Blog

  • 5 idées pour optimiser l’espace de votre pièce de vie

    On le sait, la tendance actuelle est aux grandes pièces qui combinent plusieurs fonctions. Il n’est en effet pas rare de voir une pièce à vivre servir de living room, de salle à manger, de salon, de cuisine voire de jardin d’hiver.

    Sidekix Media

    Pour que tout ce petit monde puisse cohabiter dans une construction qui n’est pas neuve, il faut bien souvent faire tomber quelques cloisons afin d’ouvrir les différentes pièces. Une opération qui n’est pas toujours possible, certains murs étant porteurs. Elle peut également être synonyme de perte de rangement, les meubles muraux passant à la trappe dans ce type de réaménagement. Heureusement, de nombreuses astuces existent pour pouvoir rendre un tel projet possible, tout en assurant une certaine harmonie entre les différentes pièces désormais amenées à partager le même espace.

    1.   Les couleurs !

    Cette harmonie s’obtient en optant pour des couleurs communes. Le ton retenu pour les murs de la cuisine peut par exemple se prolonger dans le salon. Autre option : le bois des placards de la cuisine peut être de la même essence que celle utilisée pour une table basse ou pour la table de la salle à manger par exemple. De même avec une robinetterie en laiton assorties à des poignées de portes ou d’armoires dans la salle à manger. Autant de clins d’œil qui contribueront à harmoniser la pièce.

    2.   Un îlot de cuisine

    En cuisine, l’installation d’un îlot en lieu et place d’une configuration traditionnelle est un des meilleurs éléments pour créer un lien symbolique avec le salon ou la salle à manger. À l’inverse d’un bar ou d’un comptoir, l’îlot permet d’assurer une fluidité totale entre les différentes zones de la pièce à vivre. Meuble multifonction, il permet en outre de ranger et de cacher de nombreux accessoires et ustensiles.

    3.   Tiroirs !

    Et afin que cette nouvelle pièce ne se transforme pas en champ de bataille, on privilégiera des meubles contenant des tiroirs, des étagères et des armoires, quelle que soit la zone concernée. C’est d’autant plus vrai pour la cuisine, sachant que chaque foyer compte en moyenne 6 à 8 petits électroménagers à l’image d’un percolateur, d’un robot de cuisine ou encore d’un grille-pain. Autant d’accessoires qu’on n’a pas forcément envie d’exposer l’un à côté de l’autre sur le plan de travail.

    4.   Flexibilité !

    Depuis quelques années, les cuisinistes et les enseignes d’ameublement font preuve de créativité et proposent mille et une solutions pour dissimuler les éléments techniques de la cuisine, tout en gagnant de la place. C’est notamment le cas des planches amovibles qui s’encastrent dans l’évier et recouvrent les bacs de ce dernier. De quoi assurer une continuité avec le plan de travail, tout en gagnant en sobriété.

    5.   Plaques de cuisson mobiles

    Enfin, dernière tendance qui fait fureur dans les petits espaces : les plaques de cuisson mobiles. Au contraire d’une taque fixe conventionnelle, ces éléments nomades peuvent disparaître dans un placard ou sous un élément d’ameublement pour laisser la place à un espace parfaitement dégagé et ordonné. Cerise sur le gâteau : ces plaques peuvent également être utilisées à l’extérieur. Pratique lors d’un barbecue ou d’un repas estival pris en terrasse !

  • 6 aménagements qui risquent de faire perdre de la valeur à votre maison !

    Si vous désirez rafraichir votre salle de bain ou votre cuisine, il est fort possible qu’une bonne partie de l’investissement se retrouve dans le prix de vente. En revanche, voici 6 investissements qu’il vaut mieux éviter si vous désirez vendre votre maison dans un avenir plus ou moins proche.

    « Marier » 2 chambres pour n’en faire qu’une

    Mieux vaut de nombreuses petites chambres que peu de grandes chambres !

    Personnalisation à outrance

    Une couleur très flash pour les murs, ou des néons roses dans la cuisine… Tout ce qui est trop personnel est à éviter si vous voulez vendre votre propriété facilement. La neutralité est le maître-mot !

