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  • 4 conseils pour nettoyer votre terrasse en profondeur !

    Votre terrasse n’est pas encore au sommet de sa forme alors que le printemps est déjà bien installé ? Voici 4 conseils pour la nettoyer en un rien de temps et sans faire appel à un pro.

    terrace
    Cameron Smith

    Savon vert

    Bien sûr, il existe quantité de produits spécifiques dans les jardineries et autres magasins de bricolage, mais avec du savon vert, vous obtenez le même résultat. Cela ne vous coûte presque rien, à part le travail manuel. Graissez la terrasse et/ou vos meubles avec du savon, laissez-les tremper pendant 24 heures et rincez-les.

    Vous avez de la mousse qui apparaît à certains endroits ? Le vinaigre peut résoudre ce problème. Appliquez du vinaigre non dilué : le moins qu’on puisse dire, c’est que la mousse n’est pas fan du vinaigre ! De plus, cette solution ne vous coûtera presque rien.

    Des meubles en aluminium ?

    Si vous pouvez parfaitement vous attaquer aux meubles en bois avec de l’eau mélangée à du savon vert, mieux vaut vous nettoyer les meubles en aluminium avec du détergent ou du liquide vaisselle. N’utilisez pas d’éponge à récurer : cela peut rayer vos meubles ! Optez plutôt pour un chiffon.

    Attention aux pulvérisateurs à haute pression

    Pulvériser votre terrasse avec un jet à haute pression semble évident, mais faites attention aux joints entre les carrelages qui pourraient souffrir, voire disparaître !

    Faites le vide !

    Si vous voulez un nettoyage à fond, assurez-vous que votre terrasse soit vide. Si vous n’avez pas envie de la vider complètement, vous pouvez travailler par étape. En effet, en passant vos dalles au nettoyeur haute pression, des salissures pourraient être projetées sur vos meubles : éloignez-les au maximum !

  • Mauvaises herbes : nos 3 conseils !

    Trop d’herbes indésirables dans votre jardin? Pas de panique! Immovlan.be vous propose 3 astuces pratiques pour vous en débarrasser efficacement. Voici comment procéder, sans le moindre produit chimique !

    Avant toute chose, il convient de calmer votre fougue printanière en procédant méthodiquement afin d’éviter de détériorer les plantes qui tentent de pointer le bout de leur nez à proximité de la zone à désherber.

    1. N’arrachez pas n’importe quoi !

    Toute jeune pousse ne doit pas forcément être enlevée. En effet, si elles ne sont pas trop nombreuses au même endroit, on les laissera se développer pour voir comment elles évoluent. S’il y en a vraiment trop, on peut en enlever quelques-unes, mais pas toutes. On procèdera à l’aide d’un outil adapté comme une griffe ou un sarcloir, mais sans pour autant procéder de façon radicale. Ce serait en effet dommage de priver votre jardin de la floraison de quelques coquelicots par exemple !

    2. Fabriquez votre propre désherbant naturel

    Une fois n’est pas coutume, c’est le vinaigre blanc qui vient à la rescousse. Combiné à d’autres ingrédients, il se révèle en effet diablement efficace lorsqu’il s’agit de se débarrasser des mauvaises herbes à l’extérieur. Pour un désherbant 100 % naturel, on optera donc pour du vinaigre blanc rehaussé de gros sel et d’eau. Du côté des quantités, il faut que le volume d’eau fasse 2,5 fois celui du vinaigre et 5 fois celui du sel. Concrètement, pour 2,5 l d’eau, on ajoutera 500 gr de gros sel et un litre de vinaigre blanc. On mélange le tout puis on le verse dans un vaporisateur. Au contact des feuilles, ce liquide aura pour action de faire jaunir puis faner le végétal indésirable ce qui facilitera par après son arrachage.

    3. Le tip du pro

    Jean-Claude, jardinier professionnel, nous livre son secret afin d’utiliser ce désherbant naturel dans les meilleures conditions : “Ce produit maison est plus efficace et moins nocif pour le sol lorsqu’il est utilisé quand il fait chaud et par temps sec. Pourquoi ? Car la chaleur aide les résidus de sel et de vinaigre à s’évaporer pour garder intact la fertilité de la terre. Mieux vaut donc choisir deux jours consécutifs de soleil pour constater des résultats probants !” explique notre pro.

