Auteur : pbs

  • Investir en Côte d’Opale : voici tout ce qu’il faut savoir

    Destination touristique qui a… la cote, la Côte d’Opale séduit les amateurs de nature préservée grâce à des sites emblématiques comme le Cap Gris-Nez, le Cap Blanc-Nez ou encore les falaises d’Équihen. Une région où il fait bon investir !

    Cote d'opale
    Iris

    Depuis la crise sanitaire et son confinement, nombreux sont ceux qui ont cherché à s’évader non loin de chez eux, à commencer par les citadins. Les Belges n’ont pas échappé à ce phénomène, qu’ils se soient tournés vers l’Ardenne ou plutôt vers la côte. Et en la matière, la Côte d’Opale rencontre un succès qui ne fait que croître auprès de nos concitoyens, attirés par des prix plus démocratiques que ceux pratiqués sur le littoral belge, mais aussi par la beauté d’une nature préservée et d’une côte jalonnée de sites naturels remarquables.

    C’est donc sans surprise que de nombreux Belges souhaitent investir dans la région, de quoi susciter plusieurs questions que nous avons choisi d’aborder avec un notaire français.

    1. Pour le financement, faut-il choisir une banque belge ou française ?

    De manière générale, rien ne vous interdit de passer par une banque locale si vous achetez à l’étranger, et donc, dans le cas de la Côte d’Opale, de passer par un organisme français. Mais si vous ne disposez d’aucun revenu domicilié sur un compte dans le pays où vous souhaitez acquérir un bien, y obtenir un crédit hypothécaire risque d’être compliqué. Il est néanmoins possible de prendre une hypothèque en Belgique, en guise de garantie. En tant qu’acquéreur, il est aussi recommandé de se faire accompagner par un expert local comme un courtier.

    2. Quid des frais annexes et des assurances en vigueur en France ?

    Lors d’un achat à l’étranger, on cherche bien entendu à estimer les coûts additionnels liés à l’achat, tels que les frais de notaire, les taxes locales ou encore les droits d’enregistrement. Pour ce qui est de la France, et plus spécifiquement de la Côte d’Opale, ces frais “tout compris” tournent généralement autour de 2,5 % du prix d’achat. Pour ce qui est des assurances, il convient, en tant qu’acquéreur, de disposer à la remise des clés d’une assurance habitation et, si l’on compte mettre le bien en location, d’une assurance propriétaire non-occupant.

    3. Faire appel à un notaire est-il impératif et comment choisir celui-ci ?

    L’acquéreur doit se faire représenter par un notaire. Ce dernier peut néanmoins être celui d’une agence immobilière par exemple, ce qui a tendance à faciliter le traitement du dossier. Si l’acquéreur souhaite mettre son bien en location, outre les aspects liés aux assurances, il doit aussi veiller à disposer du diagnostic énergétique (DPE) lié au bien. Dans le cas d’un bien neuf, ce DPE est remis à la réception de celui-ci. Enfin, il n’est pas nécessaire d’être domicilié en France pour y acquérir un bien immobilier.

    4. Comment gérer facilement la gestion locative de son bien ?

    La gestion locative comprend l’ensemble des activités liées à l’administration d’un bien immobilier en location, qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement. Ces activités nécessitent une parfaite maîtrise des lois locales qui encadrent l’immobilier et la location. Les propriétaires qui ne désirent pas s’en occuper par manque de temps, de connaissances ou encore à cause d’un éloignement trop important peuvent confier cette mission à un gestionnaire locatif, par l’intermédiaire d’un mandat de gestion. Ce mandataire peut être une agence immobilière possédant un service de gestion ad hoc, une société spécialisée dans cette activité ou encore un notaire. De manière générale, il faut généralement compter 6 % de frais de gestion perçus sur le montant des loyers.

