Auteur : joris

  • Détecteur de fumée : D’où l’intérêt d’opter pour un modèle intelligent ?

    Grâce aux détecteurs de fumée, vous êtes toujours prévenu à temps lorsqu’un incendie se déclare. Mais une fois absent, ceux-ci sonneront désespérément dans le vide… D’où l’intérêt d’opter pour un appareil intelligent !

    Trois catégories de détecteur de fumée cohabitent actuellement : les détecteurs de base, les détecteurs interconnectés et les détecteurs intelligents. Tous sont capables de détecter la présence de fumée et d’émettre un signal sonore pour prévenir les occupants de l’habitation équipée. Mais, dans le cas du détecteur unique, son rayon d’action s’arrête là.

    Les détecteurs interconnectés

    L’intérêt des détecteurs interconnectés est de pouvoir lancer une alerte générale, même si un début d’incendie se déclare dans une cave ou un grenier par exemple. Là où le détecteur simple ne sonnera que dans la pièce où il est placé, la version interconnectée déclenchera tous les détecteurs de la maison. Ils sonneront alors de concert. Une technologie qui est vivement recommandée dans les maisons ou les espaces s’étendent sur plusieurs étages.

    Un pas plus loin

    Si vous souhaitez être averti d’un incendie même lorsque vous n’êtes pas à la maison, sachez que c’est désormais aussi possible. En effet, un détecteur intelligent, à l’image du Nest Protect par exemple, est à même de détecter tant de la fumée que du monoxyde de carbone et, grâce à une connexion wifi, capable d’envoyer un message d’alerte sur votre smartphone par l’intermédiaire d’une application dédiée.

    Localiser la source

    Une fois alerté, il vous est alors possible de demander à un voisin de vérifier que tout est normal voire d’appeler les pompiers si cela s’avère nécessaire. En outre, ce type de détecteur intelligent indique quel détecteur a déclenché l’alarme et s’il s’agit d’une alerte incendie ou de dioxyde de carbone. Ce qui permet de directement localiser la source du problème même à distance. Notez également que la plupart des détecteurs intelligents effectuent un diagnostic plus de 400 fois par jour, vous garantissant ainsi une sécurité optimale. Enfin, en cas de fausse alerte, le détecteur intelligent peut se couper aisément depuis l’application. Et quand ses batteries sont quasiment épuisées, l’application vous le signale également. Ce qui est moins dérangeant que le bip strident d’un détecteur de base dont la pile arrive en fin de vie…

  • 5 conseils pour sécuriser au mieux votre maison

    Mieux vaut prévenir que guérir. Un bon système d’alarme ou de sécurité empêche les visiteurs indésirables d’entrer dans la maison. Que ce soit pour votre porte d’entrée ou votre garage, voici 5 conseils.

    1. Choisir la qualité 

    Bien sûr, vous pouvez acheter un système d’alarme ou de sécurité à un prix raisonnable, mais mieux vaut choisir la qualité. Il existe une norme européenne que vous pouvez utiliser comme guide. Ne passez pas sous la classe RC2 et optez de préférence pour une valeur plus élevée. Veuillez noter que RC2 est à peu près le plus haut niveau possible pour les portes de garage.

    2. Optez pour une serrure motorisée 

    Les serrures motorisées offrent une sécurité supplémentaire. Vous pouvez les utiliser en combinaison avec un ouvre-porte automatique. Elles sont souvent accompagnées d’un lecteur de carte, d’un lecteur d’empreinte ou d’un code d’accès.

    3. Contrôle et surveillance à distance 

    Il existe de plus en plus d’applications sur le marché qui vous permettent de contrôler à distance les diverses entrées de la maison. Votre smartphone sert de centre de contrôle, où que vous soyez.

    4. Attention aux pirates informatiques 

    Si vous travaillez avec des mots de passe et que vous utilisez une connexion wifi, ils peuvent être piratés. Faites donc attention avec vos mots de passe, assurez-vous que votre réseau WiFi n’a pas un nom évident et changez régulièrement vos mots de passe.

