Auteur : mila

  • Mila : « Comment se débarrasser des mites alimentaires »

    Depuis quelques temps, j’essaye de faire au mieux et de limiter nos déchets. J’ai donc enfin pris le pli d’aller acheter le plus d’aliments possibles en vrac. Pâtes, riz, oléagineux, chapelure, biscuits… Dans la cuisine, les pots en verre aux jolies étiquettes ornent désormais les placards.

    Emiko Peterson

    Et pourtant, je boude. Ce matin, en voulant me préparer mon petit déjeuner, j’ai trouvé des mites alimentaires dans le son d’avoine. La veille encore, je n’avais rien remarqué. Impossible de plonger joyeusement la cuillère dans le pot : je n’avais plus faim. Mes pots, parfaitement hermétiques pourtant, contenaient donc bien des mites. Quelle poisse. Probablement y en avait-il dans un des produits achetés…

    Pas de gaspillage !

    Je sais qu’on préconise de jeter tous les emballages ou produits à proximité de la zone infestée mais j’ai opté pour la méthode du tamis : je refusais de mettre toute cette nourriture à la poubelle. Le tamis permet de retrouver les éventuelles larves (qui forment comme un chapelet) et les mites.

    Opération nettoyage

    J’ai bien entendu nettoyé mes armoires avec du vinaigre blanc et ai disposé des boules de coton imprégnées d’huiles essentielles dans les tiroirs.  Les odeurs fortes, les mites détestent ça : clou de girofle, menthe poivrée, citronnelle, lavande… On peut glisser aussi des feuilles de laurier séchées ou des petits piments rouges séchés, directement dans les pots. Cela les tient éloignées.

    Au frais ?

    Ma grand-mère m’a conseillé de mettre les denrées 48h au congélateur avant de les transvaser dans les pots. Cela permet de tuer tout éventuel hôte indésirable. Mais il faut avoir de la place dans le congel : pas évident.

    Histoire d’être sûr..

    Si vous voulez vous assurer qu’elles ont disparu, n’hésitez pas à acheter des pièges à mites : elles ne mettront pas longtemps à sortir de leur cachette. Les autocollants contre les mites, à coller sur les contenants, sont une bonne idée aussi.

    En ce qui me concerne, j’ai choisi d’utiliser toutes les méthodes à la fois : feu d’artifice en cuisine !

  • Mila : « faire son propre savon liquide pour les mains ? Fastoche ! »

    En rangeant les armoires, j’ai mis la main sur des tas de petits morceaux de savon que j’avais jetés à l’époque dans les tiroirs à chaussettes et culottes. J’utilisais encore beaucoup de savon solide à l’époque. Et vous savez comment ça va : il a la fâcheuse tendance à se casser en petits bouts quand il est presque terminé. Alors je les ai rassemblés : j’allais les recycler.

    Je pouvais refaire un savon solide, en râpant les restes de savon et en les malaxant avec un petit peu d’eau chaude, pour former des petits savons tout neufs. Mais j’ai préféré fabriquer du savon liquide qu’on utiliserait davantage.

    Avec une dizaine de mini bouts, on peut fabriquer plus ou moins 1 litre de savon liquide pour les mains. Sympa, hein !

    • J’ai râpé les morceaux récupérés
    • j’ai fait bouillir 1 litre d’eau dans une casserole.
    • Ensuite, j’y ai jeté les éclats de savon jusqu’à leur dissolution complète.
    • J’ai laissé refroidir la préparation
    • Enfin, je l’ai déversée dans un joli flacon

    Ma petite touche personnelle

    Comme j’en avais encore chez moi, j’ai ajouté quelques gouttes d’huile essentielle de lavande : les enfants se lavent les mains avec plus d’enthousiasme quand « ça sent trop bon ».

    Autre possibilité…

    J’aurais pu aussi fabriquer un produit nettoyant pour la salle de bain :

    • 400 ml d’eau chaude pour faire fondre les morceaux de savon.
    • 300 ml de vinaigre blanc
    • 300 ml d’eau ajoutés à la mixture.

    Et vous voilà équipés d’un spray qui éliminera la saleté et fera étinceler les surfaces sanitaires ! Mais choisir, c’est renoncer ! Et moi, je voulais des bulles joyeuses dans le pousse mousse !

