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  • Chauffages alternatifs : plaisir, économie et (ré)confort !

    Avec un mercure qui chute et un prix des énergies traditionnelles qui s’envole, la tentation de s’équiper d’un chauffage alternatif est grande. Et pourquoi ne pas craquer, après tout ?

    Que ce soit pour chauffer une zone précise de son habitation ; pour « casser le cru » ou tout simplement pour assister son chauffage principal afin de diminuer sa facture énergétique, l’usage d’un chauffage alternatif présente de nombreux avantages.

    Bois

    Dans cette catégorie, le poêle à bois reste un grand classique. En plus d’offrir une ambiance cosy et réconfortante, il permet aussi de jouir d’une source de chaleur efficace pour un prix compétitif à l’usage. Si l’on dispose d’une cheminée au bon tirage et d’une zone pour stocker des bûches, difficile de résister à l’envie de s’installer à côté d’une bonne flambée crépitante…

    Pellets

    Le poêle à pellets peut également se poser en alternative intéressante. Son allumage automatique, souvent programmable, apporte un grand confort d’usage. Sans oublier que stocker des sacs de pellets se montre aussi plus « propre » et pratique en fonction de la configuration de son habitation.

    Gaz ou pétrole

    Parallèlement aux poêles à bois et à pellets, on retrouve dorénavant aussi une belle offre de poêles à gaz ou à pétrole sur le marché. Ces derniers peuvent aussi séduire comme appoint de chaleur dans nos domiciles quand le mercure chute. D’autant plus qu’il sont généralement économiques à l’achat et qu’ils peuvent aussi offrir une fonction d’allumage électronique confortable à l’usage.

    Electrique

    Ne nécessitant pas l’évacuation de fumées, le chauffage d’appoint électrique se profile, de son côté, comme la solution la plus souple à installer. En outre, une grande variété de solutions existent en fonction du type d’usage envisagé. Depuis le radiateur soufflant, plutôt destiné à la salle de bain, aux radiateurs à bain d’huile offrant une chaleur résiduelle confortable dans des pièces de vie.

    Profitez sans tarder des offres de Dema en matière de chauffage alternatif

  • Rénovation d’une toiture plate : voici ce à quoi vous devez faire attention !

    Vous pouvez confier la rénovation d’un toit plat à un spécialiste, mais vous pouvez parfaitement faire un certain nombre de choses par vous-même. On vous dresse ici la liste des points d’attention !

    Isolation supplémentaire ?

    Saviez-vous qu’environ un quart de la chaleur disparaît par le toit s’il n’est pas correctement isolé ? Si vous rénovez votre toit, veillez à ce qu’il soit bien isolé. Cela n’a rien de compliqué et un bon informant d’un magasin spécialisé peut vous conseiller selon votre cas précis.

    Réparer efficacement son toit

    La réparation d’une toiture plate ne se limite pas à la seule étanchéité de cette dernière. Voici quelques points d’attention supplémentaires :

    • Structure

    Si votre structure est en bois, les champignons et les insectes peuvent l’attaquer. Avec le béton, il y a un risque de pourriture. Soyez donc attentifs !

    • Pente et drainage

    Un blocage ou un affaissement peut entraîner la formation de flaques d’eau sur le toit. Cela fait peser une masse supplémentaire sur la structure du toit et met l’étanchéité en péril. Il y a également un risque d’infiltration d’eau.

    • Etanchéité et raccordements de la toiture

    En cas de pluie abondante, vous avez constaté de l’humidité sur les murs extérieurs ou le plafond ? Alors, il y a probablement un problème avec l’étanchéité de votre toit. Si ce dernier est récent, il peut avoir été mal installé. Vous feriez mieux de demander à un spécialiste d’y jeter rapidement un coup d’œil.

    • Condensation

    La pluie peut être à l’origine de l’humidité, mais parfois l’humidité qui tombe du plafond ou qui s’accumule au sommet des murs, est due à la condensation. Cela entraine donc un vrai risque de moisissure.

    Remplacement de la membrane d’étanchéité du toit

    Lors de la rénovation d’un toit plat, il suffit généralement de remplacer l’étanchéité du toit. Il existe 3 types de matériaux d’étanchéité différents à cet effet :

    • Roofing

    Fabriquées à partir de pétrole, ces membranes repoussent l’eau. Les formes les plus connues sont les plastomères et les élastomères. Les élastomères sont flexibles et collent très bien, tandis que les plastomères sont résistants aux UV. Ce matériau est déroulé sur le toit et collé, chauffé ou fixé mécaniquement. Deux couches sont généralement appliquées.

