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  • Borne de recharge : votre installation électrique est-elle suffisante ?

    La voiture électrique est sur toutes les lèvres. Cette solution, présentée comme celle de l’avenir, va sans doute chambouler notre quotidien par ses spécificités. Mais avant de signer le bon de commande, pensez d’abord à la manière dont vous allez la recharger. Vous comptez recharger chez vous ? Dans ce cas, ce qui suit va vous intéresser…

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    Monophasé ou triphasé ?

    Un raccordement monophasé 230 volts ne donne pas la même puissance qu’une installation triphasée moderne (3×400 volts + N). Notez, de plus, que certaines installations électriques plus anciennes en Belgique fonctionnent avec un courant triphasé sans neutre, ce qui pourrait compliquer l’installation d’une wallbox.

    Quel ampérage ?

    Il vous faut également connaître l’ampérage maximal dont vous disposez. Si votre compteur peut fournir 40A, utiliser jusqu’à 32A rien que pour la recharge de son véhicule électrique ne laissera en effet plus beaucoup de marge pour les autres consommateurs électriques du domicile. Sachez que renforcer son compteur coûte très cher, mais n’est pas impossible !

    Toutefois, si votre ampérage est limité, nous vous conseillons d’opter pour une borne intelligente : celle-ci pourra module la puissance de charge en fonction de la consommation en temps réel d’électricité de l’ensemble du bâtiment.

  • Votre locataire ne peut plus payer sa facture de gaz ? Voici ce que vous risquez !

    Les prix de l’énergie ont atteint des sommets ces derniers mois. Mais que risquez-vous en tant que propriétaire si votre locataire ne peut plus payer la facture ?  Le fournisseur de gaz peut-il frapper à votre porte ?

    De nombreuses familles risquent d’avoir des difficultés à payer leurs factures de gaz et d’électricité au cours des semaines, voire des mois à venir. Parmi elles, il y aura également un nombre important de locataires.

    Au nom du locataire

    Si le compteur est au nom de votre locataire et qu’il n’est pas en mesure de payer sa facture, vous ne devez pas vous inquiéter. Le fournisseur de gaz ne peut pas venir frapper à votre porte pour la simple raison que vous êtes propriétaire du bien en question. Veillez à ce que le compteur soit relevé correctement (et transmis) au début et à la fin de la location.

    Paiement anticipé

    Il peut également arriver que vous, en tant que propriétaire, payiez les factures de gaz et d’électricité et que vous les facturiez ensuite au locataire.  Dans ce cas, vous pouvez demander une avance mensuelle à votre locataire. Si le locataire ne peut pas payer, c’est  malheureusement votre problème : vous ne pouvez pas utiliser cet argument pour éviter de payer le fournisseur.

    Forfait

    Certains propriétaires réclament une somme forfaitaire que le locataire doit verser.  Si c’est votre cas, vous devrez payer la facture du fournisseur. Vous ne pouvez pas augmenter unilatéralement le montant du forfait pendant la durée de la location, même si les coûts réels ont fortement augmenté.  Toutefois, vous pouvez convenir avec le locataire d’un forfait plus élevé.  Veuillez noter que vous pouvez toujours demander au tribunal de passer à un système de règlement en frais réels.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Vous vendez votre maison ? Concentrez-vous sur votre salle de bains !

    C’est la question que nombre de personnes qui désirent vendre leur maison se posent : un coup de peinture est-il suffisant ou faut-il aller plus loin dans la rénovation ? Voici nos conseils concernant la salle de bains. En effet, la salle de bains est une clé importante pour bien vendre et augmenter la valeur de votre maison.

    1.         Un simple rafraichissement peut faire des merveilles

    Un nouveau robinet, une paroi de douche propre et quelques fissures et trous rebouchés : ces petites interventions ne nécessitent pas d’investissements majeurs, mais elles peuvent faire une grande différence.

    2.         Restez neutre

    Si vous souhaitez aller plus loin dans la rénovation de votre salle de bains, évitez de rendre la décoration trop personnelle et favorisez un traitement neutre. Le blanc et le beige sont largement appréciés ! Une salle de bains récente est toujours vue comme une grosse plus-value…

    3.         L’éclairage fait la différence

    Une bonne lumière peut agrandir visuellement la pièce. Bien entendu, favorisez la lumière naturelle autant que possible. Il n’y a pas de fenêtres ? Avec un miroir LED et/ou quelques luminaires supplémentaires, vous pouvez créer une belle atmosphère.