    5. Choisissez un professionnel 

    Bien sûr, vous pouvez vous occuper vous-même de votre propre sécurité, mais il est souvent plus sage de confier cette tâche à un professionnel. Pensez à demander des références.

  • Voici vos droits si le bien que vous louez n’est pas en ordre

    Vous louez une maison qui ne répond pas aux exigences minimales légales de qualité. Dans ce cas, quels sont vos droits en tant que locataire ? Êtes-vous obligé de continuer à respecter le contrat de location ?

    Sur le marché de la location, des maisons ou des appartements qui ne répondent pas aux exigences légales, sont parfois proposés. Pensez au cas où vous louez une maison où il y a de sérieux problèmes d’humidité ou où l’installation électrique n’est pas sûre. Que pouvez-vous faire dans ce cas ?

    Où trouver le règlement ?

    Les exigences légales minimales de qualité auxquelles une maison de location doit satisfaire diffèrent selon la région. Si elle est située en Flandre, vous trouverez ces dispositions dans le code flamand du logement. Une brochure indiquant la nature exacte de ces règlements peut être téléchargée ici. Pour les immeubles locatifs situés en région bruxelloise, ces exigences sont définies dans le Code bruxellois du logement. Vous pouvez les trouver ici  Pour les maisons ou appartements situés en Région wallonne, le code wallon du logement s’applique. Plus d’informations à ce sujet, cliquez ici.

    Quels sont vos droits en Flandre ?

    Le nouveau décret sur la location (qui s’applique aux contrats de location conclus à partir du 1er janvier 2019) stipule que le logement loué doit répondre aux exigences fondamentales de sécurité, de santé et de qualité du logement, telles que mentionnées dans le Code flamand du logement. Pour prouver que tel est le cas, le propriétaire peut demander un certificat de conformité. S’il peut présenter un tel certificat qui a été délivré dans les trois mois précédant le début du bail, ceci est considéré comme une présomption de respect de cette obligation.

    Si le bien que vous louez ne répond pas à ces exigences, le contrat de location est nul. Pour que cette nullité soit établie, vous devez entamer des procédures devant le juge de paix. Si le juge de paix déclare le bail nul et non avenu, le bail prend fin. En principe, vous pouvez ensuite réclamer le loyer que vous avez payé au propriétaire. Le propriétaire peut à son tour, vous demander un droit d’occupation basé sur la valeur locative objective du bien, en tenant compte des défauts du bien. En tant que locataire, vous pouvez également demander une indemnité au propriétaire.

    Qu’en est-il de Bruxelles ?

    A Bruxelles également, l’immeuble locatif doit répondre aux exigences de base en matière de sécurité, de santé et d’équipement.  Cette condition s’applique à tout moment pendant la période de location. Si tel n’est pas le cas, le locataire a le choix. Vous pouvez alors soit exiger l’exécution des travaux nécessaires à la mise en conformité du bien loué, soit demander la résiliation du contrat de location avec indemnité. Vous pouvez également facturer vos frais de déménagement, entre autres choses. En attendant l’exécution des travaux, le tribunal peut également accorder une réduction du loyer.

    Et en Wallonie ?

    En Région wallonne également, la maison louée doit répondre aux exigences de base en matière de sécurité, de santé et d’équipement. Si tel n’est pas le cas, vous devez rappeler à votre propriétaire d’effectuer les travaux nécessaires à la mise en conformité du bien loué. A défaut, le locataire a le choix d’exiger l’exécution des travaux ou de demander la résiliation du bail avec indemnité.  En attendant l’exécution des travaux, le juge peut également accorder une réduction du loyer.

  • Vendre votre bien locatif : quid du locataire ?

    Vous avez une maison ou un appartement que vous désirez vendre, mais il y a toujours un locataire. Le locataire est-il la première personne à avoir le droit d’acheter la maison ou non ?

