Auteur : publi

  • Quentovic, un coup de cœur sur la Côte d’Opale !

    Le charme et la tradition se rencontrent dans un cadre idyllique à Quentovic. Vous rêviez d’un cadre idyllique en bord de mer ? Voici pour vous !

    Situé au cœur de la Côte d’Opale, au Touquet-Paris-Plage, le programme Quentovic, dont la livraison est prévue cette année, est une promesse de tranquillité à quelques pas de la mer et de la Canche. Profitez d’une localisation privilégiée, entre forêts luxuriantes et plages étendues, parfait pour ceux cherchant à combiner vie active, voire sportive, et détente.

    Inspirés par le style unique et historique de la région, ces logements allient modernité et tradition, offrant confort et élégance. Les grandes fenêtres baignent chaque pièce de lumière naturelle, offrant des vues imprenables sur le paysage environnant.

    Un style de vie dynamique

    Le quartier et la ville vibrent toute l’année avec des activités de loisirs variées, des marchés locaux aux festivals, en passant par les sports nautiques et les balades en nature. Tout est à votre porte pour garantir une vie active et sociale !

    Des appartements soignés

    Cuisine ouverte sur le séjour, électroménager performant et robuste, salles d’eau contemporaines, vidéophone, volets motorisés, carrelage grès cérame… Aucun détail n’a été négligé pour vous apporter la plus grande satisfaction.

    Un investissement pour l’avenir

    Les appartements, proposés à partir de 549.000 euros, offrent un excellent potentiel de valorisation, grâce à leur qualité de construction et leur emplacement stratégique. Que vous soyez à la recherche d’une résidence principale ou d’un investissement locatif, Quentovic représente une sacrée opportunité sur le marché immobilier.

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  • Stella Marina : réveillez vos rêves de bord de mer !

    Vous cherchez un havre de paix confortable et élégant, à quelques encablures de la mer, tout en profitant d’un accès rapide aux commodités ? Ne cherchez pas plus loin, nous avons ce qu’il vous faut dans un cadre enchanteur !

    stella marina

    Nichée au cœur de Stella-Plage, la résidence se trouve entre la plage et un massif dunaire préservé, à quelques minutes du centre-ville de Stella-Plage, une station balnéaire authentique et familiale.  Située à quelques minutes du Touquet-Paris-Plage et à 7 km de la gare d’Etaples-Le Touquet, ce cadre naturel exceptionnel promet en outre, de nombreuses activités sportives et de plein air !

    C’est au sein de ce cadre enchanteur que la résidence Stella Marina se démarque avec élégance et subtilité, son style étant en parfaite harmonie avec la nature environnante.

    Un confort sans pareil

    La résidence offre 15 logements, allant du T2 cabine au T3, tous dotés de loggias orientées plein ouest, parfaites pour admirer les couchers de soleil. Les résidents jouiront également d’un confort moderne avec un parking privé, un local à vélo sécurisé, et un accès facile grâce à un ascenseur desservant tous les étages. Les prix débutent à partir de 269 000 €, offrant un excellent rapport qualité-prix pour cette localisation.

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  • Financer les rénovations via un tiers payant, une fausse bonne idée ?

    C’est l’une des propositions phares du PTB en cette campagne électorale : “chacun peut rénover sa maison pour l’isoler grâce à un système de tiers payant” explique le parti communiste sur son site. Mais tout cela est-il finançable et, in fine, faisable ?

    insulation

    S’il y a bien un parti qui se distingue par l’audace de ses propositions, c’est bien le PTB. Dernière en date : “la rénovation doit devenir un droit et celle-ci peut facilement être financée à l’aide d’un tiers payant”, explique le parti communiste. Pour ce faire, le PTB entend accorder aux familles un prêt dédié à des travaux d’isolation et de rénovation en vue d’économiser l’énergie qui fera l’objet d’un remboursement à terme, à l’aide de l’argent économisé sur des factures d’énergie moins élevées, grâce aux travaux qui ont été réalisés.

    Plus concrètement, le PTB envisage la création d’une banque publique dont le rôle serait d’avancer l’argent des prêts de rénovation. Et le parti de prendre l’exemple de l’Allemagne où la banque publique KFW accorde ce type de prêts. In fine, pour le PTB, “il ne faut rien dépenser pour financer sa maison” et “rénover son logement sans débourser un rond, c’est donc possible”. Magique !