    Une salle de sport

    Quelques appareils que vous comptez emporter avec vous ne peuvent bien sûr pas faire de mal… Mais n’allez pas faire de grosses rénovations pour transformer une pièce en salle de sport ! Il en va de même avec les caves à vin ou une « man cave ».

    Des bibliothèques ou des armoires intégrées

    S’ils sont parfaitement intégrés, ces éléments peuvent créer une valeur ajoutée. Toutefois, la plupart des gens possèdent leur propre mobilier et ne désirent pas vraiment reprendre celui du propriétaire précédent. 

    Rénovations non autorisées

    Si vous allez rénover et que vous avez besoin d’un permis, faites-en la demande. Dans le cas contraire, au moment de la vente, vous risquez de perdre beaucoup de temps et d’argent en demandant une régularisation. Cela peut grandement dissuader les personnes pressées ! 

    Une salle de bain ou une cuisine trop sophistiquée

    Bien qu’investir dans une salle de bain et/ou une cuisine soit une bonne idée, il est également préférable de ne pas aller trop loin dans la démarche. Une salle de bain dernier cri ou une cuisine archi complète peuvent être séduisantes, mais il y a peu de chances que vous retrouviez votre investissement. Si vous voulez vraiment vendre rapidement, rafraichissez ces pièces, mais ne chamboulez pas tout.

  • Cuisine avec îlot : ce qu’il faut savoir avant de craquer…

    C’est la grande mode actuelle. L’îlot central dans une cuisine semble être l’élément indispensable de toute maison moderne, voire de tout cuisiner un peu averti. Pourtant, avant de craquer, sachez qu’un tel meuble impose certaines contraintes…

    Kitchen Island
    Sidekix Media

    L’îlot central est clairement le reflet de l’évolution de notre société. Aujourd’hui, la cuisine n’est plus une pièce fermée, mais un espace ouvert sur le séjour. Ce qui signifie que l’on cuisine entouré de sa famille ou de ses amis. L’îlot central répond parfaitement à cette évolution, permettant de préparer les plats tout en préservant un aspect convivial : vous n’êtes plus face à un mur, mais face à des personnes qui peuvent s’asseoir autour de l’îlot. La cuisine n’est donc plus une pièce réservée à la femme au foyer comme c’était jadis le cas, mais un lieu de vie commun où la répartition des tâches règne en maître.

    Espace minimum

    Un îlot central prend de la place : si votre cuisine fait moins de 15-20 m², oubliez cette option. Il sera alors malaisé de tourner autour et si vous optez pour un îlot équipé d’un lave-vaisselle, par exemple, il y a de fortes chances que vous ne puissiez pas ouvrir ce dernier confortablement. Tablez donc sur un espace vitale d’environ un petit mètre autour de l’îlot. Si ce dernier est un obstacle à contourner avant d’arriver à votre frigo : oubliez, il n’est pas fait pour votre cuisine. Et surtout, n’allez pas opter pour un mini îlot : ce dernier prend de la place inutilement et ne sert pas à grand-chose… Certes, un îlot, c’est joli et moderne, mais il ne faut pas qu’il devienne une contrainte.

    Comment l’équiper ? Ce qu’il faut prévoir…

    Tout est possible ! Vous pouvez vous en servir comme table de préparation, y insérer un évier, une taque, ainsi que bien évidemment une kyrielle de rangement. Sachez toutefois que si vous désirez y placer un évier, il faudra prévoir une arrivée d’eau et un système d’évacuation. Ce qui ne pose pas de problème dans le cas d’une copieuse rénovation ou d’un projet de construction, mais ce qui est nettement plus problématique dans quasi tous les autres cas ! C’est la raison pour laquelle l’évier n’est généralement pas intégré à l’îlot central, de même que le lave-vaisselle. En revanche, vous allez certainement avoir besoin d’une arrivée d’électricité, ne serait-ce que pour l’éclairage.