    • Membrane synthétique

    Il s’agit du PVC et de l’EPDM. Ces matériaux sont élastiques et légers. L’EPDM est livré sur un rouleau et est collé ou fixé mécaniquement. Le PVD est disponible en plusieurs couleurs et peut également être fixé mécaniquement, bien que le collage soit également possible. Ces membranes sont également insensibles au soleil

    • Résine liquide

    Cette résine peut être appliquée directement sur le béton ou la membrane déjà présente. L’application se fait au rouleau ou au pinceau. Notez que deux couches sont généralement nécessaires.

  • Quand faut-il remplacer sa chaudière ?

    La chaudière, c’est l’élément qui transforme votre maison en cocon douillet durant les saisons froides. Autant la chouchouter ! A partir de quel moment vaut-il mieux remplacer sa chaudière ? Leur durée de vie est-elle limitée ?

    Généralement, les experts s’accordent à dire qu’une chaudière de plus de 13 ans est en fin de vie, car c’est à partir de cet âge que les pannes apparaissent à un rythme plus soutenu. La remplacer et faire installer une nouvelle chaudière à ce moment-là (surtout si c’est une chaudière atmosphérique) a donc du sens et ce, pour plusieurs raisons :

    • Une chaudière neuve consomme moins, ce qui vous permettra d’économiser sur votre facture d’énergie ;
    • C’est aussi un gage de sécurité et de fiabilité;
    • Les normes écologiques seront mieux respectées ;
    • En cas de panne de l’ancienne chaudière, il y a un risque de pénurie de pièces détachées…

    Quelles économies d’énergie allez-vous réaliser ?

    Tout dépend de votre chaudière actuelle. S’il s’agit d’un modèle atmosphérique, le gain peut aller jusqu’à 30 % ! Dans le cas d’une chaudière à condensation actuelle, le gain varie entre 5 et 10 %, que ce soit pour le carburant (et donc les émissions), ou pour les besoins en électricité.

    Quelle chaudière choisir ?

    Il n’y a plus vraiment de mauvaises chaudières sur le marché aujourd’hui. Les marques Junkers, Bosch et, pour les grandes habitations, Buderus, profitent d’une belle réputation. Il faut toutefois qu’elle soit installée correctement !

    Concernant la puissance, multipliez votre surface à chauffer par 1,75 et vous aurez une idée, en kW, de la puissance requise. Notez que cela peut varier fortement en fonction de l’isolation, du nombre de salles de bains, du type de chauffe-eau… Demandez donc à un expert de calculer la bonne puissance : si elle est trop puissante ou pas assez, une chaudière ne fonctionnera pas correctement !

    Avant de procéder à l’installation d’une nouvelle chaudière, renseignez-vous sur les primes chaudière et aides des différentes régions dont vous pourriez bénéficier. Cela peut être très intéressant !

  • Changement climatique : comment adapter votre maison ?

    Le changement climatique est une réalité qui ne peut plus être niée. Aujourd’hui, l’architecture bioclimatique tend à prendre avantage d’un site et de son environnement pour rendre l’habitat aussi agréable que possible et ce, toute l’année. Concrètement, que vous partiez sur du neuf ou vers une rénovation, que faut-il prendre en compte pour adapter votre maison au climat du futur ?

    1. Apporter du soleil en hiver, protéger de la chaleur en été

    Seule une façade orientée au sud, accompagnée de larges baies vitrées offre des possibilités de chauffage passif de votre maison en hiver. Pour enrayer tout risque de surchauffe en été, les volets et autres auvents sont conseillés. Mais pas seulement : les arbres, les buissons et les haies peuvent également constituer une barrière naturelle contre le soleil. Une maison très bien isolée protège non seulement la maison du froid, mais aussi de la chaleur !

    2. Répartir judicieusement la chaleur

    Vous voulez éviter la surchauffe ? Optez pour un système de ventilation double flux. Ce système garantit un équilibre thermique entre les différentes pièces. Vous créez ainsi une circulation d’air naturelle. Notez que lors des canicules, ce système peut atteindre ses limites : c’est pourquoi il existe un bypass pour les échangeurs de chaleur. Ce système, mesurant les températures extérieure et intérieure, adapte la ventilation et le bypass en fonction de la température de consigne.

