146 millions d’euros ont été dégagés afin de moderniser les réseaux de gaz et d’électricité wallons.
Fre Sonneveld
Une enveloppe de 70 millions €, issue du plan de relance wallon, sera octroyée au gestionnaire de réseau Ores, et un montant de 76 millions €, provenant du programme européen REPowerEU, sera réparti proportionnellement entre Ores et Resa, a décidé l’exécutif wallon. Pour rappel, Ores opère quasiment dans toute la Wallonie tandis que Resa se cantonne à la région liégeoise.
Le gouvernement régional poursuit ainsi son soutien financier aux gestionnaires des réseaux de distribution de gaz et d’électricité (GRD) afin qu’ils modernisent massivement leurs réseaux pour que ceux-ci soient à même d’absorber une production plus importante d’énergies renouvelables.
Ces 146 millions € proviennent de l’enveloppe de 214 millions € dédiée aux GRD par le gouvernement wallon. Pour le ministre wallon de l’Energie Philippe Henry, cette aide, en plus d’apporter des améliorations techniques qui permettront de répondre au problème de décrochage des onduleurs, limitera aussi l’impact des investissements de modernisation coûteux sur la facture des consommateurs.
Renforcer la sécurité de son domicile passe souvent par des détails qui peuvent sembler anodins mais qui sont en réalité cruciaux : charnières, poignées, et serrures de porte. En prenant des décisions judicieuses concernant ces éléments, il est tout à fait possible d’atteindre un niveau de sécurité très élevé et de se protéger efficacement contre les effractions. Dans cette optique, voici un ensemble de conseils stratégiques pour améliorer la sécurité de vos entrées.
Opter pour un équipement sécurisé : un investissement raisonnable et efficace
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’achat de matériel de sécurité n’est pas prohibitif et représente plutôt un investissement intelligent. En effet, doter ses portes d’équipements résistants aux effractions peut significativement en augmenter la solidité. Ce type de matériel doit être envisagé comme un ajout précieux aux mesures de protection déjà en place. Il est vivement conseillé d’opter pour des poignées renforcées, équipées de plaques de protection supplémentaires.
Les garnitures de cylindre jouent un rôle essentiel en défendant le barillet contre les tentatives d’arrachement ou de perçage. Il est intéressant de noter que la longueur des vis a un impact direct sur la robustesse de l’ensemble : plus elles sont longues, plus la sécurité est visible et palpable. Cependant, dans le cas de serrures anciennes, cette mise à niveau peut s’avérer complexe, voire impossible, nécessitant parfois un remplacement complet. À défaut, l’installation d’une rosace de sécurité, qui enveloppe le cylindre, offre une alternative viable. Cette solution empêche efficacement le perçage direct du cylindre.
L’installation d’une serrure blindée se caractérise également par une plaque de verrouillage fixée solidement au cadre de la porte et munie d’un loquet qui entoure le pêne dormant. Ce dernier, élément mobile de la serrure, s’insère dans la gâche et si cette dernière ne l’englobe pas intégralement, la porte peut être plus aisément forcée.
Les avantages d’un équipement de sécurité dédié
Le choix d’équipements de sécurité adéquats se traduit par un nombre accru de points de verrouillage, ainsi qu’une protection renforcée contre les tentatives de perçage grâce à l’ajout de plaques anti-perçage. Cela permet également de contrer l’utilisation d’outils tels que le pied-de-biche.
Des normes européennes, allant de « WK 1 » à « WK 6 », permettent de classer les équipements en fonction de leur résistance aux effractions, « WK 6 » représentant le niveau de sécurité le plus élevé.
Compléments de sécurité pour les portes
Pour ceux qui désirent renforcer encore plus la sécurité de leur habitation, d’un bureau ou d’un local de stockage, il est possible d’ajouter des griffes anti-effraction. Celles-ci, placées du côté des charnières, se verrouillent automatiquement dans le cadre de la porte une fois celle-ci fermée. Les charnières à roulement à billes constituent également un excellent choix, car elles empêchent l’arrachement de la porte de ses gonds, offrant ainsi une sécurité accrue contre les intrusions.
Près de 75 % des entreprises actives dans la construction ont connu des retards au cours des derniers mois en raison des fortes pluies, a annoncé Embuild, la Fédération de la construction.
