Auteur : mila

  • Mila : « 3 astuces pour maintenir la couette dans la housse ! »

    Quand mes enfants étaient petits, ils avaient des draps à fermeture éclair : cela permettait d’attacher la housse de couette à la housse du matelas. Jamais leur couverture ne tombait du lit et, au matin, il suffisait d’ouvrir la tirette pour aérer. Le rêve.

    bed blanket

    Désormais, ils sont grands. Très grands. Et c’est chaque soir un vrai chambard pour refaire les lits avant de se coucher : leurs couettes se retrouvent en boule au centre de la housse. Ou à moitié sorties de leur housse. Il faut croire qu’ils font du catch la nuit.

    Quoi qu’il en soit, je les entends quotidiennement pester (pour le dire poliment !).

    J’ai donc décidé d’intervenir et j’ai sorti ma boîte à couture : maman est dans la place ! 

    Etape 1 : coudre des pressions pour fermer les différentes housses. Trop souvent, la fente par laquelle glisser la couette dans la housse n’a pas de fermeture. Ça m’a déjà pris deux jours pour coudre 6 pressions le long des ouvertures de housses de couette. Pas franchement douée (mais très investie !).

    Etape 2 : dégoter de grandes et solides épingles à nourrice. Il faut poser la couette (recouverte de sa housse) sur le lit avant de planter les épingles à nourrice dans l’épaisseur du matelas (largueur du côté pieds, évidemment). J’en ai mis 4, pour bien attacher le bas de la couette au bord du lit.

    La méthode me semblait imparable : au matin, il suffisait aux ados de replier le haut de la couette vers le bas du lit ; au soir, il leur suffisait de remonter la couette par-dessus leur tête.

    Si l’astuce a fonctionné pour ma fille, ce fut un échec pour mon fils : il a réussi à déchirer la housse de couette en tirant sur les épingles à nourrice. Désespoir. J’ai tenté une ultime méthode et je pense pouvoir crier victoire !    

    J’ai sorti une vieille paire de bretelles et j’ai accroché une première pince à la housse de couette : à hauteur de mollets, du côté du mur. J’ai passé les bretelles sous le matelas et j’ai attrapé l’autre côté de la housse de couette avec la deuxième pince. Idéal : l’ado aux grands pieds peut désormais faire sortir ses panards au bout du lit sans plus perdre sa couverture.

    Mère courage, c’est moi. Je vous le dis ! 

  • Mila : « pour aiguiser vos couteaux, n’oubliez pas le dentifrice ! »

    Mon amoureux est chef de cuisine. Et lorsqu’il a ouvert mon tiroir à couverts pour la première fois, je l’ai vu défaillir. « Un couteau qui coupe, tu aurais ? » On rigole encore souvent de ce premier souper cuisiné à deux.

    knife kitchen
    Wu Yi

    Depuis, j’ai évolué. Couteaux à pain, couteaux à viande et à poisson, couteaux par-ci, couteaux par-là : j’en ai toute une collection. Mais l’homme est exigeant et ça ne coupe jamais assez bien pour lui. Alors, j’ai appris à aiguiser mes lames.

    Entretenir les lames, c’est une façon d’entretenir la flamme ! Mais non, je ne frotte pas deux couteaux l’un contre l’autre, comme on voit faire dans les films. J’y perdrais la main, à coup sûr. Je vous partage mes méthodes : efficacité et facilité !    

    Mes alliers ? Le dentifrice. Et une assiette en céramique. On retourne l’assiette, cul vers le haut : la partie non émaillée sera ainsi mise en évidence. C’est elle qui permettra l’aiguisage. On recouvre ensuite les deux faces du couteau de dentifrice. Il suffit alors de frotter le couteau sur le bord granuleux. De haut en bas et toujours dans le même sens. Ça prend un peu de temps, mais c’est drôlement efficace : les couteaux seront comme neufs. 

    Les alternatives :

    • Mais dans vos tiroirs, vous avez d’autres outils qui peuvent aider, comme la lime à ongles. Y frotter la lame du couteau, en effectuant des mouvements doux et à sens unique, donne aussi de bons résultats.
    • Le papier de verre est un autre bon plan : les gros grains sont dès lors requis. Mais faites attention à ce que le papier ne se déchire pas : vous pourriez passer à travers et vous couper.
    • Enfin, si vous trouvez, lors d’une balade, une pierre plate et lisse d’un beau volume, ramenez-là : elle vous permettra de récupérer des lames de couteau bien tranchantes.