    Un droit de vente n’est pas prévu

    En principe, un locataire n’a pas de droit de préemption. Dans le cas d’un droit de préemption, une personne a en primeur le droit d’acheter un bien. Et ce, au même prix et aux mêmes conditions que les autres acheteurs potentiels. Si vous avez conclu un droit de préemption avec votre locataire, cela ne signifie pas qu’il va acheter le bien. S’il y a un autre acheteur qui offre plus, celui-ci peut toujours acheter la maison.

    Bien entendu, il est possible d’établir un contrat dans lequel vous donnez un droit de préemption au locataire. Un tel accord est parfaitement valable, mais assurez-vous de l’avoir écrit sur papier. Cet accord est contraignant. Si vous ne vous y conformez pas, vous pourriez être tenu responsable de dommages-intérêts. Il vaudrait mieux laisser la rédaction d’un tel accord à un avocat connaissant les faits.

    Aucun avantage pour le vendeur

    En tant que propriétaire, un droit de préemption n’a pas vraiment d’avantages. Au contraire, dans la pratique, vous pourriez effrayer les acheteurs potentiels et courir le risque de devoir vendre votre maison à un prix inférieur au prix du marché.

    L’alternative ? 

    Proposez malgré tout au locataire, à la première occasion, de faire une offre ou de négocier l’achat de la propriété. S’il n’y a aucun intérêt, vous pouvez facilement vendre votre propriété à quelqu’un d’autre.

  • 5 objets déco à suspendre pour votre bureau

    Vous êtes régulièrement à la recherche de chouettes objets pour personnaliser votre espace de travail ? Sachez que nous avons la solution. Voici 5 objets faciles à utiliser, moyennant un peu d’astuce et qui, de surcroit, ne coûtent vraiment pas cher. Suivez le guide !

    deals4dummies.com

    Des tasses à café qui servent aussi à autre chose

    Il y a de fortes chances que vos armoires regorgent de tasses à café vides. Il serait vraiment dommage de ne pas les utiliser pour en faire autre chose. Par exemple, en les utilisant comme mini bacs à plantes. Encore plus cool : vous pouvez parfaitement les suspendre à une étagère au moyen d’une cordelette ou d’un crochet.

    welldonestuff.com

    Blocs-notes & citations

    Des blocs-notes dans toutes les dimensions : grands ou petits, vieux ou neufs, colorés ou pas, peu importe. Accrochez-les tous au mur et inscrivez-y de jolies citations. C’est quand même plus fun que de simples cartes ou photos.

    equalvoice4all.us

    Calendrier à la craie

    Il ne s’agit pas ici de quelque chose à accrocher au mur, mais plutôt pour y dessiner. À l’aide d’une peinture à la craie, dessinez des petits carrés dans la taille que vous voulez et suspendez-y les lettres des jours de la semaine. Permet facilement d’effacer et de réécrire. C’est moins de gaspillage et donc tout bon pour l’environnement.

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    Suspension Macramé à faire soi-même

    Vous êtes aussi accro au style boho ? Alors cette suspension en macramé est vraiment pour vous. Accrochez quelques brins de corde sur un bâton et nouez-les.

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    En suspension dans son siège

    Voici une chouette tendance qui s’intègre parfaitement dans un bureau : le siège suspendu. Un espace lounge où vous pouvez vous poser un moment et vous vider la tête. Le gros avantage ? Vous n’avez pas besoin de place au sol et vous pouvez même placer un joli tapis en dessous. Par ailleurs, vous pouvez accrocher le siège à la hauteur que vous désirez. Le point plus important à tenir compte : que vous puissiez vous détendre !

  • Voici comment détecter des problèmes d’humidité

    Quand on est sur le point d’acheter une nouvelle maison, un problème d’humidité a vite fait de tempérer les ardeurs. En effet, les problèmes d’humidité sont souvent tenaces et difficiles à éliminer. Si vous ne voulez pas d’une habitation avec des problèmes de moisissure et de condensation, lisez attentivement ce qui suit.

