Un locataire d’une maison ou d’un appartement peut-il repeindre certaines pièces du bien qu’il loue ? Le propriétaire peut-il, à la fin du bail, demander que les murs soient repeints dans les couleurs d’origine ? Notre avocat vous dit tout !
Roselyn Tirado
Que dit le bail ?
La plupart des baux contiennent une clause stipulant que le locataire ne peut pas repeindre les murs, les portes, les plafonds, etc. Ce genre de disposition est parfaitement valable. Si, malgré tout, le locataire désire quand même repeindre, il doit demander l’autorisation écrite du propriétaire. Si celui ne la donne pas, mieux vaut ne rien repeindre. En effet, dans le cas contraire, le propriétaire peut réclamer une indemnité à la fin de la location.
Et si le bail ne dit rien ?
Si rien n’est précisé dans le bail, le locataire ne peut pas repeindre les murs d’une autre couleur. Il existe déjà des décisions de justice qui considèrent que le fait de repeindre les murs d’une couleur totalement différente (par exemple, criarde) constitue une forme de dommage locatif et que le propriétaire peut alors prétendre, à la fin du bail, à une indemnisation pour le dommage ainsi subi. En Wallonie et en Flandre, ce principe est également inclus dans les listes de réparations.
Et si le bail impose de repeindre ?
Si le bail contient une clause stipulant que le locataire doit repeindre le bien à la fin du bail, sachez que cela n’est pas valable. Un propriétaire ne peut pas faire payer l’usure au locataire.
Vous êtes confronté à des taches blanches sur votre façade ? Cela peut avoir plusieurs causes, mais il s’agit souvent de dépôts de minéraux tels que le sel. Outre le désagrément visuel, ces efflorescences peuvent également causer des dommages collatéraux.
Les taches n’apparaissent pas forcément juste après le maçonnage : elles peuvent en effet se manifester bien plus tard. Si vous rencontrez des taches peu après le maçonnage, ce n’est généralement pas bien grave : l’eau et le sel contenus dans les briques migrent vers la surface, après quoi l’eau s’évapore et le sel reste. Cela peut provoquer des taches blanches sur vos briques. La pluie finira par faire disparaître ces taches, mais vous pouvez aussi utiliser un chiffon humide.
Quelles causes ?
Si vous voyez des traces blanches (souvent du salpêtre) apparaitre sur vos murs, cela est généralement le signe de la présence d’humidité dans votre maçonnerie. Il faut évidemment s’attaquer au cœur du problème et comprendre l’origine de ces traces blanches : des blocs poreux ? Des problèmes d’humidité ascensionnelle ?
Peut-on prévenir la prolifération des efflorescences ?
Les parties exposées à la pluie et au soleil sont particulièrement sujettes à l’efflorescence. Pour prévenir celle-ci, nous vous conseillons d’appliquer un traitement hydrofuge à votre façade. A ce sujet, sachez qu’il existe des briques de parement traitées et qui empêchent le salpêtre de se déposer sur la pierre.
Comment enlever les taches
Une brosse dure non métallique ne suffit pas ? Il existe ensuite de nombreux remèdes disponibles dans les magasins de bricolage. Attention, certains produits sont trop agressifs et peuvent endommager votre maçonnerie. Vous pouvez également toujours faire appel à une entreprise spécialisée.
Faire la vaisselle : cette tâche ménagère peut paraître rébarbative, mais c’est pourtant une opération importante, à réaliser minutieusement et dans les règles de l’art. Il en va de la bonne santé de toute la famille !
1. Une éponge, ça se remplace !
Réceptacle d’une multitude de résidus organiques, les éponges sont des nids à bactéries. C’est à ce titre l’un des accessoires les plus sales de la cuisine, particulièrement lorsqu’on la laisse trainer au fond de l’évier. Il est donc capital de la nettoyer aussi souvent que possible, en la désinfectant avec du vinaigre blanc ou du citron. Vous pouvez également la placer humide au four à micro-ondes durant une trentaine de secondes à pleine puissance. Dès qu’elle a perdu sa couleur originale, remplacez-la !
