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  • Type de porte intérieure : comment choisir le bon modèle ?

    Une belle porte intérieure apporte une touche très élégante à vote intérieur. Mais comment bien choisir parmi les innombrables possibilités ?

    1 l La porte battante

    C’est le modèle le plus courant. Elle peut s’ouvrir de la droite vers la gauche ou inversement, suivant le placement des charnières et de la poignée.

    Les portes battantes se composent d’un ou de deux vantaux. Le nombre de charnières dépend bien entendu du poids de la porte. Son ouverture étant basée sur un axe vertical, elle a donc besoin d’un certain espace pour son cercle de rotation. Notez qu’elle se démarque aussi par sa facilité d’utilisation. Un modèle affleurant peut apporter une petite touche de raffinement à l’ensemble.

    2 l La porte coulissante

    La porte coulissante donne une impression d’espace, prend peu de place au sol et est parfaitement adaptée aux grandes ouvertures. Cette porte intérieure s’impose également dans les petites pièces. Cependant, ce modèle coûte souvent plus cher et est sensible à l’usure. En outre, son nettoyage est un peu plus fastidieux.

    3 l La porte pivotante

     

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    Les portes pivotantes n’ont pas de charnière mais un point pivot dans le sol et dans le haut de l’ouverture de la porte. Elles tournent autour d’un axe imaginaire. Souvent, cet axe se trouve sur le côté et le vantail s’ouvre des deux côtés sur un angle d’au moins 90 degrés, mais d’autres alternatives sont également possibles. Ces portes intérieures apportent une touche luxueuse. Parfaitement adaptées aux grandes ouvertures, elles sont un peu plus difficiles à installer et ne s’adaptent qu’aux grands espaces. Notez qu’elles ne sont pas données non plus…

     

  • 5 conseils pour réussir votre isolation acoustique

    Lorsqu’on évoque la question de l’isolation on pense directement à l’isolation thermique. L’isolation acoustique est pourtant elle aussi importante car, si réalisée dans les règles de l’art, elle sera le gage d’un plus grand confort.

     

    Vous habitez un immeuble qui compte de nombreux communs comme des couloirs, des escaliers ou encore des halls d’entrée ? Tous ces éléments sont source de nuisances sonores et de bruits en tout genre. Le tout peut même être amplifié avec la présence de conduits d’air et de gaines de ventilation. Et on ne vous parle même pas des ascenseurs !

    Pour contourner ces écueils, vous pouvez installer des portes intérieures insonorisantes et un papier peint pourvu d’une isolation acoustique. Vous pouvez également envisager avec la copropriété l’installation d’un sas entre le couloir commun et les portes d’entrée individuelles par exemple.

    Murs mitoyens

    Dans la même veine, les murs mitoyens placés entre deux appartements voire entre deux maisons peuvent aussi être la source de différentes nuisances, la qualité de construction n’étant pas toujours optimale. Ici aussi, une isolation sonore flexible peut être placée entre les murs mitoyens, du moins si c’est techniquement envisageable. Lors d’une construction ou d’une rénovation, vous pouvez aussi privilégier une technique sans ancrage, les crochets de mur ayant tendance à favoriser les vibrations sonores.

    Ossature bois

    Dans le cas d’une construction pourvue d’une ossature en bois, et qui compte plusieurs étages, prévoyez une isolation acoustique entre les étages, que vous placerez entre le revêtement de sol et le plafond de la pièce du bas. La technique privilégiée en ce moment est l’installation d’un panneau de fibres en bois résineux sous un parquet flottant.

    Toiture

    En matière d’isolation acoustique, il ne faut pas oublier la toiture ! Légère et souvent aérée, celle-ci a tendance a laissé passer pas mal de bruits ambiants, et c’est d’autant plus le cas avec les toits en pente. Le vide laissé entre la couverture du toit et la sous-pente ainsi que les panneaux de finition à l’intérieur du toit ont tendance à jouer les caisses de résonance et à amplifier le bruit.

    Dans ce cas, il convient de constituer une espèce de ressort, selon le principe de masse-ressort-masse, à l’aide de matériaux souples et flexibles. On fixera alors cette nouvelle finition intérieure à la structure du toit ce qui va lui permettre d’absorber le bruit ainsi que les vibrations en tout genre.