    Le rêve face à la réalité

    Pour financer ce système de tiers payant, le PTB plaide pour la création d’une banque 100 % publique. Celle-ci sera donc financée par l’État belge qui, pour rappel, soufre d’une dette de quelque 507 milliards €… Sachant que la rénovation de l’entièreté du parc immobilier du Royaume nécessite un montant de 378 milliards € selon une étude de BNP Paribas Fortis, une question se dégage : où va-t-on trouver une telle somme ? Une solution serait de faire appel aux épargnants, par l’intermédiaire de bons d’État, sauf que le dernier en date n’a rapporté que 433 millions € en mars dernier. On est donc loin, très loin du compte ! En outre, se lancer dans une telle aventure, avec des montants aussi astronomiques, risque bel et bien de dégrader la note financière de la Belgique et, dans le même temps, de décourager les investisseurs…

    Les communistes expliquent aussi qu’à terme “il s’agit pour la banque d’une opération comptable nulle puisque l’argent est remboursé via les factures d’énergie”. Leur optimisme prête ici aussi à sourire. En effet, si ce sont les économies que l’on fait sur chaque facture, grâce aux travaux effectués, qui servent au remboursement du prêt, qu’en sera-t-il si les vagues de froid et de chaleur, grandes consommatrices d’énergie, se multiplient ?

    Enfin, sur le même sujet, le PTB explique aussi que “comme le prêt sera remboursé via la réduction sur la facture d’énergie, le remboursement de la dette se fera par petites tranches. Nous veillerons à ce que le montant du remboursement soit toujours relatif à la réduction du montant de la facture d’énergie, en adaptant les montants à rembourser. Avec un plafond en cas de hausse des prix de l’énergie”… Car oui, c’est le PTB qui sera aux commandes de la banque publique évoquée ci-dessus ! Plus sérieusement, ici aussi, plusieurs questions se posent, et non des moindres. Comment se déroulera le remboursement en cas de dépassement du plafond ? Comment les différents services d’urbanisme, d’ores et déjà débordés dans la majorité des communes, vont-ils absorber l’afflux des demandes attendu si un tel système devait se mettre en place ? Même question en ce qui concerne le secteur de la construction, qui manque cruellement de main d’œuvre qualifiée ?

    Autant de pierres d’achoppement qui laissent à penser que cet énième projet révolutionnaire avancé par le PTB relève plus de la chimère que de l’idée géniale…

  • Good Living, le nouveau Règlement régional d’urbanisme bruxellois, sous le feu des critiques

    Probablement enterré sous cette législature, le Conseil d’État n’étant pas en mesure de l’analyser dans les temps, le projet Good Living fait aussi face à des critiques virulentes de la part des architectes et des professionnels de la construction.

    brussels

    Bébé de Pascal Smet qui, pour rappel, a dû démissionner suite à la venue de la délégation iranienne au Brussels Urban Summit, le projet Good Living (qui est le nom du nouveau Règlement régional d’urbanisme – RRU) est aujourd’hui porté par la secrétaire d’Etat en charge de l’Urbanisme Ans Persoons (Vooruit). Sans celui-ci, le bilan des socialistes flamands perd en consistance, d’où la volonté de faire passer ce texte au plus vite, quitte à se passer de l’avis du Conseil d’Etat. Problème : le ministre Bernard Clerfayt (Défi), qui a vu son code du bien-être animal recalé par les socialistes et les écologistes bruxellois, ne l’entend pas de cette oreille et refuse de soutenir le projet de sa collègue sans avis du Conseil d’Etat. De plus, d’autres partenaires de la majorité ne voient pas spécialement ce blocage d’un mauvais œil… Autant dire que Good Living a du plomb dans l’aile.

    Mais cet imbroglio politique n’est pas le seul obstacle sur le chemin du nouveau RRU bruxellois. Les professionnels de la construction et de l’immobilier, ainsi que les défenseurs du patrimoine, entendent eux aussi bloquer ce texte, au point d’avoir adressé une lettre ouverte au Gouvernement bruxellois. Si la profession s’accorde à dire que le RRU actuel est obsolète et doit effectivement être revu afin de rencontrer l’objectif de créer une ville plus durable, plus verte et plus résiliente au changement climatique, elle dénonce en revanche plusieurs éléments, dont la notion de “bon aménagement des lieux”, mise à toutes les sauces dans le projet de texte et qui semble être le principal, sinon le seul critère d’appréciation.