2. Évitez la vaisselle à l’eau froide
Certes, il est plus écologique de nettoyer sa vaisselle à l’eau froide. Mais face à une vaisselle très sale, l’eau froide ne fait pas le poids. Seule l’eau chaude voire bouillante vous permettra de dissoudre les graisses et de désincruster les résidus alimentaires séchés. Pour épargner de l’énergie, vous pouvez par exemple réutiliser votre eau de cuisson pour y faire tremper vos ustensiles de cuisine usagés avant de les nettoyer.
3. Essuie de vaisselle sale : à la lessive !
Dans la cuisine, l’essuie de vaisselle est mis à toutes les sauces. Celui-ci est en effet souvent utilisé pour se sécher les mains, essuyer l’évier ou le plan de travail ou encore pour sortir un plat brûlant du four. Pour éviter que vos torchons de cuisine ne prennent une odeur désagréable d’humidité, optez pour un séchage à l’air libre. Après 5 vaisselles effectuées, remplacez-le par un essuie propre et lavez l’ancien en machine à 60° minimum !
4. La vaisselle, ça se fait dans l’ordre !
Vous remplissez votre évier avec de l’eau chaude et du savon plutôt que de faire couler le robinet durant plusieurs minutes ? Excellente idée mais alors commencez par laver les éléments les moins sales comme les verres et les couverts. Ensuite seulement passez aux assiettes puis, pour terminer, aux plats et casseroles. Veillez toujours à rincer le tout à l’eau bien chaude, la phase de séchage n’en sera que plus rapide !
5. Le côté abrasif de l’éponge comme tout dernier recours
Frottez comme un forçat un fond de casserole qui a brûlé avec le côté abrasif de l’éponge est bien souvent inutile. Tout ce que vous réussirez à faire est de le rayer irrémédiablement. Pour se débarrasser des graisses et aliments carbonisés, il suffit de verser de l’eau dans la casserole à mi-hauteur et d’y ajouter un verre de vinaigre blanc ainsi qu’une cuillère à soupe de bicarbonate de soude. Placez le tout sur feu doux et laissez mijoter durant une dizaine de minutes. La crasse se décollera toute seule, sans que vous n’ayez à frotter !
Les maisons connectées ou bien équipées en technologies domotiques gagnent en popularité, à tel point qu’aujourd’hui, on ne conçoit plus de faire construire ou d’entreprendre une rénovation lourde sans intégrer un minimum d’équipements du genre sous son toit.
Patrick Campanale
Depuis une vingtaine d’années, la domotique résidentielle s’immisce dans nos intérieurs. Compte tenu de son jeune âge, il est encore difficile de savoir avec certitude si l’installation de ce type de technologie vous permet de retrouver une partie de l’argent investi lors de la vente de votre habitation, qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement. En effet, à l’heure actuelle, contrairement à certaines rénovations qui ont fait leurs preuves pour augmenter la valeur de revente d’un bien immobilier, l’ajout d’appareils intelligents au sein de votre lieu de résidence ne vous garantit pas une certaine plus-value, ceux-ci ne constituant pas encore un critère de recherche prégnant pour l’acheteur.
Un équipement n’est pas l’autre
Mais ce relatif manque d’intérêt, qui est appelé à s’atténuer dans les années à venir, est néanmoins à relativiser. En effet, certains équipements intelligents, en particulier s’ils ont été installés par des professionnels et qu’ils sont conçus par des noms incontournables du secteur de la domotique, pourraient néanmoins être plus valorisants que d’autres. C’est le cas des thermostats intelligents mais aussi de tous les appareils qui visent à réduire la consommation et les coûts énergétiques de la maison. Dans le contexte actuel, ceux-ci gagnent en effet en intérêt. Tout logiquement, les équipements aux fonctions “secondaires”, comme un éclairage à même de changer de couleur, seront par contre en général dédaignés, ce qui n’est pas le cas de ceux qui permettent de faire des économies d’énergie.
Dans la même veine, l’ajout d’un système de sécurité, comme une alarme intelligente, est un autre élément de la domotique à même d’attirer les acheteurs potentiels en leur offrant un sentiment de sécurité supplémentaire. Certains d’entre eux pourraient même être prêts à payer plus cher, à condition que l’installation du système ait été faite dans les règles de l’art et par un professionnel.
