Blog

  • 4 astuces pour optimiser votre espace de travail !

    Voici 4 astuces qui vous permettront de travailler de façon plus agréable, tout en minimisant votre consommation d’énergie et de ressources comme le papier.

    1.   Lumière !

    Aménagez votre aire de travail à proximité d’une fenêtre. Un conseil qui peut paraître basique mais qui sera synonyme d’économie d’énergie puisque vous pourrez ainsi profiter un maximum de la lumière naturelle du jour.

    L’hiver, ou lorsque les journées se font plus courtes, pour contrer le manque de lumière, choisissez des lampes équipées d’ampoules LED, nettement plus économes que les lampes classiques ou halogènes.

    2.   Minuteries et interrupteurs

    De nos jours, on peut facilement trouver dans le commerce des multiprises pourvu d’un interrupteur voire d’une minuterie. De quoi couper momentanément la consommation de vos appareils jusqu’à ce que vous soyez de retour au travail. Sur votre facture d’électricité, ce réflexe sera synonyme d’une belle économie

    3.   Imprimer est-il indispensable ?

    Dans la mesure du possible, sauvegardez vos documents sur un disque dur externe ou sur une clé USB plutôt que de les imprimer. Non seulement vous limiterez votre consommation en papier et en encre mais vous pourrez aussi peut-être vous passer d’une imprimante, en privilégiant par exemple le libraire du coin.

    4.   Non à l’usage unique !

    Si elle est tendance, la mode des produits et accessoires à usage unique est à bannir. Remplacez le tout par du réutilisable ! Par exemple, pour nettoyer votre surface de travail ou votre écran, optez pour une microfibre lavable plutôt que pour un essuie-tout ou, pire, une lingette jetable. Les post-it peuvent aussi être remplacés par un tableau effaçable à sec par exemple.

  • Comment faire si votre acheteur ne parle ni français, ni néerlandais ?

    Si vous vendez un bien immobilier, il est possible que vous trouviez un acheteur qui ne parle ni le néerlandais, ni le français. Dans ce cas, devez-vous faire traduire le compromis et l’acte dans une autre langue ?

    Langue maternelle

    Vous pouvez choisir la langue dans laquelle le compromis est rédigé. Toutefois, sachez que seuls les actes rédigés dans l’une des trois langues nationales (néerlandais, français ou allemand) peuvent être enregistrés.  Pour éviter tout problème, il est donc préférable de s’assurer que le compromis et l’acte sont rédigés dans l’une de ces trois langues. Vous pouvez bien sûr choisir, par exemple, la langue du lieu où se trouve le bien.

    Clarification

    Pour éviter que l’acheteur ne dise plus tard qu’il n’a pas compris ce qu’il a signé, vous pouvez lui demander de parler à quelqu’un qui comprend la langue du contrat et qui lui expliquera exactement ce qu’il signe.  Dans ce cas, n’oubliez pas de mettre une clause dans le compromis. Indiquez-y que l’acheteur déclare que l’acte lui a été expliqué oralement par une personne connaissant sa langue et la langue du contrat, et qu’il en a compris le contenu.

    Traduction

    Bien entendu, vous pouvez toujours demander à l’acheteur potentiel de faire traduire le contrat à ses frais s’il ne le comprend pas. Dans ce cas, vous pouvez également l’indiquer dans le compromis, en précisant que l’acheteur déclare avoir reçu une traduction du contrat et en comprendre le contenu.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • 5 signes avant-coureurs qui annoncent une panne de chaudière cet hiver

    Quoi de pire qu’une panne de chaudière en plein hiver ? Pour vous éviter ce désagrément, voici 5 petits signes avant-coureurs à vérifier facilement chez vous.

    De nombreuses causes peuvent expliquer une panne de chaudière. Mais ces 5 signes avant-coureurs doivent déjà vous permettre de vous inquiéter à l’approche de l’hiver. Les vérifier ne vous prendra pas plus de quelques minutes.

    1. Quel âge a ma chaudière ?

    Une chaudière plus âgée présente assez logiquement un risque de panne plus élevée qu’une récente. Concrètement, inquiétez-vous particulièrement si votre chaudière a plus de quinze ans.