    Enfin, sachez qu’une telle cuisine est généralement un peu plus chère qu’une cuisine traditionnelle.

  • Chauffage électrique : les différents types, les avantages et les inconvénients !

    Le chauffage électrique a le vent en poupe ! Bien entendu, la pompe à chaleur est une grande favorite du moment, mais il existe bien d’autres formules ! Voici une liste des types de chauffage électrique les plus courants, chacun avec ses avantages et ses inconvénients. Autant vous le dire tout de suite, le chauffage électrique n’est pas toujours la meilleure formule…

    Les différents types de chauffage électrique

    Convecteurs

    Avec ce système, l’air froid est aspiré, chauffé par une résistance pour le distribuer dans la pièce à l’aide d’un ventilateur. La pièce se réchauffe rapidement avec ce type de chauffage, mais se refroidit tout aussi vite.

    Radiateurs à inertie

    Il existe ici deux types de radiateurs à inertie : à inertie sèche ou fluide. Le principe d’accumulation de la chaleur est le même. Dans le premier cas, il s’agit d’un élément solide (de la fonte, de la pierre de lave, de la brique réfractaire…), tandis que dans le second, il s’agit généralement d’huile. Les premiers sont plus costauds, les seconds chauffent plus rapidement… Ils sont plus économiques que les autres radiateurs électriques mais aussi souvent plus onéreux.

    Panneaux rayonnants

    Ces panneaux chauffent la masse par infrarouge. Il en résulte une chaleur rapide et localisée. Les panneaux sont parfaits pour les petites pièces. Bon à savoir, ne placez aucun meuble entre vous et le radiateur !

    Chauffage par le sol

    Le chauffage électrique par le sol peut être placé directement sous votre plancher. Il distille une chaleur rayonnante et rapide.

    Avantages du chauffage électrique

    Un avantage majeur des chauffages électriques cités ci-dessus est le prix d’achat, notamment par rapport à un système de chauffage central traditionnel. De plus, l’installation de ces appareils est incroyablement facile, à l’exception du chauffage par le sol. Enfin, un radiateur électrique chauffe rapidement.

    Inconvénients du chauffage électrique

    C’est bien connu, un chauffage électrique consomme énormément d’électricité, ce qui, à l’heure actuelle, n’est pas forcément très indiqué. Certains (comme les convecteurs) sont cependant plus énergivores que d’autres. A moins de disposer d’une installation photovoltaïque, le chauffage électrique se révèlera plus couteux qu’une chaudière à condensation ou à pellets.

  • Poêle de masse : la nouvelle tendance pour un chauffage agréable et économique ?

    Les prix de l’énergie étant exorbitants, nous cherchons tous des alternatives. Vous êtes d’ailleurs toujours plus nombreux à vous orienter vers le bois, qui est souvent perçu comme le moins cher des combustibles. Si tel est votre cas, un « poêle de masse » vaut peut-être la peine d’être envisagé. Ce poêle traditionnel chauffe votre maison avec un minimum de combustible et donc, d’émissions nocives.

    Qu’est-ce qu’un poêle de masse ?

    À l’origine, ce poêle massif vient de Finlande. Souvent maçonné sur place, ce poêle est enduit d’argile et comporte des briques réfractaires au niveau des parties les plus chaudes. Le corps du poêle restitue ensuite une chaleur rayonnante dans la pièce. Si vous avez une maison bien isolée, deux heures de chauffage suffisent pour obtenir 24 heures de chaleur. Ce qui est extrêmement efficace.

    Excellent fonctionnement

    Le rendement est excellent car moins de 10 % de la chaleur de combustion est évacuée par le conduit de cheminée. Le reste est redistribué ans la pièce ! Si vous avez le choix et le budget, optez pour un grand modèle. Plus votre poêle est grand, plus la capacité de stockage de la chaleur est importante.

    Qu’en est-il de l’efficacité ?

    La combustion du bois est plutôt durable et offre également un excellent rendement. En outre, la température de combustion étant, vous obtenez une combustion complète, ce qui limite les émissions très nocives. La formation de fumée et de cendres est donc minime.