  • Voici comment créer plus d’ombre dans votre jardin

    Le soleil est enfin de retour ! S’il est agréable de profiter de ses rayons, il peut parfois être préférable de chercher un peu d’ombre. Et à ce sujet, comment créer de l’ombre dans votre jardin ? Suivez le guide !

    Plantes et arbres de grande taille

     

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    La première solution pour créer de l’ombre, c’est de planter des plantes et des arbres. Souvent, des arbres de petite ou moyenne taille suffisent à fournir de l’ombre. S’il n’y a pas de place pour un arbre, une haie haute peut également faire des merveilles.

    Toile d’ombrage

    Des toiles d’ombrage, il en existe de toutes les formes et de toutes les tailles : vous trouverez donc forcément celle qui convient à votre jardin ! Autre avantage : la chaleur reste souvent sous les toiles, ce qui permet de profiter plus longtemps de votre terrasse le soir. Si vous êtes bricoleur, vous pouvez également la fabriquer par vous-même !

    Parasol

     

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    C’est d’une évidence absolue, évidemment. Notre conseil ? Ne négligez surtout pas sur la qualité et méfiez-vous sur les « premiers prix » qui ne dureront pas longtemps ! Des parasols, il en existe de toutes les tailles, couleurs et formats. Le choix est donc royal !

    Auvent/Store banne

    Le store banne, c’est une option assez à la mode en ce moment. Lorsqu’il est motorisé, il est parfaitement discret une fois replié. Ici encore, le choix est immense sur le marché mais nous vous conseillons de vous orienter vers des modèles de qualité et parfaitement opaques.

    Pergola

     

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    Certes, une pergola requiert un budget un peu plus conséquent. De plus, son installation n’est pas toujours très simple… Très efficace et agréable lors des longues soirées d’été, les pergolas peuvent se fondre dans la nature si vous recourez à des plantes grimpantes pour la recouvrir !

     

  • 4 erreurs à éviter avant de commander des matériaux de construction !

    Que ce soit dans le cadre d’une construction ou d’une rénovation, une erreur lors de la commande de vos matériaux de construction peut entraîner des désagréments aussi pénibles qu’onéreux. Voici les erreurs classiques à éviter !

    Brett Jordan

    Erreur 1 : ne rien mettre par écrit

    Dans tous les cas, assurez-vous toujours d’avoir un bon de commande. Cela vous permettra de vous retourner contre le fournisseur en cas d’erreur ou de retard dans la commande.

    Erreur 2 : verser une trop grosse avance

    Généralement, lors de la commande de matériaux de construction, une avance vous sera demandée, surtout s’il s’agit d’éléments personnalisés ou de matériaux assez rares. A ce sujet, il n’y a pas de minimum ou de maximum légal, mais essayez de limiter le montant. Cela vous permet de réduire le risque en cas de faillite du fournisseur ou en cas d’erreur lors de la livraison.

    Erreur 3 : ne pas mentionner de délais « raisonnable » pour la livraison

    En cette période compliquée, les délais de livraison sont parfois fortement rallongés. Pour éviter toute grosse déconvenue, lors de la livraison, mettez-vous d’accord avec votre fournisseur sur une date de livraison ou un délai « raisonnable ». Prévoyez également une petite marge en cas de problème. Si le délai est expiré, vous pouvez envoyer une mise en demeure. Dans tous les cas, restez dans les termes du contrat au risque de rentrer bredouille…

    Erreur 4 : oublier de vérifier minutieusement la livraison

    Avant d’accepter les matériaux de construction, il est préférable de les vérifier minutieusement. Votre commande est-elle complète ? Rien de cassé ? Est-ce que tout correspond bien au bon de livraison ? Assurez-vous d’être présent lors de la livraison, afin de pouvoir réagir rapidement en cas de problème. Si vous acceptez la livraison, il peut être judicieux d’indiquer « sous réserve d’inspection » sur le bon de livraison. En cas de problème, contactez votre fournisseur. Faites-le de préférence par courrier électronique pour garder une trace écrite.

    Notez que vous bénéficiez en principe d’une garantie de deux ans sur vos matériaux, du moins s’ils sont utilisés correctement.