    4.         Quelques détails qui attirent l’attention

    Quelques serviettes colorées, un luxueux savon ou de jolis accessoires : ces détails peuvent faire une grosse différence. Limitez le nombre d’articles, mais faites-les ressortir. Une plante ou un vase peuvent apporter un peu de couleur pour briser la monotonie des murs…

    Pour le reste, débarrassez-vous du maximum d’éléments superflus afin que les acheteurs potentiels puissent imaginer leur aménagement à eux.

    5.         Des toilettes dans la salle de bain ?

    Cela semble évident, mais si vous avez des toilettes dans la salle de bains, rendez-les aussi propres que possible. Fermez également la lunette si vous attendez des acheteurs potentiels.

    6.         Ajouter un parfum

    Les odeurs sont généralement à éviter, mais dans ce cas-ci, nous vous conseillons malgré tout une bougie parfumée, des bâtonnets d’huile essentielle ou un diffuseur, soit de quoi créer une atmosphère. Optez pour des senteurs relaxantes comme l’eucalyptus, la lavande ou la cardamome.

  • Cet hiver, hors de question de délaisser votre jardin !

    Entre novembre et mars, il y a toujours des tâches à effectuer pour entretenir et aménager son jardin, d’autant que les derniers mois ont été particulièrement humides.

    Ramassez régulièrement les feuilles mortes

    Depuis quelques semaines, les arbres se dénudent. Leurs feuilles tombent petit à petit et recouvrent pelouses et parterres. Il convient de ramasser celles-ci régulièrement afin de vous assurer d’avoir un jardin bien propre tout en évitant que les matières organiques ne s’accumulent. Compostez le tout ou utilisez-le comme paillage, en ne retenant que les feuilles qui ne sont pas trop gorgées d’eau. Le paillage protège le sol tout en l’enrichissant. Profitez-en aussi pour nettoyer les massifs, les éventuels bassins d’ornement ainsi que vos accessoires de jardinage.

    Mettez les plantes les plus fragiles à l’abri

    Vous le savez, il est indispensable de rentrer à l’intérieur les plantes les plus fragiles ainsi que les espèces exotiques. Vous pouvez par contre laisser les plus robustes profiter de la météo, à condition que celle-ci soit clémente. Pour prévenir tout dégât, préparez néanmoins des voiles d’hivernage et d’éventuelles protections afin de pouvoir couvrir les plantes extérieures dès que les températures chuteront.

    Peut-on tailler en hiver ?

    De façon générale, les professionnels vous diront qu’il est impératif de tailler en dehors des périodes de gel. Au tout début de la saison, il est parfois encore possible d’éclaircir les plantes les plus vigoureuses, à l’image des grimpantes mais aussi des rosiers et des vivaces qui, généralement, ont encore un peu de prestance au début de l’automne. En revanche, la majorité des plantes à floraison estivale ont besoin de garder “une petite couche” pour résister au froid. On ne touchera donc pas aux plantes à fleurs, comme les hortensias, ni aux graminées. Il faudra attendre la sortie de l’hiver pour tailler ceux-ci. Pour ce qui est des arbres fruitiers, ceux à noyau se taillent quand ils sont encore verts tandis que ceux à pépins se taillent quand ils n’ont plus de feuilles.

    On prend soin des oiseaux !

    Durant les mois les plus froids de l’année, on veillera à la bonne santé de nos amis les oiseaux, ainsi que des autres petits habitants du jardin en mettant à leur disposition une nourriture adaptée ainsi que de l’eau. On peut également installer un abri qui leur permettra de passer les nuits les plus froides. Tout ce petit monde vous sera reconnaissant en restant à vos côtés tout au long de l’hiver !

    Profitez des promotions chez DEMA pour vous équiper !

  • Architectes : ce qu’il faut savoir sur leurs honoraires

    Lorsque vous vous lancez dans un projet de construction ou de rénovation avec un architecte, vous voulez probablement savoir exactement ce que cela va vous coûter. Quelles règles devez-vous prendre en compte ?