Un retard qui atteint en moyenne deux à quatre semaines ! Il va même jusqu’à dépasser les quatre semaines pour 30 % des entreprises ! Il faut dire que la Belgique est presque continuellement arrosée depuis le mois d’octobre dernier. Des intempéries qui, on s’en doute, ont un impact négatif sur l’activité dans la construction.
“En raison de l’humidité, les travaux de maçonnerie sont plus difficiles, les briques adhèrent moins bien et les mortiers sèchent moins vite. Ces derniers mois, il a aussi parfois été impossible d’assécher les puits nécessaires à la réalisation des fondations d’un chantier. De plus, un chantier de construction devient plus dangereux et moins accessible pour les collaborateurs et les machines, entre autres à cause des chemins devenus boueux à cause des pluies excessives”, explique la Fédération de la construction.
Au total, 74 % des entreprises de construction et d’installation ont pris du retard à cause de la pluie, selon une enquête menée par Embuild à laquelle ont participé 203 de ses membres. Environ 30 % des entreprises de construction tentent de rattraper le retard accumulé en recrutant des sous-traitants supplémentaires, 14 % en prestant des heures supplémentaires, tandis que 7 % n’acceptent temporairement plus de nouvelles commandes.
Quelles casseroles utiliser avec l’induction ? Quel produit d’entretien privilégier pour nettoyer vos taques ? Qu’est-ce que la fonction booster ? Voici toutes les réponses !
R Architecture
Au contraire des taques électriques conventionnelles ou de la vitrocéramique, les taques à induction reposent sur le phénomène magnétique. Tout logiquement, il faut donc utiliser des contenants qui sont eux aussi magnétiques. Pour vérifier que vos récipients soient compatibles avec l’induction, jetez un œil sous le contenant afin de voir si un logo flanquéd’un petit ressort s’y trouve. Autre possibilité : faire le test à l’aide d’un aimant. Si celui-ci reste accroché au fond du récipient, c’est qu’il est compatible avec l’induction.
En outre, de façon générale, il est toujours recommandé d’utiliser des casseroles et des poêles de bonne facture, munies d’un fond plat et suffisamment épais afin d’obtenir de bons résultats de cuisson. Une surface parfaitement plane supprime en effet les points de surchauffe où les aliments pourraient avoir tendance à coller. En outre, plus le fond du récipient est épais, mieux la chaleur est répartie et uniforme. Choisir des récipients adaptés est la clé de la réussite !
Suivez le cercle
Ce qu’on ignore souvent c’est que le diamètre des casseroles utilisées a également de l’importance. En effet, le cercle qui est dessiné sur votre table de cuisson détermine la taille minimale de la casserole que vous pouvez utiliser. Son diamètre ne peut être inférieur à 12 % de la taille de ce cercle. Donc, par exemple, une zone d’induction de 21 cm nécessitera une casserole affichant un diamètre de minimum 18 cm.
Par contre, si un double cercle est dessiné sur la table, c’est que des petites casseroles peuvent tout aussi bien fonctionner, en ce compris une petite cafetière italienne par exemple.
Boostez votre cuisson
La plupart des tables à induction intègrent aujourd’hui une fonction booster, particulièrement pratique. Celle-ci concoure à augmenter de manière considérable la puissance du foyer en très peu de temps, ce qui permet par exemple de faire bouillir une casserole d’eau en un peu moins de 3 minutes. Cette fonction doit par contre être évitée avec certains récipients, dont les cocottes en fonte émaillée. L’émail peut en effet être endommagé lorsque la montée en chaleur est trop rapide.
Notez que les taques ne chauffent que lorsqu’un récipient compatible est placé sur la zone de cuisson, ce qui les rend plus sûres que les taques traditionnelles.
Et l’entretien ?
Le nettoyage de votre table de cuisson doit bien entendu se faire une fois les plaques éteintes. Veillez aussi à attendre le refroidissement complet des zones à nettoyer. Afin d’éviter que les salissures s’accumulent, le plus facile est de nettoyer vos taques après chaque utilisation.
Pour ce faire, recourez à une microfibre ainsi qu’à un produit de nettoyage adéquat. Frottées sans tarder, les salissures s’enlèveront facilement à l’aide d’une éponge non abrasive ou d’un grattoir spécial. Dans tous les cas, évitez les gels et poudres àrécurer qui pourraient griffer votre appareil de façon irrémédiable !