    C’est ainsi que pour des questions aussi importantes que la démolition ou la hauteur et le nombre de niveaux des constructions par exemple, il ne s’agirait plus d’apprécier les projets urbanistiques en fonction de leur conformité à des règles exprimées en termes quantifiables (nombre, mètres, pourcentages,…) mais plutôt en fonction d’une appréciation laissée à la discrétion des autorités au cas par cas, basée sur ce seul concept de “bon aménagement des lieux” grâce auquel l’autorité aurait toujours le pouvoir du dernier mot. Or, dans un état de droit, les pouvoirs publics doivent exercer leurs fonctions selon les balises définies par un ensemble de normes juridiques. Des normes qui doivent permettre aux citoyens (à qui elles s’adressent) de prévoir les conséquences découlant de la soumission à la norme ou de sa violation.

    Pour la profession, la pratique actuelle démontre combien l’appréciation d’un concept aussi vague que le “bon aménagement des lieux” est difficile à objectiver et peut être différente et fluctuante entre les différentes personnes appelées à se prononcer sur une demande de permis tout au long de son processus de délivrance. Il n’est pas rare que pour un même projet, divers fonctionnaires d’une même administration en aient des conceptions différentes voire opposées. Et il n’est pas rare non plus que communes et Région s’opposent à ce sujet. Par conséquent, pour la plupart des acteurs de terrain (architectes, urbanistes, juristes, développeurs immobiliers, associations de défense du patrimoine,…), Good Living sera source d’allongement des procédures (d’ores et déjà trop longues à Bruxelles !), mais aussi d’insécurité juridique.

    Mais ce n’est pas tout. Les mêmes professionnels dénoncent aussi un risque d’augmentation du prix des logements en Région bruxelloise. Calibré “suivant des standards qui échappent à la réalité”, ce prix entraînerait un frein à la production de nouveaux logements ainsi qu’à la rénovation du bâti existant. Or, Bruxelles fait justement face à un manque criant de logements sur son territoire…

    Pour ces différentes raisons, la profession “demande au gouvernement de surseoir à la validation du texte afin d’assurer toute la force des principes qu’il expose et préciser des règles claires pour le futur de la Région de Bruxelles-Capitale”.

  • Voici pourquoi la hausse des loyers dope le rendement immobilier

    Aussi étonnant que cela puisse paraître, la hausse des taux n’a pas découragé les investissements dans l’immobilier, que du contraire. On vous explique pourquoi.

    Bank deal

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon la Fédération des agents immobiliers francophones de Belgique (Federia), en 2023, les loyers ont augmenté de 4,3 % en Wallonie, de 6,4 % en Flandre et de 8,6 % en Région bruxelloise (par rapport à 2022), soit davantage que l’inflation évaluée à 4,03 % l’année dernière. Des loyers en hausse qui s’expliquent par un nombre moins important de logements disponibles à la location ainsi que par le retour de nombreux ménages sur le marché locatif, dû à la hausse des taux qui les a exclus du marché d’acquisition.

    Un rendement boosté

    Rien de tel qu’un exemple pour comprendre pourquoi la hausse des loyers contribue à doper le rendement immobilier : actuellement, et sur la base de sa pratique, le consultant immobilier BuyerSide estime le rendement brut “acte en main” (à savoir le loyer annuel rapporté au prix d’achat majoré des droits d’enregistrement et des frais de notaire) à 4,5 % pour un immeuble de rapport bien situé à Bruxelles et en bon état. À prix d’achat constants, la hausse des loyers devrait rapidement hisser ce rendement initial de 4,5 % à 4,98 % sur la base de la progression moyenne des cinq communes bruxelloises les mieux situées (+ 10,6 %). Et même si les taux directeurs baissent de 1% en 2024, comme attendu par les marchés, et renchérissent mécaniquement les prix d’achat de 3,125 % (un quart de la baisse induite par la hausse de 4% des taux), le rapport resterait très favorable, à savoir de l’ordre de 4,8 % ! Une tendance qui se confirme dans les trois régions du pays.

    Pour en savoir plus sur cette thématique, n’hésitez pas à consulter l’article rédigé par notre partenaire BuyerSide sur son blog.

  • Voici le meilleur modèle économique pour mettre votre bien en location de vacances

    Jamais l’offre en logements de vacances n’a été aussi diversifiée. Les touristes sont aujourd’hui principalement confrontés aux modèles économiques adoptés par les grands sites de réservation présents sur la toile, mais il y en a d’autres qui gagnent à être connus !