    Pas de taux « fixes ».

    La loi ne prévoit pas de tarifs « fixes » auxquels votre architecte doit se conformer. Certains architectes seront donc plus chers que d’autres. Par exemple, un architecte ayant plus d’expérience ou une très bonne réputation peut vous faire payer plus cher qu’un architecte débutant. En outre, l’importance de la commission que vous donnez à l’architecte sera également un facteur déterminant.

    Outre les honoraires réels de l’architecte, vous pouvez également lui devoir d’autres frais (comme une indemnité de déplacement, etc.).

    Plusieurs systèmes

    Vous pouvez conclure différents types d’accords sur les honoraires avec votre architecte. Par exemple, ses honoraires peuvent être fixés en pourcentage du coût de la construction. En règle générale, les honoraires s’élèvent à 7 ou 10 % du coût de la construction pour une nouvelle construction. Pour une rénovation, on évoque parfois des pourcentages de 12 à 15%. Vous pouvez également convenir d’un montant fixe ou d’un montant par heure. Il est également possible de faire une combinaison d’accords.

    Accords sur papier

    Dans tous les cas, veillez à ce que les honoraires que vous concluez avec votre architecte soient clairs et qu’ils soient également consignés sur papier. Votre architecte est d’ailleurs obligé de conclure un contrat écrit avec vous.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)

  • Carreaux de céramique : comment les installer et les entretenir

    Vous êtes nombreux à ne jurer que par les carreaux de céramique. Si vous voulez tirer le meilleur parti de vos carreaux de céramique, une installation correcte est extrêmement importante, mais l’entretien ne doit pas être négligé non plus !

    Nos conseils pour la pose de vos carreaux de céramique

    1. Donnez à la chape suffisamment de temps pour sécher

    Si vous voulez éviter que vos carreaux de céramique ne se détachent, votre chape a besoin de temps pour sécher. Laissez sécher la chape pendant au moins 4 semaines. Si la zone où vous désirez poser vos carreaux de céramique n’est pas encore à l’abri du vent ? Alors attendez un peu plus longtemps ! Une fois que les carreaux de céramique ont été posés, il est également préférable d’attendre environ 36 heures avant de commencer le jointoiement.

    2. Une surface plane est essentielle

    Les carreaux de céramique doivent être posés sur une surface plane. S’il y a des irrégularités, lissez-les avec du mortier de nivellement.

    3. Travailler sur une surface dégraissée

    Si vous posez vos carreaux de céramique sur une autre surface, veillez à la dégraisser correctement au préalable. Si vous travaillez sur des carreaux de ciment ou des pierres naturelles, utilisez la colle flexible au lieu de la colle traditionnelle. Après avoir posé les carreaux, attendez environ 48 heures avant de les jointoyer.

    Nos conseils pour l’entretien des carreaux de céramique

    Pour en profiter pendant longtemps, il faut également entretenir correctement vos carreaux de céramique. Voici les points les plus importants.

    1. Attention à l’entretien initial

    Vous vous occupez de vos carreaux de céramique pour la première fois ? Procédez avec prudence. Laissez sécher les joints pendant trois semaines, puis enlevez les résidus. Vous pouvez le faire à l’aide d’un dissolvant adapté disponible dans les magasins de bricolage. Vos carreaux garderont leur éclat plus longtemps. Vous pouvez ensuite passer la serpillière avec de l’eau chaude.

    2. Ne pas trop nettoyer

    Un coup d’aspirateur ou de serpillière une fois par semaine suffit. Pour les sols de couleur claire, vous pouvez même le faire tous les quinze jours, car les taches risquent moins d’apparaître. Utilisez des produits de nettoyage sans huile, afin que la saleté ne « colle » pas.

    3. Entretien majeur tous les 3 mois

    Une fois par trimestre, vos carreaux de céramique ont besoin d’un nettoyage en profondeur. Vous pouvez utiliser un produit de nettoyage plus puissant pour cela. Veillez à bien rincer à l’eau claire.

  • Problèmes de construction/rénovation ? Voici 3 raisons d’engager votre propre expert

    Si vous pensez que les travaux de construction ou de rénovation effectués par un entrepreneur présentent des défauts, il peut être utile d’engager votre propre expert. Pourquoi et que devez-vous prendre en compte ?

