Auteur : mila

  • Mila : « mes conseils pour être dans le coup avec cette tendance aux courbes ! »

    Ça me fait si plaisir, cette tendance aux courbes arrondies ! Vous aurez vu : elles sont partout ! Dans les canapés, les tables, les étagères, les têtes de lit, les accessoires… Fini, les lignes droites et les angles tranchants des assises. On cherche la douceur, avant tout !

    Toa Heftiba

    Certes ! Cela fait un certain temps déjà que le mobilier s’arrondit mais, cette année, la tendance se confirme et s’affirme. Les courbes sont à la mode et cela me réjouit ! C’est que, voyez-vous, les fauteuils me ressemblent : volume élégant et courbes enveloppantes. Une victoire, en somme !

    C’est dans une salle d’attente que j’ai repéré le plus joli canapé aux formes organiques. Une seule assise profonde et large, aux bords ondulés. Comme une vague sous les fesses. Le grand dossier était, lui, comme coupé en six morceaux : ils avaient tous des hauteurs différentes. L’ensemble formait comme les feuilles d’une même branche : pareilles et pourtant différentes. A vous de choisir sur laquelle vous vouliez vous (re)poser. Car oui, cette tendance déco rappelle bien évidemment la nature, dans laquelle les lignes droites se font rares.

    Après, il faut le rappeler, pour que l’harmonie se crée, il faut de l’équilibre. Si on use et abuse des arrondis, cela fatigue. Mettre les courbes à l’honneur, c’est bien, mais il ne faut pas oublier d’y assortir quelques lignes droites. Une table basse aux contours arrondis ? Un pouf aux arrêtes plus droites pour l’accompagner. Un fauteuil aux rondeurs folles ? Un tapis rectiligne pour en souligner la beauté.

    La vérité, c’est qu’il suffit d’intégrer un seul meuble incurvé à votre intérieur pour lui conférer de la douceur. Alors, n’hésitez plus et adoptez ce style curvy.

  • Mila : « Un potager pour la belle saison ? Préparez-le maintenant ! »

    J’ai décidé de consacrer 3 m2 du fond du jardin à un potager. Ça fait des années que je rêve de m’y mettre mais que je renonce avant même d’avoir essayé. Trop peur d’échouer. Cette fois, j’ose. L’espace réservé au potager est petit : ça devrait me faciliter les choses.

    Markus Spiske

    En février, au jardin, on prépare le terrain pour les semis à venir. Alors, après avoir délimité le petit lopin de terre et retourné la terre, j’ai entrepris de préparer un paillage super naturel. A l’automne, j’avais reçu des sacs et des sacs de noix de la voisine. J’en avais gardé les coquilles.

    On a passé tout une soirée à casser les noix encore entières avec les enfants. Les coquilles dans un seau ; les fruits dans un autre. On ne sentait plus nos mains mais on a bien rigolé : une soirée originale et sympa.

    J’ai broyé les coques davantage. J’ai fait comme j’ai pu. Je ne suis pas bien outillée mais je suis lourde : ça aide ! J’ai étalé une couche d’éclats de coquilles sur la terre lourde et j’ai retourné le tout. Cela permet de créer un terreau plus aéré. J’ai posé une seconde couche sur l’ensemble des 3m2 : une bonne chose avant la plantation à venir des végétaux. Cela régule l’humidité du sol et puis, cela empêche les mauvaises herbes de pousser. Pas peu fière, je vous le dis !

    Il n’y a plus qu’à commander les graines qui me tentent (surtout celles des plantes réputées pour pousser facilement !) et l’aventure « potager » sera officiellement commencée ! J’ai encore déversé ce qui restait de coquilles dans mon petit bac à compost : cela l’enrichit et facilite la décomposition. Rien ne se perd, tout se transforme. Ce n’est pas moi qui l’ai dit !

    Le seul souci ? Il me faut trouver de toute urgence des recettes qui utilisent des noix. Car on risque d’en manger jusqu’à la Saint Gliglin !

  • Mila : « un miroir au plafond ? Voici les avantages et inconvénients… »

    Le plafond miroir ? Je connaissais le principe, mais je n’en avais encore jamais vu en vrai ! C’est, depuis peu, chose faite ! J’ai dormi dans un hôtel dont la salle de bain en était équipée.