    De quoi faire des étincelles en cuisine ! 

  • Mila : « mon conseil artistique pour recycler vos vieilles pailles en plastique ! »

    J’adore tester de nouvelles techniques : partir de rien et créer, c’est tellement grisant. L’autre jour, j’ai vu passer sur les réseaux des réalisations incroyables faites à partir de pailles collées les unes aux autres…

    drawing made of plastic straws
    Madi YouTube

    Le matériel à se prodiguer se trouve aisément :

    • des pailles en plastique noires,
    • de la colle au pistolet,
    • des ciseaux,
    • du canson (noir aussi),
    • de la peinture en bombe (noir mat là aussi).

    La première étape consiste à dénicher une photo géométrique : je veux dire par là, une image dont les contours et détails sont faits de lignes droites fortement marquées.

    Il faut reproduire la photo sur du papier à dessin : certaines lignes seront ôtées de l’image originale, d’autres rajoutées éventuellement. Le but ? Avoir un canevas pas trop complexe à reproduire.

    Ensuite, le jeu de patience commence : il faut couper les pailles (souvent en biseau) pour reproduire le motif en relief. La précision est de mise : couper un chouia trop court ou trop long peut gâcher le rendu.

    Les morceaux découpés sont alors collés bout à bout (pas sur la feuille !!) au pistolet à colle. Extrémité de paille contre extrémité de paille. Opération délicate. L’oeuvre prend forme.         

    Quand toutes les lignes du dessin choisi ont été reproduites en pailles, vous déciderez des interstices à noircir complètement. La truffe et les yeux du chien, la plume du chapeau, les rayures du zèbre, le tutu de la danseuse… A vous de voir. Vous découperez dans du papier Canson (noir aussi), la forme nécessaire. Et vous la collerez par – dessus les pailles : le papier doit donc être un peu plus large que l’espace à noircir.

    Quand tout ceci sera terminé, vous pourrez déjà être fière de vous. Il m’a fallu recommencer 10 fois et changer de dessin aussi : j’avais pris une photo trop complexe.

    Le plus simple reste à faire : dégainer la bombe de peinture et asperger l’ensemble du collage. Attention : la structure sera des plus fragiles, évidemment.

    A vous de voir si vous la collez à son tour sur une toile (sécurité avant tout) ou si vous l’accrochez au mur telle quelle (rendu plus impressionnant)!

  • Mila : «  arrêtez de faire cette erreur lorsque vous posez des rideaux chez vous ! »

    Je n’ai pas tous les talents et je le concède volontiers. Prendre des mesures pour de nouvelles tentures est quelque chose que j’ai du mal à faire. Où commencer ? Où s’arrêter ? Combien de plis estimer ? Je panique rien qu’à l’idée de.

    curtains

    Faut dire : toutes mes tentatives furent vaines. Tentures trop courtes ou trop longues. Ma pire réalisation ? J’ai mesuré la largeur du tissu en oubliant que celui-ci allait devoir gondoler, faire des plis. Résultat ? J’avais dû recommander deux fois les mêmes rideaux : tentures en 4 morceaux dans une des chambres.

    Ma voisine, elle, est une pro de la couture. Et puis, elle a l’œil. Elle m’a fait remarquer que je pouvais créer une illusion d’optique en suspendant autrement mes rideaux. Je l’ai laissée faire et j’avoue, c’est bluffant. Les fenêtres paraissent plus hautes et plus larges. Et puis surtout, la luminosité dans la pièce est bien plus forte.

    Explications. Moi, jusqu’ici, je plaçais la barre des tentures juste au-dessus de la fenêtre. Et la barre dépassait la largeur des fenêtres d’une vingtaine de centimètres à peine. Du coup, les tentures, une fois posées, cachaient un grand morceau de vitre. Jacqueline, elle, elle a proposé de voir plus grand.

    curtains

    On a acheté une barre de rideaux beaucoup plus large (quasi deux fois la largeur de la fenêtre !) et on l’a placée à quelques centimètres du plafond : elle flirte avec les moulures. Les tentures, cette fois, pendaient à côté des fenêtres, n’occultant pas le moindre morceau de verre : chaque rayon de soleil était le bienvenu.