Résistante, une taque à induction n’est néanmoins pas incassable ! Évitez autant que possible les frottements ainsi que les chocs avec les récipients. Mieux vaut donc vous passer d’utiliser votre table de cuisson comme plan de travail. N’y posez pas d’ustensiles qui risqueraient de la rayer, ni les couvercles chauds qui pourraient générer un effet « ventouse » au risque d’endommager la table. Enfin, assurez-vous que celle-ci soit propre avant de l’utiliser afin de ne pas cuire des salissures déjà présentes sur sa surface. Celles-ci seront alors plus difficiles à enlever.
Les taques à induction ont révolutionné la cuisine et présentent de nombreux avantages. Les quelques précautions à prendre en plus lors de leur utilisation valent bien le temps gagné en cuisson et la précision en température qu’elles offrent. En adoptant les gestes et réflexes adéquats, vous pourrez profiter pleinement de cette technologie de cuisine moderne !
Depuis ce 15 mars, Proximus distribue une nouvelle box. Celle-ci offre une expérience utilisateur enrichie, avec de nouvelles fonctionnalités telles que la technologie Wi-Fi 6. Cerise sur le gâteau: elle consomme entre 20 et 40 % d’énergie en moins !
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La nouvelle box de Proximus est plus compacte et plus performante que ses prédécesseurs, grâce à un matériel plus robuste. Elle embarque une mémoire RAM de 3 GB, intègre des puces de nouvelle génération ainsi que la dernière version du système d’exploitation Android, ce qui assure un basculement plus fluide entre les applications. De quoi améliorer l’expérience utilisateur.
Autre bonne nouvelle : l’appareil est fabriqué en plastique recyclé. Grâce à ses dimensions réduites d’environ 40 % par rapport aux modèles précédents, il contient moins de plastique, rend le transport plus durable et plus efficace et réduit la consommation d’énergie. D’une puissance de 12 W, cette box consomme entre 20 et 40 % d’électricité en moins, selon le mode d’utilisation retenu.
L’appareil propose aussi la technologie Wi-Fi 6. Grâce à celle-ci, l’utilisateur a la possibilité d’établir une connexion sans fil entre l’appareil et son réseau domestique sans avoir à recourir à un booster externe. Pour une expérience TV optimale et stable, Proximus recommande néanmoins une connexion par câble.
Pour tous les clients ?
Concrètement, la nouvelle box de Proximus est distribuée depuis le 15 mars dernier. Dans un premier temps, elle sera fournie lors de nouveaux raccordements. Par la suite, les anciens modèles seront remplacés gratuitement par le nouveau. Un remplacement qui sera progressif, les clients étant informés individuellement de l’échange au moment venu. Néanmoins, les clients qui souhaitent profiter sans plus attendre des fonctions proposées par cette nouvelle box peuvent en faire la demande via le menu Pickx de leur TV, mais aussi auprès du service clientèle ou encore dans un point de vente Proximus. Notez que dans ce cas, l’échange sera payant.
Enfin, sachez que Proximus est occupé à tester une nouvelle plateforme TV qui promet ici aussi d’améliorer l’expérience utilisateur. Cette plateforme plus moderne, plus flexible et plus évolutive apportera plusieurs améliorations concrètes pour les clients. Par exemple : si un utilisateur commence à regarder un enregistrement à la maison, il pourra le poursuivre ailleurs plus tard, sur tablette ou smartphone.
À l’avenir, les clients pourront aussi créer un profil pour chaque utilisateur, pour une expérience encore plus personnalisée. Une fois la phase de test terminée, les nouveaux clients y seront raccordés automatiquement. Les clients actuels seront quant à eux migrés vers la nouvelle plateforme en plusieurs vagues.
Depuis sa naissance en 2014, We Invest n’a eu de cesse de bousculer les codes du petit monde de l’immobilier. En misant sur l’humain et les nouvelles technologies, la scale-up est devenue un acteur incontournable sur le marché belge.