  • Mila : « Il y a tout ce qu’il faut dans votre salle de bain pour que les… portes ne grincent plus ! »

    La porte de la chambre de mon fils grince. Et ça l’énerve plus que moi. Car du haut de ses 16 ans, il aime vivre tard. Trop tard. « Je suis du soir » est désormais une de ses phrases préférées. Il va souvent se coucher après nous. Et, à l’heure où tout le monde dort, cette porte grince un peu, beaucoup, trop.

    Dima Perchurin

    Je n’ai pas eu l’audace de mettre un peu d’huile sur les gonds. Pourtant, on est d’accord, c’est le plus simple pour solutionner le problème. Même si vous mettez de l’huile d’olive, ça ira. L’huile végétale ne sert pas qu’à assaisonner la salade ! Mais j’ai eu peur d’en mettre de trop et de graisser au passage la jolie peinture bleue de la porte.

    J’ai trouvé mon bonheur à la salle de bain : hop, vaseline ! J’ai piqué un pinceau tout fin dans la chambre de ma fille et j’en ai appliqué le long des charnières. Il faut bien penser à ouvrir et fermer la porte plusieurs fois pour que la vaseline pénètre bien dans les craques des charnières et des gonds. En plus de lubrifier, la vaseline protège contre la corrosion et l’oxydation. Pas mal, n’est-ce pas ?

    Figurez-vous que d’autres produits de la salle de bain auraient pu faire l’affaire ! Le talc, par exemple, est idéal pour faire taire les poignées qui grincent. Comme le pain de savon. Il faut mouiller un peu la barre de savon et en frotter les charnières. Mais ça fait des résidus qu’il faut enlever sans tâcher le bois de la porte : j’aime moins !

    Quoi qu’il en soit, l’ado pourra vivre sa vie tranquilou ! Et sa vie nocturne ne me fera plus grincer des dents d’énervement !

  • Mila : « Ma solution pour ranger les peluches de vos petits ! »

    J’ai demandé à ma fille d’éliminer des doudous : elle grandit et puis, on croule sous les peluches en tout genre. Entre les doudous hérités des plus grands, ceux pêchés au Luna park ou reçus en cadeaux, on ne sait plus où en mettre. Mais chaque fois que je brandissais un toutou ou un nounours, elle le saisissait dans l’instant en me disant que c’était son préféré. La galère.

    J’ai quitté sa chambre avec seulement deux peluches éliminées. Et la certitude qu’il fallait trouver une parade au plus vite ! Et, lendemain, je suis tombé sur un site qui proposait de réaliser des sièges avec des peluches. Leur idée ? Coller de splendides peluches, toutes identiques, sur une armature en forme de coque. Un coussin doux de flamands-roses ou d’oursons bleus. Je me suis dit que j’allais tenter une autre approche, moins attrape poussières. J’ai vendu l’idée à ma blondinette : tact et manipulation saupoudrés de paillettes l’ont convaincue.

    D’abord, un énorme fauteuil gonflable !

    J’ai profité de l’été pour aller me procurer un énorme fauteuil gonflable, en plastique transparent. J’en ai choisi un sans accoudoir. Comme une énorme boudée de piscine avec dossier. Et je l’ai gonflée pour voir le rendu.

    J’ai effectué une entaille en dessous et j’ai profité de l’air encore contenu dans le siège pour y insérer au plus vite des doudous. Mickey, Stich, Winnie. Dragon, sirène, lapinou. Je les ai serrés le plus possible et j’ai mis ceux que je trouvais les plus beaux bien en évidence, le museau écrasé sur le dossier.

    Ne trainez pas pour remplir le fauteuil !

    J’avoue que j’ai un peu galéré au fur et à mesure que la housse de plastique se dégonflait. Mais ça prenait forme et j’ai réussi à caser un nombre ahurissant de peluches ! Quand j’ai eu fini de remplir le fauteuil, il m’a fallu trouver une idée pour bien fermer le tout.

    J’ai acheté un grand cercle de feutrine tout doux que j’ai collé sous le siège avec de la super glue. Et j’ai installé ce trône unique sur son tapis rose. Il n’y avait plus qu’à s’y jeter pour lire des histoires.

