Avec les canicules que nous avons connues ces dernières années, la demande en piscines a explosé ! Les délais sont donc assez longs, mais rien ne vous empêche de déjà préparer le terrain !
Déterminer l’endroit où doit se trouver votre piscine
Idéalement, votre piscine doit être proche d’une arrivée d’eau et d’une alimentation électrique. Creuser une piscine au fond du jardin a souvent moins de sens que près de la terrasse.
Demander une analyse du sol
Avant de commencer à creuser, il est préférable de faire une analyse du sol. Cela permettra de mesurer le niveau de la nappe phréatique dans votre jardin, ce qui est important pour obtenir une installation qualitative et durable. En effet, si le niveau de la nappe phréatique est élevé, votre piscine devra supporter davantage de pression et le fabricant devra en tenir compte.
Creuser
Votre piscine est en cours de production ? Commencez à creuser ! Certes, cela demande beaucoup d’efforts et une certaine expertise : c’est pourquoi les piscinistes préfèrent le faire eux-mêmes. Après tout, les dimensions du trou doivent être très précises !
Prévoir un passage
Prévoyez un passage d’une largeur de 3 mètres pour le passage des piscinistes et de leur matériel. Une fois tous les préparatifs effectués, il devrait être possible de profiter de votre piscine dans un délai de 7 jours. La piscine doit être stabilisée et les filtres doivent également être placés et testés. Ensuite, la piscine peut être remplie d’eau. Les margelles seront placées en dernier, après quoi le plaisir de la baignade pourra commencer.
Avec les chaleurs que nous connaissons, que nous avons connues et que nous connaitrons, la question de la fraîcheur dans votre intérieur est devenue capitale. Lorsque le soleil donne directement dans votre maison, on arrive vite à un point de surchauffe, même avec des maisons super isolées !
1. La ventilation nocturne est extrêmement importante
Dans le cas d’une maison bien isolée, si vous désirez qu’il fasse frais pendant la journée, une bonne ventilation nocturne est essentielle. Ouvrez les fenêtres de l’étage et du rez-de-chaussée la nuit pour que votre maison puisse « faire le plein » d’air frais. Cela vous permettra de réduire la température intérieure d’environ 3 degrés. Vos murs vont absorber la fraîcheur et la restituer pendant la journée.
2. La question de l’isolation
En isolant copieusement, vous économisez pendant l’hiver, ce qui est un bon point économique et écologique. En été, l’astuce consiste à ne pas laisser votre maison trop chauffer. Si vous optez pour le refroidissement actif avec une climatisation, optez pour une pompe à chaleur et des panneaux photovoltaïque. Certes, il s’agit d’une solution onéreuse, mais vous finirez par vous y retrouver. Dans tous les cas, faites les choses dans le bon ordre : isolez avant de penser à une climatisation. Cela permettra de limiter votre empreinte écologique, ainsi que vos factures d’énergie.
3. Les stores solaires en dernier recours
Des stores pour protéger votre maison du soleil sont indispensables. Les écrans, volets et autres stores sont une option judicieuse car ils évitent une exposition directe face au soleil.
4. Une question de bon sens
Enfin, en été, pensez à limiter l’utilisation des appareils qui dégagent de la chaleur : faites sécher votre linge dehors plutôt que dans le séchoir, repassez à l’extérieur et évitez les plats exigeant de longs temps de cuisson !
Certains propriétaires mettent une clause dans le bail, selon laquelle vous devez payer un loyer plus élevé si vous avez un animal de compagnie. Mais une telle clause est-elle valable ? Que pouvez-vous faire en tant que locataire si vous avez signé une telle clause ?
Animaux de compagnie interdits ?
Le simple fait d’inclure une interdiction de garder des animaux de compagnie dans un contrat de location, n’est pas valable. De nombreux juges sont d’avis qu’une telle interdiction est contraire au droit du respect de la vie privée. Une exception à cette règle peut exister si le bien que vous louez n’est pas adapté aux animaux (par exemple, en raison de l’espace limité).
Vous voulez payer plus ?
Certains propriétaires tentent de contourner cela en stipulant dans le bail que le loyer augmentera si vous gardez un animal de compagnie. Même si vous avez « signé » une telle clause, vous ne devez pas nécessairement payer ce surcoût.
Vous ne payez pas et puis ?
Si votre propriétaire réclame le surcoût, faites valoir que la clause est contraire au droit du respect de votre vie privée et familiale. Si le propriétaire, malgré cette argumentation, insiste encore, il devra porter l’affaire devant le juge de paix. Vous pouvez y répéter votre argumentation. Sachez qu’il existe déjà des juges de paix qui ont rejeté ce genre de demande. Vous avez donc de bonnes chances de succès !