  • Printemps : voici les plantes à tailler maintenant !

    Ça y est ! Nous sommes au printemps et votre jardin se réveille doucement tout en se parant progressivement de ses plus belles couleurs. Le moment est donc venu de tailler les plantes qui en ont le plus besoin. Mais lesquelles au juste ?

    Pour préparer le jardin aux beaux jours, certaines plantes exigent d’être taillées en ce début du printemps. Pourquoi ? Car durant l’hiver, plantes et arbustes ont dû faire face à des températures négatives, et certaines variétés peuvent en souffrir. Avec l’arrivée du printemps, il est temps de penser à tailler certaines plantes pour qu’elles puissent repartir de plus belles !

    Observez et agissez

    Au tout début du printemps, la majorité des plantes arbustives demandent à être rafraîchies. Pour cela, pensez à supprimer les bois morts, brûlés par le gel, afin de laisser la plante respirer et pour qu’elle puisse profiter de la lumière. Certaines plantes doivent être sévèrement taillées pour pouvoir laisser les jeunes pousses s’installer. Pensez aussi à couper les branches âgées qui ne font qu’affaiblir votre plante.

    Quelles plantes sont concernées ?

    Plusieurs plantes ont besoin d’être taillées avant le printemps. C’est le cas des rosiers remontants, des bruyères, des plantes vivaces peu rustiques comme le fuchsia du Cap et le gaura, mais aussi des grimpantes telle la glycine, et de certains arbres fruitiers.

    Tout est dans la taille !

    Si en automne on procède à une pré-taille qui consiste à retirer le bois mort et à aérer le centre de la plante afin que celle-ci puisse profiter de la lumière au maximum, au début du printemps la taille doit être plus sévère. Certaines plantes doivent en effet être rabattues pour pouvoir mieux repartir.

    Certaines erreurs doivent être évitées durant la taille printanière des plantes. D’abord, pensez à désinfecter le sécateur entre chaque végétal à couper afin d’éviter les contaminations entre les plantes saines et celles malades. Privilégiez la taille en biseau pour prendre soin des branches et favoriser une meilleure cicatrisation. Enfin, n’oubliez pas d’éclaircir le centre de la plante afin que celle-ci puisse capter au mieux la lumière et respirer correctement.

    Pour tailler vos plantes avant le printemps, il vous faudra vous munir d’outils adéquats. Le sécateur est l’outil de base qui vous permettra de tailler avec précision, sans vous tromper. Si les branches de votre sujet sont grosses, armez-vous plutôt d’un coupe-branches ou d’une scie arboricole. Quoi qu’il en soit, n’oubliez pas de désinfecter les outils entre chaque taille pour éviter la transmission de maladies !

  • Construction : le prix d’un appartement neuf peut-il encore être ajusté ?

    Vous avez acheté un appartement sur plan il y a quelques mois. Le prix convenu pour l’achat peut-il encore être ajusté compte tenu de la hausse du prix des matériaux et des coûts de la main-d’œuvre ?

    Jan Roodhooft, avocat

    Lorsque vous achetez un appartement sur plan qui doit encore être (re)construit, il est parfaitement possible qu’une longue période s’écoule entre le moment de l’achat et le moment où l’appartement est terminé et prêt à être aménagé.  Pendant cette période, les prix des matériaux de construction et les salaires peuvent considérablement augmenter (surtout en cette période). La question se pose alors de savoir si le promoteur peut répercuter ces augmentations de prix, ce qui vous fait courir le risque de devoir payer beaucoup plus que ce qui avait été convenu au départ…

    Loi Breyne

    La loi dite de Breyne indique clairement dans quelle mesure le promoteur est autorisé à vous répercuter ces augmentations de prix.  Tout d’abord, il faut savoir que le prix convenu doit être clairement indiqué dans le contrat. Ce prix doit comprendre le terrain d’une part et le bâtiment d’autre part.

    Le contrat doit également indiquer que le prix peut être révisé. Si le contrat ne mentionne pas la possibilité de révision du prix, ce dernier ne peut tout simplement pas être ajusté. Le promoteur doit alors s’en tenir au prix convenu dès le départ.