    De nos jours, trois grands acteurs dominent le marché de la réservation touristique en ligne : Booking, AirBnB et Expedia. Et depuis quelques années, les deux premiers ont décidé d’explorer le core business de l’autre. C’est ainsi qu’AirBnB se développe dans le secteur de l’hôtellerie (le métier initial de Booking) tandis que Booking s’impose lentement mais sûrement sur le marché de la location entre particuliers. Actuellement, Booking compte pas moins de 2 millions d’appartements et de locations de vacances référencés ! Pour faire face à cette montée en puissance, AirBnB n’a eu d’autre choix que de réagir en investissant massivement dans l’hôtellerie. La plateforme propose désormais quelque 200.000 hôtels en plus des 4,5 millions de locations de particulier à particulier.

    Avec une offre aussi vaste et diversifiée, bon nombre de voyageurs ont pris le pli de privilégier la location entre particuliers au détriment des établissements hôteliers. Une formule qui se plie aussi bien à une occupation de courte durée qu’à une location à plus long terme. Pour autant, d’autres acteurs que ces géants de la location mettent aussi leurs services à disposition des particuliers, ce qui permet à ces derniers de proposer leur bien à la location à d’autres particuliers, que cela soit par l’intermédiaire d’un abonnement ou non. C’est notamment le cas d’Amivac, l’un des leaders de la location de vacances depuis 20 ans.

    Commissions ou abonnement ?

    Il y a encore quelques années, les sites de location de vacances entre particuliers se rémunéraient principalement grâce aux abonnements payés par les loueurs. Les montants de ces abonnements étaient souvent modestes en comparaison avec les loyers générés. Mais depuis l’arrivée d’Airbnb, le modèle à la commission, bien plus rémunérateur pour les plateformes, s’est imposé sur le marché, sans pour autant parvenir à enterrer les formules par abonnement. Chacune a ses avantages et ses inconvénients.

    Pour ce qui est du modèle avec commissions, le coût global peut varier de 10 % à plus de 20 % du loyer. Un modèle qui est bien entendu beaucoup plus rémunérateur pour les grands acteurs du secteur, d’où sa généralisation depuis une dizaine d’années. Mais malgré sa popularité et ses avantages, dont un coût proportionnel au résultat, une sécurité de paiement et une gestion automatisée de la réservation, les niveaux de commission particulièrement élevés et le peu de souplesse en matière de contrat diminuent l’intérêt économique de la location de vacances de particulier à particulier.

    Dans le modèle avec abonnement, les propriétaires paient un abonnement annuel, dont le coût est, en général, relativement modeste (une centaine d’euros par an). Le coût rapporté aux loyers générés va donc dépendre des performances de l’annonce. Pour les particuliers, ce modèle est de loin la formule la plus économique et celle qui permet d’optimiser au mieux le revenu locatif net. Il permet en plus un contact direct avec les vacanciers, est exempt de frais et préserve le propriétaire de tout désagrément grâce à des contrats types et des conditions générales claires.

    C’est ce second modèle qu’Amivac a décidé de privilégier. Un bref exemple permet de comprendre les nombreux avantages de cette formule pour les particuliers cherchant à mettre un bien sur le marché de la location touristique. Imaginons que vous proposiez une location à 100 €/nuit avec, dans le cas d’Amivac, un abonnement annuel au prix de 139 €/an qui vous permet de promouvoir votre bien sur sa plateforme. Sur un site de mise en location avec commissions, une seule semaine de mise en location à 100 €/nuit avec une commission de 20 % vous fera déjà “perdre” 140 €, soit le prix de l’abonnement sur une plateforme comme Amivac (700 € x 20 % = 140 €). Vous pouvez donc amortir un abonnement à partir d’une semaine de location et vous éviter de payer jusqu’à 20 % de commission sur chaque location, tout en bénéficiant d’une belle visibilité !

    Testez Amivac durant 14 jours gratuitement et profitez de 15 % de réduction sur votre premier abonnement avec le code RDV15 !

