de sortie

    La gestion locative continue bien sûr à la sortie du locataire. Il faut effectuer un état des lieux de sortie afin de restituer, s’il n’y a pas de dégât, le dépôt de garantie. Si le logement a été dégradé, la loi autorise le propriétaire à retenir la somme nécessaire pour les réparations, voire à demander un complément si la somme garantie n’est pas suffisante.

    À l’aide ?

    On le voit, la gestion locative peut devenir chronophage. Surtout si l’on possède plusieurs biens en location. Et si ces biens sont de natures différentes, les règles variant en effet pour les habitations, les parkings, les biens commerciaux ou les bureaux. Heureusement, des solutions pratiques existent pour faciliter la gestion locative.

    Une question de confiance !

    La solution la plus confortable consiste à laisser la gestion de son bien à un professionnel. Pour cela, il est essentiel de trouver un gestionnaire de confiance, idéalement proche de l’immeuble concerné. Pour faciliter cette recherche, il existe des annuaires spécialisés. Le plus complet d’entre eux est certainement Gesti+, qui recense une large gamme de gestionnaires immobiliers qualifiés et disponibles dans diverses régions. En quelques clics, vous pouvez y trouver le gestionnaire qui correspond le mieux à vos besoins spécifiques !

  • Domotique : contrôler ses châssis et ses portes à distance, quels avantages ?

    La domotique et les applications « smart-home » connaissent une popularité fulgurante depuis quelques temps maintenant. Et pour cause, ces technologies rendent notre quotidien plus pratique, plus sécurisé, et souvent même plus économique ! Mais sont-elles vraiment indispensables ?

    Woman locking smartlock on the entrance door using a smart phone. Concept of using smart electronic locks with keyless access

    Quelles sont les applications pour vos châssis ?

    Si vos châssis et portes sont équipés de capteurs, vous avez à portée de main une panoplie de possibilités. Imaginez ceci : vous avez laissé une fenêtre ouverte par inadvertance alors que le chauffage tourne à plein régime. Grâce à votre système domotique, vous recevez immédiatement une notification sur votre smartphone. Mieux encore, l’application peut vous indiquer quelle fenêtre est concernée, et vous permettre de réagir en conséquence.

    Vous pourriez même programmer votre chauffage pour qu’il se réduise automatiquement dans la pièce concernée lorsque vous n’êtes pas chez vous. Bon, on est d’accord, la fenêtre ne va probablement pas se fermer grâce à la magie de la domotique non plus… Mais au moins, vous êtes prévenu ! Et ça, en matière de sécurité, c’est un gain indéniable. En outre, si une fenêtre fermée est forcée, une alerte vous est envoyée en temps réel. Quant au coût, comptez de 15 à 100 euros, mais la tendance est clairement à la baisse ces dernières années.

    Quid pour la porte d’entrée ?

    Parmi les applications les plus impressionnantes, la serrure « keyless » mérite une mention spéciale. Plus besoin de fouiller dans votre sac pour trouver vos clés lorsque vous avez les mains pleines : avec votre smartphone dans votre poche, la porte s’ouvre automatiquement à votre approche. En outre, cette technologie vous permet d’ouvrir votre porte à distance, ce qui est souvent fort pratique pour laisser un proche arroser vos plantes ou pour une livraison quelconque… Pour le budget, sachez que l’on trouve des modèles allant de 60 à 500 euros, hors installation.

    Les stores automatiques : l’allié de vos fenêtres

    Enfin, impossible de parler de domotique sans mentionner les stores automatiques. Équipés de capteurs de lumière, ils peuvent se baisser automatiquement lorsque le soleil est trop intense, protégeant ainsi vos meubles et vos sols des rayons UV. Couplés à votre système d’éclairage, ils vous permettent de maintenir une luminosité agréable sans effort de votre part. En outre, certains modèles peuvent être alimentés de manière autonome, par des petits panneaux photovoltaïques. Tablez sur un budget allant de 150 à 700 euros.

    Quid de la sécurité ?

    Paradoxalement, si ces dispositifs accroissent le niveau de sécurité de votre maison, ils peuvent également l’affaiblir ! En effet, tout système connecté à internet peut potentiellement être piraté et les dispositifs domotiques ne font pas exception. Un hacker pourrait, par exemple, désactiver votre système de sécurité ou accéder à vos caméras. Dans des cas extrêmes, ces vulnérabilités pourraient même être exploitées pour des cambriolages planifiés ou d’autres activités malveillantes…

    Comment se protéger au mieux ?

    Tout d’abord, il est essentiel de choisir des produits de qualité, provenant de fabricants réputés pour leur sérieux. Vérifiez que les dispositifs disposent de mises à jour régulières et automatiques pour corriger les éventuelles failles de sécurité. En outre, sécurisez votre réseau domestique. Utilisez un mot de passe robuste pour votre Wi-Fi et activez l’authentification à deux facteurs sur vos applications domotiques.