    Des règles strictes

    Si une clause de révision des prix est prévue dans le contrat, elle doit répondre à un certain nombre de conditions strictes.  Ces conditions sont énoncées dans la loi et ses décrets d’application. Une clause contractuelle qui ne répond pas à ces conditions sera considérée comme invalide !

    Par exemple, la révision du prix ne peut pas concerner le prix du terrain. En ce qui concerne le bâtiment, un ajustement de prix peut tout au plus être effectué à hauteur de 80% du budget « construction ».

    Dans la clause de révision des prix, il est en outre possible de conclure un pourcentage maximal d’augmentation. Cela vous permet de déjà calculer le risque maximal encouru.

    Paramètres

    La loi indique également les paramètres sur lesquels le prix peut être ajusté.  Tout d’abord, cela peut se faire en fonction des fluctuations des coûts du travail (salaires et charges sociales). Toutefois, une révision de ce facteur n’est possible que jusqu’à un maximum de 50% du prix des travaux.

    Un deuxième paramètre concerne les fluctuations du prix des matériaux, des matières premières ou des produits. On examine ici les fluctuations sur la base de l’indice mensuel. Cet indice est déterminé par le Comité et se trouve au ministère des affaires économiques.

    Un retard dans les travaux

    Si vous achetez un appartement sur plan, le contrat que vous avez conclu indiquera probablement la date limite d’achèvement de l’appartement acheté.  Malheureusement, il arrive souvent que cette date d’achèvement ne soit pas respectée. Dans ce cas, le promoteur ne peut pas vous facturer d’augmentation de prix pour cette période, sauf si cela est dû, par exemple, à un cas de force majeure.

  • Comment choisir la taille de son écran de télévision ?

    Avec des diagonales allant de 24 à plus de 80 pouces, les écrans de TV se déclinent aujourd’hui en une multitude de tailles. De quoi en perturber plus d’un lorsqu’il s’agit de choisir un nouveau téléviseur. Voici nos conseils pour faire le bon choix !

    Depuis le lancement de la télévision dans les années 1950, la taille des écrans n’a eu de cesse de croître, d’autant plus depuis l’apparition des écrans plats. Une tendance qui se confirme dans le comportement d’achat avec une moyenne établie à 36 pouces en 2017 qui est aujourd’hui passée au-delà des 55 pouces !

    Comment calculer la taille de l’écran idéal ?

    Un élément de réponse nous est donné par le fabricant coréen Samsung qui préconise que “pour une expérience visuelle la plus performante et la plus immersive possible, l’écran doit occuper 40° du champ de vision”. Il convient donc de calculer la distance de recul nécessaire en multipliant la taille de l’écran par 1,2. Par exemple, une distance de 1,7 mètre s’impose pour un écran de 55 pouces (soit 139,7 cm) ou de 2,3 mètres pour un de 75 pouces (soit 190,5 cm). Chez Sony, on se montre un peu moins généreux, le japonais recommandant un ratio de 1,6, soit 2,2 mètres pour un écran de 55 pouces.

    Et qu’en est-il de la définition de l’écran ?

    Ici, plus la définition est bonne, plus il vous sera possible de vous rapprocher de l’écran sans être à même de pouvoir en distinguer les pixels. En la matière, tous les experts vous diront qu’il est inutile de dépenser des sommes folles dans un écran 4K voire 8K si sa taille est inférieure à 55 pouces. Vous ne verrez en effet aucune différence.

    Pour ce qui est de la définition proprement dite, on recommande généralement un ratio de 3,9 pour une télévision HD (qui ont quasiment disparu du marché), de 2,6 pour une télé Full HD et de 1,3 pour une télé Ultra HD et 4K.

    Dans quelle pièce allez-vous installer la télé ?

    On ne peut que vous encourager à faire preuve de bon sens et à être raisonnable, particulièrement lorsqu’on acquiert un téléviseur pour la cuisine ou une chambre à coucher. Dans ces deux cas, cela n’a aucun sens d’opter pour un écran démesuré. Pensez aussi à l’espace que va occuper l’écran sur ou devant votre mur une fois éteint.

    Enfin, lorsque vous faites votre choix en magasin, gardez à l’esprit que votre perception de l’espace est totalement biaisée par le nombre de téléviseurs présentés mais aussi par la taille souvent généreuse de la surface d’exposition. Du coup, un écran paraîtra souvent plus grand chez soi qu’au magasin !

