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  • Vous désirez acheter un appartement déjà loué ? 3 choses à savoir !

    A titre d’investissement, vous envisagez l’achat d’un appartement déjà loué. Que devez-vous savoir à ce sujet ? Faut-il conclure un nouveau contrat de location avec le locataire actuel et qu’advient-il de la garantie locative ?

    apartment
    Andrei Ianovskii

    Transmission d’un numéro de compte

    Si vous achetez un appartement déjà loué, votre achat ne met pas fin au contrat de location existant.  Vous ne devez donc pas conclure de nouveau bail avec le locataire : il suffit alors de lui faire savoir que vous êtes le nouveau propriétaire. Vous devrez également lui donner le numéro de compte sur lequel le loyer doit être versé.

    Demande de documents

    Demandez au vendeur tous les documents relatifs à la location : le contrat de location, l’état des lieux établi au début du bail (ainsi que toute description supplémentaire de l’emplacement), des données et des documents relatifs à la garantie locative, etc.

    Si aucun état des lieux n’a été établi au début de la location, sachez qu’à la fin du bail, cela peut être la source de discutions en cas de dommages occasionnés au bien. Dans ce cas, gardez bien les photos que l’agent immobilier vous a envoyées.

    Garantie locative

    Convenez également d’un arrangement pour la garantie locative, ce qui nécessitera également la coopération du vendeur.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

     

  • Châssis : pourquoi ne pas combiner le bois, le PVC et l’aluminium ?

    Généralement, lorsque vous commandez des nouveaux châssis, il vous sera demandé de choisir entre le bois, le PVC ou l’aluminium. Sachez toutefois qu’il est aujourd’hui possible de combiner ces matériaux !

    En optant pour la combinaison PVC-aluminium, vous bénéficiez de l’élégance, de la durabilité et de la facilité d’entretien de l’aluminium, ainsi que de l’étanchéité et de la bonne isolation du PVC. En outre, le PVC est également un peu moins cher, ce qui réduit le prix total.

    En combinant le bois et l’aluminium, vous obtenez la bonne isolation thermique et acoustique du bois, associée à l’étanchéité de l’aluminium. En outre, vous pouvez choisir entre différents types de bois. Il vous sera également possible de changer la teinte de ce dernier au fil du temps.

    Un large choix de couleurs

    Si vous optez pour une combinaison de matériaux, vous pouvez choisir parmi une large gamme de couleurs. Voici quelques conseils pour vous aider à faire un choix éclairé :

    • Si vous avez une façade claire, les châssis et les portes sombres apportent un joli contraste. Une façade sombre ? Dans ce cas, c’est l’inverse ; choisissez une teinte claire ! Faites également attention à la couleur des joints, ils peuvent faire ou défaire l’apparence de votre maison.
    • Les couleurs sombres sont très populaires aujourd’hui. Les fenêtres noires et grises sont de plus en plus présentes dans les maisons modernes.

    Un investissement judicieux

    Avec les prix actuels de l’énergie, la période d’amortissement des nouveaux châssis est plutôt rapide. Sachez qu’il existe également des primes auxquelles vous pouvez prétendre si vous isolez. N’oubliez donc pas de faire des recherches ou de demander l’avis d’un professionnel. Les prix pouvant considérablement varier, faites plusieurs devis !

  • Crise énergétique | Se chauffer aux pellets : avantages et inconvénients

    Le gaz et l’électricité étant hors de prix, le pellet constitue-t-il une bonne alternative pour se chauffer cet hiver ? Nous faisons un focus sur les granulés…

    Les pellets sont des petits granulés élaborés à partir de sciure compressée de déchets de bois non traité. Ils ne contiennent donc ni solvant, ni autres agents chimiques potentiellement nocifs. Leur couleur peut varier, ce qui est dû à l’adjonction de feuillus ou à la composition même du granulé. Les plus performants sont ceux composés à 100 % de résineux mais les industriels expérimentent actuellement de nouvelles formules, notamment à base de graines de tournesol ou encore de maïs.