Au sortir des études, Gabrielle Amandt et Jonathan Pham se lancent dans l’immobilier. Les deux jeunes diplômés, l’une en droit, l’autre en marketing, vont mettre leurs profils atypiques au service d’une agence hors norme qui ouvre ses portes le 16 avril 2014. En quelques mois à peine, ils vont bouleverser le métier en misant sur les réseaux sociaux avec une approche personnalisée visant à améliorer l’attractivité des biens proposés, tout en optimisant le temps et les coûts consacrés au métier.
We Invest devient rapidement le poil à gratter de l’immobilier, les grands noms du secteur observant cet ovni avec intérêt et, pour certain, non sans méfiance. C’est que jusqu’alors, rares étaient les acteurs du secteur ayant élaboré une réelle philosophie technologique et orientée client, ou ayant à tout le moins œuvré à s’adapter aux changements sociétaux. Une nouvelle façon d’aborder l’immobilier voit alors le jour, ne demandant qu’à se faire connaître et à être mise au service des professionnels de l’immobilier.
Avec l’arrivée de Raphaël Mathieu en 2017, We Invest se professionnalise, tout en gagnant en notoriété. La jeune entreprise devient alors progressivement une société de services et de produits à part entière, parvenant à séduire mois après mois un réseau de franchisés toujours plus nombreux, en Belgique mais aussi désormais en France.
We Invest fête aujourd’hui son dixième anniversaire, l’occasion de rencontrer Jonathan Pham et Raphaël Mathieu pour une brève interview.
Immovlan : Quelles ont été les grandes étapes depuis la création de We Invest en 2014 ?
Raphaël Mathieu : Si entre 2014 et 2018 on s’est principalement focalisé sur Bruxelles, on s’est ensuite dirigé vers un modèle hybride mêlant agences propres et franchisées tout en explorant les autres régions du pays, avec de nouvelles agences qui ont ouvert en Brabant wallon, dans la province de Namur ainsi que dans le Hainaut. En 2019, nous avons signé un accord de collaboration avec BNP Paribas Real Estate pour promouvoir ses activités résidentielles. En 2020, nous avons opté pour un système de franchises tout en officialisant nos activités en Wallonie car nous opérions jusque-là avec des agences partenaires. L’année d’après, nous avons procédé à une première levée de fonds de 5 millions €. En 2022, nous nous sommes attaqués à la Flandre puis, en 2023, à la France. Fin de l’année dernière, nous avons terminé l’année avec un chiffre d’affaires lié aux transactions immobilières de 10 millions €. Aujourd’hui, on compte 40 agences et 250 collaborateurs.
Immovlan : Comment se porte le marché immobilier belge actuellement ?
Jonathan Pham : Il a très bien résisté en 2023 et, depuis le début de l’année, continue a légèrement progressé à la hausse. On remarque aussi que les investisseurs sont de retour sur le marché même s’ils prennent plus de temps qu’auparavant pour se décider. Le rôle de l’agent est donc plus que jamais important pour aiguiller et informer nos clients. Au sein du marché belge et désormais français, nous continuons à nous distinguer avec une offre innovante, des conseils avisés, et ce alors que nos clients, vendeurs comme acquéreurs, font de plus en plus souvent face à des questions complexes, notamment liées aux exigences environnementales. Nous mettons une série d’outils à leur disposition pour les orienter au mieux sur ces thématiques. Enfin, les baisses de taux attendues dans les mois qui viennent devraient contribuer à dynamiser un peu plus l’activité immobilière.
Immovlan : Votre équipe est-elle optimiste par rapport à l’avenir ?
Raphaël Mathieu : On se veut fondamentalement positif par rapport au futur, pour We Invest bien sûr mais également de manière générale. Un optimisme “réaliste” puisque soutenu par nos équipes mais également par les investisseurs qui nous suivent. Post-covid, une correction s’est opérée, ce qui a permis d’assainir le marché après une période d’euphorie où des biens sont partis à des prix déraisonnables tandis que le rôle de l’agent immobilier passait au second plan. Aujourd’hui, on est revenu à des niveaux nettement plus réalistes tandis que le rôle de conseiller et d’accompagnement de l’agent est à nouveau considéré à sa juste valeur. Dans le contexte actuel, la valeur ajoutée que We Invest apporte dans le métier, en termes d’accompagnement et de marketing notamment, fait la différence, ce qui permet à nos agences de sortir du lot et à We Invest de connaître une belle croissance. Celà nous conforte aussi dans les choix que nous avons faits dans le passé et dans les investissements consentis en termes de marketing et de communication notamment. Tout ce qu’on a développé porte ses fruits. Enfin, pour ce qui est de notre développement récent en France, nous pouvons là aussi faire preuve d’optimisme car on remarque que c’est un marché très traditionnel, sans compter que c’est le plus important d’Europe. La France a un réel besoin de renouveau et de dynamisme. Les solutions que nous proposons sont très bien accueillies et cela nous permet ici aussi d’être optimistes !