    3. Stocker la chaleur et la fraîcheur

    En hiver, vous voulez emmagasiner le plus de soleil possible à l’intérieur, tandis qu’en été, vous voulez capter et emmagasiner la fraîcheur de la nuit, afin de contrecarrer la surchauffe pendant la journée. Comment faire ? En profitant de l’inertie thermique de votre maison et des matériaux qui la composent. Ici encore, l’isolation est déterminante. Prenez conseil auprès d’un spécialiste !

    4. Rafraichir la nuit

    Une fois votre maison surchauffée par le soleil, comment la rafraichir ? La clé, c’est la ventilation ! La fraîcheur de la nuit peut être d’un grand secours : si vous ventilez intensivement la nuit, la fraîcheur est stockée dans vos matériaux, ce qui signifie que votre maison se réchauffera moins le lendemain. Privilégiez donc les murs à bonne inertie et assurez-vous de pouvoir facilement et intensivement ventiler la nuit.

  • Duplex : de quoi s’agit-il et quels sont ses avantages ?

    Le terme « duplex » vous laisse songeur ? Pour de nombreuses personnes, le duplex se profile comme une belle alternative aux maisons devenues trop onéreuses. Dans cet article, nous vous en disons plus sur les avantages d’un duplex.

    Qu’est-ce qu’un appartement en duplex ?

    Le terme « duplex » vient du latin et signifie « double ». Par conséquent, un duplex est en fait un appartement aux deux étages reliés par un escalier interne. Cela reste techniquement un appartement et le duplex fait donc partie d’un immeuble. Le triplex, vous l’aurez compris, compte trois étages. Notez que bien souvent, la surface habitable d’un duplex est comparable à celle d’une maison.

    Un duplex est divisé de manière classique avec le salon, la salle à manger, la cuisine et le séjour à l’étage inférieur, et avec la salle de bain et les chambres à l’étage supérieur.

    Les avantages d’un duplex ?

    L’argument choc d’un duplex ? L’espace ! Vous profitez de la même sensation d’espace que dans une maison, mais avec moins de coûts et d’entretien.

    Des espaces plus grands

    Les pièces d’un duplex sont souvent plus grandes que celles d’un appartement classique. Vous pouvez donc profiter d’un meilleur confort de vie.

    Plus de confidentialité

    Avoir des étages permet notamment de profiter d’une certaine intimité, notamment lorsque des enfants composent le ménage. Lorsque vous recevez des invités, un étage supplémentaire permet de camoufler le désordre plus aisément.

    Jardin possible

    De nombreux duplex comptent un jardin.

    Une consommation d’énergie inférieure

    Dans un duplex, les coûts énergétiques sont souvent moins élevés que dans une maison. De nombreux duplex sont récents et profitent de plus de la chaleur des appartements adjacents.

    Prix de revient inférieur

    Les duplex peuvent être chers, mais sont souvent plus abordables qu’une maison. Gardez toutefois à l’esprit les coûts partagés avec les autres propriétaires.

    Localisation

    De nombreux duplex se trouvent à proximité d’un centre-ville ou dans des quartiers offrant de nombreuses commodités. Aujourd’hui, les maisons de ces quartiers sont souvent inabordables…

  • Que faire lorsque vous ne pouvez pas déménager à la fin du bail ?

    Il arrive parfois qu’un locataire ne puisse pas déménager tout de suite à la fin du loyer. Les raisons peuvent être diverses, comme une maladie ou tout simplement une absence de nouveau logement… Le locataire peut-il dès lors rester plus longtemps dans le bien loué ?

    Circonstances exceptionnelles

    Lorsqu’un bail expire ou prend fin à la suite d’une résiliation, le locataire qui apporte la preuve de circonstances exceptionnelles peut demander une prolongation. Par « exceptionnelles », on entend des circonstances qui rendent temporairement impossible ou difficile le déménagement ou la recherche d’une autre résidence. Il peut s’agir, par exemple, de l’âge avancé du locataire, d’une maladie ou d’un accident grave, d’une grossesse qui nécessite du repos, de l’indisponibilité du nouveau bien, etc.

    Conditions supplémentaires

    Pour que le locataire puisse en faire la demande, il doit avoir sa résidence principale dans le bien loué. En outre, le bail doit avoir pris fin à la suite d’une résiliation. Ces deux conditions sont indispensables pour obtenir une prolongation.

    Demandez à temps !

    Si vous souhaitez obtenir une prolongation du loyer, vous devez en faire la demande au propriétaire au moins un mois avant la date d’expiration du bail.  Vous pouvez faire cette demande par lettre recommandée.