    Elle m’a donné un dernier truc : veiller à ce que les tentures descendent aussi jusqu’au sol. Il parait que cela rajoute encore de l’élégance. Mais à cela je n’ai pas obéi : j’ai des plantes tout le long des bas de fenêtres. Ça m’aurait encombré.  

    Quoi qu’il en soit, l’avant-après est incroyable. Le rendu est tellement plus satisfaisant. Mon salon est plus lumineux et il a pris du cachet. Versailles, c’est désormais chez moi !      

  • Mila : « ces fausses fenêtres sont une illusion parfaite ! »

    J’ai décidé d’installer un petit bureau au sous-sol. Les murs sont peints, le sol est carrelé, la pièce est isolée. Et l’ensemble est joli et propret. Mais dans un sous-sol, il est évidemment difficile de prétendre à de la lumière naturelle. Et pourtant, il existe un moyen facile de faire croire qu’il y a là une fenêtre qui laisse entrer la lumière.

    fake window

    Il faut d’abord trouver de vieilles fenêtres dans une friperie ou une brocante : la première étape consiste à nettoyer la jolie trouvaille. Quand les pourtours sont à votre goût, et que les vitres sont parfaitement nettoyées, il sera temps de préparer la suite. L’idée est de givrer les vitres et de poser des leds derrière les fenêtres : cela fera ressortir la blancheur des verres rendus opaques. 

    Comment givrer les vitres ?

    Pour givrer le verre, c’est simple comme bonjour. Il suffit de mettre de la colle blanche dans un récipient et de découper un bout d’éponge (neuve). On trempe celle-ci dans la colle et hop, on frotte les vitres, en veillant à laisser de la matière. Il faut alors étirer celle-ci sur toute la surface à recouvrir. Horizontalement, puis verticalement, puis, encore une fois, horizontalement : pour qu’il n’y ait presque plus de trace d’éponge. On estime qu’après 3 heures de séchage, le résultat sera au top !  

    Une autre possibilité consiste à recourir à l’usage de fécule de maïs. Mélangée à de l’eau, elle forme une pâte blanchâtre et collante : elle peut servir à recouvrir la vitre aussi. On peut en badigeonner directement sur la vitre ou par-dessus un papier de dentelle posé contre la vitre (idéal : les papiers que l’on trouve sous les tartes en pâtisserie). Retirer ce dernier après quelques minutes permettra d’obtenir un dessin élégant. Cette méthode me plaît moins : la technique est plus difficile et le résultat uniforme moins garanti. Mais elle a un avantage certain : la fécule s’en va avec de l’eau chaude, ce qui n’est pas le cas de la colle blanche.

    Quoi qu’il en soit, vous verrez, en plaçant les leds derrière les fenêtres, que la luminosité apportée est forte : le sous-sol sera véritablement baigné de lumière. A vous de voir si vous avez besoin d’installer une ou plusieurs fenêtres.

  • Mila : « recycler vos boîtes de conserve pour protéger les oiseaux ! »

    Les plats d’hiver sont remis au menu. L’autre jour, j’ai fait un gigantesque chili con carne pour mes amis et je me suis retrouvée avec plusieurs boîtes de conserve vides. Je n’ai pas eu envie de les jeter. J’allais les utiliser pour faire plaisir à d’autres amis : les mésanges et les rouges-gorges qui habitent mon jardin allaient recevoir un nouveau nichoir.

    La première étape a consisté à bien nettoyer les boîtes et à en enlever les étiquettes : eau très chaude, savon, trempage. Quand elles ont été bien sèches, je les ai peintes dans de jolies couleurs vives et mates avec une peinture acrylique qui ne craint pas l’eau.

    J’ai dégoté une planche qui traînait dans la remise : un beau morceau rectangulaire de bois clair. Ce serait le fond du nichoir. J’ai ensuite construit un angle droit avec deux lattes que j’avais conservées pour bricoler. L’idée ? Réaliser un toit en bois que j’allais fixer sur le haut de la planche, pour symboliser une maison douillette.

    Quand ma composition de bois a été finie (fixée avec des vis), je l’ai recouverte de vernis marin pour qu’elle résiste aux intempéries. Et j’ai entrepris de fixer à leur tour les boîtes en conserve sur la planche. J’ai badigeonné leur cul de Pattex : cette colle forte résiste à l’eau, fonctionne sur tous les matériaux et s’utilise aussi bien en intérieur qu’en extérieur. 