    Si un litige en matière de construction est porté devant le tribunal, celui-ci désignera parfois un expert pour vérifier ce qui ne va pas. Si vous engagez vous-même un expert, son rapport peut ne pas être suffisant pour le tribunal (il est unilatéral et c’est vous qui l’avez payé).  Néanmoins, il peut être utile d’y faire appel…

    1.    Y a-t-il vraiment un problème ?

    Tout d’abord, votre expert peut vous indiquer s’il y a effectivement un problème avec les travaux que l’entrepreneur a effectués et si vous pouvez tenir quelqu’un pour responsable.  Vous obtiendrez au moins un avis sur la possibilité de tenir votre entrepreneur ou votre architecte responsable des défauts.

    2.    Rédiger un rapport

    Si votre propre expert pense qu’il y a effectivement des erreurs qui ont été commises, vous pouvez lui demander de faire un rapport étayé par des photos. Vous pouvez ensuite utiliser ce rapport au tribunal pour fournir une première preuve. Dans le cas contraire, vous risquez de voir votre demande rejetée.

    3.    Assistance

    Votre propre expert peut également vous aider si un expert est finalement nommé par le tribunal.  Il peut représenter vos intérêts lors de cette évaluation et tenter de convaincre l’expert de vos droits sur la base d’arguments techniques.

     

    Jan Roodhooft, avocat www.ra-advocaten.be

  • Mites alimentaires : 4 astuces pour s’en débarrasser !

    C’est un véritable fléau qui frappe bon nombre de cuisines et de locaux où l’on conserve des denrées alimentaires. Des petits papillons dont les larves se nourrissent d’aliments variés et dont il est très difficile de se débarrasser. Voici nos astuces pour en venir à bout une bonne fois pour toute !

    Emiko Peterson

    Farine, biscuits, pâtes, céréales, fruits secs ou encore croquettes pour animaux domestiques : les mites se délectent d’un peu de tout. Ces petits papillons proviennent généralement des produits que l’on achète dans le commerce et plus particulièrement de ceux qui sont vendus en vrac. Ils ont une nette préférence pour les produits bio, ceux-ci étant généralement dépourvus de tout pesticide.

    Tenace… comme une mite

    Une fois chez vous, les mites s’installent dans les armoires et les placards, avec des nids qui sont parfois difficiles à dénicher. Boîtes de biscuits et de pâtes, paquets de farine ou de céréales, mais aussi plinthes, faux plafonds, alvéoles des cartons d’emballage voire entre deux livres, rien ne les arrête !

    Si vous êtes à la recherche de la “source” des mites qui volent dans votre séjour, soyez particulièrement attentifs à ces endroits, mais également aux jonctions entre le sol et les murs, aux interstices entre les lames du plancher et à la partie arrière de vos armoires. Une fois le cocon repéré, il faut le décoller minutieusement et vous en débarrasser, tout en désinfectant la zone concernée.

    Des petits filaments blancs dans vos armoires et dans les aliments peuvent également être le signe de la présence de mites. Vous devrez coûte que coûte repérer le ou les nids et les détruire afin de prévenir toute prolifération !

    1.   Un récipient hermétique

    Première astuce à observer pour prévenir toute apparition de ces insupportables bestioles : stockez vos denrées alimentaires dans des récipients bien hermétiques, comme des bocaux en verre ou des boîtes en plastique qui ferment. Si mites il y a, vous limiterez ainsi leur prolifération tout en maintenant les aliments sains à l’écart de ceux qui sont infestés.

    2.   Répulsif naturel

    Seconde astuce pour les éloigner de vos armoires : disposez-y des clous de girofle ou des feuilles de laurier. Ces deux répulsifs 100 % naturels peuvent être placés directement dans les placards voire dans les boîtes et sachets qui contiennent des aliments. L’huile essentielle de cèdre peut également être d’un grand secours, mais celle-ci ne doit pas être mise en contact avec des aliments.

    3.   Installer des moustiquaires

    En effet, les mites peuvent aussi provenir de l’extérieur, particulièrement en ville où elles raffolent des fientes de pigeons ! À la campagne, la présence d’un poulailler peut favoriser leur apparition.