    Les pellets de bonne qualité sont brillants car ont fait l’objet d’une compression importante. Si ce n’est pas le cas, il se pourrait que certains composants y aient été ajoutés. Les pellets de bonne qualité se distinguent en outre par leur faible émission de poussière, leur taille uniforme et leur label de qualité. Pour être sûr d’avoir acquis un produit aux propriétés optimales, on peut effectuer un test au moyen d’un peu d’eau : les pellets de bonne qualité se dissolvent complètement dans l’eau pour aller se déposer directement au fond du récipient.

    Avantages

    • Les pellets sont sans danger pour l’environnement puisque neutre en termes de CO2.
    • Ils sont issus d’une ressource potentiellement inépuisable et, bien souvent, sont produits localement (en Belgique ou en France pour notre marché).
    • Ils ne font donc pas l’objet d’un transport sur longues distances.
    • Enfin, ils sont non toxiques.

    Inconvénients

    • Le nettoyage régulier du poêle à pellets en comparaison avec un appareil au gaz.
    • En outre, ces appareils embarquent bien souvent des éléments électroniques et mécaniques complexes, qui augmentent le risque de panne.
    • Contrairement au poêle à bois (dénué de système de soufflerie), celui à pellets nécessite une alimentation électrique.
    • Il faut aussi prévoir suffisamment d’espace, au sec et à température ambiante, pour stocker les granulés.
    • Enfin, le prix du pellet a lui aussi flambé : le sac de 15 kg étant passé de moins de 5 euros à plus de 12 euros en une petite année !
    • Outre cette spectaculaire augmentation de prix, les fournisseurs connaissent en ce moment des problèmes d’approvisionnement
  • Mila : « Un plancher transparent ? J’hésite entre ces 2 solutions ! »

    Une de mes amies m’a demandé conseil concernant son aménagement : elle hésitait à installer un filet ou une plateforme de verre chez elle. La pièce concernée ? Le hall de nuit du premier étage, très grand et surplombant le hall d’entrée. L’idée était, dans tous les cas, de laisser la lumière filer tout partout.   

    Le filet, c’est évidemment super sympa : on se prend au jeu et on se découvre un petit côté équilibriste et funambule. On redécouvre le plaisir du hamac en toute saison et on se projette à bouquiner là, tranquillou. On redevient un enfant qui ose tout. C’est fun. Et, bien sûr, question nettoyage, c’est pratique.

    Le filet, à oublier ?

    Mais, je crois, malgré tout, qu’il y a plus d’inconvénients que d’avantages à choisir de poser un tel filet : l’isolation phonique et thermique sont quasi inexistantes. Lire ou faire la sieste, c’est chouette, mais dans les courants d’air et l’éventuel brouhaha du rez-de-chaussée, c’est moins rigolo. Et à l’heure où se chauffer coûte un bras (ou deux), c’est peut-être important d’y penser.

     

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    Une publication partagée par Camille Tan (@atelier_falaise)

    La plateforme, c’est la classe !

    La plateforme a, quant à elle, un côté classe indéniable. Mais elle, je vous l’accorde, plus difficile à maintenir propre : garder des vitres nickel est déjà compliqué, alors quand on marche sur le verre, c’est encore plus vite sale. Et, bien entendu, elle est plus onéreuse à l’achat. Mais elle isole tellement mieux les étages du bruit et permet de chauffer bien plus facilement les étages. Cela me semble désormais un argument d’autorité, non ?

     

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    C’est comique : c’est tellement plus facile de décider pour les autres que pour nous-mêmes. Je suis du style à tergiverser 6 mois. Puis à opter pour le choix A en regrettant déjà le choix B. Et là, simple et limpide : il faut choisir la plateforme !

    Vous êtes d’accord avec moi ?

  • Balcon, terrasse : voici 5 plantes qui survivront à l’hiver

    Avec l’arrivée du Général hiver, il est temps de protéger votre balcon et les plantes qu’il accueille. A ce sujet, sachez que certaines plantes survivent sans effort à l’hiver. Nous aimerions en partager quelques-unes avec vous.

    winter plants
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    1.    Rose de Noël

     

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    La rose de Noël dévoile tous ses charmes d’octobre à janvier. Les petites fleurs rouges ou roses distillent une atmosphère chaleureuse !