Une belle teinte qui rappelle la terre est tout-à-fait indiquée pour les murs de votre jardin, ce qui ne manquera pas d’évoquer le Maroc ou l’Espagne. Ne soignez pas trop la finition, car les murs peuvent présenter un aspect rugueux, signe « d’authenticité ».
Matériaux naturels
Bois brut, roseau et argile : ce ne sont là que quelques-uns des matériaux naturels que nous vous conseillons pour votre jardin. Ils vous mettront directement dans l’ambiance des vacances ! Des coussins richement décorés complètent idéalement le tableau. C’est ce côté bohème qui est de plus en plus recherché aujourd’hui !
Pour vos sentiers, optez pour du gravier ou de grands carrelages extérieur. Ils apportent de la couleur et sont faciles à entretenir.
Surtout pas en manque de pot !
Les pots en terre cuite sont très répandus dans le Sud ! Prenez-en dans toutes les tailles et formes possibles. Plantez-y des plantes d’un vert profond et votre jardin sera prêt pour l’été !
Si vous avez un conflit avec votre locataire ou votre propriétaire et que l’affaire termine au tribunal, vaut-il mieux faire appel à un avocat ou pouvez-vous y aller seul ?
S’il y a une procédure de conciliation devant le juge de paix, vous pouvez parfaitement y aller seul pour défendre vos propres intérêts. Il n’est pas nécessaire de faire appel aux services d’un avocat, bien que cela soit possible. Si la procédure de conciliation ne débouche sur rien, le juge de paix ne prendra aucune décision. Il établira alors un rapport de non-conciliation.
Une « vraie » procédure
Dans le cas d’une véritable procédure, vous pouvez aussi vous défendre seul. Cependant, vous devez savoir que vous devrez tenir compte de toutes sortes de règles et de procédures à respecter, que vous devrez peut-être débattre du contenu et que la partie adverse a peut-être fait appel à un avocat. Demandez-vous donc si vous maîtrisez suffisamment votre dossier, ainsi que les procédures avant de décider de défendre vous-même vos propres intérêts.
Quels coûts ?
Si vous consultez un avocat, vous devrez bien sûr le payer. Convenez au préalable avec votre avocat de ce que vous coûtera son intervention. Généralement, votre avocat travaille à un taux horaire fixe. Par ailleurs, vous avez peut-être une assurance d’assistance juridique qui peut couvrir ces frais. Si vos revenus sont limités, vous pouvez également faire appel à un avocat pro deo.
La rénovation d’un escalier fatigué n’a rien de très complexe, mais avant de se mettre au travail, mieux vaut savoir que l’on veut en faire ! Voici 3 questions essentielles à se poser avant toute rénovation !
Sachez également qu’avant d’entamer un rafraichissement, il est important que la base soit saine. Installer un nouvel escalier est bien sûr possible, mais cela coûte souvent nettement plus cher ! Une solution temporaire ou permanente
Vers une solution permanente ou temporaire ?
Si vous désirez simplement donner un petit coup de frais à moindre coût, il est possible de repeindre votre escalier, voire d’y poser un tapis. Dans le premier cas, sachez que l’effet « neuf » sera vite passé et qu’il vous faudra sans doute le repeindre régulièrement.
Poser un tapis assure un toucher plus confortable et plus sûr aussi car antidérapant. En revanche, le nettoyage est plus complexe car il implique d’y passer l’aspirateur, ce qui n’est pas toujours simple dans un escalier.
Autre possibilité économique : le sticker de contremarche. Une formule qui aère votre escalier et qui est facile à poser !
Si vous désirez poussez le bouchon un peu plus loin, vous pouvez bien sûr opter pour un nouveau revêtement. On pense notamment à du stratifié, du bois, du PVC, voire encore un autre matériau. Ces matériaux existent en différents types et couleurs, pour un look personnalisé. Chaque matériau a ses avantages et ses inconvénients.
Remplacer ou non la rampe d’escalier
Souvent, la rampe n’a pas besoin d’être remplacée, car elle est un peumoins sujette à l’usure. A vous de voir si le nouveau look de votre escalier peut s’harmoniser avec votre ancienne rampe, si celle-ci peut être rénovée dans le même esprit ou si vous désirez la changer pour un look radicalement différent. Dans tous les cas, c’est un poste à ne pas négliger car il peut vite entraîner de fameux coûts !
Quid de l’éclairage ?
Eclairer son escalier donne également une chouette ambiance. La tendance actuelle est à un éclairage subtilement incorporé dans la contremarche. Vous pouvez choisir entre une lumière chaude et froide ou même un éclairage d’ambiance réglable. Les possibilités offertes en la matière sont énormes ! N’oubliez pas qu’outre une fonction esthétique, l’éclairage a aussi une fonction sécuritaire !