Moralité : certes, la domotique peut vous donner un coup de pouce pour attirer l’attention des acheteurs sur votre bien, en leur offrant un confort et des fonctionnalités supplémentaires. En revanche, elle ne peut pallier les lacunes de l’état général de votre propriété.
Après la pandémie de ces dernières années, le bureau à domicile est devenu une nécessité absolue pour une part croissante de la population. Et nous ne pensons pas qu’aux salariés en télétravail : même les étudiants, eux aussi, ont besoin de leur propre espace où ils peuvent préparer leurs travaux sans être dérangés. Mais comment et où aménager ces espaces de bureau à domicile ?
Domenico Loia
Un espace de travail bien aménagé est important, comme en témoigne l’augmentation du nombre de plaintes suite au passage soudain et non préparé au télétravail pendant le confinement. En effet, tout le monde ne disposait pas forcément d’un environnement ou d’un équipement approprié. Maux de cou et autres douleurs musculaires, tendinites, fatigue oculaire, maux de tête après la journée de travail… autant de signes qui manifestent un espace de travail loin d’être idéal.
Créez votre bureau à domicile
Le premier conseil est d’être ambitieux et de viser le maximum possible, surtout si vous utilisez souvent votre propre espace de travail à la maison. Pour cela, il est préférable d’avoir un espace physique dédié au travail à domicile, et non un endroit qui sert également à d’autres fins, comme la table de la cuisine ou du salon. Un bureau séparé est bien sûr idéal, mais tout le monde n’a pas le luxe de pouvoir en profiter !
Si vous installez votre espace de travail dans un espace multifonctionnel existant, essayez de prévoir une sorte de séparation. Pour ce faire, vous pouvez choisir un meuble comme un bureau, une armoire avec un plan de travail ou une tablette pliable. En outre, assurez-vous de disposer suffisamment d’espaces de rangement – comme des tiroirs ou, si nécessaire, des boîtes pour ranger les choses de manière structurée. Ainsi, vous serez sûr de pouvoir vous concentrer et de clore ce chapitre de votre journée, une fois votre journée de travail terminée. Psychologiquement, cet aspect est crucial ! Essayez d’harmoniser l’aspect de votre coin bureau avec le reste de la pièce afin qu’il n’attire pas immédiatement votre attention lorsque vous ne l’utilisez pas.
Pensez à votre santé
Assurez-vous que tout est réglé à votre hauteur pour que vous puissiez travailler confortablement. Veillez à tenir compte de la hauteur de votre écran. Rester assis sur son ordinateur portable toute la journée est loin d’être idéal. Si vous n’avez pas de place pour un écran séparé, investissez au moins dans un support qui amène l’écran de votre ordinateur portable à hauteur des yeux, en combinaison avec un clavier et une souris. Autre conseil mobilier à ne pas manquer : investissez dans la bonne chaise de bureau !
Un bon casque ou des écouteurs, qui vous permettent également de passer des appels ou de suivre des réunions en ligne, sont également indispensables. Les haut-parleurs et le microphone de votre ordinateur portable sont rarement idéaux, surtout si vous partagez l’espace avec d’autres personnes. Lors de l’achat, envisagez un modèle doté de la technologie « noise cancelling », qui filtre électroniquement les bruits extérieurs. Cela ne fera qu’améliorer votre concentration.
Illuminez votre poste de travail
Un dernier point important : l’éclairage. Une fenêtre qui donne sur votre espace de travail est idéale – mais vous devez également veiller à ne pas être aveuglé par le soleil. Une bonne lampe de bureau est essentielle, mais des sources de lumière supplémentaires sont un plus pour réduire les ombres et permettre à vos yeux de se reposer. Un éclairage suffisant et approprié n’est pas seulement bon pour vos yeux, mais aussi pour votre capacité à vous concentrer et à apprendre, selon une étude récente du département des neurosciences de la prestigieuse Michigan State University. Les couleurs claires dans votre espace de bureau reflètent la lumière et contribuent donc à optimiser votre éclairage. Dans tous les cas, évitez les papiers peints aux imprimés chargés, qui peuvent vous distraire.