    2. De quand date mon dernier entretien ?

    En Belgique, l’entretien de sa chaudière est obligatoire. Une chaudière au gaz doit au minimum être entretenue tous les 2 ou 3 ans (3 ans en Wallonie et à Bruxelles, 2 ans en Flandre). Une chaudière au mazout doit être entretenue au minimum une fois par an. En plus de respecter l’obligation légale, l’entretien régulier de votre chaudière permet de limiter le risque de panne (nettoyage des filtres, du gicleur, du brûleur etc.) mais aussi de diminuer votre consommation. Si vous ne vous en souvenez plus, vérifiez dans vos factures la date du dernier entretien de votre chaudière.

    3. Quelle est la pression dans mon circuit de chauffage ?

    Jetez un coup d’œil à la pression dans votre circuit de chauffage. Il suffit de regarder le manomètre : la bonne pression se situe généralement entre 1 et 2 bars (voire 2,5 bars pour les maisons très hautes). Si la pression est inférieure à 1 bar, vous avez certainement une fuite dans le circuit et votre chaudière risque de se mettre en sécurité.

    4. Où en est le niveau dans ma citerne ?

    Cela paraît plutôt évident de vérifier le niveau de sa citerne ! Mais le « coup de la panne » reste un grand classique ! Pensez donc à jeter un œil au niveau de votre citerne régulièrement. Dans le cas d’une citerne à mazout, surtout si elle est ancienne, veillez à ne jamais vider totalement la cuve, la pompe risquerait d’aspirer les dépôts du fond de la citerne et s’obstruer.

    5.Vos pièces mettent plus de temps à chauffer ?

    Vous avez l’impression que vos pièces mettent plus de temps à chauffer que par le passé ? Ce n’est peut-être pas qu’une impression ! Avec le temps ou l’encrassement, le rendement d’une chaudière peut diminuer jusqu’à ne plus lui permettre d’atteindre les températures de confort nécessaire. C’est un signe que la panne n’est peut-être plus très loin.

  • Se chauffer de manière responsable : voici comment y arriver en 3 étapes

    Se chauffer de manière responsable : le sujet est évidemment d’actualité. Non seulement parce que nous devons évoluer vers une neutralité carbone, mais aussi parce que l’énergie n’a jamais été aussi onéreuse. Vous vous chauffez encore de manière traditionnelle, mais désirez prendre les mesures nécessaires ? Voici pour vous !

    1 l Optimisez votre situation actuelle

    Pour savoir où vous pouvez agir, vous devez d’abord analyser votre situation actuelle. Un chauffage efficace et économe en énergie commence souvent par une bonne isolation. De nombreuses maisons perdent de la chaleur par le toit, les murs, les châssis et le sol. Optez donc pour une isolation professionnelle de votre habitat.

    Votre chaudière peut également avoir besoin d’une remise à niveau. Une chaudière à condensation est préférable car elle gaspille beaucoup moins d’énergie. Vous pouvez économiser jusqu’à 30 % sur votre consommation d’énergie !

    2 l Pensez aux énergies renouvelables

    Pour un chauffage responsable, combinez votre installation de chauffage optimisée avec une pompe à chaleur et/ou un chauffe-eau solaire. Les possibilités sont nombreuses, mais toutes ces solutions fonctionnent avec des énergies renouvelables. Vous vous chaufferez ainsi de manière plus responsable, tout en brûlant moins vos économies ! En outre, il existe également un certain nombre de primes dont vous pouvez bénéficier. Informez-vous bien, un professionnel pourra sans doute vous conseiller…

    3 l Opter pour des carburants liquides durables

    Certaines sociétés développent un combustible liquide pauvre en carbone (HVO) qui pourra alimenter votre chaudière au mazout. Par rapport aux combustibles fossiles, les émissions nettes de CO2 sont plus faibles. La production est de plus, nettement plus propre également.

    Le chauffage va sans aucun doute radicalement évoluer dans les années à venir, alors assurez-vous de rester à la page. Les objectifs climatiques sont assez ambitieux : d’ici 2050, nous devrions avoir une société pauvre en carbone. Nous pouvons tous participer à cet effort…

  • Thermostat intelligent : quel intérêt, quel prix ?