Avec le réchauffement climatique et la multiplication des épisodes de canicule, nous sommes nombreux à rechercher un peu de fraîcheur, particulièrement la nuit quand il s’agit de trouver le sommeil. En la matière, saviez-vous que certains linges de lit sont plus adaptés que d’autres ?
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Gaze de coton
Pour mieux dormir durant les nuits les plus chaudes, certaines matières naturelles détiennent des propriétés thermorégulatrices, gage de fraîcheur et de respirabilité. C’est notamment le cas de la percale de coton ainsi que de la gaze de coton. Ce n’est pour rien qu’on retrouve cette dernière dans bon nombre de produits de puériculture !
En effet, les mamans la privilégient pour sa douceur extrême, son confort naturel et sa grande respirabilité. Élaborée à partir de coton peigné longues fibres, la gaze de coton a l’avantage de gagner en douceur à chaque lavage. Elle est aussi appréciée pour son toucher frais qui sera particulièrement bienvenu lorsque vous vous coucherez au lit un soir de canicule.
Percale de coton
La percale de coton de son côté est elle aussi réalisée à partir des fibres les plus longues de coton. Son tissage est serré et régulier et chaque fil horizontal passe perpendiculairement sur un fil vertical ce qui rend le tissu plus résistant et plus durable que n’importe quel autre tissu. C’est donc un véritable investissement dans le temps ! Conçue à partir de fils de coton très fins, la percale offre une respirabilité optimale et une sensation de fraîcheur incomparable. Idéale en toute saison et particulièrement adaptée si vous avez tendance à avoir chaud la nuit !
Le lin
Enfin, le lin est lui aussi un excellent allié des chaudes nuits d’été. En effet, il est lui aussi un excellent thermorégulateur. S’il tient chaud en hiver, il a aussi la capacité de rafraîchir l’été ! Il offre en outre une meilleure ventilation et une meilleure régulation que le coton, laissant facilement passer l’air et la vapeur d’eau, c’est-à-dire la transpiration. Il a également la capacité d’absorber celle-ci pour la relâcher dans l’atmosphère et donc l’éloigner de la peau.
On dit aussi que le lin aurait de gros avantages sur le sommeil puisqu’il semblerait que l’on se réveille moins la nuit en fonction des cycles de la température de notre corps qui varie ! Comme le lin a tendance à garder une température optimale, on s’endormirait donc plus vite et profiterait d’un sommeil plus réparateur. Enfin, autre avantage de taille, le lin est anallergique et anti-bactérien ! Il convient donc aux personnes avec des peaux sensibles ou à ceux qui ont des soucis dermatologiques.
Le conseil du pro
Jean-Robert, vendeur auprès de l’une des plus grandes enseignes de literie du pays, nous livre son conseil : “Il ne faut pas omettre les protections de literie, particulièrement en été. En effet, comme nous transpirons davantage durant la belle saison, les protections de literie vont permettre d’allonger la durée de vie des matelas et des oreillers. En la matière, optez pour un produit respirant, confortable et hygiénique, idéalement en coton. Une protection de literie ad-hoc est essentielle à une bonne hygiène et un confort optimal au quotidien !”
C’est simple : ma fille a désormais plus de flacons de vernis à ongles que moi. D’abord parce qu’elle devient une ado et adore chipoter dans ses boîtes à maquillage. Ensuite parce qu’elle trouve qu’un flacon de vernis, c’est sacrément joli.
Dan Cristian Padure
Les tiroirs, c’est pratique, mais ça ne permet pas de disposer des flacons au gré des envies. Alors, on a pensé, elle et moi, à d’autres façons sympas de les exposer. Pour qu’elle puisse trier les vernis selon les couleurs ou les tailles des flacons. Vital, quoi !
Présentoir à gâteau
La première idée a été de se procurer des présentoirs à gâteaux : en lieu et place des muffins et autres cupcakes, des vernis jolis ! On fait tourner les présentoirs et on se sert en couleurs pastel, flash ou pailletées. Le concept est charmant mais on manquait de place pour le réaliser. La chambre de ma blondinette n’est pas un palais.
Etagères ou cimaises ?
On a ensuite pensé à utiliser des étagères à épices pour y ranger les flacons. Mais on a changé d’avis au magasin : elles étaient trop épaisses. Cela n’allait pas être joli. Et puis, on n’allait pas pouvoir mettre beaucoup de flacons par étagère. On a laissé tomber.