La tendance du moment : le bureau de jardin
Vous cherchez une solution originale ? Vous disposez d’un grand jardin ? Sachez dans ce cas qu’il existe une solution assez insolite qui séduit de plus en plus de personnes ces dernières années : le bureau de jardin. Cet espace de travail indépendant dans le jardin peut prendre différentes formes, du conteneur préfabriqué au luxueux pavillon à ossature en bois. Mais réfléchissez bien aux aspects pratiques, car pour pouvoir travailler confortablement, il vous faut au moins l’électricité et l’accès à internet. En outre, l’isolation doit également être en ordre. De plus, cela a un prix : comptez sur un budget minimum de 35 000 euros. La bonne nouvelle est que vous n’avez souvent pas besoin de permis de construire pour les dépendances de moins de 30 m², mais il est préférable de vérifier auprès de votre commune.
Le bricolage en hiver peut être un sacré défi, le froid, l’humidité et le manque de lumière compliquent tout ! Pour aider les bricoleurs à surmonter ces obstacles, voici comment faire face aux 4 grands ennemis du bricoleur en hiver.
Aaron Burden
1. Le froid
Le froid est l’un des principaux ennemis du bricoleur en hiver. Il peut être difficile de travailler confortablement avec des mains gelées et des vêtements trempés de sueur. Il est important de s’habiller en conséquence pour rester au chaud et au sec, et de prendre des pauses régulières pour se réchauffer. Il existe des vêtements spéciaux, prévus à cet effet. Ce qui peut avoir un coût, on vous l’accorde…
2. La neige et/ou la glace
Il est important de nettoyer régulièrement les allées et les escaliers pour éviter les chutes, et de prendre des précautions supplémentaires (chaussures antidérapantes, notamment…) lorsque l’on manipule des outils et des matériaux sur des surfaces glissantes. Cela peut paraître bateau, mais promis, on ne le répètera jamais assez ! Attention également au gel qui peut endommager vos outils et surtout, vos produits ! Les nettoyeurs haute pression et autres compresseurs doivent donc être gardé à l’abri du gel !
3. L’humidité
L’humidité peut causer des problèmes de condensation et de moisissures, ce qui peut rendre certains travaux de bricolage plus difficiles ou même impossibles. Il est important de ventiler régulièrement les espaces fermés et de s’assurer que les matériaux utilisés sont appropriés pour une utilisation en milieu humide. Si vous avez des surfaces à peindre, mieux vaut attendre le retour des beaux jours !
4. La faible luminosité
En hiver, il y a moins de lumière naturelle, ce qui peut rendre tout travail dans une ambiance non encore éclairée, difficile, voire presque impossible. Sachez que les lampes de travail ou les projecteurs sont aujourd’hui affichés à des prix assez accessibles dans les magasins de bricolage.
Où embusquer vos bijoux, clés de voiture et autres objets de valeur, notamment en cas d’absence et lorsque l’on ne dispose pas d’un coffre-fort ? Voici 5 cachettes idéales !
J Yeo
1. Dans un livre
Choisissez un livre (de préférence déjà lu et pas votre préféré !) avec une couverture épaisse et rigide, et découpez un trou dans les pages. Replacez ensuite le livre dans votre bibliothèque ! Plus il y a des livres autour, mieux c’est ! L’astuce est vieille comme le monde, mais toujours aussi efficace…
2. Sous les meubles
Derrière les plaques de finition, sous les meubles, il est parfaitement possible de cacher des documents ou de petits objets de valeur.
3. Dans un sac de couchage
Nous sommes sûrs que vous n’y auriez jamais pensé ! Ou alors, vous êtes vraiment très fort. Optez évidemment pour un modèle assez grand pour contenir tout ce que vous désirez cacher. Bien entendu, le sac-de-couchage ne doit pas ensuite trôner au milieu du divan…
4. Dans le congélateur
Pour tout ce qui ne craint pas le froid, le congélateur est une excellente option ! Dans un sac, avec vos petits pois ou, bien protégé, dans un récipient de sauce bolognaise, ça marche très bien ! Il faut juste espérer que votre congélateur ne dégèle pas, surtout si vous optez pour cette dernière option !
5. Dans un pot de plante
… Ou carrément dans le jardin ! Mais avant tout, prière de trouver un contenant parfaitement hermétique et capable de résister à un enterrement. Il faudra aussi tâcher de s’en souvenir…
Vous louez un appartement et les voisins de votre locataire vous harcèlent régulièrement parce qu’ils subissent les nuisances sonores de votre locataire. Dans ce cas, quelles mesures pouvez-vous prendre à cet égard ?