C’est un écueil auquel de nombreux ménages font face : suite à un heureux événement, il est souvent nécessaire de déménager pour un bien plus spacieux. Or, on n’a pas toujours les moyens de financer l’acquisition de celui-ci.
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Le manque de fonds propres constitue le principal obstacle pour ceux qui souhaitent accéder à la propriété, et ce alors que les banques sont de plus en plus réticentes à prêter. Les ménages composés de trentenaires et quarantenaires actifs sont eux aussi concernés, et ce même si les deux personnes composant le couple travaillent. Un écueil de taille sachant que ce sont justement ces ménages qui doivent faire face à un agrandissement de la famille avec un, deux, trois enfants voire plus qui vont venir grossir les rangs de la fratrie.
Beaucoup se mettent alors en quête d’une maison plus spacieuse pour loger tout ce petit monde, sauf que cela nécessite bien souvent un apport conséquent dont le ménage concerné ne dispose pas forcément. Heureusement, la start-up belge Hownvestor a décidé de faciliter la tâche à ces familles grâce à un ingénieux modèle de co-investissement.
Comment ça marche ?
Afin de faciliter la tâche aux ménages qui sont en quête d’un bien plus grand, le duo d’entrepreneurs composé de Patrick Van Overbroek et Thomas Palmblad a décidé de proposer un concept de co-investissement qui a pour mission d’épauler les familles qui sont dans ce cas de figure. Ces deux professionnels de la finance ont mis en place un système d’indivision qui leur permet de co-investir dans un projet immobilier, en apportant les fonds propres manquants (généralement de 10 à 15% de la valeur du bien convoité) et en donnant à la banque les garanties nécessaires à l’achat. Hownvestor devient ainsi co-propriétaire passif du bien concerné. Le principal propriétaire a bien entendu la possibilité de récupérer la pleine propriété de son bien par la suite en rachetant la participation prise par Hownvestor.
Combien ça coûte ?
Concrètement, pour se rémunérer, Hownvestor demande une indemnité d’occupation sous la forme d’un loyer. Sur base de la part détenue par Hownvestor dans le bien et du loyer théorique du bien, on calcule un montant. Ensuite, une fois que le ménage a remis ses finances à flot, il a la possibilité de racheter cette part. Dans les faits, Hownvestor prend un mark-up de 25%. Pour un bien d’une valeur de 100.000 € dans lequel 10.000 € ont été investis par la société, celle-ci détiendra donc une part de 12,5 % dans le bien. Une majoration qui fera office de “bénéfice” pour Hownvestor lors de la revente de sa part.
Quels avantages ?
Dans le contexte actuel qui est dominé par la frilosité, bon nombre de familles nombreuses ont de quoi être découragées. En sollicitant l’aide de Hownvestor, non seulement elles recevront un coup de pouce financier mais également l’assistance de professionnels durant le processus d’acquisition. En outre, grâce à ce modèle novateur, le ménage optimise ses chances d’obtenir un crédit et peut donc s’offrir un bien plus spacieux plus tôt que prévu tout en investissant dans son futur et celui de ses enfants. Le tout pour un coût mensuel qui ne représente qu’une faible indemnité d’occupation que le ménage ne paiera que durant la période d’indivision. Patrick Van Overbroek et Thomas Palmblad espèrent ainsi contribuer à faciliter la vie et le quotidien de nombreuses familles dans notre pays.
Savez-vous qu’en Belgique, un fonds spécial a été créé pour vous soutenir dans l’assainissement de vos sols pollués par le mazout ?
Son nom est Promaz. Ce fonds a été tout spécialement créé pour intervenir financièrement dans le cas d’une opération d’assainissement d’un sol pollué dû à une fuite d’une citerne à mazout ou d’une de ses conduites, à condition que ce carburant soit utilisé pour le chauffage de bâtiments, avec ou sans fonction résidentielle.