J’avais pensé aussi à accrocher au mur des cimaises à tableaux. L’encoche censée retenir le tableau aurait parfaitement accueilli les petits pots de couleurs. Deux rangées auraient amplement suffi. Mais ma fille n’a pas retenu l’idée : c’était elle la boss.
Un cadre, voilà la solution !
Elle a finalement préféré donner une seconde vie à l’immense cadre qui prenait la poussière dans la remise. Amen. On a donc repeint en rose (évidemment !) le pourtour élégant et on l’a fixé sur le cadre de bois réalisé avec 14 lattes à peine épaisse d’1 cm.
Ça m’a pris (comme vous vous en doutez !) un peu plus de temps de construire le tout que de l’écrire ! Mais quand on aime, on ne compte pas. Par contre, on mesure bien les espaces et autres interstices nécessaires à la hauteur des petites bouteilles.
Franchement, ça en jette ! Les petits flacons colorés sont facilement accessibles et l’ensemble est un vrai élément de décor. Pour me remercier, j’ai eu droit à une manucure gratuite. Je touche du bois et résultat ? Je vais voir la vie en rose quelques jours, moi aussi !
S’il fut un temps où la mode était aux jardins impeccablement taillés, aujourd’hui, la tendance est plutôt aux jardins sauvages et laissés à l’état naturel. Voici les principaux avantages de cette tendance…
Annie Spratt
Pas de produits chimiques
Sans engrais, ni pesticides, votre jardin est nettement plus sain, ce qui est bon non seulement pour vous, mais également pour les animaux et autres insectes !
Un air plus pur
La qualité de l’air est dans un état déplorable. Sachez toutefois qu’un jardin sauvage absorbe plus de CO2 qu’une pelouse parfaitement aménagée. En outre, une haie ou un arbre plus haut apporte également un peu plus d’ombre et donc, davantage de fraîcheur. En ville, ce n’est certainement pas négligeable !
Eviter les inondations
Les racines de votre gazon s’épaississent à mesure que vous tondez moins. Voilà qui permet non seulement de faire « barrière » en cas d’inondation, mais également de mieux prévenir en cas de sécheresse !
Moins vous entretenez votre jardin, plus la biodiversité est grande. Nous pensons surtout aux insectes et autres abeilles. Pour accueillir ces dernières, optez pour du bruyère, de la lavande, voire des crocus !
C’est beau !
Il s’agit bien sûr d’une question de goût, mais un jardin sauvage est nettement plus varié et coloré qu’un jardin parfaitement entretenu… Chaque jardin sauvage est unique ! De plus, les parfums sont bien plus intenses !
Un gain de temps
Un jardin sauvage, c’est moins d’entretien et donc plus de temps pour en profiter !
Parmi tous les objets qui composent notre mobilier, le canapé fait partie de ceux qui s’usent le plus rapidement. Mais c’est aussi un accessoire qui coûte cher, voire très cher. Dès lors, pourquoi ne pas le rhabiller plutôt que le jeter ?
Uliana Koliasa
Les canapés sont probablement les meubles que l’on sollicite le plus, ne serait-ce qu’en s’y asseyant quotidiennement. Il faut aussi ajouter à cela les enfants qui s’en servent comme d’une salle de jeu et sautent allègrement dessus. Entre les accrocs, les griffes et les taches, les canapés et autres divans perdent vite de leur lustre. Mais plutôt que de racheter un canapé neuf, pourquoi ne pas simplement le rhabiller ?
Une seconde peau
De nombreux modèles de canapés offrent un revêtement amovible, ce qui permet de changer le style de votre divan en un clin d’œil. Le meilleur exemple est probablement le géant suédois Ikea qui propose des housses de textiles et couleurs différentes pour chacun de ses modèles.
Mais d’autres entreprises s’occupent aussi d’habiller votre canapé avec une nouvelle housse ! Que celle-ci soit usée à la corde ou que vous ayez tout simplement envie de changement. Couleurs, motifs, textiles basiques ou haut de gamme, tout est possible auprès d’enseignes comme Bemz, Covercouch, Dekoria ou encore Soferia. Toutes vous proposent de rhabiller votre canapé à l’aide de housses neuves, de façon très simple. Il suffit en effet d’encoder le modèle de votre canapé, de préciser le nombre de places et s’il est droit ou d’angle, puis de choisir dans un catalogue de textiles à même de combler tous les goûts.
Un petit mois après avoir passé commande, vous recevez vos nouvelles housses que vous n’avez plus qu’à enfiler sur les cousins et le pourtour du canapé. Pour moins de 300 € vous venez de vous offrir un canapé tout neuf ! Cerise sur le gâteau, vous pouvez opter pour des tissus lavables en machine, ce qui n’est pas à négliger lorsqu’on a des enfants et des animaux à la maison !