    Vitrage

    Enfin, ne négligez pas le vitrage de votre habitation. Des vitres à isolation acoustique améliorent grandement le confort sonore dans les rues bruyantes. On ne peut que vous recommander d’opter pour un double vitrage de dernière génération, celui-ci contenant un gaz spécial placé entre les deux couches de verre. Le verre lui-même est parfois aussi pourvu d’un film insonorisant.

  • Votre voisin devra bientôt payer une partie de votre clôture !

    Si vous êtes propriétaire d’un terrain et que vous désirez installer une clôture entre votre terrain et celle de votre voisin, sachez que de nouvelles règles s’appliqueront à partir du 1er septembre.

    Nick Tiemeyer

    Quelle est la situation actuelle ?

    Actuellement, si vous désirez installer une clôture entre votre terrain et celui de votre voisin, celui-ci n’a aucune obligation de participer aux frais. Plus précisément, vous ne pouvez obliger votre voisin à contribuer à une clôture commune que si vous vivez en ville ou en banlieue (et non à la campagne). En outre, tous les types de clôtures ne peuvent faire l’objet d’une demande de contribution.

    Nouvelles règles

    A partir du 1er septembre, les règles vont changer. La nouvelle loi prévoit qu’entre deux parcelles de terrain, dont l’une au moins est bâtie, chaque propriétaire peut exiger que son voisin contribue à l’établissement d’une clôture commune, sauf s’il existe déjà une clôture privée le long de la séparation. Notez que le type de clôture importe peu (une clôture en bois, un mur, une haie, etc.)… En outre, le règlement s’applique désormais aussi aux maisons situées en milieu rural.

    La nouvelle loi prévoit également que les propriétaires doivent participer aux frais à parts égales.

    Comment procéder ?

    Si vous souhaitez que votre voisin participe aux frais d’installation d’une clôture entre les deux terrains, veuillez le contacter. Si le voisin refuse de contribuer, vous devrez porter l’affaire devant le juge de paix. Il ne sert à rien d’ériger soi-même la clôture et de présenter ensuite la facture à son voisin !

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Tondeuses : thermiques ou électriques ?

    Un beau gazon nécessite un entretien régulier, dont une tonte effectuée dans les règles de l’art. Encore faut-il opter pour la tondeuse la mieux adaptée à votre terrain !

    Lorsqu’il s’agit de choisir une nouvelle tondeuse à conducteur marchant (on ne parle donc pas ici de tracteur tondeuse), deux grandes tendances s’affrontent en magasin : celles pourvues d’un moteur électrique et celles équipées d’un moteur à essence.

    Évaluer la puissance requise

    Une tondeuse électrique offre une puissance moins importante en comparaison avec les modèles thermiques. Tout logiquement, les premières sont donc plus adaptées aux petites surfaces. Certains fabricants ont néanmoins conçu des modèles à même de tondre une surface allant jusqu’à mille mètres carrés, mais ceux-ci restent anecdotiques. Outre la puissance, gardez également à l’esprit que qui dit tondeuse électrique dit câble d’alimentation. De quoi réduire votre marge de manœuvre et vous contraindre à être plus attentif lors de la tonte (afin de ne pas couper le câble), tout en vous imposant de disposer d’une prise proche du jardin ainsi que d’un enrouleur de câble électrique.

    Mais les tondeuses électriques n’ont pas que des désavantages ! En effet, celles-ci ne rejettent pas de CO2 et génèrent moins de bruit que leurs homologues à essence ! Vos voisins apprécieront ! En outre, une tondeuse électrique exige moins d’entretien puisque son moteur est d’une conception plus simple.

    Et les thermiques alors ?

    Au contraire des modèles électriques, les tondeuses thermiques vous libèrent du câble d’alimentation, tout en déployant une puissance de coupe plus élevée. La tondeuse à essence est donc l’allié idéal pour les surfaces plus importantes, les terrains en pente ainsi que les herbes plus hautes. On peut donc aussi se permettre de tondre moins souvent avec un modèle thermique. Par contre, on l’a évoqué ci-dessus, elles sont nettement plus bruyantes. Mieux vaut donc vous renseigner auprès de votre commune pour connaître les horaires de tontes autorisés.