    5. Quid des taxes locales ? Est-on taxé directement sur les loyers perçus ?

    En France, il n’est pas possible de ne pas payer d’impôts sur les revenus locatifs car les loyers sont considérés comme des revenus imposables. Cependant, cette règle souffre d’une exception dans le cadre de la location d’une pièce de votre résidence principale : si vous la louez de manière occasionnelle et que vos revenus ne dépassent pas 760 €/an, vous serez exonéré d’impôts sur les revenus locatifs, et si vous la louez habituellement mais à un loyer qualifié de “raisonnable”, à savoir 192 € par m2 en Île de France et 142 € par m2 dans les autres régions. Si vous comptez mettre votre bien acquis en Côte d’Opale en location, il convient donc de déposer une “liasse fiscale” (une déclaration d’impôt) au Service français des impôts des particuliers non-résidents. Enfin, pour ce qui est des implications fiscales et des taxes foncières, vous pouvez estimer celles-ci à environ 1.000-1.500 €/an.

  • Créer un étang dans le jardin : faut-il un permis ? 5 points d’attention !

    Vous avez décidé d’installer un étang dans votre jardin afin d’égayer celui-ci tout en favorisant la biodiversité ? C’est une excellente idée ! Mais faut-il du coup solliciter un permis d’urbanisme auprès de votre commune ?

    Beautiful designed garden fish pond with water-lily in a well cared backyard gardening background

    Ces dernières décennies, le nombre d’étangs créés dans le pays a considérablement augmenté. Si certains d’entre eux participent à la biodiversité locale, d’autres peuvent en revanche engendrer des effets pervers sur l’environnement. Avant de prendre la décision d’installer une pièce d’eau dans votre jardin, il convient donc de se poser plusieurs questions à commencer par les objectifs poursuivis : est-ce pour faire comme mon voisin, pour augmenter la biodiversité de votre jardin, dans un but esthétique ou encore pour épurer des eaux ? Autre question importante : le site que j’ai choisi pour créer l’étang convient-il ? Enfin, il faut aussi se demander si l’approvisionnement en eau de l’étang sera assuré en permanence et si la nature du sol y est favorable.

    Mais ce n’est pas tout. En effet, pour installer un étang, il faut également respecter des dispositions légales (notamment en matière d’urbanisme et de prise/de rejet d’eau) ainsi que des procédures administratives, sans parler des contraintes d’ordre technique et biologique.

    Faut-il un permis d’urbanisme ?

    De manière générale, pour autant que le relief du sol ne subisse pas de modification sensible et qu’on se situe dans un jardin domestique, la création d’une pièce d’eau d’une

    superficie maximale au sol de 15 m² est dispensée du permis d’urbanisme. Les législations wallonne, flamande et bruxelloise ajoutent néanmoins certaines nuances à cette règle générale. N’hésitez pas à les consulter en fonction de votre lieu de résidence.

    5 points d’attention

    1. La réussite tant esthétique qu’écologique d’une mare dépend beaucoup de sa localisation et du soin apporté à son aménagement. Visez une superficie entre 2 et 25 m², comprenant 2 à 3 m de végétation basse aux abords. Privilégiez une zone ensoleillée, dégagée d’arbres et qui n’est pas en pente. On optera idéalement pour le point le plus bas du terrain, situé de préférence à proximité d’un site d’approvisionnement en eau de pluie.
    2. On n’installe pas un étang dans son jardin à n’importe quel moment de l’année ! En effet, en termes de planning, mieux vaut s’y mettre en septembre-octobre, en dehors des périodes de gel. Cela peut néanmoins se faire jusqu’en février s’il ne gèle pas, mais jamais au printemps car c’est une période de reproduction et de nidification.
    3. Il faut aussi penser à l’étanchéité de la zone concernée. En effet, la plupart des sols sont naturellement drainants, l’eau s’y infiltrant à une vitesse variable. Plus il est sableux, plus l’infiltration sera rapide. Il est donc souvent nécessaire d’étanchéifier le fond de la mare pour garantir la présence d’eau en permanence.
    4. Pour remplir la mare, privilégiez de l’eau de pluie, provenant d’une citerne ou directement via la toiture ou la terrasse. Évitez les eaux de voiries et des allées de garage, souvent chargées en hydrocarbures !
    5. Enfin, pensez à la végétation autour de votre pièce d’eau. Vous pouvez choisir vos futures plantations en fonction des espèces animales potentiellement présentes dans la zone. Veillez aussi à ne pas introduire d’espèces exotiques envahissantes qui pourraient complètement déséquilibrer la flore locale !
  • Aménager une chambre d’enfant : astuces pratiques et créatives