  • 5 erreurs classiques lors de la pose de votre carrelage

    Comme vous, nous aimons un beau carrelage sur le sol… Encore faut-il que ce dernier soit bien posé ! Vous comptez le faire vous-même ? Voici 5 erreurs à éviter…

    1 | Choisir le mauvais carrelage

    Comment choisir le bon ? La capacité de charge est importante, surtout pour un carrelage appelé à être posé sur le sol. Il est donc important de savoir où il sera posé et à quelle charge il sera soumis. Qu’allez-vous posez dessus ? Renseignez-vous sur la résistance à l’usure du carrelage, surtout si vous comptez le placer dans un endroit à fort passage, comme un hall par exemple…

    2 l Ne pas laisser le sol suffisamment sécher

    N’allez surtout pas poser votre carrelage sur une chape humide ! Laissez sécher la chape d’une maison neuve ou rénovée pendant un minimum de 4 semaines. Et n’oubliez pas : plus votre chape est épaisse, plus vous devrez la laisser sécher longtemps.

    3 l Pose sur un sol irrégulier

    Votre chape n’est pas parfaitement plane ? Assurez-vous que votre sol est de niveau avant de poser le carrelage. Utilisez un niveau à bulle et vérifiez soigneusement. Vous avez relevé une petite différence ? Dans ce cas, nivelez votre sol avec du mortier d’égalisation.

    4 l Ne pas dégraisser l’ancien carrelage

    Vous comptez poser votre nouveau carrelage sur l’ancien ? C’est possible, mais n’oubliez pas de dégraisser l’ancien. N’oubliez pas non plus d’y apposer un apprêt pour une meilleure adhérence. Une fois ceci réalisé, laissez sécher un jour avant de poser votre nouveau carrelage.

    5 l Jointoyer trop vitre

    Voilà. Il ne reste plus qu’à faire le joint. Après avoir posé le carrelage, attendez 48 heures avant de jointoyer. Cela permettra à l’adhésif de sécher. Ne marchez pas non plus sur votre carrelage durant ce temps…

     

     

  • Budget piscine : Combien ça coûte ? Enterrée ou hors sol ?

    Vous rêvez d’une piscine dans votre jardin mais le budget vous fait peur ? Nous faisons un petit récapitulatif de tout ce que vous devez savoir au sujet des frais liés à l’installation d’une piscine.

    Pool
    Drew Dau

    Piscine enterrée

    Les piscinistes belges vous le diront tous : lorsqu’il s’agit de considérer l’installation d’une piscine, les Belges s’orientent majoritairement vers le modèle haut-de-gamme, à savoir la piscine enterrée. Cela a naturellement un coût : il faut compter un (très) grand minimum de 20.000 euros.

    Ce budget va naturellement évoluer en fonction de plusieurs facteurs :

    • Etes-vous bricoleur? Si tel est le cas, vous irez sans doute louer une pelleteuse (800 euros la semaine, environ) et vous vous occuperez vous-même des travaux de terrassement, de préparation du sol, du nivellement, du coulage de la dalle en béton… Ne négligez pas non plus le poste « évacuation des terres » qui vous coûtera environ une dizaine d’euros le mètre cube. Dans la majorité des cas, ce sont des professionnels qui s’occupent du chantier dans son ensemble (que ce soit le pisciniste lui-même ou un partenaire de ce dernier), pour un coût de terrassement avoisinant les 4.500 euros (suivant dimensions).
    • Les dimensions de la piscine en question. En Belgique, la majorité des piscines installées par les professionnels ont une dimension de 10X4 mètres. Un format 6X3 mètres permet de faire des économies très substantielles.
    • Le chauffage de l’eau : selon que vous optiez pour une résistance électrique ou une pompe à chaleur, le prix peut largement évoluer : de quelques centaines à près de 5.000 euros !
    • Le revêtement de la piscine : ici, la fourchette est énorme selon que vous optiez pour un liner ou des carreaux de mosaïque ! Bien entendu, il existe encore diverses autres formules mais tenez ce poste à l’œil…
    • Les matériaux utilisés : préférez-vous un modèle en béton, durable mais onéreux (à partir de 20.000 euros) ou une coque déjà prémoulée (de 10.000 à 15.000 euros si vous le faites vous-même). Il existe d’autres possibilités, comme la piscine à panneaux modulaires. Celle-ci, plus facile d’installation, permet de faire de belles économies si vous le faites vous-même (on espère alors que vous êtes un sacré bricoleur !) : dans ce cas-là, le prix du kit ne revient qu’à 5.000 euros. Comptez tout de même le double, voire le triple, si vous faites installer cette piscine par un pro.
    • Les indispensables: de la pompe au coffret électrique en passant par le local technique, il faut prévoir une multitude de frais annexes qui, au total, s’élèvent rapidement à près de 2.000 euros.
    • L’abris: si vous désirez un abri de piscine vitré que vous pourrez replier quand la météo le permet, tablez sur un budget de 5.000 à 15.000 euros supplémentaires.
    • Une couverture: une bâche permettant de maintenir l’eau au chaud, vous délestera de quelques centaines d’euros. Un beau volet électrique peut rapidement coûter quelques milliers d’euros !
    • Les options: tout est possible : des spots de lumière, un ou plusieurs escaliers, des jets, une alarme… Cette dernière est probablement la seule option indispensable (quelques centaines d’euros).