    J’ai disposé les 6 boîtes le plus joliment possible, les unes à la suite des autres, à la verticale : chenille de couleurs sur ma planche en bois. La dernière étape a consisté à coller une baguette en bois à l’intérieur de chaque conserve : elles dépassaient largement des conserves pour permettre aux oiseaux de s’y poser.

    J’ai accroché mon nichoir sur un pan de mur auquel le chat n’a pas accès. Et j’ai versé des graines dans chacune des boîtes : le repas d’hiver était servi. 

    J’ai hâte que ça se bouscule au portillon !   

  • Mila : « mon idée de cadeau déco festif par excellence ! »

    Samedi soir, mon frère fêtera ses 40 ans. Il organise une cagnotte et je viendrai donc avec ma petite enveloppe décorée de cœurs. Mais je n’ai pas envie de venir les mains vides pour autant. Alors j’apporterai une bouteille de bulles. Et elle aussi, je vais la décorer.

    J’ai visité un magasin de bricolage et j’y ai acheté de la mousse florale. Vous savez, ces rectangles compacts et fragiles qui s’effritent dès qu’on les touche et dans lesquels on pique des fleurs pour réaliser des compositions de table.

    Le jour de sa fête d’anniversaire, j’irai acheter une dizaine de roses et des branches de feuilles. Du gypsophile aussi. J’aurai alors tout ce qu’il me faut pour embellir ma bouteille.

    Il faudra que je coupe un carré de mousse. Je devrai ensuite retourner la bouteille pour enfoncer le goulot au centre de celui-ci. Je pourrai alors la retourner, la poser devant moi, et commencer le travail.

    L’idée est, vous l’aurez compris, de construire un chapeau de fleurs par-dessus le champagne.

    Couper la tige des roses sera l’étape suivante. Il faut faire en sorte que, une fois piquées, les fleurs effleurent la mousse. Après, on pique, on pique, on pique tout partout. Et on fait en sorte de ne pas abîmer la mousse lors de l’exercice. Les tiges se croisent : il faut viser juste !

    Après avoir disposé les grosses fleurs, il ne restera plus qu’à ajouter le feuillage et les branches délicates de gypsophile.  Les premières apporteront du volume et les secondes de la finesse. Ce sera parfait !

    J’imagine que certains d’entre vous me diront que c’est une perte de temps. Que c’est futile et inutile. Pire : que cela ne plaira pas à un homme ! Je pense tout le contraire. Le langage des fleurs est universel et les roses ont mille choses à dire à tous ceux qui prêtent simplement l’oreille !

  • Mila : « Vous aimez le blanc et votre partenaire adore la couleur, ou l’inverse ? Voici mon truc ! »

    L’autre jour, j’ai eu rendez-vous dans un nouveau cabinet de dentistes. Tout neuf. Tout aseptisé. Tout blanc. Et moi, le blanc, ça va un moment mais j’ai trop besoin de couleurs que pour m’en contenter.

    white interior
    R R 2

    J’ai donc apprécié ce que j’ai vu quand le dentiste est venu me chercher : ils avaient peint le contour des portes de couleurs vives et gaies. Et chaque fois qu’ils ouvraient ou fermaient la porte d’un des cabinets, c’était un trait coloré qui avançait ou reculait dans le couloir.

    L’intérieur du chambranle avait, lui aussi, chaque fois été peint de la même couleur que les contours des portes. Vraiment joli ! Je n’aurais jamais pensé à procéder de la sorte. Mais je retiens l’idée.

    Car avec l’amoureux, on n’a pas vraiment le même besoin de couleur dans nos vies. Il fait partie de ces gens bizarres qui aiment tout habiller de blanc et qui font comme s’il y avait une différence folle entre le blanc crème, le blanc poudré ou le blanc coquille d’œuf. Je fais, à l’inverse, partie de ceux qui aiment tout recouvrir de couleurs et qui hésitent plutôt entre un rouge framboise et un orange sanguine ou entre un vert canard et un bleu roi. Le bonheur, des fois, c’est difficile à accorder !

    Je me dis que ça, ça peut s’appeler un compromis : les portes en blanc avec les contours en couleurs peps. Pour laisser la vie grignoter le néant petit à petit et pour apprivoiser l’amoureux, doucement … Mais sûrement ! 