    Tondeuses électriques avec batterie ?

    Notez enfin que les tondeuses électriques pourvues d’une batterie se développent de plus en plus, tout comme les tondeuses robots. On ne retiendra ces deux solutions que pour des petites surfaces (un jardin en ville notamment), l’autonomie, la puissance et l’efficacité de ces modèles étant encore relativement limités.

  • Clôture : avez-vous besoin d’un permis ? On vous dit tout !

    Vous désirez davantage d’intimité ou de sécurité dans votre jardin ? La clôture est la solution. Sachez toutefois qu’il y a certaines règles à retenir, notamment d’un point de vue légal ! Que faut-il savoir à ce sujet ?

    Faut-il un permis ?

    Non, le permis d’urbanisme n’est pas nécessaire, du moins si vous souhaitez une clôture de maximum deux mètres de haut dans un jardin situé à l’arrière ou sur le côté de votre maison. Si votre jardin est devant votre maison, la clôture ne peut dépasser un mètre de haut, sauf si vous optez pour une clôture « ouverte », auquel cas vous avez droit à deux mètres.

    Le matériau de votre clôture n’a aucune importance d’un point de vue légal… pour autant qu’il n’entre pas en conflit avec une quelconque règle communale, un permis de lotissement ou un plan d’urbanisme, bien entendu !

    Avez-vous besoin d’un permis pour votre clôture de jardin ?

    Si vous placez une clôture à plus de trente mètres de votre habitation, à moins de cinq mètres d’un cours d’eau ou dans une zone de rive, vous aurez besoin d’un permis. Il est préférable de vérifier auprès de la commune, si vous avez le moindre doute.

    Quid des voisins ?

    Si vous désirez installer une clôture à la limite de la propriété, vous devez demander l’approbation de vos voisins et enregistrer le tout chez le notaire. Vous ne savez pas où se trouvent les limites de votre propriété ? Vous pouvez alors vous adresser au service urbanisme de votre commune. Il est toujours utile de se renseigner, car les règles peuvent différer d’une commune à l’autre et d’une ville à l’autre.

    Et la haie ?

    Les arbres doivent être plantés à deux mètres de la limite de la parcelle. Pour les haies, la distance minimale est de cinquante centimètres. Il est également possible d’avoir une haie commune avec les voisins. Les coûts sont alors partagés.

    Une clôture de jardin de plus de deux mètres de haut ?

    Si vous souhaitez ériger une clôture de jardin d’une hauteur supérieure à deux mètres, vous aurez besoin d’un permis.

    Mieux vaut se renseigner !

    Vous n’êtes pas sûr de vous ? Contactez l’urbanisme de votre commune, ils pourront vous dire ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas.

  • Placer un conteneur sur la route : 3 points d’attention !

    Le conteneur est souvent un allié bienvenu de vos travaux de démolition. Que faut-il savoir avant de placer un conteneur sur la voie publique ?

    Demander la permission

    Si vous désirez placer un conteneur sur la voie publique, vous devez obtenir l’autorisation de la commune. Il est possible que ce service soit payant. Les tarifs varient d’une commune à l’autre. Vous devez également demander l’autorisation suffisamment à temps. Parfois, ils vous demanderont également de joindre un croquis de ce que vous voulez exactement prendre comme place sur la voie publique.

    Signalisation

    Veillez à placer des panneaux sur le conteneur. Vu qu’il sera probablement présent la nuit, vous devez vous assurer que les autres usagers de la route peuvent suffisamment bien voir le conteneur. Dans le cas contraire, vous courez le risque d’être tenu pour responsable en cas d’accident, sans compter la probabilité d’une amende.

    Prenez des dispositions avec votre entrepreneur

    Si vous faites appel à un entrepreneur pour les travaux, arrangez-vous avec lui afin de savoir qui demandera l’autorisation pour placer le conteneur.  Convenez également de la personne qui s’occupera de la signalisation de ce conteneur. Vérifiez les conditions générales de l’entrepreneur pour voir si des accords ont été conclus à cet égard.  Si vous n’êtes pas d’accord avec ces conditions, demandez au contractant de modifier la clause à cet égard. Si rien n’est indiqué dans le contrat, l’entrepreneur peut probablement arguer que les démarches vous incombent.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Microfibres : 4 erreurs à éviter pour les conserver !

