Auteur : francois

  • C’est le moment d’entretenir cet élément de votre maison !

    Non, les châssis ne sont pas inaltérables, nécessitant aussi peu d’entretien qu’un mur ! À la veille de l’hiver, il convient de procéder à un contrôle de toutes les quincailleries ainsi qu’à un entretien !

     

    Ce qu’on appelle communément quincaillerie désigne tous les éléments qui permettent la manipulation d’un châssis de fenêtre. Souvent dédaignés voire complètement délaissés, ces différents éléments constituent pourtant l’ossature de la fenêtre et ne pas les entretenir peut grandement altérer les performances du châssis, tant en termes de manœuvrabilité, que de sécurité voire d’isolation !

    Mode d’emploi…

    Avant de procéder à l’entretien des différents éléments qui constituent la quincaillerie de vos fenêtres, il convient de vous munir d’un seau rempli d’eau tiède légèrement savonneuse (quelques gouttes de produit de vaisselle feront parfaitement l’affaire), d’une éponge ou d’une microfibre et d’un chiffon sec. A l’aide de ce matériel, vous pourrez nettoyer puis sécher les poignées, charnières et autres fixations afin de les débarrasser de la poussière et de tous les résidus qui peuvent s’y accumuler au fil des saisons.

    Contrôle !

    Une fois ces éléments nettoyés et séchés, veillez à contrôler qu’aucune pièce n’est défectueuse et à remplacer l’une d’entre elles si cela s’avère nécessaire. Profitez-en pour vérifier que tous les éléments mobiles fonctionnent, qu’il s’agisse des poignées ou des différentes parties coulissantes. Si nécessaires, procédez au réglage de ces différents éléments et resserrer les vis si celles-ci présentent un peu de jeu. En cas de doute, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel ou à la société qui a installé vos fenêtres.

    Mets de l’huile !

    Une fois le nettoyage et le contrôle effectués, vous devez ensuite lubrifier tous les éléments qui composent la quincaillerie. Quelques gouttes d’huile minérale ou de WD-40 feront parfaitement l’affaire. N’oubliez aucune partie du mécanisme et, une fois le lubrifiant appliqué, ouvrez et fermez plusieurs fois de suite la fenêtre afin que l’huile se répartisse bien partout dans le mécanisme.

    N’oubliez pas les joints !

    Enfin, quel que soit le type de châssis, il est recommandé d’également prendre soin des joints du vitrage afin qu’ils conservent une certaine élasticité. Ces joints ne peuvent en aucun cas entrer en contact avec des détergents acides ou corrosifs sous peine d’être endommagés de façon irréversible ! Pour ce faire, privilégiez de l’eau tiède mélangée avec une dose de savon noir ou de savon à l’huile de lin !

  • Quels contrôles pour ma chaudière?

    Si vous vous chauffez avec une chaudière au gaz ou au mazout, vous avez besoin d’un certificat d’inspection. Cette inspection est obligatoire pour les chaudières au gaz (tous les 2 ans à Bruxelles et tous les 3 ans en Wallonie) et au mazout (chaque année).

    Quelle est l’ obligation légale concernant le contrôle et l’ entretien chaudière?

    Un contrôle périodique de chaudière par un chauffagiste est généralement précédée d’une maintenance. Un bon entretien et un certificat de contrôle garantissent que la chaudière est réglée de manière optimale et fonctionne correctement. Cela permet d’éviter que la chaudière ne consomme trop de combustibles et ne produise des émissions nocives. L’entretien biennal comprend également le ramonage de la cheminée.