     

     

  • Mila : « de l’huile d’olive pour réparer les rayures d’une table en bois ! »

    En vacances, j’aime qu’on range chaque pièce de la maison. Et chaque meuble. Et chaque tiroir. Ma fille adore participer à ce moment grisant : tout vider, trier et tout ranger bien comme il faut. Hélas, tout ne s’est pas déroulé comme prévu cette fois-ci…

    Hélas, elle a déposé un des tiroirs du buffet sur le centre de ma jolie table en bois et elle l’a tiré jusqu’au bord de la table pour mieux pouvoir s’occuper de son contenu. Le lourd tiroir a laissé derrière lui deux sillons dans le bois : ses bords métalliques, faits pour glisser sur les rails du buffet, se sont méchamment incrustés dans le bois clair.

    Ma fille, désolée, est restée interdite : elle attendait que je gueule, je crois. Mais j’étais surtout triste. Tout le monde, à la maison, sait que j’aime beaucoup cette vieille table de ferme. Alors, avant de recommencer le travail de ponçage et de vernis effectué il y a à peine 6 mois, j’ai décidé de tester les trucs et astuces glanés ci et là.

    Oubliez le dentifrice !

    J’ai été chercher mon dentifrice et j’en ai mis une petite noisette sur un chiffon doux. J’ai ensuite effectué des petits mouvements circulaires sur les longues griffures. J’ai réitéré l’opération plusieurs fois mais, sincèrement, je n’ai pas trouvé le résultat magique. J’avais désormais une table aux odeurs de menthe. C’était la seule différence.

    De l’huile d’olive !

    J’ai alors tenté de réparer les dégâts avec de l’huile d’olive mélangée à du vinaigre blanc. J’ai versé la même quantité des deux liquides dans un pot et j’ai trempé mon chiffon dans le mélange. J’ai frotté les rayures et… abracadabra : elles ont quasi instantanément disparu ! Vraiment épatant. Bien sûr, on verra si, après quelques jours, l’effet obtenu s’atténuera ou pas. Ça m’a soulagée un peu, de ne plus voir ma table balafrée de la sorte ! Une astuce super économique que je vous recommande donc !

    J’avais encore l’idée de couvrir les rayures avec de la cire dure frottée directement sur les griffes. Mais ce sera à tester une prochaine fois. Car, oui, je ne me fais aucune illusion : des catastrophes, chez nous, il y en a chaque semaine !

  • Mila : « il n’y a personne pour arroser vos plantes pendant vos vacances ? Voici ma solution ! »

    Zut. La douce voisine qui vient habituellement arroser mes plantes en mon absence part en vacances en même temps que moi. Et je n’ai pas franchement envie de passer mes clefs à un autre voisin : je soupçonne le premier d’être le descendant de Dracula et le second d’appartenir à la mafia.  

    Charming Young Asian Woman Watering Plant In Container On Balcony Garden

    Du coup, deux choix s’offraient à moi : la bouteille d’eau enterrée ou le gel d’arrosage. J’ai opté pour le second, plus facile à disposer aussi dans les petits pots de terre.

    Le principe, vous le connaissez certainement. Le gel « hydro-rétenteur », placé sur le substrat, permet d’arroser les plantes pendant trente jours, en se transformant petit à petit en eau. Je pourrais aller en acheter en jardineries : c’est facile à trouver et très bon marché. Mais ici, on aime bien jouer les chimistes. Alors, avec les enfants, on va le fabriquer nous-mêmes. Pas même besoin d’ouvrir un grimoire de savant-fou. La recette est des plus simples :

    Dans des petits bocaux en verre de type confiture :

    • Versez trois quarts d’eau,
    • ajoutez 1 gramme d’agar-agar ou 2 feuilles de gélatine alimentaire.
    • Placez le tout au réfrigérateur pendant 4 heures, jusqu’à ce que le gel soit bien compact.

    Notez que vous pouvez aussi utiliser l’eau de cuisson des pâtes ou du riz : riche en amidon, elle nourrira plus intensément vos plantes.