  • Mila : « ma technique infaillible pour déménager vos vêtements les plus précieux ! »

    Une de mes amies déménage et je me suis proposée pour filer un coup de main. J’ai été chargée d’empaqueter le contenu des armoires de la chambre à coucher. Je suis la reine du rangement : je remplis les caisses en jouant à Tetris. Tout s’emboîte, tout s’empile. Rien n’est laissé au hasard. Les espaces à combler sont parfaitement remplis. 

    moving house

    Je jongle avec les escarpins et les chaussettes, j’alterne les sacs à main et les maillots de bain, j’emballe les bijoux et les dispose entre les housses de couette… Je roule les pantalons comme des crêpes et je fais de même avec les t-shirts ou les pulls. Et je note, bien évidemment, au gros feutre noir ce qu’on trouve dans chaque boîte.

    Mais ma spécialité est ailleurs et concerne les blouses, gilets, robes et autres habits qui pendent sur la tringle de la garde-robe. Avant, je retirais chaque vêtement du cintre et je le pliais ou le roulais le plus délicatement possible. Mais ça, c’était avant. Aujourd’hui, j’emporte avec moi des sacs poubelle sur les lieux du crime.

    Je rassemble une belle dizaine de cintres ensemble sur la tringle. Je serre les vêtements les uns contre les autres. Et je glisse le bas des vêtements dans le sac ouvert que je remonte alors jusqu’aux cintres : les habits sont alors protégés, serrés, rassemblés dans un sac. Je resserre au maximum les liens du sac en plastique et je les noue (ou les accroche comme je peux) aux cintres. Un rouleau de gros scotch peut être nécessaire pour bien faire tenir le sac autour des cintres.    

    Il n’y a plus qu’à ! Saisir le gros paquet de vêtements et l’empiler par-dessus les précédents. 

    L’avantage de la technique ? Ces vêtements, qui ont l’habitude d’être pendus, ne seront pas abîmés par des plis. Et surtout, cela facilitera les choses dans la nouvelle habitation : il suffira d’accrocher les cintres sur la tringle et de retirer les sacs en plastique.

    Lors d’un déménagement, gagner du temps est une chose précieuse. Il y a tant à faire ! Alors on ne se prive pas de cette astuce !       

  • Mila : « réaliser une guirlande d’étoiles grâce à… un moule à biscuits ! »

    Ce weekend, j’ai réalisé un bricolage pour ma filleule. Une guirlande d’étoiles, pour décorer sa chambre, et faire des rêves plus doux. Il paraît qu’elle redoute que vienne la nuit : j’espère que ma réalisation l’aidera à se calmer un chouia.

    gliding stars

    J’avais acheté des moules en silicone pour faire des biscuits à Noël : des sablés en forme d’étoiles. J’allais les réutiliser.

    J’ai ressorti mon pistolet à colle pour la première fois de l’année. Je l’ai réglé sur la température la plus élevée et l’ai laissé préchauffer pendant plusieurs minutes. J’étais prête pour remplir les moules. Il faut mettre de la colle partout, jusqu’à ras bord, et doucement tapoter et secouer les moules sur la table pour s’assurer que la colle se répartisse bien dans chaque interstice.

    C’est le moment de vous faire couler un café : il faut patienter une dizaine de minutes, pour que la colle soit bien sèche, jusqu’au cœur des étoiles. Vous pouvez alors les démouler. A vous, les adorables étoiles blanchâtres. Il faudra peut-être couper les bords des étoiles avec une pince coupante ou un petit ciseau à ongles : certains bords ne seront pas parfaitement lisses. 

    C’est là qu’entre en scène la bobine de fil blanc : déroulez-la sur la longueur souhaitée. Et disposez les étoiles par-dessous, comme bon vous semble. Quand vous estimerez que leur disposition est idéale, il suffira de passer un trait de colle chaude sur le fil : il sera ainsi emprisonné contre les étoiles.

    J’ai réalisé plusieurs guirlandes : ma blondinette pourra doucement éclairer sa chambre. Parce que oui, dans le noir, la colle est légèrement fluorescente.

    Libre à vous de réaliser plutôt un mobile avec ces étoiles : c’est très joli aussi ! Il vous faudra seulement des arceaux de fer en plus.  

    Des petites étoiles à offrir en cadeau, c’est de l’amour bricolé aussi !