    Sièges chauffants

    Des sièges chauffants à la maison ? C’est parfaitement possible ! En effet, la fumée du four à bois peut également chauffer votre canapé – qui doit être prévu pour cela. Certains spécialistes proposent d’ailleurs une banquette chauffante, voire un four, histoire de faire d’une pierre deux coups !

     

  • Guide : rénover/repeindre sa façade en 4 étapes !

    Vous constatez que votre façade a besoin d’un petit coup de jeune ? Sa peinture a perdu de son pep ou vous constatez des dégradations ? Dans ce cas, avant de de vous lancer dans grands travaux, suivez ce guide.

    House front washing

    Première étape : Le nettoyage !

    La première chose à faire avant de vous lancer dans un grand projet est d’évaluer l’ampleur des travaux à effectuer ! Sachez par ailleurs qu’il est conseillé de nettoyer sa façade tous les 10 ans. Si lors de ce nettoyage vous constatez des petites fissures ou des dégâts mineurs, il est alors temps d’envisager certaines réparations ou rénovations. Pour effectuer ce nettoyage n’hésitez pas à faire appel à des professionnels afin de vous simplifier la tâche et de ne pas risquer d’endommager davantage votre façade.

    Deuxième étape : estimer l’ampleur des dégâts

    Constatez-vous de la mousse ou des fissures ? Dans un cas ou l’autre, le traitement ne sera pas semblable. De la mousse aura tendance à indiquer un problème d’humidité sous-jacent. Si vous remarquer en outre que la peinture s’effrite, cela peut être un signe qu’il est temps de repasser un coup de pinceau.

    Toutefois si vous remarquer des fissures sur le bâtiment, cela peut révéler des risques supplémentaires. En fonction de la taille de la fissure, il vous faudra peut-être envisager de potentielles infiltrations dans le bâtiment même. Dans ce cas, nous ne pouvons que vous conseiller de contacter un professionnel pour traiter le problème à la racine. Notez que si la fissure ne dépasse pas une certaine taille, vous pourrez aisément la traiter par vous-même sans réaliser de frais trop élevés.

    Il vous sera peut-être aussi nécessaire de penser à un rejointoyage des murs, toujours afin d’éviter des problèmes plus graves d’infiltrations.

    Troisième étape : agir !

    Une fois le ou les diagnostics posés, vous pourrez donc établir votre plan d’attaque. Il est également conseillé de prendre les devants sur de potentiels futurs problèmes. Pour ce faire, pensez à vous procurer un anti-mousse, un hydrofuge ou encore un autre type d’enduit, afin de ne pas avoir à remultiplier les frais à l’avenir. Cela vous permettra également de faire durer davantage votre peinture.

    Ou peut-être déciderez-vous d’opter pour un bardage ? Il s’agit en effet d’un choix très esthétique mais pouvant également amener de meilleures performances énergétiques et thermiques à votre bâtiment (non négligeable aujourd’hui…). Dans ce cas, ne lésinez pas sur les isolants !

    Quatrième étape : les finitions !

    La peinture est bien entendu la touche finale mais également l’élément qui vous permettra de poser votre empreinte sur votre habitation. Ce n’est donc pas une étape à négliger ! Il en existe différents types, comportant chacune leurs avantages. Toutefois pensez toujours à choisir une peinture comprenant une certaine protection contre l’humidité, votre plus grande ennemie.

    Et pour les façades en briques ?

    Terrah Holly

    1.    Sablage

    Sabler sa façade consiste à envoyer une matière très fine à très haute pression sur votre façade. Il s’agit d’une méthode radicale, mais qui peut faire quelques dégâts, notamment si la façade est poreuse ou si les joints sont en décomposition.

    2.    Nettoyage à sec ou à la vapeur

    Si votre façade n’est pas trop attaquée par la saleté, vous pouvez procéder à un nettoyage à sec ou à la vapeur. Dans le premier cas, on applique directement un produit sur la saleté, avant de rincer avec de l’eau. Le nettoyage à la vapeur, pour sa part, est plutôt indiqué pour retirer la mousse et toute forme de saleté superficielle. Ici encore, votre façade doit être en bon état.

