Auteur : mila

  • Mila : « comment rendre la litière du chat nettement plus élégante ! »

    Mon chat, je l’aime. Un peu, beaucoup. Bien plus encore. Mais si je suis fan de ses ronrons et de sa fourrure douce, je ne le suis pas de sa litière : elle encombre ma cuisine et n’a rien de glamour.

    kat
    Patrizia Berta

    Une litière peu utilisée mais encombrante

    Ma chance, c’est que le chat n’en fait usage qu’exceptionnellement : il vit surtout sa vie au jardin. Cela me permet de ne pas devoir en changer très souvent. Il n’empêche que je me suis décidée à troquer son énorme et affreux bac en plastique par une réalisation maison qui fasse moins tache dans ma cuisine. Autant en faire un objet de déco !

    Le choix du matériel : caisses de vin

    J’ai récupéré deux jolies caisses de vin : elles allaient parfaitement faire l’affaire. J’ai renversé la seconde par-dessus la première et j’ai tracé un grand cercle sur une des faces de la boîte constituée. Ce marquage traversait les deux boîtes : il allait falloir découper un morceau de la caisse du bas et un morceau de celle du haut. Cela allait permettre au chat de rentrer dans sa chatière élégante.

    Découpe et ponçage

    Avec ma scie-sauteuse, je n’ai pas eu de difficultés à découper l’arrondi tracé. Facile et rapide ! J’ai mis plus de temps à poncer le bois pour adoucir les pourtours du passage créé. Il ne fallait pas que mon félin d’amour se blesse en chemin.

    Fixation et sécurisation

    J’ai encore posé une charnière sur la longueur des deux caisses : ainsi, il me suffirait d’ouvrir le bac comme on ouvre un coffre. Et cela allait éviter au chat de faire tomber la caisse du haut en gigotant à l’intérieur.

    Finitions et mise en place

    Je n’ai plus eu qu’à coller un morceau de bâche dans le bac pour éviter les ennuis. Et à ajouter le sac à litière et le gravier. C’est fait : le chat a désormais de plus belles toilettes que moi. On va dire que c’est son cadeau pour l’an neuf. Espérons qu’il ne me ramènera pas de souris pour me remercier !

  • Mila : « La tendance cannelée a encore de beaux jours devant elle ! »

    Je suis passée apporter une petite plante à ma voisine : petit présent du nouvel an dans lequel j’avais glissé ma carte de vœux. Elle m’a accueillie en salopette de travail : il faudra un jour que je m’en procure une pareille !

    Source : Marie Claire

    Elle était occupée à peindre un bardage nouvellement installé contre le mur du hall d’entrée. Une palissade ondulée. Ou, autrement dit, un bardage cannelé. 

    Ici, le rendu n’avait rien de rectiligne, comme c’est le cas avec les claustras classiques. C’était comme si la moitié inférieure du mur s’était ourlée de vagues douces et régulières.    

    Elle avait collé des baguettes demi-rondes les unes à la suite des autres, à la verticale et sur environ un mètre de hauteur. Elle en avait recouvert toute la longueur du couloir : l’ondulation chaleureuse nous menait jusqu’à la porte de la cuisine.

    Elle avait utilisé du mastic (à peindre) pour faire disparaître le petit interstice qui se distinguait entre la baguette et le mur. Ainsi lissé à l’index, le mastic recouvrait les arrêtes et renforçait l’illusion des vagues continues.  

    Quand je suis arrivée avec mon petit cactus en fleur, elle était occupée à peindre le bardage cannelé d’un joli vert d’eau clair.

    Elle m’a expliqué qu’elle allait encore apposer une tablette en bois, peu large, sur la jonction entre la palissade du bas et le mur nu du haut. Un support pour déposer quelques cadres et mettre des petites plantes vertes et autres succulentes dans l’entrée : mon cactus allait surfer sur la vague, le chanceux !   

    La tendance cannelée, qui a beaucoup eu la cote l’an passé, a encore de beaux jours devant elle. Une jolie manière de donner du relief en apportant de la douceur et de la rondeur.