  • Construisez votre maison clé-sur-porte pour 266.000€ TVAC avec TEAM Construct

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  • 5 arnaques populaires à connaître quand on est locataire

    Le marché de la location est en hausse, mais hélas, il est aussi victime d’un nombre croissant d’arnaques. On vous aide à les débusquer…

    Alena Darmel

    1. Le faux propriétaire

    C’est l’une des arnaques les plus répandues en ce moment. Tout d’abord, l’arnaqueur met en ligne une annonce d’un bien très avantageux. Après un court échange de mails, le fraudeur explique qu’il est en déplacement et qu’il ne peut pas faire la visite. Celui-ci enchaîne en disant qu’il est possible d’avoir un double des clés auprès d’un ami/famille et de faire une visite. Seul bémol, pour avoir les clés, il faut payer une caution de 900 à parfois 1000 € via Western Union ou Money Gram !

    Rebroussez chemin et fuyez. Dès que l’on parle de location d’un appartement ou d’une maison, la notion d’acompte et de dépôt de garantie n’a pas lieu d’être. En aucun cas, vous ne devez verser l’argent. Méfiez-vous des paiements anonymes de type Western Union, ils sont souvent synonymes de bénéficiaire fantôme…

    2. L’état des lieux

    Si vous louez un bien, l’état des lieux est essentiel. Lors de la signature du contrat, certains bailleurs vont « omettre » de noter les défauts de l’appartement ou de la maison. Ainsi, à la fin de la location, ils conservent la garantie. De l’argent facilement gagné en somme !

    Faites le tour de la propriété et si vous voyez des imperfections et gros défauts, demandez au propriétaire de l’ajouter dans le contrat. Le bailleur insiste que cela n’est pas un problème que le défaut ne soit pas inscrit ? Méfiez-vous. L’écrit est plus important que l’oral.

    3. Les documents privés

    Vous avez trouvé la maison à louer idéale. Hop, un petit mail et le propriétaire vous demande de lui envoyer : votre carte d’identité, copies de relevés de compte bancaire, autorisation de prélèvement automatique ou encore contrat de mariage. Suspect ? Évidemment.

    Ne donnez jamais ces documents et encore moins à quelqu’un que vous ne connaissez pas. Ces arnaqueurs peuvent s’en servir et usurper votre identité. Ne tombez pas dans le panneau !

    4. La sous-location illégale

    Une autre arnaque courante dans le domaine de la location immobilière est la sous-location illégale. Vous trouvez une annonce attrayante pour un appartement ou une maison, mais une fois sur place, vous découvrez que le prétendu propriétaire n’est en réalité qu’un locataire subtilisant la propriété à son propriétaire légitime pour la sous-louer à des tiers.

    Cette pratique est non seulement trompeuse mais aussi illégale dans de nombreux cas, car les locataires n’ont souvent pas le droit de sous-louer sans le consentement écrit préalable du propriétaire. De plus, cela peut entraîner des problèmes légaux, des expulsions et la perte des sommes investies par le locataire.

    5. La location de logements inexistants

    Une arnaque de plus en plus répandue est celle de la location de logements inexistants. Les escrocs créent de fausses annonces en ligne pour des appartements ou des maisons à louer, souvent à des prix attractifs pour attirer les futurs locataires. Cependant, une fois que les personnes intéressées ont payé un acompte ou même le loyer complet, ils découvrent que le logement n’existe pas ou qu’il ne leur est pas accessible.

    Les fraudeurs peuvent utiliser des photos et des descriptions de biens immobiliers authentiques pour donner l’illusion de la légitimité.  Une fois l’argent envoyé, les escrocs disparaissent sans laisser de trace, laissant les locataires potentiels sans logement et sans recours.

    Avant de signer un contrat de location, assurez-vous de vérifier la légitimité du propriétaire en demandant des documents officiels et en effectuant des recherches approfondies sur la propriété. Il est toujours vivement conseillé de visiter l’endroit que l’on souhaite louer pour s’éviter toute mauvaise surprise. Méfiez-vous des offres trop alléchantes et des arrangements inhabituels, et ne versez jamais d’argent avant d’être sûr de la légitimité de la location. Rester vigilant vous évitera bien des ennuis.

  • En cas de décès, qu’advient-il du remboursement de votre emprunt ?

    On le sait, perdre un être cher est synonyme de choc émotionnel. Une disparition qui peut aussi rimer avec une perte de revenus voire avec le remboursement d’un emprunt qui peut rapidement peser très lourd financièrement.

    senior couple bank

    La vie peut nous réserver des bonnes comme des mauvaises surprises. L’une des plus redoutées et des plus difficiles à affronter est probablement la disparition d’un conjoint qui, outre le choc émotionnel, est aussi synonyme dans la majorité des cas d’une perte de revenu. En pareilles circonstances, le remboursement d’un emprunt peut alors peser très lourd dans le budget du conjoint survivant. Et s’il n’est malheureusement pas possible de conjurer le sort, on peut toutefois en atténuer les conséquences..