    Si le propriétaire n’accepte pas la demande, le locataire peut porter l’affaire devant le juge de paix. Le juge peut alors décider d’accorder ou non la prolongation.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Pouvez-vous tenir votre architecte responsable des défauts de votre maison ?

    Il est souvent nécessaire, voire obligatoire de faire appel à un architecte lorsque vous construisez ou rénovez une maison. Pouvez-vous le tenir pour responsable si la maison s’avère avoir des défauts ?

    Responsabilité décennale

    A l’instar de votre entrepreneur, votre architecte est responsable de certains défauts de construction pendant une période de 10 ans.  Ces défauts doivent être graves et menacer la solidité du bâtiment à court ou à long terme. Afin d’engager la responsabilité de votre architecte, vous devez être en mesure de prouver qu’il a commis une erreur. Il peut s’agir, par exemple, d’une erreur dans la conception des travaux ou dans la surveillance du chantier.

    Des défauts plus légers

    Vous pouvez également tenir votre architecte responsable des petits vices cachés si, là encore, vous pouvez démontrer qu’il était en tort. Toutefois, pour les vices cachés mineurs, vous devez prouver leur existence dans un court laps de temps après en avoir pris connaissance. Il n’est donc pas question d’invoquer ces défauts dix ans après l’achèvement des travaux.

    Les deux parties sont-elles responsables ?

    Si votre entrepreneur et l’architecte ont tous deux commis une erreur, vous pouvez les tenir tous deux responsables. Veuillez noter que les deux parties doivent également assurer leur responsabilité dans certaines limites.  Si vous envisagez d’engager une procédure contre votre entrepreneur et/ou votre architecte, consultez votre avocat pour savoir contre qui vous allez agir.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • 6 astuces pour laver votre sol de manière naturelle !

    “Passer le torchon” est une corvée tout sauf passionnante, surtout lorsque l’opération est assortie de produits chimiques qui abîment les mains et dégagent des odeurs parfois désagréables. Voici 6 alternatives naturelles à ne pas manquer !

    Avec quoi laver son sol lorsqu’on envisage de se passer des produits ménagers de la grande distribution ? Une question que de nombreux Belges se posent au quotidien. Les produits naturels sont-ils tout aussi efficaces que leurs homologues développés par l’industrie chimique ? Peut-on se passer d’un parfum “floral” au profit d’une odeur plus neutre ?

    Si les grands fabricants de produits ménagers ont coutume de vous promettre monts et merveilles, vous pouvez aussi vous débrouiller seul, à l’aide de quelques ingrédients usuels. Vous allez le voir, ça n’a rien de compliqué ! Il existe en effet de nombreuses recettes pour fabriquer ses propres détergents à base d’ingrédients d’origine naturelle.

    Avez-vous pensé à la vapeur ?

    Pour nettoyer le sol, nombreux sont ceux qui ont laissé tomber le traditionnel torchon au profit d’une solution entièrement naturelle : la vapeur d’eau. Générée par un appareil dédié, qui fonctionne un peu comme un aspirateur, la vapeur permet de se passer de tout détergent et produit nettoyant. Diffusée sous haute pression, elle permet de désincruster et désinfecter les sols en quelques secondes.

    Et les alternatives ?

    Vous ne voulez pas investir dans un nettoyeur vapeur et préférez opter pour des solutions plus économiques mais néanmoins bonnes pour la planète ? Voici 5 astuces qui vont vous permettre de nettoyer “au naturel”.

    Le savon noir, qui est fabriqué à partir de potasse combiné à un corps gras comme de l’huile végétale (olive, lin ou maïs) est utile dans toute la maison pour faire le ménage et l’est donc également pour les sols ! Il suffit de verser quelques gouttes de savon noir liquide dans un seau d’eau chaude puis de nettoyer votre sol à l’aide d’une serpillère.

    Le bicarbonate de soude, composé ionique blanc qui se présente sous forme de poudre, peut lui aussi aider à l’entretien des sols. Mélangez un litre d’eau chaude et deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude et vous obtenez un mélange qui est prêt à l’emploi !

    Le vinaigre blanc, qui se révèle très utile pour détartrer une bouilloire ou un robinet, peut aussi s’utiliser sur les sols. En effet, il assure une action antimicrobienne efficace qui permet de remplacer notamment l’eau de javel ou quand il n’est pas nécessaire d’avoir recours à un produit ménager puissant et agressif pour éliminer des microbes. Si le vinaigre blanc désinfecte à merveille les toilettes et la salle de bain, il en fait tout autant avec les sols.