    Evidemment, à vous de voir si tous ces dispositifs pourraient réellement améliorer votre confort au quotidien.

  • Cuisine : voici comment sauver vos fruits des moucherons !

    Vos fruits sont envahis par des moucherons ? Voici comment les protéger en toute simplicité, sans produits chimiques.

    fruits

    Pourquoi les moucherons adorent vos fruits ?

    Les moucherons raffolent de vos fruits bien mûrs, car ils y trouvent un environnement idéal pour pondre leurs œufs. En quelques jours, votre cuisine peut se transformer en un véritable champ de bataille entre vous et ces petites bêtes.

    Quelles astuces ?

    Pas besoin de sortir l’artillerie lourde ! Il existe des astuces toutes simples pour éloigner les mouches et moucherons. Par exemple, placez un petit bol rempli de vinaigre de cidre à proximité de votre corbeille de fruits. L’odeur attirera les moucherons qui se noieront dans le liquide. Une autre astuce ? Utilisez un bouchon de liège. Eh oui, le liège dégage un parfum que les moucherons détestent ! D’autres préfèrent suspendre des sacs plastiques transparents remplis d’eau près de vos fruits : les reflets de lumière sur l’eau désorientent les moucherons et les éloignent.

    Il existe évidemment dans le commerce quelques parfums conçus pour éloigner ces bestioles, mais tant qu’à faire, autant faire dans le naturel, non ?

  • Voici comment rester dans le bien que vous louez, après la fin du bail !

    Certaines circonstances permettent au locataire de rester plus longtemps dans le logement loué. De quelles conditions parlons-nous ? Notre avocat vous répond !

    real estate credit

    Supposons que votre propriétaire ait résilié le bail conclu avec vous et que vous n’ayez pas trouvé de logement pour déménager à la date de fin du préavis. Ou bien, peut-être avez-vous donné votre préavis parce que vous construisez ou rénovez un bien immobilier mais hélas, les travaux ne sont pas terminés à temps et vous ne pouvez donc pas y emménager.  Ou encore, à la fin du bail, vous tombez gravement malade et ne pouvez donc pas déménager tout de suite. Dans tous ces cas, il peut être nécessaire de continuer à vivre dans le bien loué pendant un certain temps. Mais est-ce possible et dans quelles conditions ?

    Circonstances exceptionnelles

    Si le bail expire ou prend fin à la suite d’un préavis (qu’il soit donné par le locataire ou le propriétaire), le locataire qui justifie des circonstances exceptionnelles peut demander une prolongation du bail. En revanche, si le bail prend fin d’un commun accord, cela n’est pas possible.

    Par circonstances exceptionnelles, on entend les circonstances qui rendent temporairement impossible ou difficile le déménagement du locataire (ou la recherche d’un autre logement). Il peut s’agir, par exemple, de l’âge avancé du locataire, d’une maladie grave ou d’un accident, d’une grossesse nécessitant le repos de la locataire, de l’indisponibilité du bien acheté ou de retards dans son achèvement, etc.

    Comment demander ?

    Si, en tant que locataire, vous souhaitez obtenir ce genre de prolongation du bail, vous devez en faire la demande au propriétaire. La loi précise également comment et quand cette demande doit être faite : celle-ci doit être faite au moins un mois avant la fin du bail. Sachez en outre qu’il ne suffit pas de le faire verbalement.

    En outre, des règles différentes s’appliquent selon les régions. Pour les baux conclus avant le 1er janvier 2019 sur des biens situés en Flandre et pour les baux en région wallonne ou bruxelloise, vous devez envoyer votre demande par courrier recommandé. Pour les baux conclus à partir du 1er janvier 2019 en région flamande, le renouvellement du bail peut être demandé par lettre recommandée, par remise d’une lettre contre récépissé ou par signification d’un acte d’huissier.

    Respectez scrupuleusement ces règles. Dans le cas contraire, votre demande de prolongation de loyer sera nulle et le bailleur n’en tiendra pas compte.

    Et après ?

    Il se peut que votre bailleur accepte la prolongation après votre demande.  Dans ce cas, un avenant au bail sera probablement rédigé, dans lequel le bailleur indique qu’il accepte de prolonger le loyer pour une certaine période.

    Si le bailleur refuse la prolongation du bail, le locataire peut saisir le juge de paix. Celui-ci peut décider d’accorder la prolongation même si le bailleur ne le souhaite pas. Dans son appréciation, le juge de paix tient compte des intérêts des deux parties. Par exemple, il peut tenir compte des projets du bailleur concernant le bien loué. La loi précise en outre que le juge de paix doit également tenir compte, entre autres, de l’âge éventuellement avancé de l’une des parties.