    Il faut dire que cette salle de bain était l’endroit idéal pour installer pareil miroir. La pièce était très grande et le côté brillant du miroir et des carrelages créait un jeu visuel très spécifique. Des petits photophores et autres bougeoirs avaient été disposés ci et là dans la salle d’eau. Une fois les bougies allumées, c’était féérique : des étoiles dansaient au plafond. D’un point de vue déco, c’était splendide.

    Mais, j’avoue que j’ai un peu paniqué : les miroirs plafonds, dans des pièces où on se balade nus, c’est génial quand on est une naïade. Moi, avec mes rondeurs tout partout, ça m’inquiétait un peu. Mais au final, on ne marche pas le nez en l’air.

    Un effet sublime !

    Une belle découverte donc, ce « plafond tendu effet miroir », qui, rappelons-le, peut sublimer n’importe quel espace. Salon, salle-à-manger, dressing, … il crée l’illusion d’une pièce plus grande et plus lumineuse, en apportant de la modernité. Il change d’autant plus l’atmosphère de la pièce que vous pouvez en choisir la forme, en modifier la couleur ou encore y intégrer différents luminaires.

    Isolant et facile d’entretien

    Ce film polyester réfléchissant est plus léger et résistant qu’un vrai miroir. Et son entretien est finalement plus simple que celui d’un plafond peint. Il suffit de le frotter de temps en temps avec un chiffon doux légèrement humidifié (dans de l’eau savonneuse), pour en ôter les poussières. Autre avantage non négligeable : il permet une isolation sonore en filtrant les bruits.

    Le seul hic ?

    C’est qu’il risque de souligner le désordre de votre pièce si elle est trop chargée. Vu qu’il amplifie chaque détail, il est préférable de recourir au plafond miroir dans une pièce qui n’est pas trop remplie.

    Quoi qu’il en soit, cette fois, je vous conseille de ne rien tenter seul : appelez plutôt un pro qui vous l’installera convenablement. Il serait en effet dommage que le miroir soit mal fixé et que vous finissiez écrabouillés. Suspensions, chevilles, dalles… Le pro saura choisir ce qui convient !

  • Mila : « une tête de lit parfaite pour punaiser les souvenirs ! »

    J’ai osé une super déco dans la chambre de ma fille. Elle avait envie d’une tête de lit un peu originale. Et à la vitesse à laquelle elle a des envies, j’essaie toujours de trouver du chic et pas cher. 

     

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    J’ai commandé en ligne des sous-plats ronds, en liège. D’un grand diamètre. L’idée ? Y tracer et y découper des hexagones pour construire un assemblage de formes géométriques collé sur le pan de mur, derrière son lit.

    Une équerre suffit à tracer facilement les 6 triangles qui composent l’hexagone. Il n’y a alors plus qu’à relier les diagonales entre elles pour fermer les triangles. Et zou ! A l’aide d’un cutter et d’une latte, on coupe les petits arcs de cercle inutiles qui se trouvent sur les bords du rond de liège.

    A vous de voir si vous passez ou non un coup de peinture sur les hexagones de liège. Nous, on les a peints de différentes couleurs. Vous pouvez décider aussi de peindre uniquement la tranche des formes obtenues. Plus subtil.

    Hop ! On dégaine le pistolet à colle et on dispose les hexagones les uns à côté des autres, en partant de la plinthe. J’ai ainsi collé une première rangée de 10 sous-plats découpés, en posant un des côtés directement contre la plinthe. Et en veillant à laisser chaque fois un centimètre entre les pièces.

    Après, c’est un jeu de construction !

    On pose une pièce l’une après l’autre, comme un puzzle mural. J’ai dépassé la hauteur du lit de plusieurs rangées : le but était que la tête de lit soit bien visible. Et en ce qui concerne la dernière rangée, je l’ai faite un peu plus folle. J’ai fait s’envoler les quatre derniers hexagones, un peu plus haut chaque fois. Pour que cela fasse moins strict.

    Voilà ! Une tête de lit qui ne coûte pas un bras, qui est faite maison et qui permet à mon ado de punaiser des post-it, des photos et des mots d’amour dans le liège tendre.

  • Mila : « vous avez une vieille échelle ? On a une idée d’up-cycling pour vous !

    J’ai passé quelques jours en Ardennes chez mon amie Lorie. Sa maison en pierres du pays invite à l’évasion. Et la citadine que je suis a bien apprécié de poser son bagage dans sa chambre d’ami. J’ai particulièrement aimé la partie dressing de la chambre : du rustique efficace. Je vous explique ?