  • Mila : « une déco inspirante pour votre salon ! »

    Dès que l’on peut partir en balade, on le fait. Mais avouons-le, ces derniers temps, il faut se jouer de la pluie et se faufiler entre les gouttes pour parvenir au bout des balades prévues.

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    L’autre jour, on a bien dû capituler : on était trempés. C’est comme ça qu’on s’est retrouvés dans un café à l’ambiance très forestière. Il y avait à boire et à manger : et je ne vous parle ni de mon schweppes, ni de mon croque-monsieur. Dans la déco, du très laid et du très joli !

    Je ne vous parlerai dès lors pas des têtes de cerfs et de biches empaillées qui ornaient les lambris : ce n’est pas mon truc. Par contre, je prendrai le temps de vous raconter le pan de mur sur lequel une branche avait été mise à l’honneur. La nature, encadrée !

    Une immense branche avait été choisie. Elle devait bien faire 4 mètres de long. Quant à son diamètre, il devait bien approcher les 6 cm. Un joli morceau, en somme. Des branches plus fines partaient dans tous les sens depuis la branche principale. Ramifications folles et imprévisibles.

    Trois larges cadres en bois avaient été posés au mur : leur profondeur dépassait les 20 cm. Des tronçons de la fameuse branche avaient été découpés pour rentrer pile poil dans les cadres. D’autres tronçons avaient été oubliés, gommés, jetés.

    Tout l’intérêt du montage était là : on voyait bien que c’était la même branche qui poursuivait sa trajectoire d’un cadre à l’autre. Cela rendait la chose poétique et aérienne.

    Je pense que les bouts de branche avaient été fixés à l’aide de vis : je les imagine trop lourds pour de la colle.

    Quoi qu’il en soit, l’ensemble apportait un très joli relief et permettait une vraie intrusion de la nature dans la pièce. Une réalisation pleine d’authenticité et d’élégance.

    A reproduire chez soi, en customisant la création selon son emplacement… ! Dans une chambre d’enfant, avec quelques petits doudous posés sur la branche. Ou au salon, avec une délicate guirlande lumineuse autour de la branche principale…

  • Mila : « Le gros sel : 3 utilisations domestiques méconnues ! »

    J’ai retrouvé un flacon d’adoucissant caché dans la remise : des années que je l’avais oublié là. Je n’ai plus osé l’utiliser pour parfumer mon linge : des cristaux semblaient s’être formés dans le liquide coloré. Mais hors de question de le jeter : j’allais en faire bon usage quand même.

    J’ai acheté quelques sachets de gros sel : j’en manquais et j’en ai, de toute façon, souvent besoin. J’ai rempli plusieurs bols de gros sel et j’ai déversé dans chacun d’eux quelques capuchons de mon adoucissant.

    Pour parfumer…

    J’ai mélangé le liquide odorant au gros sel : il s’est coloré de mauve et le parfum de lavande s’est répandu comme par magie. Vous pouvez simplement procéder de la sorte : vous verrez, cela parfume agréablement les pièces. Mais vous pouvez également encore piquer quelques clous de girofle dans le gros sel : l’odeur en sera plus prononcée encore.

    Ici, le gros sel retient la douce odeur de la lavande et la propage. Mais sachez que le gros sel est aussi idéal pour absorber les mauvaises odeurs.

    Pour nettoyer

    Dans votre frigo, placé dans un récipient, il fera des miracles pour combattre les odeurs désagréables. Sur votre tapis aussi, le gros sel sera efficace : saupoudrez-le sur les fibres du tapis, laissez-le agir quelques heures et aspirez. Fraicheur et propreté retrouvés !

    Pour protéger

    Vous pouvez aussi en verser sur vos planches à découper en bois, après les avoir frottées avec un demi citron. Quelques minutes suffisent au sel pour agir, désinfecter et protéger le bois. Un petit rinçage finira le travail !

    A la maison, on utilise aussi le gros sel pour éliminer les mauvaises odeurs des gourdes des enfants. Utilisées chaque jour, elles sentent vite mauvais. Remplissez votre évier d’eau chaude et versez-y du gros sel : il suffit alors d’immerger les gourdes pour neutraliser les odeurs.