    Le savon de Marseille, qui résulte de la saponification d’un mélange d’huiles végétales par de la soude, ne s’utilise pas que sous la douche ! En effet, pour un sol propre et brillant, il suffit de verser quelques gouttes de savon de Marseille liquide dans un seau d’eau chaude, puis de laver votre sol.

    Enfin, la pierre d’argent est l’un de ces produits miracle méconnus, parfait pour récurer les sols un peu sales. Mouillez une éponge, frottez-la sur la pierre puis nettoyez. Vous serez surpris du résultat !

  • Usufruit : qui doit assurer le bien immobilier ?

    Si une personne a l’usufruit d’un bien immobilier, la question se pose parfois de savoir qui doit l’assurer. Que dit le nouveau code de la propriété à ce sujet ?

    La nouvelle loi (entrée en vigueur le 1er septembre 2021) prévoit que l’usufruitier a l’obligation d’assurer les biens sur lesquels repose l’usufruit en pleine propriété. En clair, l’usufruitier d’un bien immobilier doit prendre une assurance incendie et en payer les primes.

    A noter que le nu-propriétaire peut demander à l’usufruitier de fournir la preuve de la souscription de l’assurance et du paiement des primes.

    Si l’usufruitier ne prend aucune assurance…

    Si l’usufruitier omet de souscrire une assurance, le nu-propriétaire ne doit pas rester impuissant et peut souscrire lui-même à une assurance dont il devra demander le remboursement à l’usufruitier.

    En cas d’accident

    Si le bâtiment est endommagé et que la compagnie d’assurance paie les dégâts, le nu-propriétaire peut réclamer l’indemnité dans la mesure de ses droits.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Vous désirez rénover votre escalier ? Choisissez le bon matériau !

    Vous désirez rénover votre escalier ? Dans ce cas, sachez qu’il existe de nombreux matériaux pour lui redonner un coup de frais ! Aujourd’hui, un escalier représente bien plus qu’une simple liaison entre les étages : c’est régulièrement un vrai accroche-regard ! Voici quelques-uns des matériaux les plus courants…

    1.         Escaliers en métal

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    Un escalier en métal donne un aspect industriel et s’intègre parfaitement dans un environnement moderne. Endurant, le métal s’accommode également d’un style fin et raffiné. Par métal, on entend généralement en acier ou en inox, mais l’aluminium est également une option. Le nombre de points d’appui nécessaires est limité, ce qui vous donne une construction légère et aérée.

    2.         Escaliers en bois

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    Le bois reste de loin le matériau le plus populaire pour les escaliers. C’est un matériau chaud et facile à travailler. Un escalier en bois peut être assorti à presque tous les intérieurs. Choisissez un bois de qualité, résistant à l’usure. Optez également pour un bois sans échardes et qui ne se rétracte ou ne se dilate pratiquement pas. Les escaliers en bois sont peu coûteux, mais plus la forme est complexe, plus le prix est élevé.

    3.         Escalier en béton

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    Le béton est solide et durable. Les escaliers en béton offrent un large éventail de possibilités en termes de finition. Avec le béton, vous avez le choix entre des escaliers préfabriqués ou des escaliers coulés sur place. Cette dernière solution est certainement recommandée si vous envisagez un escalier complexe. En ce qui concerne la finition, le béton vous donne une grande liberté !

    4.         Un escalier en « solide surface »

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    Il s’agit ici d’escaliers fabriqués à partir de résines acryliques et de matières naturelles. Il s’agit d’escaliers solides et non poreux. Notez que ces escaliers ne se décolorent pratiquement pas. Ce matériau est généralement utilisé comme revêtement pour les escaliers métalliques. Il existe de nombreuses couleurs, bien que la majorité de ces escaliers soient blancs.

    5.         Un escalier en verre

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    Un escalier léger, élégant mais solide ? Le verre est une belle option. Un escalier entièrement en verre est rare : seules les marches et/ou la balustrade le sont. Le verre ne doit pas toujours être transparent, un verre mat est également possible. Par sérigraphie, il est même possible d’y ajouter des dessins ou des graphismes. De plus, les possibilités en termes de couleurs et de textures sont assez nombreuses. Vous voulez faire de votre escalier un véritable accroche-regard ? Optez pour le verre en combinaison avec un éclairage LED !

    Comme vous pouvez le constater, le choix est vaste. Si vous hésitez, faites-vous conseiller par un professionnel et n’hésitez pas à demander des devis à plusieurs fournisseurs, afin de pouvoir faire un choix réfléchi.