Dans un premier temps, vous pouvez avoir une conversation avec votre locataire dans laquelle vous soulignez les plaintes formulées par les voisins. Vous pouvez demander à votre locataire de ne plus causer de nuisances et lui rappeler le règlement d’ordre intérieur. Si cette conversation n’aboutit pas au résultat souhaité, vous pouvez envoyer une lettre recommandée à votre locataire dans laquelle vous le mettez en demeure de cesser les nuisances.
Réconciliation
Si votre locataire continue à se comporter de manière nuisible, vous pouvez entamer une procédure de conciliation devant le juge de paix. Si vous y trouvez un accord, le juge de paix peut rédiger un procès-verbal. S’il n’y a pas d’accord ou si le locataire ne se présente pas, cette procédure ne donnera rien…
Procédure
Si le locataire continue à nuire à son voisinage, vous pouvez éventuellement entamer une véritable procédure auprès du juge de paix. Dans cette procédure, si les nuisances sont graves, vous pouvez demander la résiliation du bail. Vous devrez toutefois être en mesure de prouver les faits que vous reprochez à votre locataire. Pour ce faire, vous pouvez par exemple, demander aux voisins d’écrire un témoignage. Vous pouvez aussi soumettre les lettres et les plaintes que vous avez reçues ou une plainte déposée par des voisins auprès de la police. Vous pouvez également demander à l’association des copropriétaires de plaider avec vous.
Vous souhaitez vous absenter du travail pendant une semaine pour vous permettre de déménager. Avez-vous droit à des jours de congé ? Comment les obtenir ?
La loi précise un certain nombre de cas dans lesquels, en tant que salarié, vous pouvez vous absenter du travail pour un « petit chômage » tout en conservant votre salaire. Cette liste n’inclut pas le déménagement. Il se peut toutefois que votre entreprise ait une convention collective de travail qui vous accorde un ou plusieurs jours de congé dans ce cas.
Congé pour raisons impérieuses ?
Vous ne pouvez pas non plus invoquer les règles relatives au congé dit « pour raisons impérieuses » (vous pouvez vous absenter du travail mais n’êtes généralement pas payé). En effet, un congé pour raison impérative ne peut être pris qu’en cas d’événement imprévu et non professionnel nécessitant l’intervention urgente et nécessaire du salarié, dans la mesure où l’exécution du contrat rend cette intervention impossible. Un déménagement n’étant pas un événement imprévu, vous ne pouvez donc invoquer ce droit.
Prendre congé
Pour vous absenter du travail pour déménager, vous devrez prendre des jours de congé, éventuellement sans solde. Vous pouvez également prendre des jours de récupération. N’oubliez pas que votre employeur ne doit pas nécessairement accepter le nombre de jours d’absence que vous souhaitez. Essayez de trouver une solution qui vous convienne à tous les deux.
Vous désirez savoir à combien peut se vendre l’appartement de feu tonton Jean-Marie ? Peut-être avez-vous un bien en vue et vous souhaitez vous assurer de payer le juste prix ? A moins que vous n’ayez tout simplement envie de connaître la valeur de votre bien… Pour toutes ces raisons, et bien d’autres encore, ne cherchez pas ailleurs : l’outil d’estimation signé Immovlan vous proposera une fourchette de prix réaliste.
r architecture
Pour s’enfiler une mousse au chocolat, rien de tel qu’une cuillère : l’outil est simple, ergonomique et destiné à cet usage. Cela vous semble être une évidence ? Eh bien, pour connaître la valeur d’un bien immobilier, l’outil d’estimation en ligne d’Immovlan, c’est pareil. Simple, ergonomique, précis et taillé pour vous donner une fourchette de prix réaliste. Ne cherchez pas ailleurs, on ne connaît pas mieux et en plus, c’est gratuit et sans engagement !
Après avoir donné quelques infos sur le bien en question, comme le nombre de façades, l’état du bien et sa situation géographique, vous serez rapidement fixé sur sa valeur. Bien sûr, rien ne remplace l’expertise d’un agent immobilier et c’est la raison pour laquelle, dans le cas d’une vente par exemple, nous vous conseillons toujours de vous remettre à un professionnel.