    Rien ne ressemble moins à une chambre d’enfant qu’une autre chambre d’enfant et ce n’est pas seulement une question d’âge…

    Aménager une chambre pour vos boutchous n’a rien d’un jeu d’enfant. Quand les besoins et les envies de vos bambins évoluent, leur environnement familier se doit de leur emboîter le pas. Le lit grandit, un bureau vient remplacer la table à langer et, surtout, les goûts et les couleurs gagnent en caractère, témoignant d’une personnalité en devenir. Par ailleurs, l’espace dont on dispose est souvent compté et trouver le bon agencement devient vite un véritable casse-tête.

    Le lit en hauteur et le mobilier évolutif

    Organiser une chambre d’enfant pour qu’elle grandisse au même rythme que son occupant et que ce dernier continue à s’y sentir bien, année après année, demande quelques aménagements de base. Les spécialistes recommandent d’opter d’emblée pour un lit en hauteur, qui dégage un maximum d’espace. Entre 4 et 8 ans, on part sur une hauteur de 130 cm, qui permet d’aménager des rangements sous la couche mais qui autorise les câlins. Au-delà, on opte pour le lit en mezzanine qui, par son caractère indépendant et un brin aventurier, ravit les plus jeunes. De plus, il permet aisément d’installer une table à bricolage, un coin cozy ou même un cabane en dessous de celui-ci. Par ailleurs, on prévoit des rangements et compartiments en pagaille, qu’on rend accessibles au maître ou la maîtresse des lieux, quelle que soit sa taille. C’est une excellente façon d’encourager l’autonomie en matière de rangement dès le plus jeune âge. Le mobilier évolutif est le meilleur ami de la chambre d’enfant.

    Décorer une chambre d'enfant
    Max Vakhtbovycn

    Enfin, et c’est loin d’être accessoire, il s’agit de faire en sorte que votre chérubin se sente bien en ces lieux ! Hors de question donc de ménager ses efforts : un tapis en guise d’espace de jeu, quelques coussins pour un coin lecture, une table à dessin, un bureau adapté… Mais dans tous les cas, le mot d’ordre, c’est de respecter sa personnalité. Il se peut que ses goûts aillent à l’encontre des vôtres, voire que l’aménagement de sa chambre tel qu’il l’a conçu ne finisse jamais entre les pages d’un magazine déco mais on s’en fiche ! L’important, c’est que ça lui plaise à lui. S’il se sent dans sa chambre comme dans une bulle, un cocon douillet, le pari est gagné.

    Laisser s’exprimer la créativité

    Faire évoluer une chambre d’enfant ne doit pas forcément coûter une fortune. On privilégie les petits détails qui changent tout. La peinture aimantée peut se révéler votre meilleure alliée. Elle permet d’accrocher, au gré des envies et des passions de votre bambin, des aimants décoratifs et d’en changer aussi souvent que ça lui plaira. La peinture aimantée existe en plusieurs teintes, et rien ne vous empêche de repasser avec une couche de la couleur de votre choix. Elle ne perdra rien de ses propriétés. Les autocollants de taille XXL sont du même ordre d’esprit, ils peuvent littéralement métamorphoser une chambre. De nombreuses marques proposent aussi des posters géants, qui peuvent aller jusqu’à tapisser un mur dans son intégralité.

    Une chambre-galerie

    Vous pouvez également vous instituer galeriste et créer des « expositions temporaires » qui tournent autour des centres intérêts de votre rejeton. On accroche au mur des fils de fer tout fins, ou on fait traverser la chambre de cordes à linge. On peut également peindre l’une des parois avec de la peinture tableau, pour que la créativité de votre Picasso en herbe puisse s’exprimer au quotidien. Il existe par ailleurs du papier peint « à colorier » mais, en cas de dépassement, il ne faudra pas songer à le remplacer tous les jours.