    2.    Bruyère d’hiver

    Cette plante, aux branches hérissées et aux fleurs blanches, pousse de décembre à avril. Facile à cultiver, ses fleurs finissent par devenir brunes.

    3.    Thé des montagnes

     

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    Cette plante se caractérise par ses feuilles d’un vert profond et des baies rouges. La couche de graisse sur les feuilles protège la plante du gel, tandis que les baies durent tout l’hiver et le printemps.

    4.    Violette

    Ces plantes s’affaissent un peu lorsqu’il gèle, mais elles survivent globalement à l’hiver sans problème, même si elles s’épanouissent surtout lorsque les températures ne sont pas trop négatives.

    5.    Arbre trompette

     

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    Admettons-le : l’arbre trompette n’est pas une plante, mais un petit arbre. Sa petite taille le rend adapté aux terrasses, y compris l’hiver qu’il supporte sans problème. Il n’est pas nécessaire de l’élaguer et son doux parfum est un atout supplémentaire.

  • Gestion locative : quels sont les frais ?

    Si la location d’un bien immobilier génère évidemment des revenus, elle engendre aussi des frais. Lesquels ? Et comment en tenir compte pour s’assurer de la rentabilité de son investissement ?

    Mettre un ou plusieurs biens immobiliers en location ne s’improvise pas. Cela nécessite une organisation rigoureuse, souvent chronophage, afin de s’assurer d’un fonctionnement optimal de son parc immobilier. Pour être aidé dans sa tâche, il est possible de se tourner vers un professionnel du secteur, comme un agent immobilier, ou d’utiliser un outil tel que Smovin, solution moins couteuse.

    Honoraires dissuasifs ?

    Sous-traiter la gestion locative de ses biens à une agence immobilière permet de bénéficier de sa bonne connaissance du marché et des formalités administratives ainsi que d’un vaste réseau de locataires permettant d’éviter la vacance locative. Cette solution impose toutefois un coût important qui peut grever la rentabilité de son investissement. Généralement, les honoraires des agences de gestion locative représentent un pourcentage du loyer généré par le bien immobilier loué. Ce pourcentage évolue en fonction des services demandés, depuis la recherche du locataire jusqu’à l’état des lieux de sortie. Les honoraires de l’agence tournent toutefois généralement autour des 10% du montant du loyer. Voire plus si le propriétaire opte pour des options supplémentaires comme une assurance sur les loyers impayés par exemple.

    Solution alternative

    Aujourd’hui, le numérique permet néanmoins de jouir d’une solution intermédiaire entre la gestion personnelle totale, avec son lot de tracas, et la sous-traitance coûteuse via une agence immobilière. Se tourner vers un logiciel de gestion locative permet en effet d’automatiser de nombreuses tâches et de simplifier la gestion des biens loués pour un coût sensiblement inférieur. Certains logiciels de gestion locative sont même aujourd’hui accessibles gratuitement. Si l’on veut toutefois jouir de fonctions supplémentaires ou plus complexes, des formules d’abonnement sont proposées. Quoiqu’il en soit, avec ces logiciels de gestion locative, on conserve des coûts mensuels abordables. Outre l’offre gratuite, un logiciel de gestion locative comme Smovin par exemple coûte seulement entre 3 et 7 €/mois par bien en fonction de ses besoins. Un montant contenu mais permettant déjà de gagner du temps et d’éviter les erreurs de gestion…

  • Mila : « mes conseils pour redonner vie et repeindre un vieux fauteuil ! »

    Je vous ai déjà parlé de mon vieux fauteuil de style Napoléon III, n’est-ce pas ? Vous savez, celui que j’ai trouvé à la rue et qui trône désormais au milieu du salon… J’ai décidé ce weekend de m’occuper de lui et de lui faire sa fête !

    D’une part, le tissu n’était plus très frais : les motifs étaient toujours élégants mais l’ensemble était devenu terne et sale. D’autre part, je voulais lui donner un air plus rock and roll : j’avais prévu de l’installer dans cette petite pièce qui n’est rien qu’à moi et qui me sert à travailler, à bricoler et à rêver aussi !