    3.    Un produit hydrofuge ?

    Un traitement par hydrofugation de la façade prévient vos murs d’un taux d’humidité excessif. En outre, ce traitement limite également l’encrassement de vos murs.

    4.    Quid des joints ?

    En cas de nettoyage intensif, les joints sont souvent les premiers à souffrir. Les faire refaire permet souvent de complètement transformer l’apparence de votre façade. A vous de voir quelle couleur vous désirez choisir, sachant que les joints clairs attirent forcément, davantage les regards…

  • Vérifier les comptes de votre syndic : oui, vous êtes en droit de le faire !

    Le saviez-vous ? En tant que propriétaire d’un appartement au sein d’une copropriété, vous êtes en droit de vérifier les comptes de cette dernière, mais aussi de consulter une série de documents qui la concernent.

    Bon à savoir : tout copropriétaire individuel bénéficie d’un droit de regard sur sa copropriété, du moins dans un certain cadre. La loi stipule en effet que le syndic doit permettre aux copropriétaires de prendre connaissance de toutes les données ou documents non privés concernant la copropriété, selon les modalités prévues par le règlement intérieur ou par l’assemblée générale.

    Comment s’y prendre ?

    Vous souhaitez consulter les comptes de votre copropriété ou un document qui la concerne ? La première chose à faire est de consulter le règlement intérieur ou, à défaut, ce qui a été décidé par l’assemblée générale des copropriétaires concernant cette question. Le règlement peut, par exemple, exiger un rendez-vous préalable avec le syndic. Il peut aussi préciser des heures spécifiques où les copies peuvent être obtenues. Enfin, il peut aussi arriver que le syndic mette ces documents à disposition sur son site web.

    Bon à savoir : En cas de doute, vous pouvez poser une question sur ChoisirUnSyndic, un agent immobilier et un avocat vous répondent.

    Pour rappel, le syndic est le personnage clé au sein d’un immeuble et/ou d’une copropriété sur qui repose la charge de gérer l’indivision. Il est donc amené à devoir gérer différents aspects, comme la mise en œuvre des décisions prises par l’assemblée générale. Il doit aussi assurer le respect du règlement de copropriété et représente celle-ci vis-à-vis des parties tierces, qu’il s’agisse de fournisseurs voire de la justice. En outre, il gère la gestion journalière et doit veiller à la bonne conservation du bien. Enfin, le syndic de copropriété est chargé de tenir à jour la comptabilité de la copropriété, de la faire approuver par l’assemblée générale des copropriétaires et de répartir les charges entre les copropriétaires en fonction de leurs millièmes dans les parties communes.

    Vous avez constaté une erreur ?

    Il peut arriver que l’on constate une erreur dans un relevé de charges ou, plus simplement, que l’on trouve que le syndic n’effectue pas convenablement les tâches qui lui ont été confiées. La meilleure chose à faire dans ce cas est d’en parler lors de l’assemblée générale des copropriétaires. Celle-ci a le pouvoir de décider de tenir le syndic pour responsable et, par conséquent, d’en nommer un nouveau.

    Faites-vous aider !

    À Bruxelles, les syndics d’immeubles sont bien souvent des agences immobilières qui ont développé une spécialisation en matière de gestion immobilière. Parfois, des conflits peuvent naître en raison de coûts inattendus qui apparaissent. Un contrat clair et un suivi du conseil évitent souvent d’arriver à un point de non-retour. Envie d’en savoir plus sur ce sujet ? Consultez le site d’ImmoBrussels qui a listé les différentes associations vers lesquelles vous tourner en cas de conflits.

  • 4 astuces pour diminuer le bruit provoqué par les voisins

    Même un voisin très calme peut, de temps à autre, être la source de bruit. Une isolation insuffisante ou des cloisons trop fines est souvent la cause de ces nuisances. Voici une série d’astuces qui vont vous permettre d’atténuer celles-ci.