    • Un certificat d’inspection est exigé pour chaque nouvelle installation de chaudière à gaz – même pour les petites installations de moins de 20 kW.
    • Les chaudières fonctionnant au gaz naturel, au butane ou au propane doivent être soumises à une inspection obligatoire. Elle doit avoir lieu tous les deux ans à Bruxelles et tous les trois ans en Wallonie. Il vous faudra faire appel à une société d’inspection agréée, ou un « technicien agréé en combustibles gazeux ».
    • L’obligation d’inspection s’applique à toutes les chaudières à gaz de plus de 20 kW. Presque toutes les chaudières à gaz ont aujourd’hui une capacité de plus de 20 kW. La puissance est généralement facilement identifiable sur la plaque signalétique de la chaudière ou de l’installation. Il n’est pas obligatoire mais recommandé de faire contrôler une installation de moins de 20 kW.
    • Pour être en règle, il faut un certificat de nettoyage et un certificat de combustion. Les deux documents doivent contenir le nom, le numéro d’agrément et la signature de l’inspecteur.
    • Une nouvelle inspection est également requise si vous déplacez la chaudière ou faites remplacer un élément.
    • En tant que locataire, vous fournissez une copie du certificat de nettoyage et de combustion au propriétaire de la maison ou de l’appartement.
    • Notre conseil: Gardez précieusement vos 2 derniers certificats.
    • Depuis 2012, il n’est plus possible d’inclure les frais d’entretien dans la déclaration d’impôt.

    Quels sont les différents types de chaudières?

    • Chaudière avec brûleur à prémélange: la plupart sont vendus aujourd’hui, car ils sont beaucoup plus économiques. Les chaudières à condensation modernes ou les chaudières à gaz sont généralement équipées d’un brûleur à prémélange.
    • Chaudière avec brûleur sans prémélange: chaudières classiques (gaz) murales et au sol qui évacuent l’air de combustion de l’espace d’installation.
    • Chaudière avec brûleur à ventilateur: chaudières au sol d’une puissance supérieure (par exemple, chaudières partagées dans un immeuble d’habitation, entreprises…).

    A noter concernant le contrôle de votre chaudière ou de votre chauffage:

    • Les chaudières au mazout, au charbon, au bois ou aux pellets doivent être inspectée chaque année !
    • N’oubliez pas l’audit de chauffage obligatoire! L’inspection bisannuelle obligatoire pour les installations de gaz de plus de 20 kW est distincte de l’audit quinquennal du chauffage. Le premier audit doit être effectué en même temps que le premier entretien ( après les 5 ans de l’appareil). Par la suite, l’audit de chauffage aura lieu tous les cinq ans.
    • Le but de l’audit de chauffage est de vérifier l’efficacité de votre installation et les besoins en chauffage du bâtiment. Vous serez peut être amené à remplacer votre installation actuelle par une autre plus économique.
  • Paillasson : Nos 4 conseils pour choisir le bon !

    L’automne est de retour et avec lui, les feuilles mortes, la boue et autres saletés dans la maison. Pour freiner ces éléments indésirables, le paillasson est la solution idéale. Mais comment choisir le bon ?

    Un paillasson garanti ?

    Son style est bien sûr important, tout comme sa fonctionnalité : il a pour fonction d’empêcher la saleté, le sable et l’eau d’entrer. De quoi faciliter la corvée du nettoyage… Sachez également que les paillassons sont très nombreux sur le marché et que les modèles les plus haut de gamme protègent également votre sol : pensez ne serait-ce qu’à un petit caillou sur une chaussure. Un bon paillasson a une durée de vie d’environ 5 ans. De plus, de nombreuses marques offrent une garantie.

    Nombreuses textures et motifs

    En matière de style et de texture, vous trouverez un peu de tout. Après tout, un paillasson ne doit pas forcément être triste. De très subtil à flamboyant, vous trouverez de tout, y compris celui qui s’accordera parfaitement avec votre intérieur.

    Écologiquement responsables

    Les principaux fabricants de paillassons accordent également une attention croissante à l’écologie et à la durabilité. Beaucoup de ces tapis sont produits de manière durable et sont également recyclables. Certains sont d’ailleurs composés de filets de pêche réutilisés, voire d’autres matériaux recyclés.

    Quelques conseils rapides

    Les paillassons sont disponibles en différentes tailles, formes et matériaux, mais c’est le matériau qui est déterminant pour l’effet. Choisissez un paillasson assez lourd (de manière à ce qu’il reste en place) qui correspond à peu près à la taille de votre porte.