    Ça brosse dur !

    J’ai d’abord entrepris de laver le fauteuil à grands jets d’eau : je n’y suis pas allée de main morte. Savon et brosse. Comme Cendrillon. Et, bien que mon chat, tellement plus sympa que Lucifer, n’ait pas bousillé mon travail en marchant sur le tissu juste lavé, je m’y suis reprise à 3 fois.

    Peinture !

    J’ai laissé le fauteuil sécher dans les courants d’air et, quand il a été bien sec, j’ai sorti mes acryliques. J’avais décidé de mettre du bleu peps sur le tissu blanc garni de motifs rouges. J’ai opté pour 3 couleurs différentes : du bleu roi, du bleu turquoise et du bleu ciel. J’ai dilué mes peintures avec de l’eau et j’ai entrepris de littéralement peindre le fauteuil.

    Avec un pinceau souple et suffisamment large, j’ai effectué des mouvements circulaires sur l’ensemble du tissu. Il fallait essayer de ne pas faire des démarcations trop nettes entre les bleus. J’ai donc vaporisé de l’eau en même temps que je le couvrais de peinture : pour un fondu plus naturel et une meilleure imprégnation de l’acrylique.

    J’ai hésité à faire une deuxième couche, de peur de modifier le rendu obtenu : déjanté, fou et tellement original. Mais je l’ai mise quand même : pas envie que l’intensité des couleurs ne disparaisse trop vite. J’ai délicatement poncé le tissu avec un papier doux (200-300 grains max) pour lisser les quelques endroits où la peinture était un peu épaisse et ne laissait pas bien distinguer les motifs.

    Il y a des fauteuils au destin improbable ! Abandonné sur un trottoir, puis habillé comme un roi ! Moi, en tous cas, je suis bleu de lui !

  • Plomberie : 5 erreurs classiques à éviter

    Avant de vous lancer dans de grands travaux de plomberie, voici 5 erreurs courantes à éviter absolument. De quoi faire réfléchir les bricoleurs en herbe…

    1. Débit trop faible

    Votre chauffe-eau doit avoir un débit suffisant pour que vous puissiez profiter pleinement de votre salle de bains. C’est essentiel, surtout si vous avez deux salles de bains ! Assurez-vous de pouvoir profiter de l’eau chaude pendant une période suffisamment longue. Pour info, une chaudière au gaz « standard » n’arrivera pas toujours à faire fonctionner deux douches en même temps.

    2. Distance trop importante entre le robinet et le chauffe-eau

    Plus les tuyaux sont longs, plus il faut de temps pour que l’eau chaude arrive. La distance doit donc être la plus courte possible, ce qui permet également d’éviter de gaspiller de l’eau. Une distance de plus de 8 mètres n’est pas recommandée, car elle entraîne un gaspillage inutile d’eau et d’énergie.

    3. Ne pas s’attaquer au calcaire

    L’eau de ville est souvent riche en calcaire, ce qui peut réduire la durée de vie de certains appareils, comme votre chauffe-eau, par exemple. Toute la tuyauterie peut également souffrir. Pour réduire les risques, pensez à installer un adoucisseur d’eau.

    4. Négliger l’eau de pluie

    Une citerne d’eau de pluie permet de réaliser d’importantes économies ! Si elle n’est pas conseillée pour la cuisine, l’eau de pluie est parfaite pour l’arrosage du jardin et les toilettes.

    5. Ne pas remplacer les vieux tuyaux

    Votre plomberie est principalement composée de vieux tuyaux rigides ? Changez les pour des modèles flexibles qui empêchent les dépôts d’adhérer. Cela vous évitera bien des tracas par la suite…

  • Mila : « Comment se débarrasser des mites alimentaires »

    Depuis quelques temps, j’essaye de faire au mieux et de limiter nos déchets. J’ai donc enfin pris le pli d’aller acheter le plus d’aliments possibles en vrac. Pâtes, riz, oléagineux, chapelure, biscuits… Dans la cuisine, les pots en verre aux jolies étiquettes ornent désormais les placards.