    Repérez les taches noires

    Beaucoup d’humidité dans la maison et peu de ventilation peuvent entrainer de sérieux problèmes d’humidité. La présence de moisissure s’observe le plus souvent dans les coins. Elle se présente sous forme de taches noires, bien que celles-ci soient relativement faciles à enlever par un vendeur peu scrupuleux. Vérifiez en particulier les joints en silicone autour des fenêtres. La moisissure y est difficile à enlever et est souvent oubliée.

    Déplacez les meubles

    Les vendeurs n’hésitent pas à masquer les problèmes d’humidité. Sachez que la moisissure apparaît le plus souvent derrière les meubles, car ce sont des endroits peu ventilés. N’oubliez pas de vérifier les plinthes. Si celles-ci se détachent, cela peut indiquer un problème.

    Vérifiez surtout les murs et les plafonds

    La plupart des champignons se développent sur les murs et les plafonds. Vérifiez soigneusement tous les murs et les plafonds et voyez si l’on n’a pas appliqué une couche de peinture pour masquer une chose ou l’autre. Prêtez aussi attention aux taches et aux différences de couleur.

    Inspectez la cave

    Si l’habitation possède une cave, demandez si vous pouvez la visiter. S’il n’y a pas de pompe vide-cave dans la pièce, soyez extrêmement vigilant. Les problèmes d’humidité croissante sont plus fréquents que vous ne le pensez.

    Vérifiez la finition des murs

    Comment vérifier la présence d’humidité montante ou de condensation ? Généralement, on l’observe d’abord sur les murs. Le papier peint qui se décolle peut aussi être une indication. Par ailleurs, un dépôt blanchâtre sur les murs peut être un signe de la présence d’humidité et mérite une inspection plus minutieuse.

    Quand un bien vient d’être rénové, c’est souvent dans le but d’en augmenter sa valeur, mais ce pourrait tout aussi bien être dans le but de masquer certains défauts. Alors, soyez vigilant!

  • 3 conseils pour débarrasser votre toit de la mousse

    La présence de mousse sur le toit est très courante dans nos pays humides. Ce parasite vert ne vient pas seulement ternir l’aspect esthétique de votre maison, il amène également quelques risques réels !

    Nous avons déjà vu dans un article précédent, les trois gros dangers que présentait la mousse sur votre toit. Nous allons aujourd’hui vous donner quelques conseils pour vous débarrasser de cet intrus végétal. Sachez toutefois que cette entreprise est loin d’être simple et qu’elle peut être dangereuse car vous serez sur votre toit… Le mieux, surtout dans un cas comme celui-ci, c’est de faire appel à une équipe de professionnels, habitués à ce genre de nettoyage et possédant toutes les assurances nécessaires.

    1. Au jet d’eau

    Pour ôter facilement la mousse, il est conseillé de procéder après une bonne grosse averse. La mousse, ainsi gorgée d’eau, devient plus facile à enlever car elle adhère moins à votre toiture. Grimpez alors au sommet de votre toit et nettoyez vos tuiles du haut vers les bas (du faîte vers la gouttière), de manière à débarrasser vos tuiles de ces intrus sans envoyer d’eau dans les emboîtements de tuiles ou d’ardoises. Evitez les trop grosses pressions (plus de 80 bars) et répétez l’opération autant de fois que nécessaire.

    2. Avec des produits spécifiques

    Que vous les utilisiez avant ou après le nettoyage sous pression de votre toiture, les produits algicides s’emploient généralement dilués dans de l’eau, voire de l’eau de Javel. Il existe quantité de produits qui s’appliquent par pinceau, rouleau, voire par pulvérisation. Surtout, veillez à faire cela par temps sec ou vous devrez tout recommencer !

    3. Des mesures préventives

    Pour éviter que la mousse ou les lichens n’envahissent trop vitre votre toiture, il existe quantité de solutions sur le marché : qu’il s’agisse d’un produit minéralisant à appliquer après nettoyage, d’un revêtement, voire d’autres produits spécifiques, tout est possible !