    Si le paillasson est à l’extérieur, sachez que l’eau sera mieux drainée avec une structure ouverte. De plus, la saleté peut tomber alors plus facilement à travers le tapis. Lorsque vous achetez votre paillasson, vérifiez également s’il est adapté à une utilisation en extérieur, si besoin est.

  • Comment faire une offre valable ?

    Vous avez découvert la maison de vos rêves ? Dans ce cas, vous feriez mieux de faire une offre écrite dès que possible, car les maisons partent comme des petits pains en ce moment ! Mais comment faire une offre valable ?

    N’achetez pas un chat dans un sac

    Il va sans dire qu’avant de faire une offre, mieux vaut s’informer au maximum sur le bien. Un agent immobilier peut naturellement vous aider dans ces démarches. Assurez-vous de connaître la valeur du PEB, renseignez-vous sur les éventuelles infractions urbanistiques, le risque de voir le terrain inondé, la conformité de l’installation électrique…

    Outre ces détails techniques, il y a évidemment l’aspect financier : prenez rendez-vous avec votre banquier, histoire d’avoir une idée de ce que vous pouvez emprunter. Cela vous permettra de faire une offre réaliste.

    Faites une offre réfléchie

    Agir rapidement ne veut pas dire faire une offre à la légère ! De préférence, faites-la par écrit. Si la loi permet de le faire verbalement ou par SMS, une offre écrite donne un peu plus de certitude.

    Ce qui doit figurer sur l’offre

    Si vous faites une promesse d’achat, assurez-vous que les éléments ci-dessous soient inclus :

    • le prix
    • l’adresse du bien
    • la durée de validité de votre offre
    • une condition suspensive, à savoir l’obtention d’un prêt

    Vous n’êtes pas sûr de votre coup ?

    Demandez de l’aide à un agent immobilier. En effet, ils disposent souvent d’un formulaire standard à cet effet.

    N’oubliez pas votre pare-feu !

    En incluant des conditions suspensives dans votre offre, vous vous assurez une certaine sécurité et éviter la rupture du contrat. La condition suspensive la plus courante est l’obtention d’un prêt de la banque.

    Autres modalités

    Outre ce qui précède, il existe aujourd’hui de nombreuses autres options : offres sous enveloppe fermée, offres numériques… Nous vous conseillons toutefois un accord écrit sur papier : les choses sont alors claires et contraignantes pour toutes les parties, ce qui permet d’éviter les discussions.

     

  • Comment se débarrasser des odeurs de friture ?

    L’été derrière nous, on a à nouveau envie de se faire plaisir en dégustant des frites, des croquettes et autres beignets frits. Des délices qui imposent le recours à la friture, une source importante d’odeurs qui ont tendance à envahir toute la maison. Mais ce n’est pas une fatalité !

    Sachez d’entrée de jeu qu’en cuisine, les odeurs de friture ne sont pas incontournables. Il ne faut donc surtout pas vous interdire de faire des frites sous prétexte que ça sent mauvais ! Il existe en effet plusieurs astuces qui vont vous permettre de limiter la formation d’odeurs. A commencer par la… vanille.

    Vous êtes plutôt vanille ?

    En effet, la vanille aussi est réputée pour son odeur très forte. Elle va donc combattre la prolifération des odeurs de graisse une fois que l’huile de friture est chaude. Pour ce faire, il suffit de plonger une gousse de vanille dans l’huile de cuisson ! Le parfum de la vanille va alors absorber l’odeur dégagée par l’huile. Et si vous n’avez pas de gousse de vanille sous la main, quelques gouttes d’essence de vanille feront aussi parfaitement l’affaire.

    …Ou persil ?

    Autre astuce : une branche de persil qu’il suffit de jeter dans l’huile chaude. Ici aussi, l’odeur de graisse va se concentrer sur le persil et non pas se répandre dans toute la maison. Cerise sur le gâteau, le persil qui baigne dans l’huile concourt aussi à limiter les éclaboussures !

    Et si ça sent quand même ?