    Tout un chacun peut prendre quelques mesures dans le but d’isoler son intérieur des bruits provenant du voisinage. Et celles-ci ne nécessitent pas forcément d’entreprendre de grands travaux ou d’y consacrer des sommes folles d’autant qu’en tant que locataire, il n’est pas toujours possible de faire le nécessaire pour s’immuniser contre ces nuisances sonores.

    Déplacez vos meubles !

    Première mesure à prendre : réorganiser l’aménagement de vos pièces. En effet, si votre tête de lit et votre canapé sont placés contre un mur mitoyen, il y a de fortes chances pour que vous entendiez tout ce qui se passe à côté de chez vous. Il suffit ici de déplacer le tout à l’autre bout de la pièce et de privilégier, contre le mur d’où proviennent les nuisances, une penderie, une bibliothèque ou encore un buffet ou une commode. Ces meubles, imposants, vont absorber les sons et ainsi minimiser les bruits provenant de l’extérieur.

    Bouchez les trous !

    Dans un second temps, vous pouvez envisager de dégainer votre boîte à outils. Ici, il vous faudra boucher les trous et fissures éventuelles dans le mur avec du mastic antibruit, poser des joints en caoutchouc ou en silicone autour des portes et fenêtres, installer une couverture insonorisante (celle-là même qu’on utilise dans les studios professionnels d’enregistrement), appliquer plusieurs couches de peinture antibruit (ou, ça existe !) afin de gagner quelques décibels, ou encore d’envisager la pose d’un faux plafond qui limitera les bruits d’impact provenant de l’étage supérieur.

    Une grosse moquette !

    Dans l’opération, ne négligez pas non plus votre sol ! En effet, les nuisances sonores peuvent aussi provenir du bas. Dans ce cas, vous pouvez poser de la moquette ou un tapis bien épais. Outre une isolation thermique, cela vous gratifiera aussi d’une meilleure isolation sonore, avec un gain d’environ 10 décibels, voire 20 décibels pour une moquette épaisse. Ce qui n’est pas à négliger !

    Cachez ces fenêtres !

    Enfin, pour ce qui est des fenêtres voire des portes, vous pouvez opter pour des rideaux phoniques. Excellents isolants thermiques et forts de propriétés esthétiques qui vont vous permettre d’habiller votre pièce, ils se distinguent aussi grâce à leurs facultés insonorisantes très efficaces contre le bruit provenant de l’extérieur.

  • Assemblée générale des copropriétaires : 5 choses à savoir sur l’ordre du jour

    En tant que copropriétaire dans un immeuble, vous êtes logiquement invité à l’assemblée générale des copropriétaires.  Cette invitation comprend toujours l’ordre du jour de la réunion.  Quelle est son importance et que devez-vous savoir à ce sujet ?

    Dylan Gillis

    Que dit l’invitation ?

    L’ordre du jour de l’assemblée générale indique les points qui seront discutés lors de l’assemblée générale. Vous pouvez donc juger l’importance de la réunion en consultant l’ordre du jour.  Cela peut influencer votre décision d’y aller ou non, d’envoyer une procuration ou simplement de ne pas y être présent. Cela vous permet également de vous y préparer.

    En outre, lors de l’assemblée générale, aucun autre point que ceux inscrits à l’ordre du jour ne peut être discuté. Il peut y avoir une exception à cette règle si tous les copropriétaires sont présents à la réunion et qu’ils sont également tous d’accord pour qu’un sujet précis soit débattu.

    De quoi peut-on parler sous le point « divers » ?

    De nombreuses assemblées générales comprennent un point « divers ». Dans la pratique, les copropriétaires essaient parfois de discuter (et éventuellement de voter) sous cette rubrique toutes sortes de questions qui n’étaient pas explicitement mentionnées à l’ordre du jour.