    En cette période de flambée des prix de l’énergie, le thermostat intelligent se profile comme un allié. Connecté, le thermostat intelligent est capable de déterminer votre présence dans l’habitation et donc, d’adapter le chauffage. On voit avec vous les avantages et les inconvénients de ce thermostat intelligent !

    smart thermostat

    Comment ça fonctionne ?

    Connecté à internet et à votre système de chauffage central, le thermostat intelligent peut être commandé à distance, généralement via une application smartphone. Suivant votre consommation d’énergie en temps réel, il peut non seulement interagir avec d’autres objets connectés de la maison (comme l’éclairage), mais il peut aussi automatiser le chauffage selon un horaire défini ou selon l’occupation de la maison. Bref, c’est l’allié parfait pour réguler votre consommation d’énergie.

    Inconvénients

    • La configuration de votre thermostat doit être aussi complète que possible : en effet, celui-ci a besoin de connaître votre mode de vie, ainsi que votre localisation. Les personnes ayant peu d’affinité avec la technologie pourront trouver ceci fastidieux…
    • Outre le fait de partager ces données, ce qui ne plait pas à tout le monde, il faut également considérer un budget tournant aux alentours des 200 euros.
    • Enfin, une connexion internet permanente est conseillée !

    Avantages

    • Une fois votre thermostat correctement paramétré, les économies d’énergie devraient vite se faire sentir.
    • Votre confort sera également amélioré, puisqu’il fera bon quand vous le souhaiterez.
    • Enfin, l’installation est facile et généralement compatible avec la plupart des chaudières modernes.

    Quel prix ?

    Un thermostat intelligent coûte aux alentours de 200 euros, certains modèles étant nettement plus abordables. Notez que votre fournisseur d’énergie peut vous le vendre à un tarif nettement plus intéressant s’il est proposé dans le cadre d’un pack. Il peut également vous proposer la mise en place du système.

     

  • Eclairage : 5 conseils pour réduire votre facture d’électricité

    Avec des prix de l’énergie grimpant sans cesse, il est plus que jamais question de rationnaliser sa consommation. L’éclairage comptant pour 10 à 15 % de votre consommation d’électricité, nous vous donnons ici quelques conseils !

    1.    Allumez quand c’est vraiment nécessaire !

    Cela tombe évidemment sous le sens : n’allumez vos lampes que lorsque cela est indispensable. La lumière naturelle étant gratuite, ouvrez vos volets et vos rideaux pour en profiter un maximum. Le meilleur moyen d’économiser sur l’éclairage, c’est… de ne pas l’allumer. Utilisez votre bon sens et n’allez toutefois jamais fatiguer vos yeux !

    2.    Choisissez des teintes claires

    Un intérieur peint dans des tons clairs sera naturellement plus lumineux qu’un intérieur plus foncé, car il va refléter la lumière. C’est également vrai pour votre sol !

    3.    Ampoules économiques

    Si cela n’est pas encore fait, remplacez toutes vos vieilles ampoules à incandescence par des ampoules économiques. La différence sur la facture d’électricité amortira très rapidement cet investissement !

    4.    Prenez les poussières !

    Une lampe doit refléter au maximum la lumière : époussetez régulièrement les ampoules, de même que la structure qui l’entoure, de manière à ce que la lumière se reflète le mieux possible. Cela pourrait rendre obsolète l’utilisation d’un deuxième luminaire !

    5.    Détecteurs de mouvement et de lumière

    Oublier d’éteindre la lumière, cela arrive à tout le monde et cela nous arrivera encore bien souvent. Pour éviter de laisser une ampoule allumée inutilement, un détecteur de mouvement est une solution : en cas d’absence, il éteint automatiquement la lampe. Préférez une utilisation de ces détecteurs dans les pièces constamment sombres où il est quasiment toujours nécessaire d’allumer : une cave, un garage, des toilettes…

    Un détecteur de lumière va pour sa part, réguler l’intensité lumineuse en fonction de la lumière diurne. Quand il fait sombre, la lampe utilisera donc la pleine puissance. A l’inverse, en pleine journée, la lampe n’éclairera que faiblement. Notez que certaines ampoules disposent d’un détecteur de lumière et peuvent s’allumer automatiquement dès que la luminosité est jugée trop faible.