    Le juge de paix décide également des modalités de la prolongation. Il peut par exemple indiquer la durée de la prolongation, le loyer applicable pendant la période de prolongation, etc.

    Si la prolongation n’est pas suffisante, le locataire peut demander une deuxième prolongation. En revanche, il n’est pas possible de demander une prolongation ultérieure (troisième).

    Jan ROODHOOFT, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

  • Bruxelles : une jolie expo sur l’architecture wallonne du XXe siècle !

    Une exposition gratuite à Bruxelles dévoile la richesse de l’architecture wallonne du XXe siècle, entre modernité et patrimoine.

    Alex Vasey

    Un voyage à travers le XXe siècle en Wallonie

    L’Espace Wallonie de Bruxelles accueille jusqu’au 24 octobre une exposition intitulée Le XXe siècle en Wallonie. De l’architecture au patrimoine. Cet événement s’inscrit dans la continuité de la monographie publiée en avril dernier, offrant une plongée visuelle dans l’histoire architecturale de la région.

    Depuis plusieurs années, le regard sur le patrimoine architectural du XXe siècle a changé. Cette exposition a pour but de sensibiliser le public à l’importance de cette architecture, souvent critiquée mais pourtant révélatrice des avancées techniques, sociales et culturelles de l’époque.

    Ce que vous y trouverez

    L’exposition présente une quarantaine de photos grand format qui illustrent une diversité architecturale impressionnante : du néogothique à l’Art déco, en passant par le brutalisme et le fonctionnalisme. Des édifices publics, lieux de culte, logements et même des bâtiments industriels sont mis en lumière, montrant ainsi la variété et la richesse de ce patrimoine.

  • Mila : « Se débarrasser du lierre ? J’ai ma méthode ! »

    Le lierre sur les façades ? J’adore. Cela apporte du cachet. De l’élégance. Du style. A n’importe quel bâtiment. Autant vous dire que j’ai laissé le lierre de mon jardin s’épanouir à l’envi sur les murs extérieurs. J’avais dans l’idée de le couper quand il deviendrait trop envahissant. Mais mon sécateur n’est pas parvenu à dompter la bête.

    house plant
    nameless photos

    Et cet été, j’ai dû arracher plusieurs mètres carrés de lierre, pour éviter que celui-ci ne s’approche trop de la maison et qu’il n’en fissure les murs. Ça n’a pas été une sinécure : comme vous le savez, le lierre s’accroche à l’aide de petites racines d’ancrage sur le support trouvé. Et pour ôter ces radicelles, qui fixent solidement la plante au mur, c’est un travail de titan.   

    J’ai commencé par couper et arracher tout ce qui devait l’être. Douceur et rigueur. Un mille-pattes géant est ainsi apparu sur la surface du mur. J’ai dégainé le nettoyeur haute pression et me muer en Rambo ! Imbiber le mur d’eau permet de gonfler et ramollir un chouia les racines. J’ai fait sauter ce que j’ai pu comme ça.

    Je sais que mouiller les racines avec de l’acide chlorhydrique peut aider : il dissout l’enduit du mur aussi et dégage ainsi mieux les racines. Mais j’ai tenté sans. Certains préconisent aussi d’utiliser un chalumeau pour brûler les radicelles. Mais il faut être certain que la façade est solide et résiste au feu. Les couches isolantes, ou d’autres matériaux inflammables, cachés sous la peinture, peuvent par exemple enflammer le revêtement. Je ne suis pas assez téméraire (et adroite) pour recourir à cette technique.     

    Après le karcher, j’ai eu recours à la brosse métallique. Mais à la main, c’était trop fastidieux. J’ai utilisé la perceuse pour donner plus de force à la brosse métallique. Voilà un embout magique : s’il occasionne des dégâts sur le mur, il aide sacrément. En 30 minutes, j’étais venue à bout de la majorité des serpentins de radicelles.    

    La spatule à bord métallique droit et pointu m’a encore aidée à gratter les petites aspérités, ci et là. J’ai badigeonné le mur avec un puissant détergeant avant de le rincer au tuyau d’arrosage : cette étape de nettoyage a fini de parfaire le travail.  

    Il me restera à réparer l’enduit du mur et à remettre un coup de peinture blanche quand tout sera bien sec et que la météo sera sympa quelques jours d’affilée.  Bref, j’ai finalement pu m’en sortir. Et je suis assez contente.

    Mais j’avoue que ma méthode n’aurait pas pu fonctionner sur une façade complète de maison. Pour une telle surface (et des murs plus « précieux » que ceux de mon jardin), il aurait fallu faire appel à une entreprise spécialisée dont la sableuse arrive à bout de tout !

  • Bruxelles | La vente des Tours Proximus annulée : voici pourquoi !