    4.   Jetez ce qui est infesté !

    Enfin, quatrième truc : soyez radical si vous remarquez la présence de ces nuisibles. Jetez tous les aliments infestés ainsi que ceux qui sont entamés et qui partagent la même armoire. Placez le tout dans un sac poubelle et fermez-le hermétiquement. Vous devrez ensuite procéder à un nettoyage complet et minutieux des placards impactés, à l’aide d’un détergent multi-usage ou d’un mélange d’eau tiède et de vinaigre blanc. Le moindre recoin doit être traité !

  • Quelle machine à laver choisir : hublot ou chargement par le dessus ?

    Les machines à laver “top” font merveille dans les petits espaces et en appartement, grâce à un volume réduit. Ont-elles d’autres avantages ? On vous dit tout !

    Contrairement aux machines à laver pourvues d’un hublot, les modèles “top” se chargent par le haut grâce à un hayon qui donne accès au tambour de la machine. Le chargement du linge se fait donc par le haut de la machine.

    Quelques inconvénients…

    • Il est impossible de poser un sèche-linge par-dessus la lessiveuse, ce qui constitue un petit inconvénient surtout si vous manquez d’espace dans votre buanderie ou votre salle de bain.
    • En outre, ce type de lave-linge n’est pas encastrable.
    • Enfin, ces modèles présentent généralement de plus petites capacités de chargement (7 à 8 kg maximum).

     

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    Quels sont les avantages ?

    • Par rapport aux machines à laver à hublot, le principal avantage du lave-linge “top” demeure indéniablement son confort d’utilisation. Charger le linge par le dessus vous évite premièrement de vous accroupir.
    • En outre, le linge ne risque pas de tomber au fur et à mesure du chargement, celui-ci étant bien coincé dans le tambour de la machine.
    • Et puisque vous pouvez remplir facilement la machine à laver, vous pouvez tirer parti de l’intégralité de la capacité du tambour de votre appareil.
    • Enfin, bien que les machines à laver “top” ne soient pas encastrables, leurs petites dimensions en font un appareil idéal pour les petits espaces. En moyenne, ce type d’appareil fait 45 cm de largeur contre 60 cm pour les modèles à hublot ! Un sacré gain de place !

    Hublot ou top : le dilemme

    Le mode d’ouverture de l’appareil vous permet donc de choisir entre une machine à laver hublot et un lave-linge “top”. Un choix qui influe sur les dimensions et la capacité de l’appareil mais aussi sur la possibilité d’une deuxième fonctionnalité de séchage (inexistante sur les machines “top”) et d’une installation encastrée pour le modèle hublot.

    Il existe en outre d’autres paramètres à prendre en compte, que ce soit pour le lave-linge frontal ou “top”, comme la capacité d’essorage. Exprimée en tours/minute, celle-ci, si elle est élevée, permet de sécher le linge plus rapidement. Lors de votre choix, tenez également compte des différents programmes disponibles, surtout si vous disposez d’une garde-robe constituée de vêtements fragiles !

  • Se faire dédommager en cas de dégâts dus à la sécheresse, c’est possible !

    Les sécheresses de ces dernières années ont provoqué des fissures et/ou des problèmes de stabilité dans certaines maisons. Mais saviez-vous que si vous en êtes victime, vous pouvez faire appel à votre assureur incendie ?

    Ces dernières années, les maisons construites sur un sol argileux, notamment, ont souffert d’affaissements du sol. Lorsque les propriétaires de ces maisons signalaient ce phénomène à leur assureur incendie, celui-ci refusait souvent de couvrir les dommages. Ces assureurs déclaraient alors qu’ils ne devaient intervenir qu’il devait s’agir d’un mouvement soudain du terrain, ce qui n’est pas le cas en cas de sécheresse.

    Que dit la loi ?

    Une nouvelle loi impose à votre assureur d’intervenir en cas de dommages causés par la sécheresse ou, plus précisément, en cas de « mouvement d’une masse importante de terrain qui détruit ou endommage des biens, dû en tout ou en partie à un phénomène naturel autre qu’une inondation ou un tremblement de terre ». Par ceci, il faut comprendre toute contraction du sol due en tout ou en partie à une période de sécheresse prolongée, qui détruit ou endommage des biens.

    Jan Roodhooft, avocat (www.ra-advocaten.be)