    Sachez que ce genre de procédure n’est pas légal. En effet, vous ne pouvez pas prendre des décisions sous la rubrique « divers » sur des sujets qui ne sont pas à l’ordre du jour.  Tout au plus, par le biais du « divers », certaines préoccupations ou commentaires des copropriétaires peuvent être communiqués et discutés, mais ils ne peuvent pas faire l’objet d’un vote et/ou d’une décision.

    Qui fixe l’ordre du jour ?

    L’assemblée générale annuelle comprendra un certain nombre de points fixes. Par exemple, l’approbation des comptes, la nomination du conseil des copropriétaires et du vérificateur des comptes, la décharge du conseil des copropriétaires, du syndic, etc.

    En outre, chaque copropriétaire a également le droit de proposer des sujets à l’ordre du jour. Vous pouvez le faire, par exemple, si vous souhaitez que des travaux d’embellissement soient effectués dans les parties communes de l’immeuble, si vous désirez que des modifications soient apportées au règlement intérieur, etc. Si vous voulez inscrire un point à l’ordre du jour de l’assemblée générale, vous devez demander au syndic de le faire. Vous pouvez en faire la demande jusqu’à trois semaines avant la première date possible de l’assemblée générale.

    Quand recevrez-vous l’invitation ?

    La loi prévoit que, en tant que copropriétaire, vous devez recevoir l’ordre du jour en même temps que la convocation à l’assemblée générale. En règle générale (sauf en cas d’urgence), la convocation (avec l’ordre du jour) doit vous être notifiée au moins 15 jours avant la date de la réunion. Cela se fait alors par courrier recommandé, sauf si vous avez expressément accepté par écrit de recevoir l’avis par un autre moyen de communication.

    Que pouvez-vous faire si quelque chose est décidé alors que cela n’était pas à l’ordre du jour ?

    Si l’assemblée générale a pris une décision sur un sujet qui n’était pas à l’ordre du jour, vous ne devez pas l’accepter. Si vous êtes présent à l’assemblée générale et qu’un sujet qui n’est pas à l’ordre du jour est abordé, protestez et faites également consigner votre commentaire dans le procès-verbal de la réunion. Si un vote a lieu malgré votre protestation, votez contre.

    Si le point est quand même discuté et voté, vous pouvez contester la décision de l’assemblée générale devant le juge de paix.  Toutefois, vous devez entamer cette procédure dans les quatre mois qui suivent l’assemblée générale.

     

    Jan Roodhooft, avocat (www.advocatenroodhooft.be)

     

  • Moulures : nos 3 conseils pour un intérieur chic

    Les moulures donnent un charisme indéniable à votre intérieur, en même temps qu’une petite touche d’élégance. Bonne nouvelle : la pose de moulures n’est pas difficile du tout, mais voici quelques conseils avant de démarrer.

    Kelsey Weinkauf

    Quel modèle choisir ?

    Avant de commencer, il est important d’évaluer la largeur et le motif qui conviendront à la pièce. Les moulures lisses, étroites et creuses donnent un look épuré. Une moulure travaillée avec des motifs donne un cachet plus classique, plus traditionnel. Si vous désirez que vos moulures se démarquent, choisissez tout simplement une couleur vive qui tranche avec la teinte de murs.

    Travail de préparation

    Avant d’installer vos moulures, assurez-vous que la surface soit plane et dégraissée. Il vous faudra également couper vos moulures à la bonne taille. Concernant celles destinées à couvrir un coin de mur, coupez-les au bord à un angle de 45°. Pour un travail propre, préférez les scies à onglet. Sachez toutefois qu’il existe sur le marché des modèles prédécoupés. Les irrégularités au niveau des coins coupés peuvent être éliminées avec une lime à bois.

    Collage

    Attention, n’utilisez pas n’importe quelle colle mais bien celle qui est renseignée en magasin ou préconisée par le fabricant. Appliquez cette dernière de manière uniforme sur le mur et appuyez votre moulure contre le mur. S’il y a une ligne, enlevez-la avec un chiffon humide. Si les moulures ne sont pas idéalement alignées, vous pouvez combler les jours avec du mastic.

    Petite astuce de pro : appliquez la première moulure à partir du coin du mur le plus long.