    D’autres astuces tout aussi efficaces existent également pour éliminer les odeurs tenaces de friture. Tout le monde n’a en effet pas de la vanille ou du persil sous la main…

    Parmi les alliés anti-odeurs, il y a le vinaigre blanc. Après une soirée durant laquelle la friteuse a fonctionné (mais c’est aussi valable pour les raclettes et les fondues au fromage), il suffit de faire bouillir une tasse de vinaigre blanc dans un poêlon durant cinq minutes. Les vapeurs dégagées par la casserole vont neutraliser le parfum de la graisse en un tournemain !

    Huiles essentielles, le bon plan ?

    En matière de désodorisation, les huiles essentielles font également merveille. Lavande, citronnelle ou encore eucalyptus ont des propriétés extraordinaires en la matière. Ici, il suffit de déposer quelques gouttes de l’une de ces huiles sur une petite assiette ou une soucoupe et de placer celle-ci sur une source de chaleur, comme un radiateur. L’évaporation de l’huile favorisera l’élimination des odeurs de graisse.

    Dernière solution : soigner le mal par le mal !

    Pour chasser les odeurs d’huile et de graisse, on peut aussi placer une tranche de pain au four et la laisser brûler. Vous verrez que l’odeur du pain brûlé est plus forte que celle de la graisse et que la première dominera la seconde. Faut-il bien entendu que vous supportiez l’odeur du pain trop cuit !

  • Voici comment se débarrasser des moisissures sur les murs

    Avec le retour du froid et le manque de ventilation, des moisissures peuvent se développer sur les murs de certaines pièces de la maison. Nous vous livrons nos astuces pour en venir à bout.

    Deux conditions doivent être réunies pour que la moisissure se développe : un taux d’humidité élevé (supérieur à 65 %) et une température comprise entre 2 et 40°. Sans surprise, celle-ci privilégie donc les pièces d’eau comme la salle de bain où elle se développera facilement sur les joints de carrelage ou le plâtre des murs et du plafond.

    Pour éviter ces taches peu esthétiques, il est indispensable d’aérer la pièce concernée tous les jours, été comme hiver, en ouvrant grand les fenêtres durant un bon quart d’heure. Dans le même ordre d’idées, n’obstruez  jamais les bouches d’aération qui se trouvent au sommet de vos fenêtres et, si vous en êtes équipé, faites vérifier une fois l’an votre système de ventilation. Si malgré tout le problème persiste, vous pouvez aussi opter pour un déshumidificateur d’air.

    Dans tous les cas, ne laissez pas la moisissure se développer ! Celle-ci peut en effet avoir un impact sur votre santé, en favorisant le développement de mycoses, de réactions allergiques voire d’asthme.

    Différents traitements

    Si des moisissures sont apparues sur les murs de votre maison, différentes solutions peuvent être envisagées pour s’en débarrasser. La première consiste à mélanger du vinaigre blanc avec de l’eau et de l’huile essentielle de tea tree. Dans un pulvérisateur, versez trois mesures de vinaigre blanc pour deux mesures d’eau, ainsi qu’une dizaine de gouttes d’huile essentielle de tea tree. Vous pouvez pulvériser ce mélange directement sur les moisissures et laisser agir durant deux heures. Essuyez ensuite avec une microfibre sèche.

    Autre option : de l’ammoniaque. Ici, il suffit d’imbiber un chiffon, de frotter la tache puis de rincer à l’eau claire. Les traces les plus tenaces peuvent être supprimées à l’aide d’eau oxygénée.

    Enfin, les cristaux de soude font également des merveilles, dilués dans de l’eau tiède. Il suffit ensuite de frotter les taches avec une éponge douce.

    Dans un cas comme dans l’autre, n’oubliez pas de porter des gants. Le port du masque est également recommandé afin de ne pas respirer les micro-organismes qui seront libérés dans l’air durant le nettoyage !

  • Rénover votre intérieur avec un budget réduit ? Pensez à ces panneaux !

    Vous avez un budget réduit pour la rénovation intérieure de votre logement ? Sachez qu’il y a une solution de plus en plus en vogue : l’OSB ! Ces panneaux abordables et multifonctionnels investissent de plus en plus dans nos intérieurs.

    Qu’est-ce que l’OSB ?