    La suite est tout aussi facile : avant de mettre vos lunettes de soleil, vos tongs et de partir pour ailleurs, vous arroserez bien généreusement vos plantes. Puis, vous placerez les bocaux à l’envers, directement sur la terre. Méthode économique jusqu’au bout : il ne faudra même pas ramener de petit cadeau de remerciement à la voisine cette année ! Quelques sous en plus pour boire un mojito on the beach !

  • Mila : « une solution élégante pour ne pas mourir de chaud la nuit… »

    Mon amoureux meurt quand il vient chez moi. Il ne supporte pas de dormir au grenier : il dit qu’il étouffe. Que c’est un sauna, là-haut et qu’il ne comprend pas comment je réussis à dormir paisiblement. L’habitude, sans doute. Suis une fille des tropiques, que voulez-vous !

    Sidekix Media

    Quoi qu’il en soit, j’ai décidé de lui faire une surprise. A lui, les nuits fraîches et reposantes. A moi, les matins sans rouspétances ! J’ai donc été chercher un ventilateur de plafond. Sa double fonction permet d’éclairer la pièce et de la rafraîchir en même temps. Magique !

    Tout est personnalisable !

    A l’aide de la télécommande, il pourra tout régler comme il veut. Plus ou moins de luminosité, plus ou moins d’air ventilé. Même le design est sympa ! Vous pouvez en trouver en inox, en bois, unis ou pas… Certes, c’est un petit budget quand même, mais je pense que ça vaut le coup.

    Et pourquoi pas un petit ventilateur tout simple ?

    Vous me direz : pourquoi n’avoir pas simplement acheté un ventilateur de chevet, à poser où on bon nous semble ? Pour la simple et bonne raison que c’est encombrant, que ça prend de la place dans ma chambre qui n’est pas immense. Et qu’on risque à chaque instant de trébucher dessus. Ici, plus de tracas. Tout est prêt à l’emploi ! Et la fraîcheur tombera du ciel, directement sur l’ours en surchauffe.

    Après, j’avoue que c’est un peu un cadeau empoisonné car c’est à l’amoureux que reviendra la joie immense de l’installer. Mais on n’a rien sans rien, n’est-ce pas ?! Il devra transpirer un peu avant de profiter !

  • Mila : « Une solution insolite et… super bon marché pour faire de l’ombre sur votre terrasse ! »

    Ces derniers jours, on a eu chaud, très chaud. Et comme tout le monde, j’ai eu envie de profiter du soleil sans me liquéfier pour autant. Ma terrasse est sympa mais rien ne permet de s’y abriter. L’arbre que j’aimais tant et qui ombrageait l’espace n’est plus. Alors, j’ai fait le tour des possibles.

    Bien sûr, je pouvais aller acheter un grand parasol. Mais je n’avais pas fort envie que son pied prenne de la place sur la terrasse. Evidemment, je pouvais faire installer un auvent rétractable ou un store banne. Mais je n’ai pas tant de sous à dépenser. Aussi, je pouvais faire installer une pergola en fer forgé ou en bois. Des années que j’y pense et que j’imagine les fleurs dégringoler le long des structures. Mais le temps que la végétation pousse, j’allais cramer sur place.

    J’ai pensé privilégier le voile d’ombrage : un peu bohème, bon marché, pas trop compliqué à poser et, chose non négligeable en Belgique, disponible en version imperméable. Mais, après en avoir discuté avec mon amoureux, on a opté pour une toile militaire.

    Une toile militaire, vraiment ?

    Je vous l’accorde, il y a sans doute plus sexy et plus élégant, mais la toile militaire offre un ombrage délicat et bien ventilé. Oui ! Contrairement à ce qu’on pourrait croire, elle protège bien des rayons du soleil. Et, autres avantages indéniables : on ne peut pas faire moins cher (comptez 10 euros le mètre) et c’est facile à accrocher. Nous l’avons fixée entre le mur de la terrasse et les poteaux du jardin. Sa légèreté me permettra aussi de la retirer aisément quand la pluie arrive.

    Mon ket voulait que je la prenne en version militaire : un filet de camouflage comme dans ses jeux vidéo. Mais je l’ai prise en blanc. Rambo en maillot sur ma terrasse ? Non merci !