  • 2 questions essentielles à se poser avant d’emménager son grenier

    Peut-être manquez-vous d’espace dans votre maison et envisagez-vous de transformer votre grenier en une pièce à vivre. Si c’est le cas, il y a quelques précautions à prendre avant de vous lancer dans les travaux…

    Questions à se poser avant d'emménager son grenier
    Max Vakhtbovycn

    Dans une maison, il arrive que l’on ait des espaces inexploités, à l’image d’un grenier, par exemple. On se dit qu’on le transformerait bien en une chambre supplémentaire, en un espace de jeux pour les enfants ou même en un bureau ou un dressing… L’idée peut paraître alléchante sur le papier, mais en pratique, ce n’est jamais simple. Il y a en effet des démarches administratives et techniques à entreprendre si on veut faire cela correctement, dans les règles de l’art et en toute sécurité.

    Faut-il un permis d’urbanisme ?

    Il se fait que vous allez modifier l’affectation d’un espace intérieur et donc, il convient d’introduire une demande de permis d’urbanisme. Si vous ne le faites pas, vous risquez une amende car vous commettez une infraction administrative. Alors, d’accord, le risque d’inspection est minime mais cela peut poser des problèmes en matière d’assurance, par exemple, ou lors de la vente de la maison quand le nouvel acquéreur risque de constater la non-conformité du bâtiment par rapport à l’acte notarial.

    Ceci dit, les démarches peuvent être entreprises par l’entrepreneur qui va effectuer les travaux. Si vous faites appel à une entreprise, elle devra d’ailleurs s’assurer, avant de démarrer les travaux, que le permis a bien été délivré.

    Est-ce faisable techniquement ?

    Diverses vérifications techniques doivent également être entreprises avant de rénover un grenier car des travaux dans les combles peuvent avoir un impact sur la stabilité du bâtiment : des modifications de la structure comportent en effet des risques de fragilisation qu’il ne faut pas négliger. A vous donc (par l’intermédiaire de l’entreprise qui fait les travaux) de vérifier, par exemple, l’état de la charpente et du revêtement de la toiture, l’état du plancher, la résistance du sol en fonction de la nouvelle utilisation prévue ou encore, la présence ou non d’une bonne isolation.

    Viennent alors toute une série de travaux pour aménager ce nouvel espace comme la pose d’un escalier pour accéder au grenier s’il n’est pas déjà existant ou s’il est trop vieillot, l’isolation phonique et/ou thermique du sol, des travaux d’électricité, de chauffage, éventuellement la pose de fenêtres de toit pour la luminosité… Bref, ce ne sont pas des travaux à prendre à la légère, le tout peut s’avérer conséquent. Réfléchissez-y sérieusement avant de vous lancer…

  • Quel lave-vaisselle choisir : guide complet pour trouver le bon modèle

    Le lave-vaisselle, le meilleur ami du ménage ? Oui ! Mais quel type choisir ? Voici quelques conseils avisés pour faire le meilleur choix.

    Comment choisir son lave-vaisselle.
    Castorlystock

    Lave-vaisselle intégré à la cuisine

    Préférez-vous un lave-vaisselle discret et invisible en cuisine ? Choisissez un modèle encastrable. Si par contre, la vue du lave-vaisselle ne vous dérange pas et que vous pouvez le poser n’importe où, choisissez un exemplaire en pose libre.

    Un lave-vaisselle encastré épouse à merveille le style de la cuisine. Sur la face avant est apposé un panneau décoratif ; le haut et les flancs sont habillés de tôle simple, mais ce n’est pas un problème puisqu’on ne les voit pas. Seul le panneau de commande est visible de l’extérieur, et encore : sur les modèles totalement encastrés, il n’est apparent que si l’on ouvre la porte du lave-vaisselle. Si c’est l’option parfaite pour tous ceux qui exècrent l’aspect des appareils électroménagers dans leur cuisine, c’est aussi une option qui peut se révéler onéreuse.