    Quel budget total ?

    Le Groupement des entreprises générales de construction de piscines annonce que la plupart des piscines enterrées en Belgique coûtent entre 50.000 et 65.000 euros.

    Piscine hors sol

    La piscine hors-sol est souvent montée par le propriétaire lui-même. Les travaux de terrassement étant limités voire nuls, elle revient à un coût final nettement moindre. Notez que le modèle est aussi moins durable.

    • Piscine gonflable petit format: c’est celle que l’on voit régulièrement en promotion dans les supermarchés. Convient aux enfants. Elle vous coûtera une cinquantaine d’euros en moyenne. Les modèles autoportants, avec boudin gonflable au sommet, coûtent en général quelques centaines d’euros, mais sont nettement plus appropriés pour un usage par les adultes. Autre solution : un modèle tubulaire, à savoir doté d’une structure métallique et d’une toile en PVC. Une fois de plus, le budget moyen oscille autour des 500 euros.
    • Piscine grand format: ici encore, le choix est vaste. Un modèle assemblé avec des panneaux en acier vous délestera généralement de moins de mille euros.
      Mais le fin du fin, c’est évidemment le modèle avec structure en bois : élégante et relativement aisée à monter pour un bricoleur amateur, le budget tourne généralement autour de 3.000 à 4.000 euros pour un beau modèle. N’oubliez pas de rajouter à cela les postes indispensables (système de filtration, pompe, chauffage éventuel, alarme…) qui feront grimper la note totale à un peu plus de 5.000 euros si vous faites tout vous-même.
  • 3 choses à savoir sur les compétences du conseil de copropriété

    Dans les immeubles d’habitation, il existe souvent ce que l’on appelle un conseil de copropriété. Cependant, il semble que les membres ne soient pas toujours conscients des devoirs et des pouvoirs qu’ils ont en son sein. Voici ce que vous devez savoir.

    Dans les immeubles à appartements de plus de 20 lots, un conseil de copropriété doit être mis en place. Dans les petits bâtiments, cela est autorisé mais pas obligatoire.

    Compétences limitées

    La loi précise clairement les pouvoirs d’un tel conseil de copropriété. Plus précisément, la mission du conseil est de s’assurer que le syndic s’acquitte correctement de ses fonctions. Le conseil n’a aucune autre obligation statutaire. Il n’est donc pas prévu qu’il prenne, par exemple, toutes sortes de décisions qui doivent être prises par l’assemblée générale des copropriétaires.

    Missions supplémentaires

    Le conseil de copropriété peut (dans certaines limites) se voir confier un certain nombre de missions supplémentaires par l’assemblée générale des copropriétaires. Par exemple, il peut être chargé de choisir entre les différentes offres des entrepreneurs qui ont été discutées lors de l’assemblée générale.

    Décharge

    Si le conseil de copropriété outrepasse sa compétence, la responsabilité de ses membres peut être engagée. Lors de l’assemblée générale qui suit le dépassement de compétence, il importe toutefois de ne pas donner de décharge aux membres du conseil de copropriété pour l’exercice de leur mandat.

    Jan Roodhooft, avocat