    Pratiques et d’une efficacité redoutable, les microfibres sont devenues incontournables pour faire le ménage. Encore faut-il les entretenir convenablement afin qu’elles puissent être utilisées de multiples fois !

    Utilisée et entretenue comme recommandé par les fabricants, une microfibre de bonne qualité peut être utilisée durant plusieurs années. Une belle économie en papier essuie-tout ainsi qu’en lingettes jetables. Mais ce n’est pas parce qu’elle est conçue pour durer qu’il faut en négliger l’entretien. Voici donc quelques erreurs classiques à éviter…

    1.   Oublier de la rincer

    Durant et après le nettoyage de vos surfaces, rincez et essorez régulièrement votre microfibre en frottant leurs fibres les unes contre les autres. De cette manière, vous constaterez que les saletés et particules accumulées se détachent plus facilement.

    2.   Laisser traîner une microfibre humide

    Après usage, ne laissez pas la microfibre dans un environnement humide comme le fond de l’évier. Ne la rangez pas non plus dans une boîte ou un récipient hermétique car elle dégagerait alors une odeur d’humidité particulièrement désagréable. Optez plutôt pour un séchage à l’air libre, pendue à un crochet par exemple.

    Si cela s’avère nécessaire, notamment à cause d’une odeur trop tenace, désinfecter votre chiffon à l’aide de vinaigre ou d’alcool dénaturé, dilué dans un bol d’eau. Évitez par contre l’eau de javel !

    3.   Les laver à 30 degrés

    Pour nettoyer une microfibre en profondeur, on opte pour une température de 60° en machine. Seul un bain d’eau chaude parviendra à déloger la crasse, les bactéries, les champignons et les graisses qui se sont accumulés dans les fibres du chiffon au fil de vos différents ménages. En outre, de l’eau bien chaude permettra aussi de se débarrasser des mauvaises odeurs.

    4.   Employer de l’adoucissant !

    C’une recommandation énoncée par tous les fabricants de microfibres : n’utilisez jamais d’adoucissant lors d’un lavage en machine. Ce produit va en effet déposer une pellicule agglutinante sur les fibres et annuler par la même occasion leur effet électrostatique.

    Sachez néanmoins que si vous avez lavé une microfibre en machine, avec de l’adoucissant, celle-ci n’en sera pas pour autant irrécupérable. Il suffit en effet de la relaver en machine mais, cette fois, en évitant l’adoucissant !

  • Courtier en assurances : quels avantages ?

    En Belgique, il est possible de conclure un contrat d’assurance via différents canaux. Outre la compagnie d’assurances et le bancassureur, le particulier peut également se tourner vers un courtier. Voici les avantages de la formule.

    insurrance agent

    Ce que l’on qualifie communément de courtier est un intermédiaire d’assurances qui met ses clients en relation avec une ou plusieurs compagnies d’assurances. À ce titre, il n’est pas lié par le choix d’une compagnie en particulier, ce qui permet au client d’opter pour la police répondant le mieux à ses besoins. Le courtier va en effet proposer le contrat le plus adéquat possible, mais également le plus avantageux financièrement.

    Un expert à votre service

    Plus concrètement, sa mission consiste à jouer le rôle d’intermédiaire entre un client qui cherche à souscrire un contrat d’assurance (que cela soit pour son véhicule, son habitation ou encore sa famille), avec une compagnie d’assurances. Il est considéré comme le mandataire de son client, c’est-à-dire qu’il le représente. Il ne vend pas d’assurances lui-même, mais il oriente son client et l’aide à les acheter. Son rôle est ni plus ni moins de trouver la meilleure assurance pour son client. Pour cela, il est chargé d’établir un diagnostic précis des risques qui lui permet ensuite de proposer les meilleures garanties possibles.

    Sa mission consiste aussi à suivre le bon respect du contrat signé par son client avec un assureur. Il peut également, en cas de sinistre, prendre en charge les démarches à effectuer auprès de l’assureur et s’assurer que les indemnisations dues sont bien versées à son client.