    Vous verrez, essayer ces méthodes, c’est les adopter : promis !

  • Mila : « Ramassez les feuilles mortes ? Pas forcément une bonne idée… »

    Je regardais hier le voisin ratisser son jardin. Il a rassemblé toutes les feuilles mortes avec minutie. Et il en a rempli des sacs et des sacs qu’il a évacués. Quel dommage.

    Autumn Garden
    Scott Webb

    D’abord, parce que c’est quand même drôlement beau un tapis de feuilles colorées : c’est un des bonheurs de l’automne ! Et puis, surtout, parce que les feuilles mortes ont leur utilité dans nos jardins !

    C’est avant toute chose une jolie manière de nourrir la pelouse. Oui, oui ! Les feuilles mortes, en se décomposant, vont, comme vous vous en doutez, apporter des nutriments et de la matière organique au gazon. Pourquoi se priver de ce bel engrais ? Si vous voulez accélérer le processus, vous pouvez même passer un coup de tondeuse sur le tapis automnal et ainsi broyer les feuilles : à vous les confettis de couleur !

    C’est également une façon de venir en aide aux petits animaux de nos jardins qui cherchent eux aussi à s’abriter du froid et des intempéries. Les hérissons seront ravis. Mais pas que. Les escargots, les insectes, les batraciens même, s’y réfugieront. Ajoutez quelques cagettes retournées au fond du jardin : votre lopin de terre deviendra leur cachette préférée.

    Les plantes aussi seront heureuses de voir leurs pieds recouverts de feuilles qui leur feront comme des petits chaussons tout doux ! Si l’épaisseur est importante (une dizaine de centimètres), cela les protègera réellement du froid. Quant au potager, il adorera lui aussi son épaisse couverture de feuilles ! Leur tapis empêchera l’eau de tasser trop le sol. Un paillage bénéfique et gratuit.

    Enfin, et c’est peut-être l’argument qui finalement vous convaincra de laisser les feuilles mortes tranquilles, cela vous permettra de gagner un temps précieux. C’est vrai, quoi ! A vous le cacao chaud à siroter tranquillement en bouquinant. A vous les jeux de société en famille. Les cakes aux pommes et le film sous la couette. Joie !

     

  • Mila : « les séparateurs de tiroir peuvent faire des merveilles ! »

    Désormais, ma fille me pique régulièrement des affaires. Sacs, pulls, foulards, boucles d’oreilles, vernis. J’imagine que c’est plutôt flatteur. Quoique. Elle m’a fait remarquer l’autre jour que c’était fou, « ces vieux trucs qui redevenaient à la mode ».

    drawer
    Jarek Ceborski

    Hier, je rangeais ma cuisine. J’avais vidé les tiroirs pour en nettoyer le fond et le contenu avant de tout bien ranger. Et mon ado est passée par là pour faire le plein de sucre. Elle a saisi le séparateur de tiroir en bois, celui que j’utilise pour trier les couverts et elle s’est exclamée. Comme si elle ne l’avait jamais vu. Il parait que c’était e-xac-te-ment ce qu’elle cherchait. Pour ranger convenablement son tiroir à maquillage et accessoires beauté. Elle a demandé si elle pouvait l’avoir : elle avait trop envie de l’utiliser directement.

    J’ai hésité, puis je me suis dit que ce n’était pas la fin du monde si les couteaux flirtaient avec les fourchettes quelques jours. Et surtout, l’idée que ma fille se prenne (enfin) de passion pour le rangement m’a convaincue de lui laisser l’organisateur de couverts. J’ai précisé que je passerais voir le résultat dès que j’avais fini le nettoyage des placards de la cuisine.

    La vie est pleine de surprises ; mon adolescente aussi. J’ai applaudi.

    Tout était parfaitement classé dans les petits compartiments. Les pinceaux. Les crayons. Les élastiques colorés. Les mini-vernis. Les échantillons de parfum. Les pinces à cheveux. Le fond de teint. J’ai été impressionnée. J’avoue : je n’aurais jamais pensé à sortir cet objet de la cuisine et à le détourner de sa fonction première.