    Lave-vaisselle en pose libre

    Un lave-vaisselle en pose libre est placé où l’on veut : à côté d’autres gros électroménagers ou d’une armoire. Ou encore dans une autre pièce, la buanderie par exemple. Cette option est particulièrement pratique si la cuisine est exiguë. Ces appareils sont peints et joliment présentés sur 4 faces (haut compris), mais surtout, ils ont l’avantage de coûter généralement nettement moins cher que les modèles encastrés.

    Lave-vaisselle à glisser

    Le 3e type de lave-vaisselle est celui qui vient se glisser sous un plan de travail ou un évier. Il est donc dépourvu de panneau supérieur. Cette solution réunit en fait les avantages des deux options précédentes : il peut-être placé  à différents endroits et il est moins voyant. Parfois, un fin panneau de porte peut tout de même se glisser au dessus d’un cadre. Cela dit, un lave-vaisselle en pose libre peut tout à fait prendre place sous un plan de travail : il suffit d’enlever le panneau supérieur. C’est pratique et moins cher !

    Lave-vaisselle étroit

    La largeur standard des lave-vaisselles est fixée à 60 cm. Vous désirez un modèle plus étroit ? C’est possible ! Il en existe dans les 3 variantes (encastré, pose libre ou à glisser) : ils sont tout aussi efficaces que les autres, tout en ayant l’avantage d’être moins encombrants.

    Appareils compacts

    Un lave-vaisselle compact & modular s’intègre dans les cuisines les plus étriquées. Il sera même possible de les mettre dans les kots et petits studios ! Bref, vous n’avez plus d’excuse pour ne pas vous équiper d’un appareil moderne et facile d’emploi. Encastré ou non, vous économisez beaucoup de place et de temps, sans lésiner sur les performances ni le confort. Bien-sûr ils peuvent contenir une quantité de vaisselle moins importante, ils sont donc plus indiqués pour les personnes seules ou les couples, mais ils lavent tout aussi bien !

    Autres aspects à vérifier

    Bien entendu, on ne choisit pas seulement un lave-vaisselle en seulement en fonction des possibilités de pose. Bien d’autres critères entrent en ligne de compte : la rapidité du cycle, le volume disponible, les performances de lavage, la consommation énergétique, le design, le choix des matériaux, les accessoires, etc. Faites-vous conseiller correctement par un expert.

    Performances de lavage

    Les performances de lavage varient d’un modèle à l’autre. Certains lave-vaisselles offrent des programmes intensifs pour les casseroles et poêles très sales, tandis que d’autres disposent de cycles économiques pour un lavage plus écologique.

    Consommation d’eau et d’énergie

    Optez pour un modèle économe en énergie et en eau. Les lave-vaisselles les plus performants sont classés A+++, garantissant une faible consommation et des économies sur vos factures d’électricité et d’eau.

    Capacité et agencement intérieur

    La capacité est un critère clé. Les lave-vaisselles varient généralement de 9 à 15 couverts. L’agencement intérieur, comme les paniers modulables, peut également faciliter le rangement de la vaisselle.

    Niveaux de bruit

    Le niveau sonore est important, surtout si votre cuisine est ouverte sur le salon. Les modèles silencieux (environ 40 dB) sont préférables pour éviter les nuisances sonores.

  • Ce nouveau site web permet de découvrir les perles de l’Art nouveau

    La Belgique regorge de bâtiments et de maisons remarquables de style Art nouveau. Un nouveau site répertorie ces trésors architecturaux dans tout le pays.

    Visit.Brussels Jean-Paul remy

    Les passionnés d’Art nouveau peuvent désormais trouver facilement tous les immeubles remarquables édifiés dans ce style, aussi bien à Bruxelles, qu’à Anvers, Liège, Gand, Charleroi, Courtrai, ou encore Mons, mais aussi dans bien d’autres villes à travers le pays grâce à un tout nouveau site : www.admirable-artnouveau.be.