Le fonds Promaz est une initiative du secteur des combustibles. Celui-ci a reçu pour mission de travailler en conformité avec les dispositions d’un accord de coopération entre les autorités fédérales et régionales, sous le contrôle de la Commission d’assainissement des sols.
Un incident du genre est vite arrivé
Le fait qu’une citerne à mazout ou l’une de ses conduites, reliée à un système de chauffage central, présente une fuite est un écueil qui se produit malheureusement régulièrement. Une défectuosité a priori mineure, qui peut pourtant entraîner une pollution importante du sol sous ou autour du bâtiment concerné. Et l’assainissement d’une pollution de ce type peut s’avérer particulièrement coûteux ! C’est dans ce cadre que le fonds Promaz a été créé, avec pour mission de traiter ce type précis de pollution dans le but d’assainir le sol vicié.
Quel est le rôle de Promaz ?
Promaz intervient dans toute la Belgique en offrant une intervention financière pour tout projet d’assainissement du sol, qu’il soit entrepris par vous-même, par un professionnel ou qu’il ait déjà été effectué par le passé. Et si vous le souhaitez, Promaz peut également prendre en charge l’assainissement du sol de manière opérationnelle.
Pensez-vous faire face à une fuite de mazout ou avez-vous déjà effectué l’assainissement du sol de votre habitation ? Vous pouvez alors faire appel à ce nouveau fonds. Toute demande peut être introduite jusqu’au 28/02/2025 inclus. Une fois votre demande déclarée recevable par Promaz, la procédure d’assainissement sera entamée.Pour soumettre votre demande ou pour toute information complémentaire, cliquez ici.
C’est le président de l’Ordre des Architectes du pays, Francis Metzger, qui tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Jamais les délais d’obtention des permis d’urbanisme n’ont été aussi longs !
Le permis d’urbanisme est un document qui vous autorise à effectuer certains travaux de construction. Si vous envisagez de construire, de rénover ou encore d’agrandir une habitation, il est essentiel que vous commenciez par demander celui-ci. C’est la commune sur laquelle se situe la propriété qui a la charge de vous octroyer ou non ce permis. S’il y a encore une vingtaine d’années, quelques semaines suffisaient pour obtenir ce document, de nos jours, il faut souvent compter plusieurs mois, en particulier à Bruxelles et en Wallonie où l’on bat tous les records de lenteur. Un vrai parcours du combattant, tant pour les particuliers que pour les professionnels, comme les architectes et les promoteurs immobiliers.
Plus d’un an et demi !
Et Francis Metzger de prendre quelques exemples concrets au micro de nos confrères de Bel RTL : “C’est la catastrophe, surtout à Bruxelles”, se désole-t-il. “En Wallonie, la difficulté, c’est de rencontrer les autorités administratives.”“Bruxelles c’est le sommet absolu”, regrette le célèbre architecte. “Si je prends des villes de taille comparable comme Amsterdam, Berlin, Marseille, c’est quatre mois pour obtenir un permis d’urbanisme. Tous ceux qui ont demandé un permis récemment se rendront compte qu’à Bruxelles, on est à plus d’un an et demi pour le même type de projet !” Soit trois fois plus de temps !
And the winner is…
Le pompon en la matière, c’est ce que Francis Metzger qualifie “d’insécurité juridique”. “Au bout du compte, on n’a parfois pas son permis…” Ce qui pousse bien entendu certaines personnes à poursuivre leur projet dans l’illégalité, quitte à se régulariser par après, ou pas. “Beaucoup de gens n’ont pas les moyens d’attendre tout ce temps et vont travailler en infraction et ne vont pas demander le permis”, constate-il encore. Une administration aux performances déplorables qui, selon Metzger, finira par décourager les investisseurs de venir à Bruxelles, refroidis par une insécurité juridique endémique.
A quand le numérique ?