    Les panneaux OSB (« Oriented Strand Board ») sont des panneaux de construction composés de différentes couches de copeaux de bois, collés entre eux. Comme ces planches ne résistent pas à l’humidité, elles sont souvent utilisées à l’intérieur, pour les sols et murs notamment. Ces planches sont non seulement bon marché, mais elles sont aussi écologiques.

    Comme revêtement de sol ?

    Avec une bonne colle, vous pouvez coller ces planches directement au sol. Notez à ce sujet que la colle est plus chère que les planches ! Certains préfèrent les visser. A vous de voir…

    Un sol en OSB peut parfaitement être repeint ou verni (ce qui peut donner un aspect assez chaleureux), mais sachez que ce type de revêtement est peu résistant aux rayures.

    Astuce !

    Vous désirez malgré tout quelque chose de résistant? Traitez les copeaux de bois avec une laque à base de polyuréthane.

    Quels sont les inconvénients de l’OSB ?

    Les panneaux en OSB sont abordables, durables et faciles à traiter. Comme nous l’avons mentionné, ils sont aussi assez peu résistants aux rayures et ne supportent pas l’humidité. Notez également que sans une protection adéquate, les planches sont difficiles à nettoyer.

    Enfin si ces panneaux OSB sont peu chers, les produits adhésifs et de protection peuvent vite plomber le budget.

  • En automne et en hiver, n’oubliez pas de modifier cette habitude !

    Il n’est pas toujours évident de gérer l’arrosage des plantes d’intérieur durant les deux saisons les plus fraîches et humides. Trouver la bonne fréquence tout en palliant l’air sec induit par le chauffage relève parfois de l’exploit !

    Tout d’abord, il convient de distinguer les différentes plantes qui trônent dans votre intérieur. Trois grandes catégories peuvent être établies : les plantes tropicales, celles issues de zones tempérées et enfin les cactées.

    Les plantes tropicales

     

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    Ce sont celles qui sont généralement privilégiées dans nos intérieurs, principalement pour leurs côtés à la fois exubérant et exotique. Les ficus, palmiers, aechmaes et autres monstras proviennent de contrées où, constamment, règnent des températures tournant autour de 25°, assorties d’un taux d’humidité relativement élevé. Des conditions qui ne sont bien entendu pas remplies dans nos appartements durant l’automne et l’hiver. Le pire durant ces deux saisons est que les plantes souffrent de la sécheresse de l’air ambiant, principalement à cause des radiateurs.

    Si la température de la pièce n’est pas trop élevée et que le chauffage ne fonctionne pas en permanence, l’arrosage des plantes tropicales peut être réduit durant l’automne et l’hiver. Bien souvent, un arrosage copieux, une fois par semaine, est suffisant. Dans tous les cas, ne laissez jamais l’eau stagner dans la coupelle ou au fond du pot car les racines seraient alors asphyxiées, ce qui engendrerait la mort de la plante.

    En outre, ces plantes exigent aussi une certaine humidité dans l’air afin de pouvoir croître dans des conditions optimales. Pour ce faire, créez des îlots de verdure en regroupant vos plantes. Grâce à leur évapotranspiration, elles assureront elles-mêmes une ambiance plus humide dont elles profiteront mutuellement. Enfin, si votre habitation est équicpée de convecteurs, pensez à installer des diffuseurs d’eau sur chacun d’entre-eux et alimentez-les très régulièrement, afin d’humidifier l’air ambiant.

    Les plantes issues de zones tempérées

     

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    Les plantes qui proviennent de ces zones, comme l’azalée ou le cyclamen, ne supporteront pas non plus la chaleur et la sécheresse provoquée par les radiateurs. Pour contourner cet écueil, on placera les plantes concernées sur de fines éponges imbibées d’eau afin qu’elles puisent l’humidité selon leurs besoins. En outre, ces plantes devront être installées dans un local frais ou une pièce dépourvue de radiateur. Si vous placez vos agrumes, hibiscus et autres pélargoniums dans votre véranda non chauffée durant l’hiver, procédez alors à un arrosage limité. En fait, vous devrez attendre que la terre soit bien sèche en surface, sur 3 à 5 cm selon la taille du pot, avant d’arroser à nouveau.