    C’est certain, je vais copier l’idée : mes crèmes aussi me diront merci !  

    Le destin d’un séparateur de couverts est parfois des plus fous : c’est tellement plus glamour de frayer avec les paillettes qu’avec les cure-dents !

  • Mila : « Mon astuce pour donner une seconde jeunesse à mon pan de mur en brique ! »

    J’ai dans mon salon un pan de murs en briques que j’aime beaucoup mais j’avoue ne pas en prendre grand soin. Et là, des taches blanches ont élu domicile sur une bonne partie d’entre elles.

    Dans le jargon, on parle de tâches d’efflorescence. Il s’agit de la migration de particules minérales formant un dépôt à la surface de matériaux poreux. C’est comme une couche saline qui blanchit la brique.

    Je me suis armée d’une brosse à poils durs (mais pas trop) et j’ai entrepris de dépoussiérer l’entièreté du mur. Certains optent pour l’aspirateur mais je trouve ça trop compliqué : je ne suis ni acrobate, ni jongleur ! J’ai effectué un deuxième et un troisième passage avec une brosse trempée dans du vinaigre. J’ai pris soin d’essuyer la brique avec un essuie-tout entre chaque passage.

    Je vous conseillerai aussi de vous munir d’un morceau de papier de verre : idéal pour éliminer des tâches suspectes comme de l’encre ou de la peinture. Et si vous voulez ravoir les joints du mur, passez-y simplement une brosse à dents humidifiée et saupoudrée de bicarbonate de soude.  

    Puis, pour raviver la couleur des briques, j’ai eu recours à l’huile de lin et au papier journal. Hop, vous formez une grosse boule de papier journal, vous l’imbibez d’huile de lin (et d’un chouia de White Spirit) et vous frottez le mur. Vous pouvez terminer en appliquant encore de l’huile de lin à l’aide d’un pinceau. Les briques seront comme neuves : brillance et éclat assurés !

    Bien entendu, d’autres trucs et astuces existent. Certains ne jurent que par les cristaux de soude (ce qui prévaut aussi pour les murs de briques extérieurs), le détergent en poudre, la potasse. D’autres ajoutent une couche de produit anti taches… Il faut surtout éviter les produits trop agressifs (comme la javel) qui risquent d’effriter ou fissurer le matériau !

    On a la brique dans le ventre, mais dans le cœur aussi !

  • Mila : « avec cet abat-jour tout simple à faire, je vais (re)lancer une mode !

    Il fut un temps où les grands abat-jours ronds en tissu étaient à la mode. Aujourd’hui, on leur préfère les matières plus authentiques, plus brutes. Comme le rotin, le cannage, les fibres végétales…

    J’ai décidé de customiser l’abat-jour du hall d’entrée : je n’en pouvais plus de le voir si sage, habillé de son tissu crème. Chaque fois que je descendais l’escalier, il se rappelait à moi. J’ai dépoussiéré la bête avant d’entreprendre de l’embellir et j’y ai vaporisé un peu de brume parfumée. J’avais chez moi le matériel nécessaire à sa transformation : une énorme vieille bobine de ficelle brune et de la colle forte.

    J’ai badigeonné une large bande de colle à l’intérieur de l’abat-jour pour pouvoir commencer efficacement le travail. J’ai déroulé le cordage de l’intérieur vers l’extérieur et ai entrepris de dérouler la ficelle sur le pourtour de l’abat-jour.

    Vous pourrez décider d’espacer un peu le cordage pour que celui-ci laisse passer la lumière une fois la lampe allumée. Mais moi, je voulais un rendu différent : j’ai serré au maximum les rayons de corde.

    Lorsqu’il ne me restait que quelques centimètres à recouvrir, j’ai à nouveau badigeonné l’intérieur de l’abat-jour de corde. Pour que tout reste bien ficelé.