    La pièce disposait bien d’une commode dans laquelle ranger ses chaussettes et sa lingerie, mais aucune autre garde-robe ne permettait de stocker ses vêtements. Mon amie avait pensé plus aérien et plus original, histoire de ne pas encombrer inutilement l’espace. Elle avait accroché, sur un des pans de mur, une échelle de bois longue de plus de 2 mètres. Mais pas à la verticale. L’échelle était couchée dans la longueur, à l’horizontale. Et relevée pour former un angle avec le mur.

    Faut que ça soit costaud !

    Elle avait poncé la vieille échelle avant de la peindre dans un joli rose tendre. Et elle avait ensuite fixé trois équerres sur l’échelle, pour renforcer ce porte-vêtements inattendu. Une première équerre à hauteur du dernier échelon, une deuxième à hauteur du premier échelon et une troisième au centre de l’échelle. Ainsi, elle avait pu fixer au mur un des montants de l’échelle, soutenu par les équerres.

    Et pratique !

    Les barreaux de l’échelle étaient donc désormais disposés perpendiculairement au mur et, en prenant du recul, on ne les distinguait plus. On ne percevait plus que le second montant rose de l’échelle : une latte de bois pour souligner le mur blanc d’un long trait d’eye-liner rose.

    Elle avait suspendu des cintres en bois clair aux échelons : il m’a suffi d’y glisser mes blouses et gilets. Et de poser mes pantalons par-dessus les échelons. Une construction intelligente qui permet de transformer l’échelle en penderie et en étagère. De l’up-cycling élégant.

    On est d’accord : cela n’est pas suffisant pour ranger tout le linge dont on dispose dans la vraie vie. Mais, dans une chambre dans laquelle on est effectivement de passage pour un court séjour, c’est parfait. On pourrait par ailleurs reproduire l’idée dans toutes ces pièces où on ne doit ranger qu’un peu de vêtements : un hall d’entrée, un vestiaire, une salle de bain…

    Une idée à piquer, pour donner une nouvelle vie à un objet qui, s’il est utile surtout, est aussi sacrément joli. A vos échelles !

  • Mila : « Pour vos vitres, oubliez les sprays ‘neige’ et optez pour du dentifrice ! »

    L’année passée, j’avais laissé ma fille décorer les vitres du salon avec un spray neige soi-disant conçu pour ça. Je fais encore la grimace, rien qu’en y pensant : des poussières grasses étaient tombées de la vitre tout le mois de décembre. C’était salissant et ça tenait mal. Ça avait aussi été la galère pour tout nettoyer : plus je frottais, plus j’étalais la saleté. Plus jamais.

    Dans le commerce, les feutres à la craie sont plébiscités pour créer des motifs provisoires sur les vitres. A base de craie et d’eau, ils permettent de dessiner avec aisance sur les vitres et les miroirs.  Mais j’ai décidé de procéder autrement et d’utiliser un produit que j’ai déjà à domicile : du dentifrice !  J’en ai profité pour dégraisser mes vitres, histoire qu’elles accueillent mieux encore les flocons de neige et autres étoiles faussement givrées. De l’acétone ou de l’alcool à brûler fait l’affaire.

    La suite est simple comme bonjour !

    Vous mettez du dentifrice dans un petit pot et hop, vous ajoutez quelques gouttes d’eau dans la coupelle. A vous d’observer la consistance du dentifrice : il ne doit pas être trop solide, mais il ne doit pas être trop liquide non plus.

    Il n’y a plus qu’à oser les décors de Noël : faites plaisir à vos enfants et laissez-les utiliser des pinceaux de toutes les tailles, des petites éponges … et leurs doigts, bien entendu. Le rendu n’en sera que plus fou. Le dentifrice tiendra longtemps et il suffira d’un simple coup d’éponge pour récupérer des vitres clean.

    Il va de soi que vous pouvez aussi utiliser de la gouache pour décorer vos vitres, mais personnellement, je trouve ça plus salissant.  Surtout au moment de l’enlever : je préfère éviter les coulées colorées.

    A vous les tableaux enneigés sur les vitres de Noël ! Sourire pepsodents et dentifrice party !

  • Mila : « La grande tendance du moment coûte trois fois rien à bricoler ! »

    Vous ne pouvez pas ne pas les avoir remarquées : elles sont partout pour le moment ! Les feuilles de palmier, peintes ou naturelles, s’invitent dans toutes les décos bohèmes. Graphiques, élégantes et aériennes, elles offrent bien des possibles !