    Enfin, il a aussi la possibilité de proposer à son client des offres d’assurances plus avantageuses après une souscription et même de lui fournir de l’aide s’il veut résilier son contrat actuel. Le courtier est rémunéré directement par l’assureur sous forme d’une commission et, quand cela s’impose, par son client sous forme d’honoraires.

    Quels sont les avantages ?

    Un courtier possède des compétences et une expertise spécifiques en matière d’assurances. Son rôle est d’identifier précisément les risques propres inhérents à la situation de son client et de trouver l’offre d’un assureur la plus adaptée possible. Passer par un courtier est, bien souvent, la garantie pour un particulier de gagner du temps et de l’argent. En effet, en tant que particulier, trouver un contrat d’assurance adapté à sa situation n’est pas chose facile. Il faut pouvoir en effet s’y retrouver dans les méandres des termes et des conditions des assurances qui peuvent, en plus, grandement différer d’une compagnie à l’autre.

    Le courtier, lui, dispose des connaissances pour comprendre rapidement la teneur d’un contrat et pouvoir ainsi faire jouer la concurrence, d’une part dans un temps limité et, d’autre part, pour obtenir les propositions d’assurances les mieux adaptées à son client, mais aussi les tarifs les moins chers.

    Enfin, son expertise lui permet d’identifier facilement si plusieurs contrats au sein d’un même ménage ne proposent pas les mêmes garanties. Un particulier seul peut éprouver des difficultés à différencier les termes et conditions de ses divers contrats. Du coup, il peut se retrouver avec plusieurs assurances qui couvrent les mêmes risques !

  • Pourquoi installer un adoucisseur d’eau?

    « Un adoucisseur d’eau, ça change la vie » : voilà une remarque que l’on entend régulièrement. Mais en quoi un adoucisseur d’eau peut-il bien changer notre quotidien ?

    Le calcaire, largement présent dans l’eau de ville, c’est un parasite qui vient nous gâcher le quotidien : parois de douches blanchies, robinets bloqués, canalisations bouchées, électroménager endommagé… Cet ennemi bien connu raccourcit non seulement la durée de vie des appareils, mais il nous empoisonne également dans nos tâches ménagères.

    L’adoucisseur d’eau, via un échange d’ions, va éliminer le calcaire présent dans l’eau. Les effets sont immédiats :

    • Durée de vie accrue de l’électroménager et de la plomberie
    • Produits d’entretien (savon, lessives…) plus efficaces
    • Peau et cheveux nettement plus doux…

    En outre, l’aspect économique n’est pas négligeable : l’adoucisseur est à ce titre, davantage à considérer comme un investissement que comme un bien de confort. En effet, il permet de réduire l’utilisation des produits d’entretien, de se passer des produits anticalcaires, de rallonger la durée de vie de l’électroménager et de chauffer l’eau plus rapidement.

  • Clause d’arbitrage : attention, méfiance!

    Lorsque vous engagez un entrepreneur pour effectuer des travaux, ses conditions générales peuvent inclure une clause d’arbitrage. De quoi s’agit-il ?

     

    Si le contrat que vous concluez avec votre entrepreneur contient une clause d’arbitrage, les tribunaux ordinaires ne sont plus compétents pour résoudre les litiges entre vous et votre entrepreneur. Cette compétence revient alors à l’arbitre désigné dans l’accord.  Si vous avez accepté cette disposition (par exemple, en signant les conditions générales), il y a de fortes chances que cette clause soit valable.

    Quels sont les inconvénients ?

    Si vous êtes impliqué dans une telle procédure d’arbitrage, vous devez souvent accomplir de nombreuses formalités, notamment en constituant un dossier. En outre, les coûts d’une telle procédure sont souvent beaucoup plus élevés que ceux d’une procédure classique devant le tribunal. Enfin, il reste à voir qui sera désigné comme arbitre et à quel point ce dernier est compétent en la matière.

    A oublier !

    Il est souvent préférable de ne pas accepter de clause d’arbitrage dans les conditions générales ou le contrat de votre entrepreneur. Demandez-lui de supprimer cette clause. Il y a de fortes chances que votre entrepreneur soit disposé à le faire. S’il ne veut rien entendre, vous avez le choix : vous pouvez soit accepter la clause, soit choisir un autre entrepreneur.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)