    N’hésitez pas ensuite à jouer encore avec la ficelle : vous pouvez modifier un peu sa couleur en utilisant une bombe de peinture crème que vous pulvériserez de loin, histoire qu’elle colore tout légèrement votre cordage.  Vous pouvez aussi badigeonner légèrement le cordage avec du brou de noix, pour teinter certains faisceaux.

    Moi, en tous cas, je suis ravie ! Quand je descends les escaliers, il m’arrive de rester immobile quelques minutes pour admirer le résultat : jamais on ne croirait que c’est moi qui l’ai bricolé !

  • Mila : « votre cuisine est trop petite ? Pensez au… hamac pour fruits et légumes ! »

    Ma cuisine n’est pas bien grande. Quant à mon plan de travail, il est carrément minuscule. Une planche à découper posée à côté de la taque de cuisson suffit à occuper tout l’espace disponible.

     

    L’avantage, me direz-vous, c’est que je dois veiller à l’ordre : impossible de laisser traîner de la vaisselle, de denrées ou quoi que ce soit d’autre. Je suis, du coup, toujours à la recherche de trucs et astuces pour gagner de la place. Et j’ai vu l’autre jour, un accessoire tout sympa que je me suis empressée d’acheter : un petit hamac à accrocher sous un placard ou meuble suspendu. Idéal pour accueillir des fruits et des légumes…

    Il suffit, a priori, de fixer 4 crochets dans la planche de bois inférieure du placard. La seule difficulté rencontrée ? J’ai dû me contorsionner un peu pour glisser entre le plan de travail minuscule et le dessous de l’armoire. Positionner la foreuse bien droite n’a pas été une mince affaire. Un crochet par coin du placard. A égale distance, évidemment.

    J’ai accroché les encoches du petit hamac dans les crochets : le travail était fini ! J’ai attrapé les bananes et les pommes et les ai disposées dans le filet suspendu. Le rendu était fun. Et le gain de place considérable : bye-bye l’imposante corbeille de fruits. Parfait !

    Quand j’y pense… Pendre un hamac chez moi en plein mois de juillet et ne même pas pouvoir y rêvasser, c’est un comble !

  • Mila : « Vos plantes vertes dévorées par des insectes ? Voici une astuce de mamy ! »

    J’adore avoir des plantes vertes chez moi. C’est la vie. Je ne me sentirais pas bien dans un intérieur dénué de verdure. Et même si les grandes fenêtres du salon donnent sur mon jardin aux couleurs infinies, j’ai besoin que la végétation soit aussi à l’intérieur des murs.

    Pourtant, mes plantes vertes sont malheureuses. Elles finissent toujours par dépérir. Ce n’est pas faute de leur glisser des mots doux, de les arroser régulièrement, de veiller à ce que la lumière arrive jusqu’à elles… La semaine passée, j’ai constaté avec horreur que des insectes avaient élu domicile dans mon immense yucca.  Toujours un truc, je vous dis !

    J’ai fait ce que Mamy m’a conseillé :

    • j’ai écrasé deux têtes d’ail et je les ai mélangées avec un litre d’eau.
    • J’ai laissé le tout reposer quelques heures avant d’y ajouter une belle cuillère à soupe de savon.
    • J’ai tout déversé dans un flacon vaporisateur.
    • Après avoir secoué ma mixture, j’en ai vaporisé sur les indésirables. Matin et soir. Pendant 3 jours, mais ça n’a pas fonctionné du tout. Mamy-insectes : 0-1.

    Pourtant, le savon, c’était une bonne idée ! Il était censé étouffer les bestioles… Alors, j’ai persévéré dans ce sens.

    Je me suis tournée vers le savon noir. Il est reconnu pour être un excellent insecticide naturel. Un litre d’eau tiède et une cuillère à soupe de savon noir liquide. J’ai ajouté une bonne rasade d’huile essentiel de menthe poivrée : ma potion était prête.

    Je ne peux pas encore parler de miracle, mais il me semble que la situation s’améliore vraiment. Et ça me réjouit ! Je reconnais que quand je vaporise les parties infestées de la plante, je suis en mode warrior. Au final, c’est peut-être ma tête qui les fait fuir !