    Cette plateforme offre une expérience immersive qui permet de découvrir, confortablement installé chez soi mais aussi en rue, le nez en l’air et le smartphone à la main, plus de 200 édifices exceptionnels signés par des architectes comme Horta, Blerot, Strauven, Dewin, Hankar, Cauchie, Privat-Lievemont à Bruxelles, mais aussi De Weerdt, Bascourt, Van Averbeeke à Anvers, Rogister, Jaspar, Sérurier-Bovy à Liège ou encore De Keyser, Helman, Van Hoecke-Delmarle à Gand. Et ce n’est là qu’un petit échantillon !

    Ce projet, initié par Jean-Jacques et Brigitte Evrard-Lauwereins, designers de formation et fervents amoureux de l’architecture belge, est une extension de leur précédent site intitulé www.admirable-facades.brussels, dédié à l’architecture bruxelloise du 20e siècle. Grâce à ce nouvel outil facile à utiliser et richement documenté, les visiteurs auront accès à des descriptions détaillées, des adresses, des informations sur le style, les architectes et les détails remarquables de chaque édifice Art nouveau répertorié, accompagnés de nombreuses photos très récentes et pour beaucoup, d’images d’époque.

  • Revenus locatifs : voici les partis qui veulent les taxer

    En Belgique, de manière générale, les revenus locatifs ne sont pas taxés, sauf lorsqu’il s’agit d’un bien meublé ou d’une location à un professionnel qui exerce sa profession dans ledit bien. Mais les élections qui approchent pourraient bien changer la donne…

    à louer

    Si l’on compare la Belgique aux autres pays de l’Union européenne, notre régime fiscal est plutôt favorable aux propriétaires. Pour rappel, selon une enquête menée en 2020 et 2021 par la Banque nationale de Belgique, 72 % des ménages belges sont propriétaires de leur logement. Et plus d’un propriétaire immobilier résidentiel sur six possède au moins une maison ou un appartement en plus de son habitation, à titre d’investissement ou comme résidence secondaire. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que notre système fiscal prenne soin des propriétaires.

    La question est souvent revenue sur le devant de la scène durant la campagne électorale : faut-il taxer les revenus locatifs ? Pour rappel, à l’heure actuelle, les revenus issus de la location à une personne physique (que l’on appelle “loyers réels”) sont taxés sur la base du revenu cadastral (RC). Dans ce cas de figure, on est donc imposé sur la base du montant du RC, indexé et majoré de 40 %. Et comme les revenus immobiliers sont ajoutés aux autres revenus, ils sont donc taxés au taux marginal, c’est-à-dire au taux d’imposition le plus élevé.

    Ne rien changer, taxer ou encadrer ?

    Avec la campagne électorale qui bat son plein, les idées fusent. Et en la matière, certaines formations politiques souhaitent revoir le système actuel en taxant directement les loyers réels. C’est le cas d’Ecolo, du PTB et de Défi.

    • Plus précisément, les communistes veulent intégrer les loyers dans une taxation progressive combinant travail et capital,
    • tandis que Défi propose un forfait libératoire à 25 %, valable pour tous les revenus du capital.
    • Enfin, les verts planchent encore à la meilleure manière de procéder, tout en allant bel et bien dans la même direction que le PTB et Défi.

    Du côté des Engagés, on privilégie un certain flou artistique, en expliquant qu’ils plaident pour une globalisation des revenus mais sans prendre les loyers réels en compte, et ce dans le but de maintenir l’équilibre du marché locatif. Reste le cas des libéraux : au MR, la question est purement et simplement passée sous silence, puisqu’il n’est pas envisagé de taxer les loyers en question.

  • Crédence : 5 alternatives au carrelage, faciles à installer

    Toute cuisine contemporaine se doit de comporter une crédence. Celle-ci permet en de effet protéger les murs des éclaboussures, des taches ou encore de l’humidité qui se dégage des casseroles lorsqu’on cuisine. Mais qu’on se le dise, celle-ci ne doit pas forcément être constituée de carrelage.

    credenza

    S’il y a bien une pièce de la maison qui est susceptible d’être salie, c’est bien la cuisine et particulièrement les surfaces proches de la table de cuisson. C’est pour cette raison qu’il convient d’opter pour une crédence facile à nettoyer, constituée d’un matériau à la fois robuste, lisse et résistant aussi bien à l’acidité de la tomate qu’aux éclaboussures de matière grasse. Et si beaucoup pensent au carrelage lorsqu’il s’agit de choisir un matériau, d’autres options tout aussi crédibles existent aussi !