    Luminaires économiques : découvrir les offres canons de DEMA

     

  • Vente de votre maison : 5 conseils pour des photos parfaites !

    Vous envisagez de vendre ou de louer votre maison ou votre appartement ? Dans ce cas, de bonnes photos sont indispensables !

    La recherche d’une maison ou d’un appartement commence souvent sur le web. Un internaute peut visualiser les photos d’une maison en moins d’une minute ! En une minute, un acheteur potentiel doit être convaincu d’aller voir la maison ou l’appartement. Voici quelques conseils pour vous aider à réaliser ce défi.

    1. Vendez votre maison, pas votre chez-vous

    En général, les maisons et les appartements sont souvent  » trop remplis « . Pensez aux meubles, bibelots, cadres photo, vases et autres accessoires pour la maison. Essayez de trouver l’équilibre et de surtout montrer les pièces. Cela donne aux acheteurs potentiels une idée de ce qu’ils peuvent faire de l’espace, en fonction de leurs propres goûts. Mieux vaut également éviter de montrer les photos privées, ce qui non seulement distrait de la maison, mais n’est pas non plus adapté à une exposition sur Internet.

    2. Mettez du vert et des fruits dans la maison!

    Un bouquet de fleurs sur la table ou de plantes dans la salle de bain donnera un coup de frais à la salle à manger ou à la salle de bain. Un bol de fruits aura le même effet sur la cuisine.

    3. Une lumière naturelle

    L’une des règles les plus importantes de la photographie est l’exposition. Il est préférable d’orienter la photo de manière à avoir autant de lumière naturelle que possible. Laissez donc tous les volets et stores ouverts pour laisser entrer la lumière naturelle.

    4. Des couleurs chaudes

    Essayez d’apporter des teintes chaudes à votre maison ! Bien sûr, vous n’avez pas besoin de repeindre vos murs, mais pensez à remplacer les housses de couette aux couleurs trop passées ou les rideaux foncés par des éléments plus lumineux.

    5. Un photographe professionnel, utile ou non ?

    Pour prendre de bonnes photos de votre propriété, vous pouvez engager un photographe professionnel. En utilisant la photographie professionnelle, une photo est cliquée 60% plus souvent, ce qui conduit à plus de vues et à une vente plus rapide d’une maison. Si vous n’avez pas de budget pour un photographe professionnel, votre agent immobilier peut vous aider. Vous pouvez aussi appliquer les conseils ci-dessus.

  • Conseil de copropriété : voici comment les membres sont élus

    Au sein d’un immeuble, il est parfois nécessaire de mettre en place un conseil de copropriété. Qui peut devenir membre ? Que se passe-t-il s’il y a plus de candidats que de places ?

    Parfois obligatoire

    Un conseil de copropriété est obligatoire dans les immeubles comportant au moins 20 lots (sans compter les sous-sols, les garages et les places de stationnement). Si le bâtiment est plus petit, un conseil peut être mis en place de manière volontaire. Les statuts de l’immeuble peuvent préciser le nombre de membres que doit compter le conseil. L’assemblée générale peut également le déterminer par un vote à la majorité des trois ou quatre quarts. Cependant, une modification des statuts est nécessaire si les règles des statuts doivent être changées.

    Juste assez de candidats

    Si vous voulez faire partie du conseil de la copropriété, vous pouvez vous présenter comme candidat à l’assemblée générale. Vous n’êtes pas obligé d’annoncer votre candidature à l’avance. S’il y a autant de candidats que de sièges, le groupe qui se présente comme candidat sera souvent voté en une seule fois.  Il suffit alors qu’une majorité simple de voix soit obtenue en faveur de la nomination des candidats.

    Autres candidats

    S’il y a plus de candidats que de places, on procède à un vote pour chaque candidat. Les candidats ayant obtenu le plus de voix feront alors partie du conseil de copropriété. Toutefois, les candidats en question doivent être élus à la majorité simple des voix.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Energie : tous les locataires ne vont pas subir la hausse des prix de la même manière !