    Les cactées

     

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    Enfin, les cactus sont à considérer comme une exception dans le monde des plantes d’intérieur. En effet, l’arrosage devra être quasiment interrompu d’octobre à mars puis progressivement repris à partir du printemps. Cela vous permettra d’éviter que de nombreuses maladies de type cryptogamique rongent vos plantes jusqu’à leur mort.

  • Salle de bains : Quel type de verre choisir ?

    Le verre a la cote dans la salle de bains ! Que ce soit pour les parois de douche, pour les vasques ou encore pour une cloison, le verre transparent permet en effet d’agrandir visuellement la pièce. Mais quel type de verre choisir ?

    Le polycarbonate

     

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    C’est la solution la moins chère et la plus légère, donc la plus facile à poser. Toutefois, comme on peut logiquement s’y attendre, il est nettement moins durable et souvent moins esthétique.

    Le verre trempé

     

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    C’est le choix le plus populaire. Ce type de verre profite en effet d’un traitement chimique qui lui confère une meilleure résistance. Comprenez qu’en cas de bris, il se répand en petits éclats peu coupants. Solide et ne nécessitant pas de cadre, il souffre néanmoins d’un défaut : il est lourd, ce qui le rend peu commode à poser.

    La brique de verre

     

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    Cette solution est rarement employée car elle ne convient pas à tous les styles. Elle a pourtant ses avantages : disponible en plusieurs teintes et finitions, elle est solide, laisse passer la lumière, mais préserve une intimité totale.

    Le verre feuilleté de sécurité

    Celui-ci se compose de deux feuilles de verre séparées par un film en PVC. Ce type de verre a un gros avantage en cas de bris : le film retient les morceaux de verre, ce qui est nettement plus sécurisant. Il est pourtant assez peu utilisé, notamment parce qu’il requiert l’emploi d’un cadre.

  • Terrasse : Voici comment choisir le meilleur carrelage !

    L’été étant derrière nous, nous sommes nombreux à reconsidérer notre terrasse. Cette dernière mérite-elle un nouveau carrelage ? Si la réponse est oui, jetez un œil à nos conseils ci-dessous !

    Quel style ?

    Le jardin devient de plus en plus l’extension de votre salon, il est donc intéressant de faire correspondre les carrelages de votre terrasse avec ceux de votre intérieur, surtout si celle-ci est adjacente à la maison. Toutefois, dans certains cas, un contraste peut apporter une vraie touche d’élégance, voire de fantaisie. Dans tous les cas, soyez sobre en matière de couleurs et de contrastes. Un jardin doit en effet, dégager une certaine tranquillité.

    Quel type ?

    Il existe divers types de carrelage extérieur : en grès cérame, en grès émaillé, en granit, voire en marbre, même si ce dernier demande une protection particulière, car il ne résiste pas très bien aux variations de température. La tendance du moment, c’est le carrelage en pierre bleue. Celui-ci n’est pas donné, mais il est résistant et indémodable. Sachez à ce sujet que la pierre bleue belge (ou irlandaise) est plus résistante que la pierre chinoise… Mais le prix n’est évidemment pas le même !

    Prenez vos mesures !

    Les grandes dalles sont populaires, mais ils ne s’adaptent pas à toutes les terrasses. Mesurez bien votre terrasse et choisissez des dalles qui nécessitent un minimum de découpage. Côté taille, sachez que si vous optez pour des grandes dalles, celles-ci auront tendance à rétrécir visuellement votre jardin. Dans tous les cas, mieux vaut en poser au moins quatre les unes à côté des autres. Prenez donc vos mesures et n’oubliez pas de compter l’épaisseur des joints !

    Pensez à l’évacuation de l’eau !

    Ne visez pas trop grand et n’oubliez pas que la pluie qui tombera sur votre terrasse, il faudra bien la drainer d’une manière ou d’une autre ! Nous vous conseillons la pose d’un caniveau, qu’il faudra régulièrement entretenir, notamment en retirant les feuilles à la fin de l’automne.