    Le verre trempé

    Le verre trempé est une option à la fois élégante et moderne pour une crédence de cuisine. Il est durable, facile à nettoyer et offre une surface lisse et brillante qui peut décupler la sensation d’espace dans la pièce.

    L’acier inoxydable

    L’acier inoxydable est résistant à la chaleur, à l’humidité ainsi qu’aux taches, ce qui en fait un choix incontournable aussi bien dans une cuisine professionnelle qu’au sein d’une cuisine domestique moderne. Il offrira en outre un aspect industriel et contemporain à la pièce.

    Le bois stratifié

    Les panneaux de bois stratifié peuvent contribuer à ajouter une touche chaleureuse et un rien rustique à l’atmosphère qui règne dans la cuisine. Ils sont disponibles dans une large variété de finitions ce qui permet de facilement jeter son dévolu sur un colori qui correspondra au style de la cuisine.

    Le plexiglas

    Le plexiglas ou une plaque en acrylique offre une bonne alternative au verre trempé, tant en ce qui concerne votre budget que la facilité d’installation. Une option démocratique, disponible dans une large palette de coloris et qui pourra être facilement nettoyée à l’aide d’un simple chiffon humide.

    Le métal embossé

    Les panneaux de métal embossé, comme le cuivre, l’étain ou encore l’aluminium, peuvent eux aussi contribuer à apporter une touche de caractère et d’originalité à votre cuisine. Ils sont disponibles dans une variété de motifs et de finitions qui pourront contribuer à créer une ambiance tantôt vintage, tantôt contemporaine.

  • Vaut-il mieux louer un bureau ou un espace de coworking ? Nous avons fait le calcul pour vous !

    Votre activité professionnelle prend son envol et votre domicile ne dispose pas d’une pièce à même d’accueillir votre bureau ? Plusieurs solutions s’offrent à vous.

    coworking
    Shridhar Gupta

    Dans les villes, les espaces de coworking ont le vent en poupe. Une offre qui s’est accrue au tournant de la décennie avec les nouvelles tendances de travail qui ont découlé de la crise sanitaire. Il faut dire que ces espaces de travail offrent de nombreux avantages, à commencer par une certaine flexibilité et de nombreux services annexes. En plus d’évoluer dans un cadre de travail doté de tous les équipements nécessaires (connexion internet, imprimantes, salles de réunion, espaces de détente,…) tout en ayant la possibilité d’élargir votre réseau grâce à la présence de nombreux “collègues”, les espaces de coworking permettent aussi d’optimiser vos coûts grâce à des offres sur mesure. Une solution idéale pour les indépendants, les jeunes entrepreneurs et les entreprises qui ne souhaitent pas investir dans leurs propres locaux ni s’engager sur des baux classiques à long terme. Pour autant, les espaces de coworking sont-ils la panacée face à la location classique d’un bureau ? Faisons le calcul !

    Pour en avoir le cœur net, nous avons pris l’exemple d’un bureau à Bruxelles, avec un loyer mensuel de 800 €, et d’un espace de coworking au tarif de 329 € par mois et par personne.

     COÛT MENSUEL HTVA
     BureauCo-work
    Loyers800 €329 € par personne
    Part dans le précompte immobilier60 €
    Charges énergie130 €
    Taxes poubelles110 €
    Amortissement matériel (bureaux, imprimante50 €
    Assurance25 €
       
     1.175 €329 € par personne

    Sur cette base, on peut déduire que jusqu’à 3 personnes (329 € x 3 = 987 €), il est plus intéressant de prendre un espace de coworking. En revanche, au-delà de 3 personnes (329 € x 4 = 1.316 €), et si la surface du bureau qui est loué le permet, il est plus intéressant d’opter pour une location classique.