    Les locataires vont-ils subir eux aussi les effets de la hausse des prix de l’énergie ? Oui, mais les conséquences ne seront pas les mêmes pour tout le monde.

    Dans une interview à la RTBF, José Garcia, secrétaire général du syndicat des locataires conseille « aux locataires d’économiser d’ores et déjà sur les hausses probables des prix de l’énergie ». Le syndicat demande également aux pouvoirs publics de contribuer aux dépenses liées à l’énergie des locataires les plus démunis.

    Dans quel cas le locataire devra-t-il payer ?

    Dans l’immense majorité des cas. En effet, les charges dues par un locataire au propriétaire reposent généralement sur un système dit « provisionnel » : en clair, le locataire paie un supplément (ou se fait rembourser le cas échéant) lors de la régularisation annuelle. C’est au propriétaire de calculer cette dernière, en fonction des dépenses du locataire. Et il y a fort à parier que la plupart des locataires devront payer un supplément, hausse du prix de l’énergie oblige.

    Toutefois, certains locataires profitent d’un système dit « forfaitaire ». Dans ce cas, le locataire paie le même montant tous les mois, quel que soit le prix de l’énergie. Les charges forfaitaires sont nettement moins répandues, José Garcia parle de 10 % des baux.

  • Mastic ou silicone : que choisir ?

    Tant le mastic que le silicone sont utilisés pour réaliser des joints, en rénovation comme en construction. Si a priori ils se ressemblent, ces deux matériaux présentent tout de même quelques différences.

    Si passer par un professionnel s’impose dans bon nombre de situations, qu’il s’agisse du gros œuvre ou de métiers pointus comme celui d’électricien, de plus en plus de personnes préfèrent mettre la main à la pâte, surtout lorsqu’on aborde les phases de finition ou de petites réparations. Reste néanmoins à opter pour les bons outils ainsi que pour les produits adéquats. Et, en la matière, connaissez-vous la différence entre le silicone et le mastic ? Non ? Alors on vous dit tout !

    Polyvalents et à étaler

    L’un comme l’autre sont utilisés pour colmater des fuites ou pour réaliser des joints, que cela soit au bord d’un châssis ou le long d’un carrelage dans une salle de bain par exemple. Les deux produits s’étalent et sont relativement faciles à utiliser grâce, généralement, à un pistolet dédié qui permet de mieux doser la quantité nécessaire. Une spatule sera utilisée pour uniformiser l’application du produit.

    Tant le mastic que le silicone se présentent sous la forme d’une substance pâteuse, de couleur translucide lorsqu’elle est à l’état brut, à même d’adhérer à quasiment n’importe quelle surface. Les deux peuvent être utilisés à l’intérieur comme à l’extérieur (sauf indication contraire du fabricant) et, outre leur aspect physique relativement similaire, ils garantissent des réparations, des fixations et des finitions à la fois robustes et durables.

    Si différents que ça ?

    Malgré ces similitudes, le silicone et le mastic se distinguent l’un de l’autre sur certains points. Pour certains usages, il vaudra donc mieux privilégier le silicone tandis que pour d’autres ce sera le mastic qui sera le plus approprié.

    Le silicone peut être considéré comme “le roi du joint” car il reprend bon nombre de propriétés du plastique, dont sa souplesse et sa relative élasticité. Il est en outre disponible en un large éventail de coloris. Par contre, il ne peut pas être peint, au risque de détériorer son élasticité et ses qualités isolantes. Le silicone fera merveille à l’intérieur, notamment dans la salle de bain, la cuisine et les toilettes où il comblera tout interstice entre différents matériaux, tout en étant à même de colmater les petites fuites. Cerise sur le gâteau, le silicone est peu cher et offre un joli rendu esthétique.

    Le mastic de son côté est un “boucheur” né puisque grâce à lui on peut réparer et boucher les fissures en tout genre. Bien souvent, il est traité de manière à résister aux variations de température. On peut donc l’utiliser aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. En outre, gros avantage, le mastic peut être peint. De quoi pousser vos finitions jusque dans les moindres détails et optimiser ainsi l’esthétisme de votre chantier !