    Le projet immobilier phare à Bruxelles tombe à l’eau. Pourquoi la vente des Tours Proximus a-t-elle échoué ? Les détails.

    proximus towers

    Le projet immobilier majeur de Bruxelles, la vente des Tours Proximus, a pris un tournant inattendu. Malgré des « négociations intensives » et des « avancées significatives », le promoteur Immobel a finalement décidé de ne pas activer son option d’achat avant la date limite du 21 août. « Aucun résultat acceptable pour toutes les parties n’a finalement pu être atteint« , a expliqué Immobel dans un communiqué.

    Un impact financier trop lourd pour Immobel

    La raison principale ? Un « impact financier trop important pour la société, son bilan et sa position de liquidité« , justifie Immobel. Ce projet de transformation ambitieux, qui prévoyait de convertir les deux tours en bureaux et résidences, ainsi que des installations sportives et commerciales, représentait un coût insoutenable pour le promoteur.

    Proximus garde son siège mais reste ouvert aux alternatives

    Proximus, de son côté, « conserve la pleine propriété de son siège » et ne recevra donc pas les 113 millions d’euros restants. Cependant, l’opérateur télécoms envisage déjà des « scénarios alternatifs » et prévoit d’entamer des « discussions avec les parties intéressées » pour maintenir la valeur économique future du projet.

  • Vidéo | Comment bien choisir sa borne de recharge ?

    Entre l’interdiction de vente de véhicules neufs à moteur thermique d’ici 2035 et les incitants fiscaux pour les véhicules électriques, on assiste à une transformation rapide du parc automobile belge ! Cela veut dire que de nombreux Belges vont devoir s’équiper d’une borne ! Et justement, laquelle choisir ?

    Le parc automobile s’électrifie rapidement chez nous ! Entre les incitants fiscaux pour les véhicules de société et l’explosion du nombre de modèles électriques disponibles, notamment sur le marché de l’occasion, le parc automobile est effectivement confronté à l’une des plus grosses révolutions de ces 80 dernières années. Pour l’immobilier, cette révolution électrique a également un gros impact ! En effet, avec une voiture électrique, mieux vaut faire le plein d’électrons chez soi à la maison que depuis une borne publique : les coûts de recharge sont très différents !

    Pratiquement, cela pose beaucoup de questions : combien ça coûte ? Quid en cas de location : est-ce au propriétaire ou au locataire de payer ? Devrons-nous tous y passer ? C’est sur tous ces points, et bien d’autres, que la dernière vidéo du Rendez-vous des Proprios, revient. Vous aurez donc toutes les réponses ci-dessus !

  • JO paralympiques de Paris 2024 | Interview Roger Habsch : « On va tout donner ! »

    Roger Habsch, c’est notre pépite belge, un athlète paralympique d’une simplicité désarmante mais d’une rapidité balistique. Roger, il détient d’ailleurs les records du monde en 100 et 200 mètres fauteuil ! Soutenu par Immovlan, Roger nous a livré ses premières impressions et son état d’esprit, à la veille des jeux paralympiques de Paris.

    roger habsch

    Immovlan – Bonjour Roger. Première question, et sans aucun doute la plus importante, comment te sens-tu ?

    Ça va, merci ! De mieux en mieux à vrai dire, car j’ai attrapé le covid il y a trois mois et j’ai eu du mal à m’en remettre, ce qui a évidemment remis en question mes performances pour les jeux ! Mais ça va, mon niveau d’énergie est en hausse et je me sens nettement mieux.

    Roger Habsch

    Immovlan – Maintenant que tu es à Paris, peux-tu nous dire en quoi consiste ton entraînement ?

    Je m’entraîne deux fois par jours, une fois le matin et une fois le soir, chaque fois deux heures. Je fais le maximum pour rattraper le rythme. En outre, je soigne évidemment ma nourriture et mes compléments alimentaires en faisant le plein de vitamines et de fer. Je dois d’ailleurs dire que nous sommes bien installés et que, globalement, l’organisation est assez efficace. En tout cas, je me sens mieux installé qu’à Tokyo en 2021 [où Roger a décroché la médaille de bronze, NDLR]. Mes épreuves sont prévues les 3 et 6 septembre et d’ici-là, je vais continuer sur ce rythme. En revanche, je ne participerai pas aux cérémonies d’ouverture, je préfère soigner ma condition. On ne lâche rien !

    Immovlan – Quel est ton objectif ?

    D’abord et avant tout, donner le meilleur de moi-même ! A vrai dire, l’or semblait à portée de main, mais avec ce satané virus, tout est un peu remis en question. Et il faut aussi dire que j’ai de solides concurrents, dont un autre Belge, Peter Genijn ! Mais bon, je donnerai tout pour la décrocher !

    Ce qu’il nous reste à faire ? Soutenir Roger les 3 et 6 septembre où il courra sur les épreuves de 100 et 200 mètres fauteuil.