    Une formule all-inclusive

    Au-delà de la question du coût et des avantages en termes de flexibilité, les espaces de coworking se distinguent donc aussi par leur côté “tout inclus”. En effet, la majorité des coworks, non contents de jouir d’un excellent emplacement, fournissent aussi des solutions de travail clés en main, flexibles et sans durée minimale d’engagement, le tout complété par des prestations de qualité (Wi-Fi, boissons à volonté, ménage quotidien, locaux climatisés,…). Un bel avantage sachant que lorsqu’on démarre une activité, tout peut aller très vite. Il n’y a donc pas de temps à perdre à chercher des locaux, à les aménager, à payer l’eau, l’électricité et le chauffage, ou encore à gérer les prestataires de services et de fournitures. Enfin, avec un espace de coworking, vous n’êtes pas lié par un contrat de bail puisque vous vous engagez pour la durée de votre choix. Il est même bien souvent possible de louer un espace de travail pour un mois, une semaine voire une journée ! En outre, vous allouez votre capital au développement de votre activité et non pas dans du mobilier et dans l’aménagement de locaux. Un autre avantage de poids pour les startups et les indépendants !

    Pour contextualiser cet article, nous avons pris l’exemple des tarifs appliqués par le coworking Le Petit Bureau situé à Uccle en région bruxelloise.

  • À la recherche d’un expert immobilier ? Pensez local !

    Dans le cadre d’un état des lieux, d’une réception provisoire ou encore d’une estimation vous vous mettez à la recherche d’un expert immobilier. Savez-vous qu’il existe un outil vous permettant de trouver le professionnel que vous cherchez à deux pas de chez vous ?

    visiting a house

    Nombreux sont les Belges qui sont à la recherche d’un expert dans le domaine de l’immobilier. C’est que les missions assurées par ces professionnels sont nombreuses : estimation du prix d’achat ou de location d’un bien (terrain, immeuble, appartement, maison, local industriel, fonds de commerce…), réception d’un appartement ou d’une maison neuve ou encore états des lieux, la profession d’expert immobilier exige d’avoir de multiples cordes à son arc ! Outre un sens aigu de l’observation, des capacités de synthèse et des qualités rédactionnelles, il doit également être à même de pouvoir analyser des documents dont les composantes sont très diverses (techniques, juridiques, fiscales et urbanistiques notamment). Enfin, dans le cadre de ses missions d’expertise, il est amené à effectuer de fréquents déplacements aux quatre coins de la région dans laquelle il opère.

    C’est que pour estimer un bien, l’expert doit d’abord se rendre sur place afin d’apprécier le bien à évaluer avant d’étudier le dossier. Pour établir son estimation, il prendra en compte de multiples critères parmi lesquels la superficie, l’emplacement, le type et la nature de la construction, le marché local ou encore la situation et l’état des risques naturels. Les états des lieux nécessitent eux aussi de se rendre sur place, qu’il s’agisse d’un document d’entrée, de sortie ou encore avant une phase de travaux. L’occasion de rappeler que l’état des lieux est obligatoire et doit être enregistré avec le bail.

    Sollicitez les pros de votre région !

    Afin de gagner du temps et d’éviter à l’expert sollicité de devoir parcourir de nombreux kilomètres, mieux vaut penser local. Des plateformes comme ETALOC.be vous permettent de trouver un professionnel de l’immobilier dans un rayon de 5 à 25 km autour de chez vous. Mais ce n’est pas tout puisque ce site très pratique vous permet aussi de demander un devis dans le cadre d’une mission précise (état des lieux, réception ou évaluation), de consulter un annuaire des experts immobiliers par province ou encore de contacter directement l’expert le plus proche de chez vous afin de recevoir une offre de service sans engagement.

    Si vous êtes à la recherche d’un expert actif dans l’immobilier à proximité de chez vous, n’hésitez pas à consulter le site ETALOC.be, le meilleur outil de recherche dans ce domaine.