     

    Glissées dans des vases hauts et étroits de différentes tailles, ajoutées à un bouquet d’autres fleurs séchées, accrochées au mur : elles osent tout et sont l’accessoire ultra tendance du moment. Et la bonne nouvelle, c’est que ça coûte trois fois rien de la réaliser soi-même.

    Voici ce qu’il vous faut :

    • Un grand rouleau de papier kraft,
    • Des ciseaux,
    • Un pistolet à colle chaude,
    • Des tiges en fer,
    • De la cordelette.

    On découpe!

    La première étape consiste à découper un cercle dans le papier kraft. Bien évidemment, plus votre cercle sera grand, plus votre feuille de palmier le sera aussi ! Il suffit alors de plier le cercle en deux et de bien marquer la médiane avec vos doigts.

    On plie

    Concentrez-vous sur la première moitié du cercle et commencez à plier des bandes à partir de la médiane.  Comme un accordéon dont les plis seront de plus en plus petits au fur et à mesure que vous approcherez du bord du cercle. Vous appuierez bien sur les plis pour qu’ils s’imprègnent bien dans le papier kraft. Hop ! L’opération identique sera effectuée de l’autre côté.

    On insert

    La tige en fer sera glissée au centre des pliages sur la médiane. Même pas la peine qu’elle monte jusqu’au-dessus de la feuille de palmier. Quelques centimètres suffisent. Pensez par contre à la faire plus ou moins longue en dessous : si vous comptez la glisser dans un vase, cela sera nécessaire !

    On colle

    Vous mettrez ensuite un peu de colle sur la base de la feuille et vous enroulerez la ficelle autour de cette base qui restera donc définitivement close. Il vous suffira alors d’écarter doucement chaque côté du cercle pour composer la feuille. Et de réitérer l’opération si vous désirez en réaliser plusieurs, de tailles différentes peut-être.

    Et on peint ! Ou pas…

    Les laissez telles quelles est, selon moi, tout joli : j’aime la couleur simple et naturelle du papier kraft. Mais si vous le désirez, il sera temps de sortir vos bombes de peinture pour un fini doré, métallisé ou plus assorti aux couleurs de votre intérieur.

    Une jolie manière de mettre une touche d’exotisme chez vous et de rêver à la douceur des lointains  palmiers !

  • Mila : « avez-vous pensé à passer vos châssis en mode hiver ? »

    Je voulais vous parler d’une astuce qui promet d’isoler un petit mieux nos maisons : aussi étrange que cela puisse paraître, il est possible de faire passer les fenêtres PVC ou alu du « mode été » au « mode hiver ». Une manière comme une autre de grapiller quelques degrés et quelques sous !

    Cette astuce, qui touche au réglage d’étanchéité de la fenêtre, ne date pas d’hier mais est encore trop souvent méconnue du grand public. On vous explique comment procéder ?

    Commencez par ouvrir votre fenêtre : il vous faut repérer, sur le montant de celle-ci, le petit bitoniau métallique. Il se trouve généralement un petit peu en dessous du niveau de la poignée. Lorsque vous avez trouvé la petite goupille, il n’y aura plus qu’à !

    Selon le modèle de celle-ci, vous devrez utiliser un tournevis, une clef Allen ou une pince pour la tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Moi j’ai dû recourir à l’utilisation de la pince : pas de bol, car c’est bien plus simple avec un tournevis.

    Le principe ?

    Le principe est que, plus vous tournez le bitoniau, plus la pression s’effectue sur le joint de la fenêtre et plus l’étanchéité se fait. Action et réaction. Pas la peine de tourner comme un forcené : un tour complet, c’est suffisant ! La vis, plus compressée contre le montant, laissera ainsi moins d’air frais pénétrer à l’intérieur de la maison. Le tour sera joué !

    A l’inverse, quand viendra l’été, il vous faudra desserrer un peu les bitoniaux, pour relâcher la pression et ainsi permettre une meilleure dilatation et ventilation des matériaux. Logique !

    Vous me promettez d’essayer ? A l’heure où la crise énergétique fait rage, il faut économiser tout ce qu’on peut…« Serrer la vis » a souvent du bon : en hiver, c’est d’autant plus vrai !