    Emiko Peterson

    Et pourtant, je boude. Ce matin, en voulant me préparer mon petit déjeuner, j’ai trouvé des mites alimentaires dans le son d’avoine. La veille encore, je n’avais rien remarqué. Impossible de plonger joyeusement la cuillère dans le pot : je n’avais plus faim. Mes pots, parfaitement hermétiques pourtant, contenaient donc bien des mites. Quelle poisse. Probablement y en avait-il dans un des produits achetés…

    Pas de gaspillage !

    Je sais qu’on préconise de jeter tous les emballages ou produits à proximité de la zone infestée mais j’ai opté pour la méthode du tamis : je refusais de mettre toute cette nourriture à la poubelle. Le tamis permet de retrouver les éventuelles larves (qui forment comme un chapelet) et les mites.

    Opération nettoyage

    J’ai bien entendu nettoyé mes armoires avec du vinaigre blanc et ai disposé des boules de coton imprégnées d’huiles essentielles dans les tiroirs.  Les odeurs fortes, les mites détestent ça : clou de girofle, menthe poivrée, citronnelle, lavande… On peut glisser aussi des feuilles de laurier séchées ou des petits piments rouges séchés, directement dans les pots. Cela les tient éloignées.

    Au frais ?

    Ma grand-mère m’a conseillé de mettre les denrées 48h au congélateur avant de les transvaser dans les pots. Cela permet de tuer tout éventuel hôte indésirable. Mais il faut avoir de la place dans le congel : pas évident.

    Histoire d’être sûr..

    Si vous voulez vous assurer qu’elles ont disparu, n’hésitez pas à acheter des pièges à mites : elles ne mettront pas longtemps à sortir de leur cachette. Les autocollants contre les mites, à coller sur les contenants, sont une bonne idée aussi.

    En ce qui me concerne, j’ai choisi d’utiliser toutes les méthodes à la fois : feu d’artifice en cuisine !

  • Propriétaires : comment éviter les tracas des loyers impayés ?

    Avec des factures d’énergie qui explosent, le budget de nombreux locataires se trouve sous pression. Ce qui peut aussi engendrer des tracas supplémentaires pour les propriétaires…

    Parmi les différentes tâches dont doivent s’acquitter les propriétaires de biens mis en location, la vérification des loyers peut engendrer des soucis supplémentaires en ces temps d’inflation galopante. Mis notamment en difficulté par des factures d’énergie qui explosent, certains locataires peuvent être contraints de payer en retard ou partiellement leur loyer.

    Des règles à respecter

    C’est le bail qui définit les modalités de paiement des locataires. C’est sur cette base légale qu’un loyer peut être considéré ou non comme impayé. Les démarches peuvent alors devenir fastidieuses pour les propriétaires, surtout s’ils possèdent plusieurs biens. Ils devront éplucher leurs comptes en banque régulièrement afin de vérifier que chaque locataire s’est affranchi de son loyer à la bonne date. Et en versant le montant adéquat. En cas de loyer impayé, le propriétaire devra en outre se montrer réactif, tout en suivant une procédure précise pour l’envoi de rappels.

    Gestion automatisée

    Afin d’être aidés dans leur démarches, les propriétaires peuvent toutefois se tourner vers un logiciel de gestion locative, comme Smovin par exemple. Connecté directement aux comptes en banques, ce type de logiciel permet aux propriétaires de surveiller en un coup d’œil et à tout moment l’état des paiements de leurs locataires sans devoir éplucher leurs comptes dans le détail. De plus, en cas de retard de paiements ou de mauvais montant, le propriétaire est informé par le logiciel et peut décider d’envoyer un rappel via la plateforme au locataire. Ce qui suffit généralement pour régler les problèmes d’erreurs ou de distractions. En cas de besoin, le logiciel permet toutefois aussi d’automatiser totalement l’envoi de rappel de manière formelle. Mais également de conserver l’historique des rappels envoyés si une action en justice devait être engagée.