Une fois n’est pas coutume, l’Ordre des architectes appelle donc communes et régions à agir au plus vite, en ciblant deux priorités : le renforcement des moyens humains et financiers des instances publiques, et l’informatisation relatives aux procédures. Une des pistes avancées serait en effet la numérisation du permis à l’échelon national. Car oui, en Wallonie, on en est encore à traiter des permis papier, tout comme dans certaines communes bruxelloises ! La Flandre, de son côté, est passée au numérique depuis belle lurette, et on n’y connaît pas des délais d’attente qui dépassent parfois les 30 mois comme c’est le cas dans la capitale et au sud du pays…
Il suffit parfois d’un petit rien pour complètement métamorphoser l’atmosphère qui règne au sein d’une pièce de la maison. Voici 5 astuces qui vous y aideront.
Luca de Moura
Un nouveau luminaire
Souvent négligé, l’éclairage a une importance fondamentale dans la maison. Il peut en effet contribuer à créer une atmosphère chaleureuse et conviviale tout comme à ruiner cette dernière si la température des ampoules est trop froide ou si leur puissance est trop importante. Faites-vous conseiller auprès d’une enseigne spécialisée en la matière et profitez-en pour choisir un nouveau luminaire qui contribuera à mettre la pièce concernée en valeur ! Ils vous orienteront en fonction de votre hauteur de plafond et de vos goûts. Si vous êtes plus friand de lumières tamisées, privilégiez des sources d’éclairage tel que des lampes à pied ou des lampes murales, afin d’éviter la lumière qui vient du plafond et ne laisse aucune zone d’ombre. Les guirlandes LED très à la mode aujourd’hui peuvent se coller à différents endroits pour une ambiance sympa, et il est possible d’en régler la couleur.
Un papier peint original
Vous ne pouvez plus voir en peinture les quatre murs blancs de votre pièce de séjour ? Alors optez pour un papier peint original qui vous permettra d’habiller ceux-ci ! Cet élément de décoration peut en effet contribuer à sublimer un intérieur de manière remarquable à condition que le motif s’intègre harmonieusement dans la pièce concernée. Judicieusement choisi, un papier peint sera aussi un bon moyen d’exprimer vos goûts tout en rehaussant votre intérieur d’une touche d’originalité. Vous pouvez d’ailleurs ne tapisser qu’un seul mur, histoire de le différencier des autres. Optez pour un papier peint plus foncé qui donnera une note élégante, ou choisissez en un coloré qui apportera du peps à votre pièce.
Miroir miroir
Comme l’éclairage et le papier peint, les miroirs sont des accessoires qui vont vous permettre de maximiser le volume d’une pièce tout en décuplant l’éclairage et en habillant vos murs de manière simple mais efficace. Un choix qui se révèle généralement payant, particulièrement dans le cas d’un logement aux dimensions réduites. Même dans les grandes pièces ou dans celles disposant d’un haut plafond, le miroir permettra ici aussi d’apporter une dimension à la fois moderne et chic. Le choix de la placer ou non dans un cadre fait également toute la différence.
Le coup de pouce de Dame Nature
Qu’il s’agisse de plantes en pots disposées ci-et-là ou d’un mur végétal, une touche de verdure au sein d’une pièce est toujours une excellente idée. Les bienfaits des plantes dans notre environnement ne sont plus à prouver tandis que leur dimension esthétique est elle aussi une bonne raison de les intégrer dans un espace de vie, surtout si celui-ci vous paraît tristounet. Si vous n’avez pas la main vertes, les plantes dites « grasses » ainsi que les cactus seront très faciles à entretenir et nécessitent peu d’eau.
T’as le look…
Enfin, autre option qui ne nécessitera pas la mise en œuvre d’un chantier titanesque : recouvrir vos plinthes et portes d’une nouvelle couleur. Celles-ci peuvent en effet se transformer en alliées de poids lorsqu’il s’agit d’offrir un nouveau look à votre pièce de vie. Il vous suffira d’opter pour une couleur harmonieuse et d’ensuite sortir rouleaux et pinceaux pour en recouvrir les éléments concernés. Vous le constaterez, il est facile d’offrir un peu de caractère et d’originalité à un intérieur en choisissant une teinte qui se marie bien avec les meubles et objets qui occupent la pièce en question. A l’inverse, revenir à l’aspect naturel du bois peut aussi être un parti pris tout aussi efficace en fonction de votre mobilier. Dernière alternative, changer tout simplement les poignées de porte. Une petite modification facile, mais qui peut avoir de gros effets ! Le doré ou le noir par exemple, donneront un résultat qui ne passera pas inaperçu.