  • Mila : « Un plancher transparent ? J’hésite entre ces 2 solutions ! »

    Une de mes amies m’a demandé conseil concernant son aménagement : elle hésitait à installer un filet ou une plateforme de verre chez elle. La pièce concernée ? Le hall de nuit du premier étage, très grand et surplombant le hall d’entrée. L’idée était, dans tous les cas, de laisser la lumière filer tout partout.   

    Le filet, c’est évidemment super sympa : on se prend au jeu et on se découvre un petit côté équilibriste et funambule. On redécouvre le plaisir du hamac en toute saison et on se projette à bouquiner là, tranquillou. On redevient un enfant qui ose tout. C’est fun. Et, bien sûr, question nettoyage, c’est pratique.

    Le filet, à oublier ?

    Mais, je crois, malgré tout, qu’il y a plus d’inconvénients que d’avantages à choisir de poser un tel filet : l’isolation phonique et thermique sont quasi inexistantes. Lire ou faire la sieste, c’est chouette, mais dans les courants d’air et l’éventuel brouhaha du rez-de-chaussée, c’est moins rigolo. Et à l’heure où se chauffer coûte un bras (ou deux), c’est peut-être important d’y penser.

     

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    La plateforme, c’est la classe !

    La plateforme a, quant à elle, un côté classe indéniable. Mais elle, je vous l’accorde, plus difficile à maintenir propre : garder des vitres nickel est déjà compliqué, alors quand on marche sur le verre, c’est encore plus vite sale. Et, bien entendu, elle est plus onéreuse à l’achat. Mais elle isole tellement mieux les étages du bruit et permet de chauffer bien plus facilement les étages. Cela me semble désormais un argument d’autorité, non ?

     

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    C’est comique : c’est tellement plus facile de décider pour les autres que pour nous-mêmes. Je suis du style à tergiverser 6 mois. Puis à opter pour le choix A en regrettant déjà le choix B. Et là, simple et limpide : il faut choisir la plateforme !

    Vous êtes d’accord avec moi ?

  • Mila : « mes conseils pour redonner vie et repeindre un vieux fauteuil ! »

    Je vous ai déjà parlé de mon vieux fauteuil de style Napoléon III, n’est-ce pas ? Vous savez, celui que j’ai trouvé à la rue et qui trône désormais au milieu du salon… J’ai décidé ce weekend de m’occuper de lui et de lui faire sa fête !

    D’une part, le tissu n’était plus très frais : les motifs étaient toujours élégants mais l’ensemble était devenu terne et sale. D’autre part, je voulais lui donner un air plus rock and roll : j’avais prévu de l’installer dans cette petite pièce qui n’est rien qu’à moi et qui me sert à travailler, à bricoler et à rêver aussi !

    Ça brosse dur !

    J’ai d’abord entrepris de laver le fauteuil à grands jets d’eau : je n’y suis pas allée de main morte. Savon et brosse. Comme Cendrillon. Et, bien que mon chat, tellement plus sympa que Lucifer, n’ait pas bousillé mon travail en marchant sur le tissu juste lavé, je m’y suis reprise à 3 fois.

    Peinture !

    J’ai laissé le fauteuil sécher dans les courants d’air et, quand il a été bien sec, j’ai sorti mes acryliques. J’avais décidé de mettre du bleu peps sur le tissu blanc garni de motifs rouges. J’ai opté pour 3 couleurs différentes : du bleu roi, du bleu turquoise et du bleu ciel. J’ai dilué mes peintures avec de l’eau et j’ai entrepris de littéralement peindre le fauteuil.

    Avec un pinceau souple et suffisamment large, j’ai effectué des mouvements circulaires sur l’ensemble du tissu. Il fallait essayer de ne pas faire des démarcations trop nettes entre les bleus. J’ai donc vaporisé de l’eau en même temps que je le couvrais de peinture : pour un fondu plus naturel et une meilleure imprégnation de l’acrylique.

    J’ai hésité à faire une deuxième couche, de peur de modifier le rendu obtenu : déjanté, fou et tellement original. Mais je l’ai mise quand même : pas envie que l’intensité des couleurs ne disparaisse trop vite. J’ai délicatement poncé le tissu avec un papier doux (200-300 grains max) pour lisser les quelques endroits où la peinture était un peu épaisse et ne laissait pas bien distinguer les motifs.

    Il y a des fauteuils au destin improbable ! Abandonné sur un trottoir, puis habillé comme un roi ! Moi, en tous cas, je suis bleu de lui !