    Assurez-vous !

    Dans le cas où vous souscrivez un prêt à tempérament, il est possible de souscrire une assurance complémentaire. Moyennant une cotisation mensuelle, cette assurance permet d’éviter à vos proches d’avoir à rembourser votre prêt à tempérament au cas où vous viendriez à disparaître. Aussi bien le capital restant dû que les intérêts sont intégralement annulés si optez pour ce type de couverture. En outre, cette assurance suit le remboursement du crédit, de sorte que vous n’êtes jamais sur- ou sous-assuré.

    Le même principe s’applique dans le cas d’un prêt hypothécaire grâce à l’assurance solde restant dû. Au moment de contracter un prêt de ce type, vous pouvez vous prémunir contre un décès soudain en souscrivant une assurance décès liée à ce crédit. En cas de disparition, la compagnie d’assurances se charge de rembourser tout ou une partie du solde qui doit encore être remboursé à la banque. Si vous souscrivez une garantie complémentaire incapacité de travail, vous pouvez également vous protéger contre tout risque de maladie ou d’accident de la vie privée qui vous forcerait à cesser entièrement ou partiellement votre activité professionnelle.

    Enfin, certaines assurances décès liées à un crédit incluent une couverture en cas de décès accidentel. Dès que ce type d’assurance est demandé, vous êtes assuré si vous, ou votre partenaire, veniez à perdre la vie accidentellement, jusqu’à la signature de l’acte ou à la prise de cours de votre assurance décès liée à un crédit. De quoi permettre au conjoint survivant de poursuivre ses projets d’achat ou de construction.

    Envie d’en savoir plus sur ce type d’assurances afin de mettre votre famille à l’abri des soucis financiers au cas où vous viendriez à décéder pendant la durée de votre crédit ? N’hésitez pas à prendre contact avec un conseiller CBC en cliquant ici.

  • Mondi II : 38 appartements et 3 commerces de qualité au cœur de Tubize

    Sotraba propose un nouveau projet immobilier en plein centre de Tubize : Mondi II. Celui-ci consiste en 38 appartements et 3 commerces, le tout dans un cadre idéal.

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    Située à une vingtaine de minutes en voiture de Bruxelles, Waterloo ou encore Enghien, la ville de Tubize a la cote ! C’est cette cité brabançonne à la localisation idéale que Sotraba a choisi pour y développer son projet immobilier Mondi II. Érigé à côté de l’ancien site de la filature Dehase aujourd’hui reconverti en éco-quartier, ce projet ambitieux bénéficie d’un cahier des charges exigeant, confirmant l’engagement de Sotraba envers la qualité et le bien-être de ses clients.

    Logements et commerces

    Le projet Mondi II comprend 38 appartements et 3 commerces. Les appartements, de 1 à 3 chambres, dont plusieurs penthouses au 5e étage, comprennent une terrasse, avec un accès au parking et une cave en option. Les 63 places de stationnement sont réparties sur deux niveaux en intérieur. Leur prix est de 20.000 € HTVA avec la possibilité d’acquérir deux emplacements pour les futurs propriétaires. Sotraba a pensé à la mobilité du futur puisqu’il est possible d’opter pour une borne de recharge.

    Techniques de pointe

    Proche de toutes les commodités de la petite ville brabançonne, le projet peut compter sur les meilleurs standards techniques actuels, tels que l’isolation acoustique et thermique, la classe énergétique A, des matériaux de pointe, des espaces verts bien pensés ou encore des voiries soigneusement aménagées. En outre, les deux niveaux de commun sont pourvus de caves qui peuvent être raccordées individuellement à votre futur appartement. Leur prix, non inclus dans le prix de l’appartement, varie de 3.000 € HTVA à 5.000 € HTVA suivant leur emplacement. Enfin, outre les divers locaux techniques, emplacements de parking et caves, les niveaux 0 et 0,5 intègrent également un grand nombre d’emplacements dédiés aux vélos.

    Que vous soyez un futur occupant en quête de confort ou un investisseur qui souhaite acquérir un bien de qualité, avec Sotraba, vous êtes sûr de faire le bon choix !

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