  • Mila : « Mon astuce rigolote et élégante pour ranger des flacons de vernis ! »

    C’est simple : ma fille a désormais plus de flacons de vernis à ongles que moi. D’abord parce qu’elle devient une ado et adore chipoter dans ses boîtes à maquillage. Ensuite parce qu’elle trouve qu’un flacon de vernis, c’est sacrément joli.

    Dan Cristian Padure

    Les tiroirs, c’est pratique, mais ça ne permet pas de disposer des flacons au gré des envies.  Alors, on a pensé, elle et moi, à d’autres façons sympas de les exposer. Pour qu’elle puisse trier les vernis selon les couleurs ou les tailles des flacons. Vital, quoi !

    Présentoir à gâteau

    La première idée a été de se procurer des présentoirs à gâteaux : en lieu et place des muffins et autres cupcakes, des vernis jolis ! On fait tourner les présentoirs et on se sert en couleurs pastel, flash ou pailletées. Le concept est charmant mais on manquait de place pour le réaliser. La chambre de ma blondinette n’est pas un palais.

    Etagères ou cimaises ?

    On a ensuite pensé à utiliser des étagères à épices pour y ranger les flacons. Mais on a changé d’avis au magasin : elles étaient trop épaisses. Cela n’allait pas être joli. Et puis, on n’allait pas pouvoir mettre beaucoup de flacons par étagère. On a laissé tomber.

    J’avais pensé aussi à accrocher au mur des cimaises à tableaux. L’encoche censée retenir le tableau aurait parfaitement accueilli les petits pots de couleurs. Deux rangées auraient amplement suffi. Mais ma fille n’a pas retenu l’idée : c’était elle la boss.

    Un cadre, voilà la solution !

    Elle a finalement préféré donner une seconde vie à l’immense cadre qui prenait la poussière dans la remise. Amen. On a donc repeint en rose (évidemment !) le pourtour élégant et on l’a fixé sur le cadre de bois réalisé avec 14 lattes à peine épaisse d’1 cm.

    Ça m’a pris (comme vous vous en doutez !) un peu plus de temps de construire le tout que de l’écrire !  Mais quand on aime, on ne compte pas. Par contre, on mesure bien les espaces et autres interstices nécessaires à la hauteur des petites bouteilles.

    Franchement, ça en jette ! Les petits flacons colorés sont facilement accessibles et l’ensemble est un vrai élément de décor. Pour me remercier, j’ai eu droit à une manucure gratuite. Je touche du bois et résultat ? Je vais voir la vie en rose quelques jours, moi aussi !

  • Mila : « ma méthode expresse pour sécher des vêtements quand on n’a pas de sèche-linge ni de soleil ! »

    L’autre jour, j’ai pensé trop tard à laver la blouse que je voulais porter à une soirée. J’ai bien cru qu’elle n’aurait jamais le temps de sécher à temps. Oui, oui, je sais. J’aurais pu en mettre une autre.

    Mais vous savez comment on est : on a ses tenues préférées. Celles dans lesquelles on ose plus que dans d’autres. Alors, il fallait qu’elle sèche. Et vite ! Je ne fais pas partie des chanceux qui ont la chance d’avoir un sèche-linge. Et le soleil étant, cette après-midi-là, aux abonnés absents, j’ai donc dû me creuser les méninges.

    La méthode serviette

    J’ai commencé par étendre une grande serviette sur laquelle j’ai placé ma blouse et je l’ai ensuite enroulée comme une crêpe avant de bien appuyer tout partout. On parlera d’essorage artisanal, le linge absorbant déjà un peu l’eau du chemisier mouillé.

    La méthode serviette bis

    J’ai ensuite placé une seconde grande serviette, sèche bien sûr, dans le tambour de ma machine à laver. Et puis, hop, j’y ai ajouté ma blouse fétiche ! Il m’a alors suffi de lancer le programme d’essorage et de patienter. Ça vous épate, hein, si je vous dis que mon vêtement est ressorti quasi sec ? Applaudissements ! Oui, oui !

    Le temps de quelques coups de fer à repasser et zou, l’affaire était réglée. Blouse sèche. Repassée. Parfumée. Au top ! Des fois, dans la vie, la réussite d’une soirée dépend carrément du programme essorage !